Villers-sur-Mer

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Villers-sur-Mer
Villers-sur-Mer
L'avenue de la République, la digue et le front de mer.
Blason de Villers-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité CC Cœur Côte Fleurie
Maire
Mandat
Chhun-Na Lenglart (intérim)
2024-2026
Code postal 14640
Code commune 14754
Démographie
Gentilé Villersois
Population
municipale
2 469 hab. (2021 en diminution de 9,19 % par rapport à 2015)
Densité 275 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 14″ nord, 0° 00′ 23″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 136 m
Superficie 8,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Trouville-sur-Mer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-l'Évêque
Législatives 4e circonscription du Calvados
Localisation
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Liens
Site web https://www.villers-sur-mer.fr/

Villers-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie.

Bordée par la Manche, c'est une commune balnéaire et touristique.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Belvédère du méridien de Greenwich.

La commune est située sur le littoral de la Manche, sur la Côte Fleurie, entre Deauville et Houlgate, à environ 45 km de Caen, 70 km du Havre, 100 km de Rouen, 200 km de Paris.

Villers-sur-Mer est également la commune française la plus septentrionale traversée par le méridien de Greenwich. Rénové en 2016, ce dernier est matérialisé par une ligne bleue sur le parapet de la digue centrale juste après le casino et par un marquage au sol lumineux[1]. Cette ligne fictive est néanmoins décalée de 102,478 m vers l'ouest par rapport au méridien[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Blonville-sur-Mer, Saint-Pierre-Azif, Saint-Vaast-en-Auge, Gonneville-sur-Mer et Auberville.


Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Carte géologique simplifiée du NW de la France.

La superficie de la commune est de 8,99 km2 ; son altitude varie de 3 à 136 mètres[4].

La commune est située dans la vallée de la Touques, large dépression qui entaille le plateau du Pays d'Auge et qui résulte de mouvements tectoniques sous la forme de horst et graben dont l'origine et le contrôle structural sont induits par le jeu de la faille de Villers[Note 1]. Cette vallée est une plaine alluviale encadrée d'escarpements plus ou moins vigoureux qui tranchent le bord de deux plateaux crayeux recouverts d'argile à silex sur lesquels se développent des hêtraies-chênaies (plateau à l'ouest sur lequel on peut apercevoir le clocher de Beaumont-en-Auge, plateau de Saint-Gatien à l'est avec le Mont Saint-Léger). Au quaternaire, la Touques faisait un coude vers l'ouest et contournait le mont Canisy pour se jeter à la mer au niveau du marais de Villers-Blonville[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

Villers-sur-Mer est bordée au nord-ouest par la Manche.

Elle est drainée par plusieurs ruisseaux qui confluent dans le Ruisseau de Saint-Vaast qui se jette dans la mer après être passé dans la zone humide des Marais de Villers.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 755 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Deauville à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Carte topographique de la commune.

Typologie[modifier | modifier le code]

Villers-sur-Mer est une commune rurale[Note 2],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[15] et 36 564 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[20]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[21],[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,6 %), zones urbanisées (31,3 %), terres arables (10,3 %), forêts (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 9 451, alors qu'il était de 9 695 en 2015 et de 9 647 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 15,8 % étaient des résidences principales, 83 % des résidences secondaires et 1,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 21,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 78,5 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villers-sur-Mer en 2020 en comparaison avec celle du Calvados et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (83 %, très ) supérieure à celle du département (17,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %), caractéristique d'une commune très touristique. Concernant le statut d'occupation de ces logements, 63,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (61,2 % en 2015), contre 57,2 % pour le Calvados et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Villers-sur-Mer en 2020.
Typologie Villers-sur-Mer[I 1] Calvados[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 15,8 75,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 83 17,9 9,7
Logements vacants (en %) 1,2 6,8 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare.

La gare de Villers-sur-Mer, établie sur la ligne de Mézidon à Trouville - Deauville, est une halte ferroviaire rénovée en 2011 desservie par les trains TER Normandie qui effectuent des missions entre les gares de Trouville - Deauville et Dives - Cabourg.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est susceptible concernée par le retrait du trait de côte. Toutefois, le conseil municipal a voté à l'unanimité en février 2022 contre l'inclusion de Villers-sur-Mer dans la liste des communes du Calvados concernées par les servitudes prévues par la la loi dite climat et résilience, qui limiteraient les possibilités de construire dans les zones exposées à ce risque d'érosion d'ici 30 à cent ans[24],[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Villaris en 1282[26],[27].

