Vallée de l'Orge

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Vallée de l'Orge
L'église Saint-Germain-d'Auxerre à Dourdan, première ville essonnienne arrosée par la rivière l'Orge.
L'église Saint-Germain-d'Auxerre à Dourdan, première ville essonnienne arrosée par la rivière l'Orge.
Massif Massif de Rambouillet
Pays Drapeau de la France France
Régions Île-de-France
Départements Essonne
Yvelines
Communes Partie haute : Arpajon, Ollainville, Égly, Bruyères-le-Châtel, Saint-Yon, Breuillet, Breux-Jouy, Saint-Chéron, Sermaise, Roinville, Dourdan, Sainte-Mesme et Saint-Martin-de-Bréthencourt
Partie basse : Athis-Mons, Viry-Châtillon, Juvisy-sur-Orge, Savigny-sur-Orge, Morsang-sur-Orge, Épinay-sur-Orge, Villemoisson-sur-Orge, Villiers-sur-Orge, Sainte-Geneviève-des-Bois, Longpont-sur-Orge, Saint-Michel-sur-Orge, Brétigny-sur-Orge, Leuville-sur-Orge, Saint-Germain-lès-Arpajon et Arpajon
Coordonnées géographiques 48° 36′ 41″ nord, 2° 18′ 21″ est
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Vallée de l'Orge
Orientation aval est, puis nord-est
Longueur Partie haute (de Saint-Martin-de-Bréthencourt à Arpajon) : environ 30 km
Partie basse (de Arpajon à Athis-Mons) : environ 20 km
Type vallée fluviale
Écoulement Orge
Voie d'accès principale RER C, route nationale 20

La vallée de l'Orge, parfois appelée « Val d'Orge »[1],[2], est une vallée de la région naturelle du Hurepoix où coule l'Orge, un affluent de la Seine dont le cours traverse les départements des Yvelines et de l'Essonne.

Au carrefour des grandes voies de communication depuis le XIXe siècle (RN 20, autoroute A6, ligne de Paris à Bordeaux), la vallée de l'Orge se caractérise par une pénéplaine fertile formant le cœur du département mais fortement disparate entre l'amont et l'aval. Au nord, une urbanisation dense se distingue, tandis qu'au sud des espaces boisés côtoient les vastes plaines de grande culture céréalières.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

L'acception actuelle de la vallée de l'Orge désigne un territoire situé dans le département de l'Essonne, au sud de la région Île-de-France et au sein de la région naturelle française du Hurepoix. Elle correspond aux anciennes communautés d'agglomération des Portes de l'Essonne (en partie), du Val d'Orge et de l'Arpajonnais (actuelle Cœur d'Essonne Agglomération), la commune d'Épinay-sur-Orge et à la communauté de communes du Dourdannais en Hurepoix.

La vallée de l'Orge est délimitée à l'ouest, par vallée de l'Yvette (vallée de Chevreuse), le plateau de Saclay et la forêt de Rambouillet, au sud-est par la vallée de l'Essonne et au sud-ouest par le plateau de la Beauce et la Stampien. Elle est située entre vingt et trente kilomètres au sud de Paris.

En amont, les communes d'Arpajon, Égly, Bruyères-le-Châtel, Breuillet, Breux-Jouy, Saint-Chéron, Sermaise, Roinville, Dourdan, Sainte-Mesme, Corbreuse et Saint-Martin-de-Bréthencourt forment la haute vallée de l'Orge. Certaines de ces communes font partie du pays d'Yveline. En aval, les communes d'Athis-Mons, Viry-Châtillon, Juvisy-sur-Orge, Savigny-sur-Orge, Épinay-sur-Orge, Villiers-sur-Orge, Sainte-Geneviève-des-Bois, Saint-Michel-sur-Orge, Brétigny-sur-Orge, Saint-Germain-lès-Arpajon et Arpajon forment la partie basse de la vallée de l'Orge.

