Viviers (Ardèche)
Viviers | |||||
La ville dominée par la cathédrale. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ardèche | ||||
Arrondissement | Privas | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Rhône aux Gorges de l'Ardèche | ||||
Maire Mandat |
Christian Lavis 2014-2020 |
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Code postal | 07220 | ||||
Code commune | 07346 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vivarois | ||||
Population municipale |
3 674 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 108 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 29′ 01″ nord, 4° 41′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 55 m Max. 400 m |
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Superficie | 34,15 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Bourg-Saint-Andéol | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | mairie-viviers.fr | ||||
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Viviers ou Viviers-sur-Rhône (Vivièrs en occitan) est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est l'ancienne capitale de la province du Vivarais, qui faisait partie du Languedoc.
Géographie
Localisation
Alba-la-Romaine | Le Teil | Montélimar | ||
Saint-Thomé | N | Châteauneuf-du-Rhône | ||
O Viviers E | ||||
S | ||||
Larnas | Saint-Montan | Donzère |
Hydrographie et relief
La ville est traversée par le Rhône et l'Escoutay. Viviers est située sur la rive droite du Rhône.
Climat
Située dans la vallée du Rhône, la commune est sous l'influence du climat méditerranéen avec un ensoleillement annuel dépassant les 2 400 heures[1], comparable à celui de Perpignan ou Gap.
Les hivers sont généralement froids et secs, le mistral contribuant à le rendre glacial lorsqu'il souffle.
Le printemps et l'automne connaissent des épisodes orageux pouvant être violents appelés orages cévenols ou épisode méditerranéen.
L'été est le plus souvent synonyme de périodes de chaleur importante et de sécheresse accentuée par le mistral.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,9 | 2,5 | 4,9 | 7,3 | 11,1 | 14,7 | 17,3 | 17 | 13,7 | 10,4 | 5,8 | 3 | 9,1 |
Température moyenne (°C) | 5 | 6,3 | 9,7 | 12,4 | 16,6 | 20,4 | 23,5 | 23 | 18,9 | 14,6 | 9,1 | 5,8 | 13,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,2 | 10,2 | 14,5 | 17,5 | 22,1 | 26,2 | 29,6 | 29,1 | 24,2 | 18,7 | 12,4 | 8,6 | 18,4 |
Record de froid (°C) | −14,4 | −17 | −7,4 | −3,1 | −1,8 | 3,5 | 7,5 | 5,6 | 0,5 | −1,6 | −10 | −17,2 | −17,2 |
Record de chaleur (°C) | 19,3 | 22,4 | 26,4 | 30,6 | 33,9 | 38,1 | 40 | 41,1 | 36,2 | 30,4 | 26,4 | 19,9 | 41,1 |
Ensoleillement (h) | 104,9 | 134,5 | 200 | 214,6 | 255,3 | 295,5 | 327,3 | 293,6 | 224,5 | 152,3 | 110,3 | 92,1 | 2 404,9 |
Précipitations (mm) | 64 | 45,2 | 47,1 | 81,3 | 83,1 | 55,2 | 48,7 | 57,7 | 116,2 | 135,8 | 100,5 | 70,5 | 905,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
8,2 1,9 64 | 10,2 2,5 45,2 | 14,5 4,9 47,1 | 17,5 7,3 81,3 | 22,1 11,1 83,1 | 26,2 14,7 55,2 | 29,6 17,3 48,7 | 29,1 17 57,7 | 24,2 13,7 116,2 | 18,7 10,4 135,8 | 12,4 5,8 100,5 | 8,6 3 70,5 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Ville | Ensoleillement (h/an) |
Pluie (mm/an) |
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Médiane nationale | 1 852 | 835 |
Montélimar | 2 404,8 | 905,3 |
Paris | 1 662 | 637 |
Nice | 2 724 | 733 |
Strasbourg | 1 693 | 665 |
Brest | 1 530 | 1 210 |
Bordeaux | 2 035 | 944 |
Voies de communication et transports
Axes ferroviaires
Axes routiers
La commune est traversée dans l'axe nord-sud par la route départementale 86, anciennement RN 86.
À la sortie nord de la commune, la route départementale 107 permet de rejoindre la route nationale 102 en direction d'Aubenas.
Depuis Viviers, l'avenue Pierre-Mendès-France permet de traverser le Rhône pour rejoindre le département voisin de la Drôme.
Toponymie
Attestée sous la forme gynaecei Vivarensis en 400, un gynécée est, à l’époque, un atelier où travaillent des femmes.
