Utilisateur:William Ellison/Brouillon1

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Cagots[modifier | modifier le code]

Les Gahets ou Cagots ! Il y a longtemps, très longtemps, il y avait à Bordeaux un quartier mystérieux à l'écart de la ville, niché entre les paroisses de Saint Eulalie et de Saint Julien, les habitants se regroupaient autour d'une paroisse dont l'église s'élevait sur la place de Saint Nicolas : le Faubourg des Gahets. Les premiers habitants seraient des sarrasins survivants , qui après avoir saccagé Bordeaux en 725 et avoir été battus par Charles Martel auraient obtenu de pouvoir rester en France après conversion à l'Eglise chrétienne. Un quartier leur fut réservé, étant entendu qu'ils étaient soupçonnés de véhiculer la lèpre (le mot Gahet vient du gascon Gahar qui signifie s'attraper car la lèpre était supposée d'attraper par le moindre contact) Plus au Sud, ces populations furent appeler également « Cagots » Leur présence était soumise à de nombreuses contraintes : ne pas se mêler aux autres habitants les magasins alimentaires leur étaient interdits se marier entre eux ne pas boire aux fontaines publiques porter, cousu sur leur vêtement de dessus, du côté gauche, un signe de tissu rouge, long d’une main et large de trois doigts (plus au Sud ce fut le port d'une patte de canard ou d'oie, au revers de leurs vêtements) n’exercer aucuns métiers autres que ceux du fer et du bois Dans certains ouvrages il y a d'eux la description suivante : « ils sont chauves, ils n’ont pas de pavillons d’oreilles visibles (à leur place, on distingue deux trous, comme chez les sauriens), ils ont les pieds et les mains palmés et ils dégagent une chaleur corporelle absolument anormale » Même Ambroise Paré s’attacha à l'étude de ces populations.

Ils avaient leur propre église, la chapelle des gahets  qui devint la chapelle Saint-Nicolas-de-Graves de Bordeaux dont la construction se situe au début du XIIIe siècle. 

La chapelle de St-Nicolas est exactement située à l'angle du Camin de Sent Jacmes (cours de l'Argonne) et du Camin de Sent Nicolay (rueMillière)à l'emplacement de l'actuelle école maternelle. Mais au fil des années, ces « parias » firent l'objet de pitié et peu à peu furent admis dans la Société. Un arrêt du parlement de Bordeaux en 1723 : fait « défense à toute personne du pays de labour d'injurier aucun particulier comme prétendus descendants de la race de Giezy, et de les traiter d'agots, cagots, gahets ni ladres, à peine de 500 livres d'amende ; ordonnant qu'ils seront admis dans les assemblées générales et particulières, aux charges municipales et honneurs de l'église, même pourront se placer aux galeries et autres lieux de ladite église

Le 19 janvier 1724 : un autre arrêt du parlement de Bordeaux, signé de la main même de Montesquieu, exige que soit respecté l'arrêt précédent du 7 juillet 1723 du même Parlement de Bordeaux. »

Des sarrasins implantés, aux goths envahisseurs, et jusqu'au extra terrestres ! Cette population ne cessa d'interroger les historiens ! Dans le Sud Ouest et le Sud de la France, on peut visiter des Musées sur le sujet. Le viographe bordelais, ou Revue historique des monuments de Bordeaux: tant ... - Pierre Bernadau - Google Livres (page 359) https://books.google.fr/books?id=ZhUEAAAAYAAJ&pg=PA365... Musée des Cagots à Arreau


Hubert Prom[modifier | modifier le code]

La fabuleuse Histoire de Jean Louis Hubert PROM Nous sommes en 1822 , la goélette « l'aimable blonde » vient de larguer les amarres de bordeaux, direction la Sénégambie.

A son bord un jeune homme, un adolescent d’à peine 15 ans, originaire du Tarn d'une famille de tisserands, Il se nomme Jean Louis Hubert Prom (1807-1896) Il a été élevé par son oncle Jean Louis Prom, négociant rue de la Rousselle qui lui donne une formation de courtier.

Bercé pendant son enfance par les récits des recherches du comte de la Pérouse (un tarnais également), disparu en mer en 1788 et objet de nombreuses expéditions, ce garçon part à son tour vers les contrées mystérieuses. Il arrive à Gorée au service du commerçant Potin. Ce fut le début de nombreux voyages son cousin Hilaire Maurel (1808 – 1884) le rejoignit bientôt.

