Villers-sur-le-Roule
Villers-sur-le-Roule | |
![]() L'église Saint-Ursin. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | CA Seine-Eure |
Maire Mandat |
Agnès Labigne 2022-2026 |
Code postal | 27940 |
Code commune | 27691 |
Démographie | |
Gentilé | Villersois |
Population municipale |
865 hab. (2020 ![]() |
Densité | 200 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 11′ 44″ nord, 1° 19′ 36″ est |
Altitude | Min. 7 m Max. 127 m |
Superficie | 4,32 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Gaillon (banlieue) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Gaillon |
Législatives | 4e circonscription de l'Eure |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.villerssurleroule.fr/ |
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Villers-sur-le-Roule est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Géographie[modifier | modifier le code]
Description[modifier | modifier le code]
Le tunnel dit du Roule de la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre passe sous la commune. On peut apercevoir deux cheminées d'aération de cet ouvrage d'art creusé dans les années 1840[1].
Localisation[modifier | modifier le code]
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La commune est riveraine de la Seine.
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Louviers », sur la commune de Louviers, mise en service en 1960[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 723,8 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 19 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[15].
Habitat et logement[modifier | modifier le code]
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 361, alors qu'il était de 327 en 2013 et de 289 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 88,7 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 3,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,3 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villers-sur-le-Roule en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,3 %) supérieure à celle du département (6,3 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 93 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Typologie | Villers-sur-le-Roule[I 1] | Eure[I 3] | France entière[I 4] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 88,7 | 85,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 7,3 | 6,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 3,9 | 8,3 | 8,2 |
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Villers-sur-le-Roule est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gaillon, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[19] et 17 362 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (25 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (24,7 %), forêts (20,4 %), prairies (16,2 %), zones urbanisées (11 %), eaux continentales[Note 7] (2,7 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]
Une partie du lieu-dit le Roule est rattachée à la commune. Tosny et Aubevoye se partagent les autres démembrements.
Avec Villers-sur-le-Roule, l'île du Roule est partagée entre Courcelles-sur-Seine et Aubevoye.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Un circuit de randonnée est proposé en limite du bois du château de Tournebut.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Villari en 1035, Vilers super le Rolle (charte de la Noë), Vilers supra le Rolle[25] et Vileriæ au XIIe siècle (Louis Du Bois), Villiers en 1291 (livre des jurés de Saint-Ouen), Villiers sur le Roule en 1419 (dénombr. des biens de l’abb. de Conches), Villeres en 1498 (Léopold Delisle)[26].
Villers est un appellatif toponymique français et un patronyme qui procède du gallo-roman villare, dérivé lui-même du gallo-roman villa « grand domaine rural », issu du latin villa rustica. Il est apparenté aux types toponymiques Villars, Viller, Villiers et Willer
« Le Roule » est un lieu-dit qui se trouve à proximité de la rive gauche de la Seine. À ce niveau, dans une boucle du fleuve, une assez grande île, dite aujourd'hui « l'Ile du Roule », entre Villers-sur-le-Roule et Courcelles-sur-Seine[27], pouvait faciliter la traversée de la Seine[28].
Histoire[modifier | modifier le code]
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]
La commune se trouve depuis 1824 dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure.
Elle faisait partie de 1793 à 1985 du canton de Gaillon, année où elle est rattachée au canton de Gaillon-Campagne[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Gaillon
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Eure.
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Villers-sur-le-Roule était membre de la communauté de communes Eure-Madrie-Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité a fusionné le , au sein de la communauté d'agglomération Seine-Eure, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2020, la commune comptait 865 habitants[Note 8], en augmentation de 5,88 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

- L'église Saint-Ursin date du XIe ou XIIe siècle et est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[39]. Elle est construite en silex et pierre calcaire. La tour du clocher, dont la partie basse est ancienne, a été reconstruite au XIXe siècle en moellons et en briques. Sur la partie sud se trouve un cadran solaire datant de 1892 et sur son fronton est gravée la mention « HAEC EST DOMUS DEI » (Ceci est la maison de Dieu).
- Fontaine de dévotion Saint-Ursin, recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[40].
- Stèle à la mémoire des combats de au bord de la RD 176.
- Lavoir.