Du latin vivarium («vivier, garenne, parc où l’on nourrit les animaux »). Il s’agissait là de pièces d’eau aménagées sur la rive droite du Rhône où l’on nourrissait et conservait le poisson et dont il reste quelques vestiges.
Les habitants sont appelés les Vivarois[3].
Histoire
Les fouilles faites par Yves Esquieu ont permis de découvrir les restes d'une place et de base de colonne d'une villa romaine[4]. Les Romains avaient établi à Viviers le centre d'approvisionnement (« vivarium ») de la cité d'Alba accessible par le pont romain de Viviers sur la voie d'Antonin.
Entre le IIIe et le Ve siècles les évêques quittent Alba et s'installent à Viviers, qui devient la nouvelle capitale de l'Helvie puis du Vivarais, pour se protéger des agressions des envahisseurs barbares.
Plusieurs cathédrales sont successivement construites sur le même site. La première est édifiée sur le rocher de Châteauvieux.
Résidence des évêques depuis le Ve siècle, le bourg, fortifié, devint alors une puissante cité épiscopale aux privilèges confirmés par Lothaire et Charles le Chauve au IXe siècle. D'abord rattaché au royaume de Provence, la ville fait partie du Saint-Empire romain germanique après la mort de Rodolphe III, en 1032, jusqu'en 1308.
L'évêque, vrai maître du pays avec l'archevêque de Lyon, lutta pour l'indépendance du Vivarais jusqu'à l'annexion de Lyon par Philippe le Bel en 1308. Le sud du pays, avec Viviers, reconnut alors la suzeraineté du roi de France et les évêques prirent, au XVe siècle, le titre de comtes de Viviers, princes de Donzère et de Châteauneuf-du-Rhône.
Viviers connaît alors une expansion considérable lui permettant de consolider ses fortifications et se protéger des attaques de la guerre de Cent ans.
Claude de Tournon, aumônier de la reine Anne de Bretagne permet à la ville de connaitre une nouvelle prospérité. Rénovée, embellie et décorée, la ville reçoit la visite de François Ier. C'est à la même époque que Noël Albert, un riche marchand de Viviers enrichi par le commerce du sel et le détournement des impôts, fait orner sa maison d'une magnifique façade « à l'antique » qui en fera la « Maison des Chevaliers ».
Ce même Noël Albert, converti au protestantisme pour échapper à la justice royale, devient, lors des guerres de religion, chef militaire du camp huguenot, s'empare une première fois de sa ville natale de Viviers, pillant et détruisant une partie du riche quartier de la cathédrale délaissé par l'évêque et les ecclésiastiques, pour des résidences plus confortables comme à Donzère et au palais de Bourg-Saint-Andéol puis une seconde fois, en 1567, en saccageant la cathédrale elle-même.
Les évêques ne reviendront à Viviers qu'au XVIIIe siècle pour s'installer dans le palais épiscopal construit par l'architecte Jean-Baptiste Franque. D'autres hôtels particuliers sont alors construits ou embellis comme l'hôtel de Roqueplane, l'hôtel de Tourville, l'hôtel de Beaulieu mais aussi l'église Notre-Dame-du-Rhône, le séminaire et les faubourgs.
Lors de la Révolution Française, Viviers ne fut pas pillée et détruite par les troupes révolutionnaires, son évêque Charles de La Font de Savine, ayant juré fidélité à la Révolution.
En 1858 Joseph Hippolyte Guibert fait l'acquisition de trois tapisseries des Gobelins et obtient de Napoléon III le don de trois autres.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[7].
En 2021, la commune comptait 3 674 habitants[Note 1], en diminution de 1,45 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
- Ecole maternelle publique Lamarque
- Ecole primaire publique de La Roubine
- Ecoles maternelle et primaire privées mixtes Saint Régis et Notre Dame du Rhône
Santé
Manifestations culturelles et festivités
Sports
Viviers est une ville sportive avec plusieurs équipements de loisirs : piscine municipale, un gymnase comportant des panneaux photovoltaïque, un port de plaisance et des circuits de randonnées.
Médias
Cultes
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Emploi
Entreprises de l'agglomération
Agriculture
Artisanat et industrie
Activités de service
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
Pont romain
Viviers à l'époque romaine : pont romain de 11 arches sur l'Escoutay [10] du IIe ou IIIe siècle.
-
Le pont romain -
Le passage sur l'Escoutay
Monuments médiévaux
Viviers au Moyen Âge :
- remparts[11] ;
- ruelles ;
- donjon carolingien ;
- chapelle Saint-Ostian[12] ;
- maison de Lestrade (XIIe – XIIIe siècles), dans la ville basse, fortement remaniée aux XVIe et XVIIIe siècles. Elle a été la mairie de Viviers de 1767 à 1947.