Jean louis hubert Prom épouse la signare Sophie Laporte en 1828, son cousin Hilaire Maurel épousa la sœur de cette dernière, la signare Constance Laporte. C'est le mariage avec ces deux signares qui leur apporte le soutien financier et le carnet d'adresse de la minorité métisse de Gorée et Saint Louis du Sénégal, aide incontournable qui leur permet de créer Maurel & Prom en 1831 "Son idée de génie" est d'avoir fait planter et cultiver l'arachide dans ce pays ((Il convient d'apporter quelques précisions sur le terme « signare » ce sont les jeunes femmes métisses issues du mariage de Portugais (puis de Français ou d'Anglais) avec des femmes wolofs et peules de la Petite Côte du Sénégal dans les comptoirs jusqu'au milieu du XIX° siècle )) c'est malade qu'Hubert PROM doit quitter la colonie et se fixer à Bordeaux "courtier en huile et savon" au 76 rue de la Rousselle. Il va gérer l'armement des bateaux de la société : entre 1836 et 1875, 58 voiliers sont gréés en trois mâts pour le long court.

Pendant 50 ans, jusqu'à l'âge de 89 ans, il s'employa au développement de la société Création en 1857 d'une huilerie à Bordeaux et à Marseille pour l'extraction et le raffinage de l'arachide du Sénégal. L'usine de Bacalan, évolua, embaucha, se modernisa, . Ainsi l'affaire rondement menée ne cessa de prospérer ; d'autres comptoirs s'ouvrirent au Soudan, en Guinée et Malaisie. Entre 1875 et 1920 la flotte de voiliers est remplacée progressivement par des vapeurs.

L'immeuble de la rue porte dijeaux n° 18 fut le siège de la société leur fortune familiale leur permit d'acquerir les châteaux de Beauval, Château Pommerol, Château Lagarde à Bassens (à côté de Bordeaux) et la villa Pédesclaux à Arcachon.


Félix Carme[modifier | modifier le code]

Existe rue Félix Carme

Félix Carme

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Emile Brunet[modifier | modifier le code]

Existe rue Emile Brunet

Émile Brunet (peintre)

https://www.sudouest.fr/2010/12/23/le-symboliste-meconnu-274392-4608.php?nic

Le symboliste méconnu

Lecture 2 min

A La Une Gironde Le symboliste méconnu «Spleen» (détail) de Émile Brunet. Reproduction « Sud Ouest » Par Anna Maisonneuve Publié le 23/12/2010 Sous la houlette de Dominique Dussol et Michel Parisot, la Vieille Église de Mérignac s’embrase des œuvres picturales du bordelais Émile Brunet.

Le peintre Émile Brunet est peu ou mal connu. Son rayonnement se réfléchit tout au mieux dans les circonférences restreintes des amateurs de l’art bordelais. Et pourtant. Né à Bordeaux en 1869, Brunet élabore une œuvre foisonnante, déclinant sujets mythologique, paysager, religieux ou profane, thèmes divers trouvant concordance dans une unité, d’où surgit une aura nimbée de mystère, de silence et de contemplation.

Issu d’une famille modeste, l’essentiel du parcours d’Émile Brunet se fait à Bordeaux. Il entre à l’école des Beaux-arts dans la fin des années 1880, suivant un enseignement des plus académiques : en témoigne sa version de « David et Goliath », où l’on voit le jeune berger brandissant triomphalement la tête tranchée du géant dans une composition dominée par une ardeur manifeste que l’on ne lui connaîtra plus par la suite, préférant, et c’est heureux, naviguer dans les sphères d’un univers dominé par le calme, où la suggestion prime sur la démonstration.

