Villers-Saint-Sépulcre

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Villers-Saint-Sépulcre
Villers-Saint-Sépulcre
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes Thelloise
Maire
Mandat
Pascal Wawrin
2020-2026
Code postal 60134
Code commune 60685
Démographie
Gentilé Villersois
Population
municipale
1 010 hab. (2021 en augmentation de 5,54 % par rapport à 2015)
Densité 139 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 21′ 58″ nord, 2° 13′ 00″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 147 m
Superficie 7,29 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Hermes
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Villers-Saint-Sépulcre
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Villers-Saint-Sépulcre

Villers-Saint-Sépulcre est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Villers-Saint-Sépulcre
Warluis Montreuil-sur-Thérain Bailleul-sur-Thérain
Abbecourt Villers-Saint-Sépulcre Hermes
Ponchon Berthecourt

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 665 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villers-Saint-Sépulcre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hermes, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[10] et 5 133 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,4 %), forêts (27,6 %), prairies (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), eaux continentales[Note 3] (6,3 %), zones urbanisées (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Villers-Saint-Sépulcre est desservie par des trains TER Hauts-de-France de la relation P32 effectuant des missions entre les gares de Beauvais et de Creil.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6101, 6143 et 6344 du réseau interurbain de l'Oise[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctum Sepulchrum de Villaribus (1060) ; Villare sancti Sepulchri (1060) ; et ecclesiam sancti sepulchri de Villari (1134) ; Villare (1152) ; Villaris (1152) ; in Vilers (1164) ; Sancti Sepulchri de Villari (1164) ; Villers sancti Sepulchri (1170) ; ecclesiam Sepulchri de Villaribus (1178) ; eccl. Si Sepulchri de Villaribus (1190) ; Villare sancti sepulcri (1237) ; Hugone de sancto Sepulchro (1240) ; eccl. Si Sepulcri de Villers (1250) ; Vilers saint Sepulcre (1259) ; Villers saint Sepulchre (1303) ; Villers Saint Sepulcre (1454) ; Villiers sainct Sepulchre (1570) ; Villiers sainct Sepulcre (1570) ; Villers Saint Sepulcre (1628) ; Villers Sainct Sepulchre (1641) ; Villers sur Thérain (1776) ; Villers-Coteaux (1794) ; Villers-Saint-Sépulcre (1840)[17].

Le toponyme de Villers-Saint-Sépulcre provient de Villare sancti Sepulchri, terme latin qui signifie la ferme, le domaine du saint Sépulcre. En effet, Lancelin, seigneur de Beauvais, aurait rapporté en 1060 d'un pèlerinage en Terre Sainte un fragment du tombeau du Christ, le saint Sépulcre. Cette relique a été déposée dans un prieuré de l'abbaye Saint-Germer-de-Fly, qui constitue l'origine du village actuel[18], et qui a été supprimé en 1760 par Étienne-René Potier de Gesvres, cardinal de Gesvres[19].

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Villers-Coteaux[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le lieu était occupé dès le néolithique, ainsi qu'en témoigne l'existence du dolmen de la Pierre aux Fées

En 1202, messire Goramus, chapelain de Merlemont et Pierre Doyen de Hermes interviennent dans une querelle entre les habitants de Merlemont (aujourd'hui hameau de Warluis) et les religieux de Froidmont (hameau de Bailleul-sur-Thérain), à propos du droit de passage dans la ruelle aux Vacques.[réf. nécessaire]

La commune, créée lors de la Révolution française, absorbe fugacement de 1826 et 1832 celle de Montreuil-sur-Thérain, avant qu'elle ne recouvre son autonomie communale[20].

Époque contemporaine

Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, une partie de l'activité économique du village était constituée par un moulin à eau sur le Thérain, une fabrique de bâtons ronds et de la fabrication de tabletterie. En 1934, on comptait cinq cafés[19]

Une usine chimique est créée en 1880 par Ugine Kuhlmann. Durant la Première Guerre mondiale, elle produit des gaz asphyxiants aux armées alliées[21].