Parmi les communes traversées par l'Orge, celles de Saint-Chéron à Saint-Martin-de-Bréthencourt ne font pas partie de l'agglomération parisienne[3]. La petite ville[4] d'Épinay-sur-Orge marque la frontière entre l'urbanisation dense de l'aire urbaine de Paris et la ruralité de la vallée.

La plaine agricole d'Épinay-sur-Orge.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

La vallée de l'Orge est géologiquement implantée dans le bassin parisien. Au nord, à proximité de la vallée de l'Yvette, le sous-sol de vallée de l'Orge se compose de marne, le sable compacté forme des blocs de meulière. S'ajoute également une couche d’argile à silex[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La vallée est traversée du sud-ouest au nord-est par la rivière l’Orge, depuis Saint-Martin-de-Bréthencourt où elle prend sa source à Athis-Mons et Viry-Châtillon où elle se jette dans la Seine en deux bras. L'Orge dans sa partie en aval entre Athis-Mons et Arpajon, traverse une zone fortement urbanisée de près de 370 000 habitants, ce qui a imperméabilisé les sols entraînant de très forts risques d'inondation[6].

Climat[modifier | modifier le code]

La vallée de l'Orge est située en Île-de-France et bénéficie d'un climat océanique atténué, caractérisé par des hivers frais, des étés doux et des précipitations également réparties sur l'année. Les températures moyennes relevées à la station départementale de Brétigny-sur-Orge s'élèvent à 10,8 °C avec des moyennes maximales et minimales de 15,2 °C et 6,4 °C. Les températures réelles maximales et minimales relevées sont de 24,5 °C en juillet et 0,7 °C en janvier, avec des records établis à 38,2 °C le et −19,6 °C le . La situation en grande banlieue de la commune entraîne une moindre densité urbaine et une différence négative de un à deux degrés Celsius avec Paris.

Données climatiques à la station de Brétigny-sur-Orge
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 1 2,8 4,8 8,3 11,1 13 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4
Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,9 11,9 15,2 19,2 22,7 25,5 25,2 21,3 16,3 10,5 7 15,8
Record de froid (°C)
date du record
−20,6
08/01/2010
−17
23/02/1963
−9
07/03/1971
−4,4
12/04/1978
−1,9
07/05/1957
1,4
05/06/1991
3,8
01/07/1960
3,8
28/08/1974
0,2
17/09/1991
−4,5
29/10/1985
−9,6
24/11/1998
−16,4
29/12/1964
−20,6
08/01/2010
Record de chaleur (°C)
date du record
15,8
27/01/2003
19,5
24/02/1990
25,3
25/03/1955
29,4
20/04/2018
32
28/05/2017
37
21/06/2017
39,5
01/07/2015
39,7
08/08/2003
34
05/09/1949
30,3
01/10/1985
22,1
07/11/2015
16,8
17/12/2015
39,7
05/08/2003
Nombre de jours avec gel 13,2 11,8 8 2,4 0,3 0 0 0 0 1,1 6,6 11,5 54,9
Ensoleillement (h) 59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798
Record de vent (km/h)
date du record
115
20/01/1988
115
03/02/1990
101
25/03/1988
83
05/04/1983
83
12/05/1983
83
27/06/1990
122
02/07/1982
109
07/08/2018
76
21/09/1982
101
16/10/1987
104
23/11/1984
86
27/12/1986
122
07/07/1982
Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
20,6
20/01/1972
20,7
19/02/1977
31,3
07/03/1989
26,1
22/04/1989
35,8
18/05/1978
53
01/06/1973
65,8
19/07/1972
95,7
14/08/1987
39,4
12/09/1989
55,2
24/10/1966
38,7
20/11/1965
40
05/12/1988
95,7
24/08/1987
Humidité relative (%) 89 84 79 74 77 75 73 74 79 86 89 89 81
Nombre de jours avec neige 4,2 3,7 2,6 0,9 0 0 0 0 0 0 1,4 2,7 15,5
Nombre de jours avec grêle 0,3 0,2 0,7 0,9 0,5 0,2 0,1 0,1 0,1 0,1 0,2 0,2 3,5
Nombre de jours d'orage 0,4 0,3 0,8 1,9 3,3 3,1 3,4 3,3 1,5 0,9 0,3 0,2 19,5
Nombre de jours avec brouillard 2,6 1,8 0,6 0,4 0,4 0,1 0 0,2 0,9 2,1 2,5 2,1 13,4
Source : Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[7],[8].
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6,7
0,7
47,6
 