Après une escapade en Espagne faisant suite à un premier prix décroché lors d’un concours interne en 1891, il revient dans le Bordelais et trouve un financement auprès d’un négociant amateur d’art, qui lui permet d’aller à Paris, d’intégrer l’École nationale des Beaux-Arts et de s’inscrire à l’atelier du maître Gustave Moreau, atelier suivi par d’autres figures emblématiques comme Matisse ou Marquez. De cet interstice temporel, se détermineront un style ainsi qu’une amitié forte avec Georges Rouault. Rétrospective

La rétrospective qui lui est actuellement consacrée à la Vieille Église, rassemble un peu moins d’une centaine de toiles (sans compter les dessins), rend compte des différentes périodes de Brunet, intégrant ses commandes ecclésiastiques, celles passées auprès de notables bordelais, comme encore ses peintures élaborées sur le bassin d’Arcachon. Elle se clôture sur l’épisode douloureux de l’obtention en 1913 du concours pour la réfection du plafond du Grand Théâtre, concours qu’il remporte avant d’être évincé par une municipalité hostile à son travail, lui préférant le directeur de l’école des Beaux-Arts de l’époque, Francois-Maurice Roganeau, arrivé initialement second.

Des multiples déclinaisons de Brunet, il convient de terminer sur celles prenant pour sujet l’ordinaire au travers de saynètes bucoliques, peuplées de personnages dominés par le songe. La facture se fait parfois vibrante, la matière s’accumule et se superpose, laissant les contours s’estomper dans des ondulations vibrantes, des clairs-obscurs atmosphériques où se réfugie toute une poésie fluette et gracile, à l’image de ces femmes, chastes presque immatérielles, sans âge ni époque.

A noter : l’édition du catalogue de l’exposition : « Émile Brunet. Le Spleen de Bordeaux » par Dominique Dussol, éd. Le Festin, 142 p. 15 € Exposition « Émile Brunet, la peinture symboliste à Bordeaux. Éloge d’un peintre méconnu » visible jusqu’au 13 février 2011, Vieille Église Saint-Vincent, rue Beaumarchais, Mérignac. Entrée libre, tous les jours de 14 heures à 19 heures Renseignements : 05 56 18 88 62.


http://www.lefestin.net/emile-brunet-le-spleen-de-bordeaux


Emile Brunet - Le Spleen de Bordeaux | Le Festin Emile Brunet - Le Spleen de Bordeaux

Dominique Dussol - NOUVEAU PRIX : 10 € au lieu de 15 € 2010 / 144 pages / 18 x 24 cm / ISBN : 978-2-36062-020-3


Catalogue de l'exposition organisée à la Vieille Église Saint-Vincent à Mérignac en février 2011 Élève de Gustave Moreau, ami de Georges Rouault, Émile Brunet (1869-1943) fut l’un des rares représentants de la peinture symboliste à Bordeaux. Son art – qui suggère plus qu’il ne montre – a su rendre compte des mystérieuses correspondances que la nature entretenait avec son monde intérieur. Aussi ses sujets profanes ou mystiques – femmes en communion avec la nature, immatérialité de l’atmosphère si particulière des paysages du Bassin d’Arcachon, spiritualité des œuvres religieuses –, s’expriment tous avec un sentiment d’attente, de silence et de recueillement.

https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=498108591673&id=270594816673

https://www.antiquaire-galeriebassam.com/peintures-1/emile-brunet/

Émile Brunet

Émile Brunet (1871-1943) est un peintre d’origine bordelaise. Passé par l’atelier de Gustave Moreau (1826-1898), il garde tout au long de sa vie une veine symboliste, avec laquelle il explore aussi bien la peinture décorative que religieuse. Il reste aussi, de ses années parisiennes, l’ami avec le peintre Georges Rouault (1871-1958). Il acquiert au début du XXème siècle une maison aux Jacquets, sur la presqu’île du Cap-Ferret, qui lui inspirera de nombreuses œuvres de paysages. Ces paysages correspondent à un état d’être intérieur, profondément poétique, voir mystique, lorsqu’on en aperçoit les figures christiques à la manière des visages byzantins. Tout est prompte au calme de la solitude.

La Galerie Bassam est à la recherche d'œuvres d'Émile Brunet.

https://www.amazon.fr/R%C3%A9trospective-Brunet-1869-1943-Catalogue-Dominique/dp/B07RHGTLTK

https://www.auctionzip.com/auction-lot/EMILE-BRUNET-Bordeaux-1869-Ares-1943-La-Derni_AD74EE0B2E/

https://picclick.fr/Tableau-dEmile-Brunet-1871-1943-influenc%C3%A9-par-333952976594.html

https://www.lot-art.com/auction-lots/317-Emile-BRUNET-1869-1943-Les-amantsHuile-sur/317-emile_brunet_1869-17.11.18-geoffroy


https://www.lot-art.com/auction-lots/319-Emile-BRUNET-1869-1943-Femme-aux-fruitsHui/319-emile_brunet_1869-17.11.18-geoffroy