Monuments de la Renaissance
- Maison Noël-Albert (dite maison des Chevaliers ou maison des Têtes)[13],[14]
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Maison des Chevaliers -
Maison des Chevaliers -
Maison des Chevaliers -
Détail de chapiteaux
Monuments du XVIIIe siècle
- ancien "Grand-séminaire", devenu "Maison diocésaine Charles de Foucauld" [15]. Riche bibliothèque [16].
- ancien Palais épiscopal : actuel hôtel de ville
- Hôtel de Roqueplane [17] : actuel évêché du diocèse de Viviers
- Hôtel de Tourville
- Hôtel de Mercoyrol de Beaulieu[18].Après avoir acheté plusieurs lots, Pierre de Roqueplane fait bâtir un hôtel à partir de 1734, correspondant à l’aile droite. Jean de Roqueplane et Pierre de Fontanes ayant hérité, chacun pour moitié de l'hôtel de Pierre de Roqueplane, Jean de Fontanes achète la part de Jean de Roqueplane. Pierre de Fontanes entreprend alors de faire continuer les travaux par l'entrepreneur François Lustrou dit Béziers, entre 1760 et 1765. Madame de Fontanes meurt en 1783 et ses filles héritent de l'hôtel. Ce partage de l'hôtel entre les deux familles, Drivet de la Dernade et Mercoyrol de Beaulieu, entraîne des travaux. À partir de 1860 l'hôtel appartient en totalité à la famille Mercoyrol de Beaulieu. La façade est percée de 24 fenêtres ornées d'écussons et de têtes sculptées comportant un élégant balconnet, ainsi qu'une porte cochère en noyer. On peut également admirer l'impressionnante escalier avec sa rampe en fer forgé.
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L'actuelle mairie de Viviers, ancien palais épiscopal construit par Jean-Baptiste Franque -
Hôtel de Beaulieu : balcon -
Hôtel de Beaulieu : décoration -
Hôtel de Roqueplane -
Hôtel de Tourville : décoration
Bâtiments industriels du XIXe siècle
- Viviers au XIXe siècle : cimenteries Lafarge[19], Cité Blanche, usines Greffe-Lachave et tonnellerie Lecomte le long de la nationale (la première abrite toujours une activité artisanale, la seconde est transformée en parking)...[réf. nécessaire]
Constructions du XXe siècle
- Pont suspendu de Viviers sur le Rhône : le pont suspendu sur le Rhône relie Viviers avec Châteauneuf-du-Rhône, construit au début des années 1950 pour remplacer un ancien pont suspendu édifié en 1845, détruit à la fin de la Seconde Guerre mondiale[20],[21]. L'ouvrage est construit par un groupement d'entreprises comprenant l'entreprise Boussiron, l'entreprise Truchetet-Tanzini, et la Compagnie Fives-Lille. Les travaux de démolition de l'ancien pont ont été entrepris en 1949. Les épreuves du pont ont été réalisées en 1954. Sa longueur totale est de 275 m avec une travée centrale de 165,10 m de portée[22].
Édifices religieux
De son passé d’évêché, Viviers a conservé un ensemble de remarquables hôtels particuliers et des bâtiments religieux très intéressants[23].
- Cathédrale Saint-Vincent de Viviers, chemin de Ronde, est la seule de France à avoir conservé intact son quartier canonial.
- Église Notre-Dame-du-Rhône de Viviers, appelée aussi Chapelle des Dominicains de Viviers, place Notre-Dame-du-Rhône [24],[25]
- Église Saint-Laurent, Faubourg la Ciré.
- Église de l'ancienne cité ouvrière Lafarge, appelée aussi Cité Blanche.
- Chapelle Saint-Ostian de Viviers, à saint Ostian.
- Chapelle du couvent Saint-Roch, chemin de Ronde.
- Chapelle au cimetière.
Patrimoine culturel
Ville médiévale, capitale du Vivarais depuis le Ve siècle, classée 3e secteur sauvegardé de la région Auvergne-Rhône-Alpes, offre aux visiteurs un véritable musée d'architecture à ciel ouvert.
La commune dispose d'un théâtre en activité, ou sont organisées plusieurs manifestations[26].