L'appellatif toponymique Villers est issu du gallo-roman villare, issu lui-même du latin villa rustica, « domaine rural ».
Le locatif sur-Mer est présent dès 1801[4], mais absent sur la carte de Cassini (1758)[28].

Le gentilé est Villersois.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

L’occupation humaine du site de Villers est attestée par les archéologues depuis le premier siècle avant Jesus Christ puisque lors de la construction de nombreuses villas, au XIXe siècle, il a été trouvé des poteries datant de cette époque.

Ces poteries démontrent l’existence sur le site de Villers, au bord du Marais et en contrebas des collines, d’une « industrie ayant en partie pour base l’argile » en rapport avec « l’extraction de sel marin » qui s’est perpétuée jusqu’au XIXe siècle : la méthode consistant à laver les sables salés puis à porter à ébullition les eaux de lavage pour en extraire le sel après séchage.

Le nom du lieu-dit « les Salines » en témoigne[29].

L’occupation a perduré à l’époque romaine : il existait d’ailleurs une voie romaine succédant à une voie gauloise (lieu-dit la « Vé Maine) dans le même quartier où ont été trouvées les poteries gauloises[30].

À la suite du recul du trait de côte dû à l’érosion marine, le bourg gallo-romain a disparu sous la plage[31].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

La carte de Cassini, datant du XVIIIe siècle, fait apparaître une église, deux fermes (la Motte et la Fontaine) et le château[28].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Il semble que Villers-sur-Mer (alors appelée Villers) présentait plutôt l'aspect, au début du XIXe siècle, d'une agglomération de hameaux[32]. On pouvait ainsi constater sur le cadastre le château avec son manoir et, parsemées, diverses fermes.

Publicité pour Villers-sur-Mer en 1910.
Façade Art déco de la maison d'hôtes Villa d'Eaux qui a investi en 2018 les anciens bains-douches de Villers-sur-Mer.

La station balnéaire de Villers-sur-Mer aurait été créée en 1856 après celles de Trouville-sur-Mer (1825), Beuzeval (1849-1850), Cabourg (1853), Houlgate (1854), Deauville n'ayant été créée qu'en 1859. L'endroit aurait été apprécié dans les années 1840 par certains artistes (Paul Huet, Constant Troyon, Alphonse Karr).

La station est fondée par Félix Pigeory, architecte à Paris, créateur et rédacteur de la Revue des Beaux-Arts, et par Pierre-Michel-François Chevalier dit « Pitre-Chevalier », succédant à la direction du journal Le Figaro à Alphonse Karr, qui l'aurait donc initié aux charmes de Villers-sur-Mer.

La station se serait d'abord développée vers le secteur des Falaises des Vaches Noires, qui offre à la fois les avantages de la mer et de la campagne (Villers à l'est était marquée par des terrains marécageux). À la fin des années 1850, la station possédait une cinquantaine de constructions et un casino (d'abord en bois sur pilotis puis en dur face à la mer).

Entre 1870 et 1900, la station se développe, sans doute grâce à la mise en service d'une première partie de la ligne de chemin de fer en 1882, avec l'installation d'un second casino, la construction de nombreuses villas dans le quartier historique des falaises puis vers les terrains marécageux de l'est qui se développeront principalement autour de 1900. En 1883, la station comporte plus de 190 constructions, l'hôtel de ville étant érigé en 1887. Villers-sur-Mer est alors une station familiale réputée. Le Villers-sur-Mer des Villersois se développe également dans le centre-ville et dans les rues plus marginales à l'époque (rues Fanneau, Sandret, Forin).

Dans l'entre-deux-guerres, Villers-sur-Mer se développe toujours vers l'est. Dans les années 1930, la station fera l'objet d'un plan d'embellissement alors obligatoire pour les stations balnéaires, avec notamment la construction d'une nouvelle digue en 1934 et d'un nouveau quartier (rue du Docteur-Sicard entre le rond-point des Tennis et le rond-point du Plein-Air).