Lors de la Seconde Guerre mondiale, en 1942, l'usine produit du Zyklon B qui aurait été fourni au Reich pour exterminer les juifs[22],[23],[21]. Après la guerre, elle produit du plastique ABS (acrylonitrile butadiène styrène). Quelques mois après son rachat par le groupe saoudien SABIC, l'usine Innovative Plastic (168 salariés) ferme, le , du fait d'un manque de compétitivité[24]. Elle était lourdement déficitaire depuis 2003, alors qu'elle appartenait encore à General Electric qui en hérite après la restructuration de PUK (Péchiney - Ugine - Kuhlmann). Cette usine recevait un train par jour et en expédiait un autre, fournissant ainsi une grande partie du trafic fret sur la ligne de Creil à Beauvais[réf. nécessaire]. Un projet multifilière (tri, méthanisation et incinération) envisagé en 2009 par l’ex-Symove afin d'y traiter des ordures ménagères résiduelles (OMR)[25] dans la perspective de la fermeture du centre d’enfouissement de Bailleul-sur-Thérain, contesté notamment par l'association ACCIDE[réf. nécessaire], est abandonné en 2013[26].

En 1974, la relique du Saint-Sépulcre fut volée[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Noailles[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Chaumont-en-Vexin

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du pays de Thelle (CCPT).

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[28],[29].

La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée communauté de communes Thelloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [30].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

L'ancienne mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989[19] 2014 Germain Pestel    
2014[31], [32] En cours
(au 7 juin 2018)
Pascal Wawrin    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La commune renvoie ses eaux usées sur la station d'épuration de Hermes, gérée par le Syndicat intercommunal de la vallée du Thérain, et qui traite les effluents de Berthecourt, Hermes, Mortefontaine-en-Thelle, Noailles, Novillers, Ponchon, Sainte-Geneviève et Villers-Saint-Sépulcre. Cette station a une capacité de 20 000 équivalents- habitants[33].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 1 010 habitants[Note 4], en augmentation de 5,54 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
425386449438538391403405395
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
387469462426432438451507514
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
506519544464552505508517541
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
632661648729828868865866954
2017 2021 - - - - - - -
1 0021 010-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 514 hommes pour 493 femmes, soit un taux de 51,04 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,6 
4,4 
75-89 ans
6,2 
13,2 
60-74 ans
14,5 
18,3 
45-59 ans
20,5 
24,3 
30-44 ans
20,7 
15,9 
15-29 ans
15,1 
23,9 
0-14 ans
22,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune compte en 2016 une école primaire et maternelle scolarisant, à la rentrée 2016, 112 élèves, un accueil périscolaire géré par un syndicat intercommunal. L'école maternelle date de 2012, et l'école primaire, qui date des années 1980, fait l'objet, à partir de 2016, de travaux pour améliorer son accessibilité aux personnes handicapées[39].

Culture[modifier | modifier le code]

Une médiathèque est installée dans la commune[19].

Économie[modifier | modifier le code]

Le village compte en 2016 plusieurs entreprises, dont Novafloor (plastiques), Delaunay (acoustique), une couturière, un coiffeur, une ferme[19].

Le boulanger de Ponchon fait une tournée de pain dans le village[40].

L'ancien site industriel de l'usine chimique, pollué aux cyanures, aux hydrocarbures et au plomb et dont une zone est confinée et surveillée aux frais de l'État, largement en friches (seules deux entreprises y sont implantées en 2018) est partiellement repris par le Syndicat mixte du département de l’Oise (SMDO) qui a succédé au SYMOVE, et qui assure la collecte et le traitement des déchets, afin d'y exploiter en 2019 une base logistique et un quai de transfert route-rail de 5 ha sur une partie du terrain dépolluée à cette occasion.

Cette installation est destinée à charger un train quotidien de containers contenant les déchets produits dans l’ouest du département (soit 60 000 t annuelles) vers l'incinérateur de Villers-Saint-Paul situé à une trentaine de kilomètres[41],[21], grâce à un embranchement particulier sur la ligne de Creil à Beauvais.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Dolmen de la Pierre aux Fées.

Villers-Saint-Sépulcre compte un monument historique sur son territoire, le dolmen de la Pierre aux Fées[42]) : monument mégalithique (allée couverte).