https://www.auction.fr/_fr/lot/emile-brunet-1869-1943-quot-l-aveu-quot-huile-sur-toile-signe-en-bas-a-droite-date-16083653

https://www.auction.fr/_fr/lot/brunet-emile-1869-1943-quot-arbre-en-automne-quot-huile-sur-papier-signee-en-bas-a-16922120

http://coolitude.canalblog.com/archives/2010/12/23/19949472.html

https://www.auction.fr/_fr/lot/emile-brunet-1869-1943-l-rsquo-entree-de-mahommet-ii-a-constantinople-huile-sur-11670607

http://huilesurbois.com/fr/petit_tableau_du_peintre_symboliste_emile_brunet_1871_1943.htm

https://www.mutualart.com/Artwork/Jeune-femme-devant-un-paysage-cubisant/068280DF2AA9CAD2

https://www.proantic.com/display.php?mode=obj&id=812236

https://www.auctionzip.com/auction-lot/emile-brunet-bordeaux-1869-ares-1943-le-depar_F394E3AA12/

https://www.auction.fr/_fr/lot/emile-brunet-1869-1943-couple-a-l-antique-devant-un-paysage-huile-sur-panneau-16083668

https://www.rouillac.com/fr/lot-149-54994-brunet_emile_1869_1944le_christ_aux_yeux

https://www.leslibraires.fr/livre/1532842-le-bassin-d-arcachon-vu-par-les-peintres-henr--muriel-llinares-marc-doury-editions-de-la-huche-corne

https://www.briscadieu-bordeaux.com/lot/18074/3449292?npp=150&

http://musba-bordeaux.opacweb.fr/fr/search-notice/detail/bx-2004-5-5-soc-6418f

Atelier Delmas[modifier | modifier le code]

https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/IM40002197

https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/IM40002194

Léon Delmas

https://inventaire.nouvelle-aquitaine.fr/dossier/ensemble-des-verrieres-de-l-eglise/1f986979-8ee8-478c-9d6d-e7ca9009b69b

https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/IM40001530

http://inventaire.aquitaine.fr/decouvertes-de-laquitaine/landes/le-souvenir-des-morts-de-la-grande-guerre-dans-les-eglises-des-landes/la-peinture-et-le-vitrail/

https://babone5go2.blogspot.com/2020/06/une-coupole-podensac.html

http://podensac.fr/upload/bulletins_municipaux/2009_archives.pdf

https://sites.google.com/site/maisonpoemeartnouveaubordeaux/les-vitraux-de-la-maison-en-un-coup-d-oeil

https://babone5go2.blogspot.com/2020/06/helene-dufaut-chavat-arnaga-et-la.html

https://www.academieduvar.fr/Produits/heures/heures2014/Vitraux1418Brun.pdf

Musée d'Arts Décoratifs le prison municipale[modifier | modifier le code]

https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/bordeaux_33063/bordeaux-pendant-80-ans-des-prisonniers-ont-ete-entasses-dans-ce-qui-est-desormais-le-madd_44148695.html


Peste à Bordeaux[modifier | modifier le code]

Il peut y avoir quelques erreurs, des documents ont disparus, soit non consignés, soit brulés lors des incendies d'archives municipales, mais certains faits sont attestés. « Les grandes terreurs du passé : Introduite en France au milieu du XlVe siècle,la peste ne la quitte plus jusqu'à la fin du XVIIe siècle avec toutefois une terrible résurgence entre 1720 et 1722 lors de la peste de Provence La peste à Bordeaux

   La peste noire parut souvent au 15e siècle. En 1585, elle fit mourir à Bordeaux 14.000 personnes sur 50.000 habitants. Pendant ces épidémies, les monastères même étaient abandonnés, le Parlement obtenait du Roi sa translation dans les villes voisines, à Libourne, à Bergerac, à Saint-Émilion.