 
 
7,9
1
42,5
 
 
 
11,9
2,8
44,4
 
 
 
15,2
4,8
45,6
 
 
 
19,2
8,3
53,7
 
 
 
22,7
11,1
51
 
 
 
25,5
13
52,2
 
 
 
25,2
12,8
48,5
 
 
 
21,3
10,4
55,6
 
 
 
16,3
7,2
51,6
 
 
 
10,5
3,5
54,1
 
 
 
7
1,7
51,5
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Plusieurs autres stations météorologiques de moindre importance sont réparties dans la vallée de l'Orge, à Dourdan où une station automatique de niveau 2 est implantée, et à Épinay-sur-Orge, Saint-Chéron et Sainte-Geneviève-des-Bois pour les stations manuelles de niveau 4[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare ferroviaire de Juvisy-sur-Orge, en 2020.

La vallée de l'Orge est parcourue d'est en ouest par la ligne C du RER d'Île-de-France et dispose de 17 gares : les gares d'Athis-Mons, Viry-Châtillon, Juvisy, Savigny-sur-Orge, Épinay-sur-Orge, Sainte-Geneviève-des-Bois, Saint-Michel-sur-Orge, Brétigny, La Norville - Saint-Germain-Les-Arpajon, Arpajon, Égly, Breuillet - Bruyères-le-Châtel, Breuillet-Village, Saint-Chéron, Sermaise, Dourdan et Dourdan - La Forêt.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Évolution de la morphologie[modifier | modifier le code]

Architecture[modifier | modifier le code]

La meulière marque le style architectural de la vallée de l'Orge, comme la majorité des communes environnant Paris.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La rivière l'Orge et la fertilité des terres ont probablement joué un rôle dans l'installation des premiers habitants au sein de la vallée. Au fil des siècles, l'agriculture, la teinturerie, la poterie ou encore la tannerie se développent sur les berges de la rivière[10]. Des vestiges gallo-romains retrouvés au cours de fouilles archéologiques retrouvés à Dourdan, Saint-Martin-de-Bréthencourt, Épinay-sur-Orge (armes et outils en silex)[11] ou encore à Brétigny-sur-Orge[12] attestent que la vallée était habitée depuis l'époque préhistorique.

À Brétigny-sur-Orge, des fondations de villa rustica et de la vaisselle gallo-romaine[13] prouvent également l’importance agricole de la localité depuis cette époque.

À Dourdan, ancienne capitale du Hurepoix, des tombes préhistoriques ont pu être découvertes, attestant d'une première présence humaine sur le lieu autour du VIe millénaire avant Jésus-Christ[14]. L'étymologie du nom de la commune serait liée à un peuplement par les Celtes à l'âge du fer, Dour signifiant l’eau et se rapportant à l’Orge. Le château féodal de Saint-Martin-de-Bréthencourt, où l'Orge prend sa source, marquait la fin du plateau de la Beauce et contrôlait l'arrivée des marchandises de la plus vaste plaine céréalière du bassin parisien[15],[16].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Au XIXe siècle, la vallée bénéficie d'une modernisation importante avec la création de plusieurs lignes de chemin de fer. Le 5 mai 1843, la partie basse de la vallée, entre Juvisy-sur-Orge et Brétigny-sur-Orge via Épinay-sur-Orge est desservie par l'une des premières grandes radiales ferroviaires françaises, la ligne de chemin de fer Paris-Orléans sur sa section de Juvisy à Orléans[17],[18].

En 1865, le territoire de la partie haute de la vallée, de Brétigny-sur-Orge à Sainte-Mesme, est profondément bouleversé par l'arrivée de la ligne de Paris à Tours par Vendôme de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO).

