Villez-sous-Bailleul
Villez-sous-Bailleul | |
![]() L'église Saint-Philibert. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Seine Normandie Agglomération |
Maire Mandat |
Marie-Odile Andrieu 2020-2026 |
Code postal | 27950 |
Code commune | 27694 |
Démographie | |
Population municipale |
313 hab. (2018 ![]() |
Densité | 72 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 06′ 43″ nord, 1° 22′ 36″ est |
Altitude | Min. 58 m Max. 136 m |
Superficie | 4,36 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pacy-sur-Eure |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
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Villez-sous-Bailleul est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.
Géographie[modifier | modifier le code]
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Villez-sous-Bailleul est une commune rurale, car elle n'appartient à aucune unité urbaine[Note 1],[1],[2].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[3],[4].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous la forme Villare vers 1025[5],[6],[7].
Du bas latin villare « domaine rural »[7].
L'élément Bailleul se réfère à la commune voisine Saint-Pierre-de-Bailleul, jadis Bailleul[8].
Bailleul : ce nom vient d'un mot latin tardif d'origine gauloise Balliolum qui signifie cour ou enclos[9] ou sous la forme Ballolum, attesté entre 1006 et 1017. Il s'agit d'un toponyme de l'Eure dont le nom s'est conservé dans celui de trois communes : Saint-Étienne-sous-Bailleul, Saint-Pierre-de-Bailleul et Villez-sous-Bailleul[10].
Histoire[modifier | modifier le code]
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[12].
En 2018, la commune comptait 313 habitants[Note 3], en diminution de 0,63 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Philibert, d'origine romane (XIe siècle), remaniée aux XVIe et XVIIe siècles.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Charles Edmont Hermet alias Harry Eliott (1882-1959), dessinateur et illustrateur français
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 3 décembre 2020)
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 3 décembre 2020)
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 3 décembre 2020)
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 3 décembre 2020)
- Archives Seine Inférieure 14 H 145.
- (dans une charte de Richard II) - Marie Fauroux, Recueil des actes des Ducs de Normandie de 911 à 1066, dans Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie tome XXXVI, Caen, 1961, Texte 53, pp. 168-173.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 368[réf. non conforme].
- François de Beaurepaire - 1981 - Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure - Page 210.
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l’Eure, Picard, Paris, 1981, p. 186.
- Léon Robert Ménager, Hommes et institutions de l'Italie normande, London Variorum Reprints, 1981, 1958 (ISBN 0860780821), p. 353.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.