On peut également noter :

  • Église Saint-Martin des XIIe, XIIIe et XVIe siècles.
  • Croix des malades, monument en pierre de l'époque de la Renaissance, cachée pendant la Révolution française et ré-érigée en 1807 à l'entrée du village[19].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Villers-Saint-Sépulcre

Les armes de Villers-Saint-Sépulcre se blasonnent ainsi :
D'or à une croix de gueules, au chef d'azur

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • M. Renet (l'abbé), « Prieuré de Villers-Saint-Sépulcre », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 10,‎ , p. 485-567 (ISSN 1280-5343, lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Villers-Saint-Sépulcre et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Hermes », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Transports en commun à Villers-Saint-Sépulcre », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  17. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 605.
  18. a et b F.C., « Ces villes au nom insolite : Villers-Saint-Sépulcre », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  19. a b c d e et f Philippe Delattre, « Une allée couverte du néolithique : tout savoir sur la commune de Villers-Saint-Sépulcre : Trente-sixième opus de notre série d'articles consacrés aux villages de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la Ruraloise qui vont fusionner », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3435,‎ , p. 25.
  20. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. a b et c Élie Julien, « Villers-Saint-Sépulcre : une nouvelle vie pour l’ancien site de production de Zyklon B », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Annie Lacroix-Riz, Industriels et banquiers sous l'occupation, Armand Colin, décembre 1999.
  23. Serge Garde, « Zyklon B : la France a bien fourni les camps nazis : Confirmation de nos révélations d'octobre 1996. Les documents que nous publions en apportent la preuve », L'Humanité,‎ (lire en ligne).
  24. « Sabic Innovative Plastics ferme son site picard », L'Usine nouvelle,‎ (lire en ligne).
  25. Olivier Guichardaz, « Villers-Saint-Sépulcre : le cadeau empoisonné de Ségolène Royal à son successeur », Déchets infos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Environnement Le deuxième incinérateur devant le tribunal administratif : Quelles indemnités pour Veolia dans l’affaire du deuxième incinérateur de l’Oise ? Retour sur un incroyable feuilleton. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le dossier avait été jeté aux orties le 6 février 2013 par 53 % des élus du Symove, refusant de prolonger la délégation de service public qui liait leur syndicat à Veolia (...) Bientôt mis en minorité au sein de son propre syndicat, Alain Vasselle cède le 22 mai 2014 la présidence du Symove à sa meilleure ennemie, la sénatrice (LR comme lui), Caroline Cayeux, maire de Beauvais ».
  27. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  28. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  29. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  30. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur.
  31. F. C., « L’affiche du maire lui en fait voir de toutes les couleurs : L’ancien conseiller municipal Frédéric Evain reproche au nouveau maire de Villers-Saint-Sépulcre Pascal Wawrin et à sa liste d’avoir utilisé les couleurs bleu, blanc et rouge sur leur affiche de campagne. Il a porté l’affaire devant le tribunal administratif », L'Observateur de Beauvais, no 840,‎ , p. 22.
  32. F. C., « Viller-Saint-Sépulcre et Cauvigny : Les deux recours électoraux rejetés », L'Observateur de Beauvais, no 845,‎ , p. 18.
  33. « HERMES : PORTES OUVERTES À LA STATION D’ÉPURATION », L'Observateur de Beauvais, no 948,‎ , p. 28.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-Saint-Sépulcre (60685) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  39. « A Noailles et Villers St- Sépulcre, les écoliers ont fait une rentrée sans nuage : Chaque semaine, nous faisons le point sur la rentrée dans les communes. A Noailles et Villers St- Sepulcre, le nombre de classe n’a pas évolué malgré des effectifs un peu juste », L'Observateur de Beauvais,‎ , p. 29 « Toutes les classes primaires sont désormais équipée de TBI (tableau numérique interactif) plus une classe informatique ou chaque enfant dispose d’un PC. En ce qui concerne le périscolaire, le choix a été fait de conserver les ¾ d’heure quotidiens, avec une organisation efficace qui permet d’offrir un maximum d’activités « utiles ».
  40. « Le retour du pain à domicile », L'Observateur de Beauvais, no 938,‎ , p. 20.
  41. Farida Chadri, « Oise : Villers-Saint-Sépulcre, base arrière pour les déchets de l’ouest du département », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Notice no PA00114962, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Patrick Caffin, « Villers-Saint-Sépulcre : la place du village honore ses deux héroïnes de la guerre », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  44. « La place porte les noms de Justes en l’honneur de deux de ses concitoyens : Moments chargés d’émotion samedi quand les élus ont donné officiellement les noms d’Amélie Mergoux et Ernestine Desplanque à la place du village », L'Observateur de Beauvais, no 969,‎ , p. 24.