Une statue de Johnny Hallyday a été érigée en 2018 sur la route départementale 86, à quelques kilomètres du centre ville, la mère de l'artiste étant enterrée dans la commune. Elle constitue depuis un lieu de pèlerinage, notamment à la date anniversaire du chanteur (15 juin), pour les fans frustrés que la sépulture de leur idole soit située hors de la métropole. Sculptée par Georges Daniel, la représentation s'élève à 2,70 m environ du sol dans le parc du restaurant « Le Tennessee » qui organise des concerts de rock où se produisent parfois des sosies du chanteur disparu[27],[28],[29],[30].
Patrimoine naturel
Personnalités liées à la commune
- Saint Venant de Viviers, évêque (VIe siècle)
- Noël Albert ou Albert de Noé, né à Viviers et mort décapité à Toulouse en 1568, était un riche marchand du Vivarais qui fit rebâtir en style Renaissance la façade de son Hôtel particulier appelé aussi la Maison des Chevaliers, monument incontournable de la ville.
- Marie de Romieu, poétesse née à Viviers (XVIe siècle)
- Le cardinal de Richelieu (1585-1642) y passe une nuit, à l'été 1642, peu de temps avant son décès survenu le 4 décembre suivant.
- Charles-Antoine de La Garde de Chambonas, évêque et comte de Viviers, de 1692 à 1713.
- Étienne-Benjamin Deschauffours, né à Viviers vers 1690, étranglé puis brûlé pour sodomie, à Paris, le 24 mai 1726.
- Charles de La Font de Savine (1742-1814), évêque de Viviers. Il jure fidélité à la Révolution ce qui vaut à la ville de Viviers d'être épargnée de la destruction et du pillage par les troupes révolutionnaires.
- Honoré Flaugergues (1755-1830), astronome amateur qui découvre la grande comète de 1811 et les nuages de poussière de Mars.
- Jean-Louis Charrière (1765-1846), général de la Révolution et de l'Empire.
- Eugène Labaume, ingénieur hydrographe et historien, né à Viviers en 1783.
- Joseph Hippolyte Guibert (1802-1886), évêque de Viviers puis archevêque de Tours et de Paris. En 1856, il fait l'acquisition de trois tapisseries des Gobelins et obtient de Napoléon III, le don de trois autres. Cinq d'entre elles sont encore visibles à la cathédrale.
- Napoléon III (1808-1873), s'est arrêté à Viviers le 24 septembre 1852 où il fut acclamé par la foule.
- Charles de Foucauld (1858-1916), ancien saint-cyrien puis martyr, y a été ordonné prêtre le 9 juin 1901. Une statue rappelle son souvenir.
- Paul Signac (1863-1935), peintre paysagiste français, séjourna plusieurs fois à Viviers entre 1926 et 1931.
- Henri de Pavin de Lafarge (1889-1965), sénateur de l'Ardèche de 1930 à 1945.
- Bryan Houghton (1911-1992), prêtre. Il est inhumé au cimetière communal.
- Jean Hermil (1917-2006), évêque de Viviers de 1965 à 1992.
- Huguette Galmiche née Clerc (1920-2007), mère de Johnny Hallyday, est enterrée à Viviers, prétexte invoqué pour qu'y soit érigé une statue du chanteur.
- Jean Bonfils (1930-), évêque de Viviers de 1992 à 1998).
- François Blondel (1940-), évêque de Viviers de 1999 à 2015.
- Yves Esquieu (né en 1943) est un archéologue français. Il a notamment conduit des fouilles à Viviers qui ont permis de découvrir les restes d'une place et de base de colonne d'une villa romaine.
- François Félix (né à Viviers en 1949), ancien footballeur professionnel. Il marque 119 buts en 340 matchs de 1re Division, occupant le 42e rang des meilleurs buteurs de l'histoire du championnat de France et dispute la finale de la Coupe UEFA en 1978 avec le SC Bastia face au PSV Eindhoven, ainsi que deux finales de Coupe de France, en 1971 et 1972, toutes deux perdues. Il porta également les couleurs de l'Olympique lyonnais et de l'A.J. Auxerre.
- Philippe Pays (né à Viviers en 1956), président du CS de LVMB.
- Jean-Louis Balsa (1957-), évêque de Viviers depuis 2015.
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Porte de la Gâche -
Tour de la cathédrale, ancienne porte -
Au pied de la statue de saint Michel
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La statue de saint Michel depuis le sentier
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Viviers depuis la montagne Saint-Michel
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Le Rhône
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Le Rhône et la montagne Saint-Michel
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La Vierge de la Joannade surplombant le village
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La statue de la Vierge de la Joannade
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La Vierge protégeant le village
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Détails de la cathédrale
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Viviers et la montagne Saint-Michel
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Depuis la rive du Rhône
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Tour
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La tour de l'Horloge
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La montagne Saint-Michel depuis la Vierge
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Le village et le Rhône depuis la Vierge
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Vue depuis la Vierge
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La cathédrale et le village
Héraldique
Les armes de Viviers se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
Bibliographie
- Joseph Bourg, Viviers, Promenade à travers ses monuments et son histoire, Paris, Éditions Le livre d'histoire et Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », Collection dirigée par Michel-Georges Micberth.