Le , la vallée ensuite connaît l'arrivée de l’Arpajonnais, un chemin de fer secondaire établi le long de l'ancienne voie royale de Paris à Orléans, l'actuelle route nationale 20. Reliant la vallée à Paris et la porte d'Orléans, le chemin de fer sur route dessert Longpont-sur-Orge, Montlhéry, Linas, Leuville-sur-Orge, Saint-Germain-lès-Arpajon et Arpajon jusqu'à sa fermeture en 1936. Il permit un accès direct et rapide aux halles de Paris pour les agriculteurs de la vallée et du sud de la Seine-et-Oise[19],[20].

Au milieu du XXe siècle, un parc aérien militaire est installé sur les terres de Brétigny-sur-Orge[21]. Après la Seconde Guerre mondiale, il devient la base aérienne 217 abritant le centre d’essais en vol et l’institut de médecine aérospatiale du service de santé des armées (IMASSA). Le 15 août 1953 puis le 31 mai 1955, Jacqueline Auriol y fut la première femme à dépasser le mur du son à bord d’un Mystère II[22]. Cette histoire aéronautique permet aujourd’hui à Brétigny-sur-Orge de revendiquer le titre de « berceau de l’aviation »[23].

En 1979, la ligne C du RER d'Île-de-France est mise en service sur les lignes de chemins de fer qui desservent la vallée depuis le XIXe siècle : sur la ligne de Paris à Orléans entre Athis-Mons et Brétigny-sur-Orge, puis sur la ligne de Paris à Tours entre Brétigny-sur-Orge et Dourdan La Forêt.

Logo de l'ancienne communauté d'agglomération du Val d'Orge.

Le , la communauté d'agglomération du Val d'Orge par arrêté du préfet du , rassemblant les communes de Fleury-Mérogis, Morsang-sur-Orge, Sainte-Geneviève-des-Bois, Saint-Michel-sur-Orge, Villemoisson-sur-Orge et Villiers-sur-Orge. Le 1er janvier 2003, les communes de Brétigny-sur-Orge et du Plessis-Pâté[24], s'ajoutent à l'intercommunalité, suivies le 1er janvier 2004 par la commune de Leuville-sur-Orge[25].

Le 12 juillet 2013 à 17 h 11, un accident ferroviaire se produit à la gare de Brétigny-sur-Orge : le train Intercités no 3657 devant relier la gare de Paris-Austerlitz à celle de Limoges-Bénédictins a déraillé. Sept personnes ont succombé dans l'accident et soixante-neuf ont été blessées.

En juin 2016, de nombreuses communes de l'Essonne sont touchées par des inondations importantes, dont certaines de moindre mesure dans la vallée de l'Orge où le débit habituel d’environ 3 m3/s est passé à 45 m3/s, notamment à Juvisy-sur-Orge, Savigny-sur-Orge[26], ou encore à Breuillet[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Depuis près de vingt ans, la course à pied et à vélo « La Valdorgienne » de seize kilomètres à travers la vallée de l'Orge est organisée chaque année entre Villemoisson-sur-Orge et Arpajon, d'abord par la communauté d'agglomération du Val d'Orge, puis par Cœur d'Essonne Agglomération[28],[29].

Économie[modifier | modifier le code]

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Châteaux[modifier | modifier le code]

Les bassins[modifier | modifier le code]

Autres lieux[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Claude Viviane et Guillerme André, « La vallée de l'Orge. 1880-1977 », Les Annales de la Recherche Urbaine, vol. 30, no 1,‎ , p. 78-88 (DOI 10.3406/aru.1986.1239)
  • Jacques Peyrafitte, Il était une fois l'Arpajonnais (1893-1936), Le Mée sur Seine, Editions Amatteis, (ISBN 2-86849-045-X)
  • Jacques Peyrafitte, La vallée de l'Orge, Tours, Editions Sutton, coll. « Mémoire en images », , 128 p. (ISBN 9782849101186)
  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Saint-Martin-de-Bréthencourt »