- Ensemble des édifices recensés : [1].
Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]
- La boucle de la Seine dite de Château-Gaillard,
Site classé (2006)[41].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

- Le lieutenant Georges Galbaud du Fort ( à Chaveignes - ) est mort pour la France à l'âge de 41 ans. Un monument commémoratif est élevé en son honneur et en celui des hommes tombés avec lui ce jour funeste sur la RD 65, en provenance de Tosny.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- « Tunnel du Roule » [PDF], Inventaire des tunnels ferroviaires de france, sur http://www.tunnels-ferroviaires.org (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Louviers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Villers-sur-le-Roule et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Louviers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-sur-le-Roule et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Gaillon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1, Droz, p. 367.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 233.
- ZNIEFF 230030977 - L'île du Roule sur le site de l’INPN.
- René Lepelley, Les toponymes gaulois du passage de l'eau en Normandie : Rouen et les autres, vol. 4, Annales de Normandie, , p. 459.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean-Paul Gosselin, « Villers-sur-le-Roule : La nouvelle municipalité répare l'affront infligé aux Poilus », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ) « Maire-honoraire de Villers-sur-le-Roule, Bernard Bellenger, neveu de l’un des Poilus qui s’était insurgé à l’époque, avait même été condamné par le tribunal envers celle qui lui avait succédé à la tête de la mairie ».
- « Villers-sur-le-Roule : Denise Brockaert, ancienne maire, n'est plus : Denise Brockaert a été maire de Villers-sur-le-Roule (Eure) pendant 18 ans. Elle vient de nous quitter et sera inhumée ce mercredi dans la commune », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ) « Denise Brockaert qui occupa les fonctions de maire de Villers-sur-le-Roule, de 1990 à 2008 est décédée mercredi 22 septembre à l’âge de 82 ans ».|
- Jean-Paul Gosselin, « Maire de Villers-sur-le-Roule, José Martin est décédé : Un dernier hommage sera rendu à José Martin ce jeudi 30 août 2018 à 14 h, en l'église de Villers-sur-le-Roule, suivi de l'inhumation au cimetière de la commune », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Paul Gosselin, « Jean-François Pilat élu maire de Villers-sur-le-Roule, dans l'Eure : On attendait Fanny Papi, actuelle première adjointe. C'est Jean-François Pilat, au final seul candidat en lice, qui succède au regretté José Martin », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ) « À l’instant du vote, 11 voix (1 voix à Fanny Papi et 3 bulletins blancs) élisaient Jean-François Pilat dans le fauteuil de maire ».
- Aurélie Hébert, « Un maire et trois adjoints à Villers-sur-le-Roule : Vendredi 3 juillet 2020, en matinée, les élus de Villers-sur-le-Roule ont désigné celui qui succède à Jean-François Pillat à la tête de la commune et les trois adjoint », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ) « Sans surprise Franck Baumann, à la tête de la majorité, avec 11 des 15 élus du conseil issus de sa liste, a été élu avec 11 voix, Joseph Zaccaria en obtenant 4 ».
- « Villers-sur-le-Roule : Agnès Labigne, nouvelle maire du village : Après la démission surprise de Franck Baumann, les conseillers municipaux de Villers-sur-le-Roule (Eure) ont désigné Agnès Labigne pour lui succéder au poste de maire », L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ) « Sur les 15 votants, deux ont voté banc, 5 votes se sont portés sur Joseph Zaccaria et 8 ont permis de donner la majorité à Agnès Labigne ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église Saint-Ursin », notice no IA00017772, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine de dévotion Saint-Ursin », notice no IA00017775, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La boucle de la Seine dite de Château-Gaillard à Les Andelys, Aubevoye, Bernières-sur-Seine, Bouafles, Courcelles-sur-Seine, Muids, La Roquette, Le Thuit, Tosny, Venables, Vézillon, Villiers-sur-Le-Roule », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Site de l'Insee[modifier | modifier le code]
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Villers-sur-le-Roule - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Villers-sur-le-Roule - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Eure - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources[modifier | modifier le code]
- Site de la mairie.
- « Dossier complet : Commune de Villers-sur-le-Roule (27691) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « Villers-sur-le-Roule » sur Géoportail.