Vesly (Manche)

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Vesly
Vesly (Manche)
Le bourg de Vesly.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes Côte Ouest Centre Manche
Maire
Mandat
Judith Pirou
2020-2026
Code postal 50430
Code commune 50629
Démographie
Gentilé Veslionnais ou Veslissiens
Population
municipale
737 hab. (2021 en augmentation de 3,08 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 09″ nord, 1° 30′ 16″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 123 m
Superficie 22,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lessay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Créances
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Vesly

Vesly (prononcé [vɛli] ou [veli][1]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 737 habitants[Note 1].

Les habitants de la commune associée de Gerville-la-Forêt sont restés rattachés au canton de la Haye-du-Puits après sa fusion-association en 1972 avec Vesly, alors que le reste de la commune faisait partie de celui de Lessay. Depuis , l'ensemble fait partie du canton de Créances.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est au nord du Coutançais. Son bourg est à 5 km au nord-est de Lessay, à 6 km au sud-est de La Haye-du-Puits et à 11 km au nord-ouest de Périers[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 963 mm, avec 14,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gouville-sur-Mer à 18 km à vol d'oiseau[7], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vesly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lessay, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe quatre communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36 %), terres arables (27,3 %), prairies (20,4 %), forêts (12,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %), zones urbanisées (1,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Verlei vers 1025, Verleium au XIIe siècle, de Velleio en 1213 et Veillie vers 1280[17].

Il s'agit d'un type toponymique gaulois ou gallo-romain en -(i)acum[17],[18],[1],[19], suffixe d'origine celtique marquant la localisation et la propriété. Il a régulièrement abouti à la terminaison -ei au Moyen Âge, puis -y à l'époque moderne.

Le premier élément Vesl- représente probablement un anthroponyme selon la plupart des auteurs, tels que Virilius[19],[18] ou Verliacus[1], ce dernier nom de personne supposerait une forme initiale *Verliacuacum, il s'agit vraisemblablement d'une erreur. François de Beaurepaire ne se prononce pas sur la nature exacte de ce toponyme, il se contente de le rapprocher de Vesly (Eure, Verliacum XIe siècle), de Villy-le-Bas (Seine-Maritime, Virtlaicum XIe siècle, Verleio 1059)[17].

Le gentilé est Veslionnais ou Veslissien[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

La région est habitée au moins depuis l'époque gauloise par la tribu des Unelles, avec à leur tête le chef Viridorix. À la suite de la conquête romaine, les tribus germaniques et les Mérovingiens ont laissé leur trace notamment dans la religion avec sainte Walburge, dont une statue du XVIe siècle placée dans l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul. Des sarcophages mérovingiens ont été trouvés sous l'église.

Un Robert, Guillaume et Honfroi de Vesly étaient au côté de Guillaume le Conquérant à Hastings en 1066 ; leur descendance est attestée dans les comtés d'York et de Norfolk[21].

Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de La Haye[22].

Les Templiers possédaient à Vesly un préceptorat dépendant de Valcanville. En 1312, à la dissolution de l'Ordre, les biens furent partagés entre les Hospitaliers et l'abbaye de Lessay[21], qui percevait une partie des dîmes de la paroisse.

En 1944, du au , le général Leclerc, accompagné par la 2e DB, installe son poste de commandement dans la commune[23],[24].

En 1972, Vesly a fusionné avec Gerville-la-Forêt (anciennement Gerville jusqu'en 1939), qui a gardé le statut de commune associée et son appartenance au canton de La Haye-du-Puits jusqu'en 2015.

Un arrêté préfectoral du supprime le statut de commune associée à compter du [25].

Entrée de Gerville-la-Forêt.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1981[26] 1989 Raymond Fautrat   Chef d'entreprise
1989 mars 2001 Patrick Beuve    
mars 2001[26] avril 2014 Raymond Fautrat UMP Chef d'entreprise
avril 2014[27] En cours Judith Pirou SE Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[28]. L'un de ces conseillers est maire délégué de la commune associée de Gerville-la-Forêt.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 737 habitants[Note 4], en augmentation de 3,08 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3351 3401 4521 5121 4351 4051 2971 3031 268
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2781 2061 2041 1361 1151 0611 058936900
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
871810819688665708693625585
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
581542568522535541615626688
2017 2021 - - - - - - -
725737-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique de Gerville-la-Forêt avant l'association
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
233261279312312275272291
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
300246243225199186182183
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
203185195180144125108128
1936 1946 1954 1962 1968 - - -
145102115112104---
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Source : EHESS[33])

Économie[modifier | modifier le code]

Le principal secteur d'activité de la commune est la production animale. Il existe notamment trente-trois entreprises dans ce secteur à Vesly dont dix-neuf font l'élevage de vaches laitières et six autres qui font l'élevage d'autres bestiaux (bovins, buffles, ovins, caprins).