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. flore, « Unité locale du Val d'Orge », sur Croix-Rouge française en Essonne (consulté le )
  2. « Modernisation ferroviaire du Val d'Orge | Présentation | SNCF RÉSEAU », sur www.sncf-reseau.com (consulté le )
  3. Composition de l'unité urbaine 2010 de Paris sur le site de l’Insee. Consulté le 14/01/2013.
  4. « Quelle est la différence de population entre une ville et un village? », sur lejdd.fr (consulté le )
  5. Analyse du sol sur le portail OneGeology. Consulté le 08/08/2009.
  6. Syndicat de la Vallée de l'Orge, « Prévenir le risque inondation » Accès libre, sur syndicatdelorge.fr (consulté le )
  7. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur le site de lameteo.org (consulté le )
  8. « Climatologie mensuelle à Brétigny-sur-Orge », sur infoclimat.fr (consulté le )
  9. Liste des stations météorologiques de France sur le site officiel de Météo-France. Consulté le 19/08/2012.
  10. A. Yaline, « La rivière l'Orge à Dourdan » Accès libre, sur Dourdan Tourisme (consulté le )
  11. Histoire d’Épinay-sur-Orge sur le site officiel de la commune. Consulté le 05/02/2011.
  12. Histoire locale sur le site officiel de l’Association historique et archéologique de Brétigny-sur-Orge et environs. Consulté le 26/01/2010.
  13. Fiche d’un fragment de vaisselle gallo-romaine sur le site topic-topos.com Consulté le 26/01/2010.
  14. Histoire de Dourdan sur le site catholiquedourdan.fr Consulté le 19/04/2008.
  15. Jacques Peyrafitte, « La Vallée de l'Orge » Accès libre, sur jacques.peyrafitte.pagesperso-orange.fr (consulté le )
  16. « Saint Martin de Bréthencourt », sur www.smb.ahv-orge.org (consulté le )
  17. François et Maguy Palau, « 3.3 Juvisy-Orléans », dans Le Rail en France : les 80 premières lignes 1828 - 1851, Palau, Paris, 2003 (ISBN 2-950-9421-0-5), pp. 97-98
  18. François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Les 80 premières lignes, 1828 - 1851, Paris, autoédité, , 218 p. (ISBN 2950942105), p. 97
  19. Par Le 17 juillet 2001 à 00h00, « Une ancienne voie royale devenue autoroute urbaine », sur leparisien.fr, (consulté le )
  20. Selon Jacques Peyrafitte, "Il était une fois l'Arpajonnais", Édition Amatteis, 1994.
  21. Histoire de Brétigny-sur-Orge sur son site officiel. Consulté le 26/01/2010.
  22. Reportage des Actualités françaises du 12 juillet 1955 sur le record de vitesse de Jacqueline Auriol sur le site de l’Ina. Consulté le 26/01/2010.
  23. « La base aérienne de Brétigny va fermer », sur Le Parisien.
  24. Arrêté no 2002-PREF-DCL-0354 du 6 novembre 2002 paru au recueil des actes administratifs sur le site de la préfecture de l'Essonne. Consulté le 20/12/2012.
  25. Arrêté no 2003-PREF-DCL-0368 du 14 octobre 2003 paru au recueil des actes administratifs sur le site de la préfecture de l'Essonne. Consulté le 20/12/2012.
  26. Sylvie MONNIOTTE-MÉRIGOT, « Vallée de l’Orge – Savigny-sur-Orge (2). Inondations : des nouvelles du front… comme en 1978 ! | Portes de l'Essonne Environnement » (consulté le )
  27. Par Cécile Chevallier et Sébastien Morelli Le 14 juin 2016 à 20h44, « Inondations en Essonne : les leçons à retenir d’un épisode hors normes », sur leparisien.fr, (consulté le )
  28. « La Valdorgienne 2022 », sur Cœur d’Essonne Agglomération (consulté le )
  29. « Essonne : course à pied, vélo, déguisements et bonne humeur… la Valdorgienne fait son retour », sur actu.fr (consulté le )