- Yves Esquieu, Viviers et son Canton, Éditions Alan Sutton, coll. « Mémoire en Images », .
- Marie-Christine Grasse, « La maison urbaine et son évolution dans la ville basse de Viviers (Ardèche), XIIe – XVe siècles », Bulletin Monumental, t. 146, no 1, , p. 7-27 (DOI 10.3406/bulmo.1988.3051, lire en ligne, consulté le ).
- André Hallays et Jos Jullien, Viviers, Saint-Félicien, Éditions du Pigeonnier, .
- Henri Vergnes, Viviers-sur-Rhône. Notice historique et guide, Paris, Éditions Le livre d'histoire, coll. « Monographies des villes et villages de France », Collection dirigée par Michel-Georges Micberth.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Office de tourisme du Rhône aux Gorges de l'Ardèche
- Viviers sur le site patrimoine-ardeche.com
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- « Données climatiques de la station de Montélimar », sur Météo-France (consulté le ).
- « Normales et records pour la période 1981-2010 à Montélimar - Ancone », sur Infoclimat (consulté le ).
- « Gentilé », sur www.habitants.fr (consulté le )
- « www.cicp-viviers.com », sur www.cicp-viviers.com (consulté le ) Centre International Construction et Patrimoine : Historique de la ville de Viviers
- « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no IA00047859, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Pont romain
- Notice no IA00047775, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Remparts
- Notice no IA00048156, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Chapelle Saint-Martin, Saint-Ostian
- Notice no IA00047825, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : hôtel de Noël Albert, dit Maison des Chevaliers
- Marc Pabois, L'hôtel Albert Noël à Viviers, pp. 375-379, dans Congrès archéologique de France. 150e session. Moyenne vallée du Rhône. 1992, Société française d'archéologie, Paris, 1995
- « site du diocèse de Viviers », sur www.ardeche.catholique.fr (consulté le )
- « site du diocèse de Viviers », sur www.ardeche.catholique.fr (consulté le )
- Simone Hartmann-Nussbaum, L'hôtel de Roqueplane à Viviers, pp. 369-374, dans Congrès archéologique de France. 150e session. Moyenne vallée du Rhône. 1992, Société française d'archéologie, Paris, 1995
- Notice no IA00047770, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Hôtel de Fontanes puis de Beaulieu
- « Usine de Chaux, Cimenterie dite Usine de Chaux et Ciments Lafarge », notice no IA00047819, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Inventaire général : Pont dit pont de Viviers », notice no IA00048161, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Patrimoine Rhône-Alpes : Pont routier de Viviers (détruit) », sur www.patrimoine.rhonealpes.fr (consulté le )
- « Patrrimoine Rhône-Alpes : Pont routier dit pont suspendu de Viviers », sur patrimoine.rhonealpes.fr (consulté le )
- « Centre International Construction et Patrimoine : Parcours dans Viviers », sur www.cicp-viviers.com (consulté le )
- Notice no IA00047880, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église paroissiale Notre-Dame-du-Rhône
- Simone Hartmann-Nussbaum, Viviers. L'église Notre-Dame-du-Rhône, pp. 363-367, dans Congrès archéologique de France. 150e session. Moyenne vallée du Rhône. 1992, Société française d'archéologie, Paris, 1995
- « culture et théâtre à Viviers », sur www.mairie-viviers.fr (consulté le )
- Aude Henry, « Ardèche : une statue de Johnny Hallyday trône désormais à Viviers », sur france3-regions.francetvinfo.fr, France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).
- Nathalie De Keyzer et Nathalie Rodrigues, « PHOTOS - Viviers : la statue ardéchoise de Johnny Hallyday a changé de "Gueule" », sur francebleu.fr, France Bleu Drôme Ardèche, (consulté le ).
- « La statue hommage à Johnny Hallyday à Viviers », sur rhone-gorges-ardeche.com, Office de tourisme du Rhône aux Gorges de l'Ardèche (consulté le ).
- « À défaut d'aller à Saint-Barth, les fans de Johnny Hallyday ont aussi Viviers en Ardèche, le lieu de naissance de la maman du rockeur », sur gala.fr.