Vaucouleurs (Meuse)

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Vaucouleurs
Vaucouleurs (Meuse)
La chapelle castrale et la Porte de France.
Blason de Vaucouleurs
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Commercy
Intercommunalité Communauté de communes de Commercy - Void - Vaucouleurs
Maire
Mandat
Paul Wittmann
2014-2020
Code postal 55140
Code commune 55533
Démographie
Population
municipale
1 923 hab. (2021 en diminution de 2,68 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 36′ 09″ nord, 5° 39′ 57″ est
Altitude Min. 242 m
Max. 372 m
Superficie 39,35 km2
Élections
Départementales Vaucouleurs (chef-lieu)
Localisation
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Vaucouleurs
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Vaucouleurs

Vaucouleurs est une commune française, située dans le département de la Meuse en région Grand Est. Elle a donné son nom à cette partie du cours de la Meuse, appelée Val des Couleurs. Vaucouleurs est également considéré comme une ville johannique.

Ses habitants sont appelés les Valcolorois.

Géographie

Vue générale sur la ville.

Vaucouleurs est une petite ville d'environ 2 000 habitants du nord-est de la France, située dans la Meuse. Elle se trouve dans le Val des Couleurs, région dont elle a donné le nom. La commune est traversée par la Meuse, le canal de la Marne au Rhin, le ruisseau de Septfond, le ruisseau du Marbre, le ruisseau de Broussey-Blois et le ruisseau de Montigny.

Toponymie

Anciennes mentions : Vallicolore (1235) ; Vaucolour (1264) ; Vauquelour (1266) ; Vauquelor (1281) ; Valcolor (1310) ; Vaulquelour (1321) ; Valiscolore (1402) ; Vallis-coloris (1707) ; Vallis-color (1711) ; Vaucouleurs (1793)[1],[2].

Dauzat et Rostaing[3], page 696 de leur dictionnaire, ajoutent au latin vallis, "vallée", un "deuxième élément obscur"; ils sous-entendent donc que sa signification n'est pas couleur, comme le nom actuel et les latinisations médiévales le feraient croire, puisqu'un tel composé, vallée associé à couleurs, est peu probable en toponymie. Mais dans ce cas, il n'est pas totalement certain que le premier élément est vallis.

Histoire

XIIe au XVIIIe siècle

En 1165, le roi de France Louis VII le Jeune rencontre l'empereur du Saint-Empire romain germanique, Frédéric Barberousse à Vaucouleurs[4].

Le , le futur roi de France Louis VIII y rencontre le futur empereur des Romains Frédéric II, prélude à l’intronisation de ce dernier[5],[6].

En 1235, vallicolore, la vallée aux couleurs variés[7].

Le , Robert de Baudricourt, gouverneur du roi à Vaucouleurs, reçoit la visite d'une jeune fille de 16 ans, venue de Domrémy. Vaucouleurs est alors une garnison française située aux confins des terres du duc de Bourgogne allié aux Anglais, et du duché de Lorraine, dépendant du Saint-Empire romain germanique[8]. Elle se dit l'envoyée de Dieu et réclame le commandement général des troupes du royaume. Pour toute réponse, Baudricourt la fait souffleter et la renvoie à ses moutons.

Sans se décourager Jeanne revient à Vaucouleurs à plusieurs reprises. Elle essaye de monter une expédition avec le seul concours des gens du pays qui se cotisent pour lui offrir un cheval et une épée. Sa ténacité suscite un vaste élan populaire. Le peuple croit à la mission de Jeanne d'Arc et reprend foi dans les destinées du royaume.

Baudricourt est peu à peu ébranlé. Mais pour plus de sécurité, il fait d'abord exorciser la Pucelle par le curé du lieu. Jeanne persiste dans son projet. Le gouverneur convaincu, les difficultés s'aplanissent, et le , escortée de ses 6 premiers compagnons d'armes, Jeanne d'Arc quitte Vaucouleurs par la porte de France.

Charte de franchise de la ville de Vaucouleurs octroyée par Gautier de Joinville et confirmée par son oncle Jean de Joinville l’historiographe de Saint-Louis, Septembre 1298. Archives nationales de France.

En 1743, naît la fille naturelle d'Anne Bécu, Jeanne, future Madame du Barry.

Histoire contemporaine

Vaucouleurs se trouvait à quelques kilomètres du front lors de la guerre de 1914-1918[9]. Vers la fin de celle-ci, un aérodrome provisoire a été créé à environ 3 km au nord-ouest de la ville.

Aérodrome de Vaucouleurs.