Monument en hommages aux soldats britanniques morts dans la commune du 6 juin au 19 juillet 1944.
Monument à la mémoire des soldats belges et luxembourgeois de la brigade Piron, libératrise de la commune.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Villers-sur-Mer est occupée par l'armée allemande, ainsi qu'en atteste la présence de plusieurs blockhaus sur le territoire de la commune (quartier des falaises et de l'actuel Villers 2000).

À partir de , plusieurs opérations contre des navires alliés sont menées depuis les plages de la commune par des hommes-torpilles allemands à bord de Neger, avec pour résultat la destruction d'au moins deux navires stationnés face à Omaha Beach ; le croiseur anglais devenu polonais HMS Dragon par l'aspirant Potthast le et le destroyer Isis le .

Villers-sur-Mer est libérée le par la brigade belge du général Jean-Baptiste Piron.

À partir des années 1950, les nouveaux quartiers de l'est se développent, après la récession qui suit la fin de la Seconde Guerre mondiale et le début de ce que l'on appelle les « Trente Glorieuses ».

À partir des années 1970, Villers-sur-Mer accentue le développement du tourisme avec la création de Villers 2000, sa nouvelle digue (sur les anciens terrains marécageux et les anciennes dunes de sable) et la construction de nombreux lotissements (vers le quartier de la Gare et le château de San Carlo). Ce développement continue encore aujourd'hui plus en hauteur vers la route de Dives.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

L'hôtel de ville.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Lisieux du département du Calvados.

Elle faisait partie de 1831 à 1949 du canton de Dozulé, année où la commune est intégrée au canton de Trouville-sur-Mer[4]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Pont-l'Évêque

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Calvados.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Villers-sur-Mer est membre de la communauté de communes Cœur Côte Fleurie, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Toutefois, fin 2022, la commune, insatisfaite de la place qu'elle tient dans cette intercommunalité ressentie comme étant essentiellement au service du développement de Deauville, fait part d'une réflexion en vue de la quitter pour rejoindre la communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge[33]. Dans ce cadre, Villers-sur-Mer quitte fin 2024 la Société publique locale inDeauville, qui constitue le réseau d’information et de valorisation du territoire de onze communes centré sur Deauville, et dont Villers est le second contributeur. Selon la municipalité, cela lui permettra de valoriser de manière autonome un « slow tourisme respectueux de l’environnement, des falaises des vaches noires et du marais[34] »[35].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Compte tenu de la population nde la commune, son conseil municipal est composé de vingt-trois membres, dont le maire et ses adjoints[36].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1922 1944 Georges Enault[37]   Chevalier de la Légion d'honneur
Officier du Mérite agricole
         
avant 1953 mars 1959 Victor Duprez[Note 4]    
mars 1959 mars 1965 Jean de Rouvray    
mars 1965 5 avril 1972 Victor Duprez[Note 4]   Mort en fonction
1972 mars 1989 André Salesse[Note 5],[38] SE  
mars 1989 juin 1995 Julien Perdrisot[38] SE  
juin 1995 mars 2014[38] Gérard Vauclin[39] SE Administrateur de biens
mars 2014[40] juillet 2020[41] Jean-Paul Durand[42] SE Médecin généraliste
juillet 2020[43] avril 2024[44],[45] Thierry Granturco SE Avocat
Vice-président de la CC Cœur Côte Fleurie (2020 → )
Démissionnaire

Jumelages[modifier | modifier le code]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

En 2016, la commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[47].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].

