Vicomté de Canet
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La Vicomté de Canet a existé de 1322 à la Révolution française et occupait plus ou moins le territoire actuel de huit communes proches du littoral roussillonais en plus de Canet.
Histoire[modifier | modifier le code]
La vicomté de Canet est créée en 1322 à l'initiative de Sanche Ier, roi de Majorque mais aussi comte de Cerdagne et du Roussillon, en faveur du seigneur de Canet Guillaume IV[1].
Territoire[modifier | modifier le code]
Lors de sa création, la vicomté de Canet comprend les territoires suivants[1] :
- Canet ;
- Saint-Michel de Fourques (Sant Miquel de Forques), vers l'actuel stade Saint-Michel de Canet ;
- Vilarnau d'Amont, entre Perpignan et Canet ;
- Alénya ;
- Corneilla-del-Vercol ;
- Les Mousseilloux (els Mossellons ou els Mossellós), entre Elne, Alénya et Vilarasa ;
- Sainte-Marie ;
- Saint-Nazaire ;
- Théza ;
- Torreilles ;
- Villelongue ;
- Villeneuve-de-la-Raho ;
- Vilarasa, entre Saint-Cyprien et Alénya.
Liste des vicomtes de Canet[modifier | modifier le code]
Voir : Liste des seigneurs de Canet
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014)