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre.

L'église Saint-Pierre, des XIIIe, XIVe, XVe – XXe siècles, a été bâtie sur une nécropole mérovingienne. La nef composé de trois vaisseaux et le chœur sont du XVe siècle. Ce dernier, comme celui de l'église de Carentan, a été financé par Guillaume de Cerisay († v. 1492), seigneur de Vesly, grand bailli du Cotentin de 1460 à 1462, trésorier général des finances de Louis XI en 1473[21]. L'avant-porche gothique du XVe également abrite un portail roman. L'édifice est classée au titre des monument historique par arrêté du [34].

Le lieu de culte abrite plusieurs œuvres classées au titre objet : un lutrin du XIXe, une peinture murale du XIIIe, les statues de saint Sébastien du XVIIIe et de sainte Walburge[23] du XVIe, une banquette des thuriféraires du XVIIIe, un autel secondaire et les statues des vertus théologales du XIXe[35], ainsi qu'une verrière du XXe de l'atelier Sainte-Marie-Baladj[21].

Église Saint-Pair[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pair.

La petite église Saint-Pair de Gerville-la-Forêt des XVIIe, XIXe – XXe siècles, située à l'écart du village, a conservée son cimetière. Elle abrite une Vierge à l'Enfant du XIVe siècle classée au titre objet aux monuments historiques[36].

Chapelle Notre-Dame-de-Consolation[modifier | modifier le code]

La chapelle Notre-Dame-de-Consolation des XIIIe – XVIIe siècles est connue localement sous le nom de chapelle Notre-Dame-de-l'Étrier.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

On trouve sur le territoire communal plusieurs manoirs.

Le manoir de Bricqueboscq du XVIe siècle flanqué de ses deux tours, qui est partiellement inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [37].

Les manoirs de la Cour du XVe siècle avec sa chapelle et de Bricqueville des XVIe – XIXe siècles.

Les Moitiers du XVIe siècle, à Gerville-la-Forêt. Ancien fief du domaine royal que Saint Louis donna à Louis de Frü(s)camp, son bailli du Cotentin de 1230 à 1238, pour sa fidélité[38].

La Grand Maison et sa tour du XVIe siècle, à Gerville-la-Forêt. Ancienne possessions des Bricqueville, des Kadot puis des Du Hérissier à partir de 1737[38].

Parmi le petit patrimoine on note le lavoir de Vesly, qui a été restauré avec une toiture en ardoise[23], un ancien moulin à vent

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

L'Union sportive Vesly-Laulne fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 265.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 673.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 266.
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  7. « Orthodromie entre Vesly et Gouville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Gouville » (commune de Gouville-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Gouville » (commune de Gouville-sur-Mer) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  17. a b et c François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 232.
  18. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  19. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 594.
  20. « Site de la communauté de communes du canton de Lessay - Vesly et Gerville-la-Forêt » (consulté le ).
  21. a b c et d Gautier 2014, p. 673.
  22. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 185.
  23. a b et c Christine Levisse-Touzé, Arnaud Goumand et Yann Prouillet, La voie de la 2e DB, Michelin Travel partner, , 213 p. (lire en ligne), p. 40.
  24. « Vesly. Vibrant hommage au général Leclerc et à la 2e DB », Ouest France,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  25. Arrêté du portant suppression de la commune associée de Gerville-la-Forêt et transformation de la fusion-association entre les communes de Vesly et Gerville-la-Forêt en fusion simple.
  26. a et b « Raymond Fautrat ne se représentera pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. « Judith Pirou a été élue maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. « Vesly (50430) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Gerville-la-Forêt », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  34. « Église Saint-Pierre », notice no PA00110639, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Œuvres mobilières classées à Vesly.
  36. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM50001244, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. « Manoir de Bricqueboscq », notice no PA50000022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. a et b Gautier 2014, p. 218.
  39. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie - US Vesly-Laulne » (consulté le ).