En 2021, la commune comptait 2 469 habitants[Note 6], en diminution de 9,19 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
186428417479457456435385379
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4074789899691 1241 4691 5201 3421 408
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4111 3941 4321 4421 5601 5231 4681 7611 656
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 6081 6691 7691 8532 0192 3182 5662 5412 707
2014 2019 2021 - - - - - -
2 7392 5432 469------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Festival Sable Show : Festival de musiques actuelles, les concerts se déroulent les mardis et vendredis soir de juillet et août pendant la saison touristique[51]..
  • Le Salon du livre : depuis 2015, 45 auteurs normands et nationaux se retrouvent au Villare, centre associatif et culturel pour présenter leurs ouvrages
  • Festival des Nouveaux Talents et invités : depuis 1991 du 16 au chaque été, concerts d'excellence de musique de chambre grâce au soutien de la municipalité[52].
  • Fête de la coquille : depuis 1996, le dernier week-end du mois d'octobre est l'occasion de fêter la coquille Saint-Jacques. Autour d'un marché proposant coquilles, fruits de mer et produits artisanaux, des animations culinaires et musicales sont proposées pendant deux jours[53].
  • Les Concerts du Hameau Fleuri : première édition été 2013, troisième édition en 2015. La villa du Hameau Fleuri accueille des artistes français et internationaux (Gabriel Bacquier, Bernard Pisani, Jay Gottlieb, Pascal Contet, Éric Sammut, Jean-Pierre Drouet…) et ouvre ses portes pour proposer une saison de douze concerts qui se déroulent en plein air dans les jardins de la villa mais également dans d'autres lieux de la Côte Fleurie.
  • Villers Games : depuis 2015, cet événement propose de découvrir les jeux vidéo sous toutes leurs formes pendant deux jours au printemps[54].

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

  • Tennis : Villers-sur-Mer est dotée d'un tennis club fondé par Charles Fougères dans les années 1930 qui a vu passer de nombreux champions français, dont l'un des « Quatre Mousquetaires » : René Lacoste.
  • Cyclisme : Villers-sur-Mer est ville-étape du Tour de France en 1986.
  • Volley ball : premier site balnéaire normand de volley de plage. Les tournois organisés par Christian Caldaguès et Guy Robin depuis quarante ans ont accueilli les meilleurs joueurs français et le tournoi de clôture en septembre est parrainé par l'AIFVB (association des internationaux du volley-ball français).
  • Cercle nautique de Villers-Blonville, situé au pied des falaises des « Vaches Noires », labellisé« école française de voile », garantissant des navigations agréables en toute sécurité, le cercle nautique est ouvert à tous. L'école de voile propose en toutes saisons diverses formules de voile ou de char à voile. La flotte est composée d'optimist, pico, topaz 12, teddy, dart 16 et de bateaux collectifs pour six personnes. L'école de char à voile est ouverte toute l'année. Possibilité de pratiquer du kayak.

Vie associative[modifier | modifier le code]

Villers-sur-Mer accueille un nombre relativement important d'associations loi de 1901 et a ouvert pour elles, en 2010, Le Villare, espace associatif et culturel, près de l'église.

Parmi les associations particulièrement actives figure notamment l'Association paléontologique de Villers-sur-Mer[56] qui depuis 1979, offre un programme d'activités aux amateurs de fossiles et dispose de bons contacts avec les milieux scientifiques. Elle organise des excursions dans la région, des voyages d'études en France et à l'étranger et organise des conférences, dont trois par an qui sont destinées au grand public (juillet/août). Depuis 1995, elle publie une revue annuelle, L'Écho des Falaises, consacrée à des sujets relatifs à la paléontologie en Normandie (ISSN.1253-6946).

On peut également signaler l’Association des jeunes villersois (AJV), créée en 1965 et qui est assure, avec ses onze sections, de multiples activités à vocations sportive et socioculturelles[57].

Médias[modifier | modifier le code]

Journaux disparus, localisés à Villers-sur-Mer[58] :

  • Journal de Villers (1882-1884) ;
  • Villers-Plage (1892) ;
  • Journal de Villers-sur-Mer (1895-1896) ;
  • L'Avenir de Villers (1898-1930) ;
  • Villers-Journal (1902-1904) ;
  • Le Courrier de Villers-sur-Mer (1928).