Héraldique

Blason de Vaucouleurs (Meuse) Blason
De gueules à la tour crénelée d'argent, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lis d'or[1].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Blason à dessiner
Blason à dessiner
L'armorial de 1696 lui donne pour armes : D'azur à trois fleurs de lis d'or, parti d’un trait de sable d'azur à une épée la pointe en haut d’argent, la garde et la poignée d'or, accostée de deux fleurs de lis de même et surmontée d'une couronne royale aussi de même[1].
Ces armes sont celles de France et de Jeanne d'arc données ou prises en souvenir de l'héroïne[1].

Politique et administration

Budget et fiscalité 2014

En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[10] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 371 000 , soit 658  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 965 000 , soit 464  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 1 137 000 , soit 546  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 402 000 , soit 193  par habitant.
  • endettement : 667 000 , soit 321  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 11,49 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,92 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 19,53 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,61 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 10,60 %.

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
21 septembre 1812 ? Jean Baptiste Panichot    
? ? Joseph Joachim Bonvié    
21 septembre 1843 ? Jean Baptiste Philippe Burnot    
Les données manquantes sont à compléter.
25 juin 1851 ? Hilaire Joseph Remy    
Les données manquantes sont à compléter.
9 juin 1874 18 juin 1877 Louis Claude Jannin    
15 octobre 1878 ? François Honoré Bigeon Républicain Rentier
Conseiller général du canton de Vaucouleurs (1880 → 1885)
Les données manquantes sont à compléter.
6 mars 1927   Henry Achille Philippe    
Les données manquantes sont à compléter.
? mars 1989 Pierre Vincent UDF Conseiller général du canton de Vaucouleurs (1979 → 1985)
mars 1989 juin 1995 Serge Rance    
juin 1995 28 mars 2014 Gilles Varnier    
28 mars 2014 8 avril 2017(décès) Paul Wittmann UMP-UDI Chef d'entreprise retraité
24 avril 2017 En cours Francis Favé   Chef d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

Drapeau de l'Allemagne Neidenstein (Allemagne).

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[12].

En 2021, la commune comptait 1 923 habitants[Note 1], en diminution de 2,68 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 4062 2002 1462 0772 1572 4202 4992 6252 655
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6632 7202 5522 6702 6952 7262 7862 8433 051
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 0383 0703 2132 8833 1413 1363 1062 7462 939
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 0412 8462 5542 5112 4012 2892 1412 0471 944
2021 - - - - - - - -
1 923--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[13].)
Histogramme de l'évolution démographique

Malgré des atouts certains, notamment la proximité de l'axe Toul - Nancy, aucune municipalité n'a été en mesure d'enrayer l'exode dans le chef-lieu du canton alors que la démographie des villages du canton est globalement en très nette augmentation[réf. nécessaire].

Santé

Cultes

La ville de Vaucouleurs dispose de l'église Saint-Laurent.

Enseignement

Les élèves de la commune sont rattachés à l'académie de Nancy-Metz, en zone B.

Vaucouleurs possède une école maternelle, une école élémentaire et un collège qui accueille les élèves originaires de Vaucouleurs et des communes avoisinantes (Pagny-sur-Meuse, Chalaines, Ourches-sur-Meuse, Rigny-la-Salle...).

Sports

Il y a le club de football nommé LA Lorraine Vaucouleurs évoluant en Régional 3, de tennis, de tir et de karaté.

Économie

Vaucouleurs dispose de nombreux commerces et services:

  • 3 boulangeries
  • 2 fleuristes
  • des restaurants
  • une épicerie
  • un magasin d'optique
  • une librairie
  • une quincaillerie
  • une station-service
  • un magasin de bricolage
  • un magasin d'équipement du foyer
  • un supermarché

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Saint-Laurent.
La chapelle castrale.
  • L’église paroissiale Saint-Laurent : elle a été édifiée entre 1782 et 1785. Son plafond est décoré de fresques. Elle abrite aussi une belle chaire datant de 1717. L'église paroissiale est classée monument historique depuis le 20 janvier 1989[14] et la chaire à prêcher est classée depuis le 12 mai 1944[15].
  • La chapelle castrale[16] : construite entre 1923 et 1929, elle sera bénie en 1930 par le cardinal Lépicier, natif de Vaucouleurs. Elle occupe l'emplacement de la chapelle primitive bâtie en 1234.
  • L'hôtel de ville[17]: construit entre 1847 et 1848 à l’emplacement d’un ancien couvent, il accueille dans son aile droite un musée rappelant le rôle principal tenu par la ville dans l'épopée johannique. Devant l'hôtel de ville se trouve une statue équestre de Jeanne d'Arc en bronze, d’un poids de 2,5 tonnes, réalisée par Halbout du Tanney en 1951 pour la ville d’Alger. En effet, la statue ayant été vandalisée en 1962 à la fin de la guerre d'Algérie, celle-ci est ramenée en France avant d’être restaurée et érigée de nouveau le 8 mai 1966 dans la ville ayant armé la sainte. Depuis 1978, chaque année autour du 13 mai, et à l'initiative du colonel Michel Vallette d'Osia, de Jean-Marie Cuny, de l'association Pèlerins de Lorraine et des Europa-Scouts de Nancy, Vaucouleurs est de nouveau le point d'arrivée du pèlerinage catholique en l'honneur de sainte Jeanne d'Arc, venant de Domrémy.
  • La statue de Jeanne d'Arc[18].
  • Les remparts et la tour dite des Anglais : ensemble fortifié du XIIe siècle. Les restes des remparts et la tour dite des Anglais sont classés monument historique le 14 novembre 1979[19].
  • La tour du Roi[20] : édifice fortifié de la ville datant du XIIIe siècle. Elle a été classée monument historique le 14 novembre 1979[21].
  • Le château de Vaucouleurs : du château de Robert de Baudricourt[22] où le destin de Jeanne d'Arc se décida, il ne subsiste que la crypte de la chapelle castrale et la Porte de France. La chapelle castrale abrite une vierge du XIIIe siècle appelée Notre-Dame-des-Voûtes. Concernant la Porte de France, celle-ci faisait à la fois office de porte du château et de porte de la ville. Édifiée initialement au XIIIe siècle, elle a été empruntée par Jeanne d'Arc et son escorte le 23 février 1429, quittant sans retour sa Lorraine natale (chaque année, a lieu à cette date une fête médiévale en son honneur). Les vestiges actuels datent d’une restauration réalisée en 1733 sur les restes de la muraille primitive. Le château est l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1893[23].
  • Le château de Gombervaux : construit au XIVe siècle à l'extérieur de la ville, il est classé monument historique depuis le 21 mars 1994[24],[25].
  • Le château de Tusey[26] : construit dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, le château a appartenu à la famille du Breuil de la Brossardière jusqu'en 1833, puis passa par mariage à la famille Fourier de Bacourt. En 1837, il devint le château de la fonderie de Vaucouleurs lorsque celle-ci fut créée à proximité[27].
  • Le cimetière juif : il témoigne de la présence juive à Vaucouleurs. On peut y voir des stèles où se distinguent encore quelques caractères hébraïques rongés par le temps[28].

Présence juive à Vaucouleurs

Il se trouvait à Vaucouleurs une communauté juive relativement importante, puisqu'elle y possédait sa propre synagogue depuis 1860[29],[30]. On peut en déduire qu'il y avait au minimum une dizaine de familles, car c'est le quorum requis pour les offices religieux à la synagogue, et il y en avait probablement plus[31].

Certaines de ces familles ont joué un rôle particulièrement important dans la vie de la commune, puisqu'elles y ont créé une manufacture textile, la chemiserie Seiligmann[32],[33], maintenant rasée.

Cependant, la mémoire de cette présence juive est aujourd'hui dure à percevoir. Pour retrouver sa trace, il faut aller sur le site du mémorial de Yad Vashem où l'on retrouve le nom de quelques Juifs de Vaucouleurs disparus dans la Shoah[34].

Sur le mur intérieur du cimetière sont apposées des plaques en mémoire de juifs déportés. Parmi les tombes les plus récentes, il en est une qui date de janvier 2007.

Seul reste comme témoignage, le petit cimetière juif de la commune, 2 route de Tusey. Parmi les stèles, on peut lire par exemple cette inscription :

פ״נ
(... פה נטמן

: Ici repose...)

תַּנְצְבָּ״ה

Que son âme soit liée au faisceau de la Vie!

Il reste également les noms des garçons circoncis par le mohel (circonciseur) Jacob Halphen, né à Toul et demeurant à Bourbonne-les-Bains, dont l'activité commence en 1828 pour se terminer en 1865.

Le mohelbuch (carnet de circoncisions)[35] de Jacob Halphen a été donné à la bibliothèque de l'Alliance israélite universelle à Paris le 25 novembre 2009 par une personne l'ayant retrouvé 15 ans auparavant sur le couvercle d'une poubelle dans une rue de Paris. Jacob Halphen est né à Toul le 28 novembre 1803, fils de Jacob Cerf Halphen et de Guitelette Etlin. Il se marie à Bourbonne-les-Bains (Haute-Marne) le 16 février 1825 avec Marguerite Lévy, née dans cette commune le 25 mai 1803. De cette union naissent huit enfants, dont quatre garçons, les trois derniers circoncis par leur père. Marguerite Lévy meurt le 17 juin 1843 à Toul. Jacob Halphen se remarie en 1847 à Paris avec Julie Heumann, dont il aura deux enfants, Clémence et Léopold (mort à 10 ans et 1/2). Jacob Halphen meurt le 11 septembre 1865 à Paris, à son domicile, 1 rue Brisemiche et est inhumé au cimetière du Montparnasse à Paris. Sa dernière profession était « ordonnateur des pompes funèbres », après avoir été teneur de livres, colporteur, instituteur et boucher.