Économie[modifier | modifier le code]

Depuis , Villers-sur-Mer bénéficie de la dénomination commune touristique[59].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Place Jean-Mermoz avec le Diplodocus végétalisé[Note 7] et la villa Durenne (1854) qui abrite l'office de Tourisme[Note 8].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin Logo monument historique Classée MH (2006 ) de style néogothique, construite entre 1872 et 1898 en pierre calcaire de Caen ou de Ranville, sur les plans de Aimar Lavalley-Duperroux, dont les 51 vitraux de Duhamel-Marette sont renommés. Son clocher culmine à 35 mètres[60],[61]. Les vitraux de Duhamel-Marette sont classés à titre d'objet[62] ainsi que le tableau Saint Joseph père nourricier du Christ de Benjamin-Constant[63]
    La rénovation de sa façade a eu lieu de 2020 à 2024[64].
  • Nombreuses très belles villas parmi lesquelles :
    • La villa Miramar : chalet de la Commission impériale de l’exposition universelle de 1867 de Paris, il est remonté en 1870 rue Foulans. Au cours du XXe siècle, il a été agrandi et renommé à plusieurs reprises[66],[67].
    • La villa Castellamare[68].
  • Le dinosaure végétal et son petit face à la mer, sur le parterre fleuri de la place Jean-Mermoz, représente un des monuments principaux de Villers-sur-Mer[Note 9]. Devenu emblème de la ville, cette sculpture végétale rappelle les ossements de reptiles marins mésozoïques découverts dans les falaises des Vaches Noires.
  • Le Paléospace l'Odyssée, un musée ouvert en , situé dans le marais non loin de la plage, seul site de Normandie consacré à la paléontologie (via la falaise des Vaches Noires), au méridien de Greenwich et au marais littoral et qui comprend depuis 2017 un planétarium[70].
  • Le Parc naturel du Marais[72]
  • Le Villare, espace associatif et culturel (près de l'église), qui accueille de nombreuses associations, événements et des expositions temporaires pendant toute l'année.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Félix Pigeory caricaturé par Pierre François Eugène Giraud.

Villers-sur-Mer dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

La dernière scène du film Les Quatre Cents Coups de François Truffaut a été tournée en 1959 sur la plage de Villers-sur-Mer (dernier tronçon de la rue Alfred-Feine).

Le film Les Misérables (1995) de Claude Lelouch a en partie été tourné à Villers-sur-Mer.

L'action du roman Les Refuges de Jérôme Loubry se déroule en grande partie à Villers-sur-Mer.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Villers-sur-Mer Blason
Taillé : au 1er d'or au drakkar d'azur, la voile chargée de deux léopards d'argent passant l'un sur l'autre, au 2e de sinople à la coquille d'escargot d'argent, à l'étoile de huit rais taillée d'azur et d'argent brochant en chef sur la partition[91].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le rejet de la faille de Villers atteint 55 m à Reux. Cet accident tectonique traverse l'ensemble de la région avec un trajet plus ou moins brisé selon une direction armoricaine NW-SE et représente la continuation de la faille de Cormeilles - Freneuse-sur-Risle.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. a et b Le groupe scolaire de la commune porte le nom de ce maire.
  5. Le stade de la commune porte le nom de ce maire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Pamela Barthélémy, guide nature à l'office de tourisme de Villers, explique que la commune est une station balnéaire familiale, d'où son choix d'exposer un dinosaure herbivore sympathique plutôt que des dinosaures carnivores (type T. rex), ce qui trahit le message scientifique car n'ont été retrouvées dans les falaises des Vaches Noires que des vertèbres de ces derniers. cf. [vidéo] Seb l'aquariophile, Fête du dinosaure de Villers sur Mer sur YouTube,
  8. Villa édifié par Pitre Chevalier. cf. « Pitre Chevalier aurait eu 200 ans ce 16 novembre », sur ouest-france.fr, .
  9. En 1998, le maire Gérard Vauclin décide d'installer, au mois de juin, le colosse de verdure. Depuis, chaque année, il est réinstallé par les services techniques pour la saison estivale. Il est constitué de 9 000 plants sur une armature de fer remplie de 15 m 3 de terreau. Pour fêter le retour de ce colosse de 7 m de haut et 12 m de long, l'office de tourisme et le Paléospace proposent une multitude d'animations autour du thème des dinosaures. cf. « Le dinosaure de verdure, emblème de la station depuis 16 ans », sur ouest-france.fr, .

Cartes[modifier | modifier le code]

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Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

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  90. Anjou-Maine-Touraine, signature Nancy Bonnin-Lo Méo (1996), coll. Hommes et traditions populaires (catalogue.bnf.fr), « https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb370861074 ».
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