Il opéra, entre autres, à Vaucouleurs et à Chalaines près Vaucouleurs. À Vaucouleurs, deux circoncisions : Théodore Morhange, le 31 mars 1838 ; Élie, fils de Samuel Cahen, le 1er août 1839. À Chalaines près Vaucouleurs : David Salomon, le 25 octobre 1835 ; Nathanël, fils de Jacob Cahen, le 28 octobre 1837.

Personnalités liées à la commune

Jeanne du Barry, (Drouais,1769)

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

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Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a b c et d Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, 1872.
  2. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984.
  4. Barthélémy Dominique, L'ordre seigneurial, Editions du Seuil (1990)
  5. Les ducs de Lorraine au Moyen Âge
  6. La rencontre de Vaucouleurs
  7. Nègre Ernest, Toponymie générale de la France, Volume 1, 317 no 5237 (1991).
  8. Notice de la Lorraine qui comprend les duchés de Bar et de Luxembourg, par Dom Augustin Calmet]
  9. Vaucouleurs pendant la guerre 1914-1918, André Mourot, éditions du Sapin d'Or, 2008
  10. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  14. « Eglise Saint-Laurent », notice no PA00106649, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  15. L'église Saint-Laurent sur le site Patrimoinde de France
  16. « Porte de France et restes de la chapelle castrale y attenant », notice no PA00106647, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture C'est-à-dire rattachée au château.
  17. « Hôtel de ville, Ecole, Gendarmerie », notice no IA00121075, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  18. La statue de Jeanne d'Arc
  19. « emparts (restes) et tour dite des Anglais », notice no PA00106650, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  20. « Tour du Roi », notice no PA00106651, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  21. La tour du roi sur le site Patrimoine de France
  22. « Château fort dit Château du Sire de Baudricourt », notice no IA00121220, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  23. « Château de Vaucouleurs », notice no PA00106647, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. « Château de Gombervaux », notice no PA00106648, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. La Maison-forte de Gombervaux (1re et 2e partie)
  26. « Château de Tusey », notice no IA00121203, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. Le château de Tusey sur le site Patrimoine de France
  28. « Cimetière de Juifs », notice no IA00121076, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. Dominique Jarassé, L'âge d'or des synagogues, éd. Herscher
  30. L'Univers israélite: journal des principes conservateurs du judaisme, 1860 sur Google Livres page 525

    « Un décret impérial, en date du 27 mai, autorise l'acquisition d'une maison pour la synagogue de Vaucouleurs (Meuse). »

  31. « Au XIXe siècle, une importante communauté juive vivait à Vaucouleurs. À la Seconde Guerre mondiale, une quinzaine de familles vivaient encore dans la cité. En 1860, une synagogue fut construite puis détruite. Les services religieux étaient alors célébrés par un ministre officiant dans un oratoire en ville. Actuellement, il n'existe plus aucune famille juive. Seul le cimetière reste le témoin d'un passé juif. [figure ensuite une photo du cimetière] »

    — Mémoire des communautés juives : Meurthe-et-Moselle, Meuse, Vosges, paru en 2003 aux Éditions Serpenoise, Metz, p. 53.

  32. « Manufactures (Vaucouleurs) », Banque numérique d'images de Lorraine (consulté le )
  33. « Usine de Confection dite Usine de Confection Établissements Seiligmann et Cie à Vaucouleurs (55) », Patrimoine de France (consulté le )
  34. « The Central Database of Shoah Victims' Names », Mémorial de Yad Vachem (consulté le )
  35. Colloque international : Entre judaïsme et christianisme : les conversions en Europe de l’époque moderne à l’apparition de l’antisémitisme politique
  36. Jean-Marc Roger, Le Prieuré de Champagne des "chevaliers de Rhodes" : 1317-1522, , 2000 p. (OCLC 491104531), p. 115 (note 10) ; Jean François et N. Tabouillot, Preuves de l'histoire de Metz: partie 1, (lire en ligne), p. 244 ; Paul Ferry, Observations séculaires, XVIe siècle, t. II, p. 20, arche de Saint-Livier. (manuscrit détruit en 1944)
  37. Alfred Pinck
  38. Lucie Pinck