Traitements La médecine du XIVe siècle était impuissante face à la peste qui se répandait. Les médecins débordés ne savaient que faire devant cette maladie qui les atteignait, tout autant que leurs patients. l'habitude sera prise de recensements réguliers, avant et après chaque épidémie. Le clergé sera chargé d'établir les enregistrements des décès et l'état civil. De nouveaux règlements interdisent de vendre les meubles et vêtements des morts de peste. Leurs biens, voire leur maison, sont souvent brûlés. Dès 1348, des villes établissent de nouveaux cimetières en dehors d'elles, Il est désormais interdit d'enterrer autour des églises, à l'intérieur même des villes, comme on le faisait auparavant. Les règlements de l'époque indiquent que l'on devait enterrer les cadavres de pestiférés au plus tard six heures après la mort.Tout mendiant valide et sain de corps était condamné à traîner les chariots, à récurer les fossés de la ville, et à nettoyer les rues. Il en était de même de ceux qui tenaient les jeux de hasard.

 La tâche est extrêmement dangereuse pour les porteurs de morts, qui viennent bientôt à manquer. On paye de plus en plus cher les « enterreurs » ou corbeaux, vêtus selon les régions de cuir rouge avec grelots aux jambes, ou de casaques noires à croix blanche. Certains médecins de peste portent un costume spécifique, bien que des sources graphiques montrent une grande variété de vêtements non spécifiques.

En dernière ressource on utilise la main-d'œuvre forcée : prisonniers de droit commun, galériens, condamnés à mort... à qui on promet grâce ou remises de peine (Porter un cadavre de pestiféré pour le brûler est aussi dangereux que pour l'enterrer.). Ces derniers passent dans les maisons ou ramassent les cadavres dans les rues pour les mettre sur une charrette. Ils sont souvent ivres, voleurs et pilleurs. Des familles préfèrent enterrer leurs morts dans leur cave ou jardin, plutôt que d'avoir affaire à eux. . Attitude des édiles de Bordeaux, la Jurade et le parlement ont préféré quitter la ville pour s’installer à Libourne. Le maire de l'époque Michel de Montaigne, arrivé en fin de mandat,préféra resté dans son domaine du Périgord d'ailleurs il ne se prétend donc pas héros,il avait vu périr de la peste, son cher ami La Boétie vingt ans plus tôt. Il avait déjà affronté l'épidémie,et mourir certains des siens «  En quelque manière qu'on se puisse mettre à l'abri des coups, fust-ce sous la peau d'un veau, je ne suis pas homme qui y reculast » (Montaigne)

L'hôpital des pestiférés, à Saint-Croix, n'étant plus suffisant, la ville en fit construire un autre dans l'enclos d'Arnaud Guiraud qui fut agrandi en 1601 (qui en 1792 deviendra l'asile d'aliénés.)

Les convalescents de la Peste, peu nombreux, étaient transférés hors de Bordeaux sur les hauteurs dans un hameau qui prendra le nom de Carbon-Blanc, en référence à la maladie de la peste pour certains mais plus vraisemblablement à cause de la lèpre (appelée aussi Charbon Blanc) maladie tout aussi redoutable et associée dans la terreur populaire. La Peste ne s'est plus jamais déployée à une telle échelle, mais des flambées meurtrières surgiront encore longtemps : en France, la dernière en date remonte à… 1918. Une centaine de personnes en moururent alors dans le nord de Paris et le dernier cas confirmé date de 1946, en Corse Sources : Albert Reche : Mille ans de Médecine et de pharmacie à Bordeaux Bordeaux et la peste dans la première moitié du XVIIe siècle - Persée


Moulin à marée de Bacalan[modifier | modifier le code]

https://fdmf.fr/le-moulin-a-maree-de-bacalan-bordeaux/

Colonie Saint-Louis[modifier | modifier le code]

La Colonie Saint Louis ? Évoquée par les vieux bordelais dans les années 50 pour les enfants turbulents, nous ne savions pas trop ce que c'était, mais on sentait bien là la terrible menace. Jusqu'en 1946, il existait à Bordeaux, plus exactement à Villenave d'Ornon, un centre pour accueillir les orphelins ou enfants abandonnés – centre qui fonctionnait en parallèle avec un centre de détention pour enfants délinquants confiés par le juge. La colonie agricole Saint Louis : En 1836 à la suite d'un naufrage à la sortie du port de la Teste de Buch 78 marins perdirent la vie. Ils laissaient 161 orphelins. le cardinal Cheverus, bien connu pour ses oeuvres , dépêcha sur les lieux l’abbé Dupuch, (futur évêque d’Alger), pour s’occuper au mieux de tous ces enfants. Des démarches furent entreprises pour louer un domaine agricole situé aux portes de Bordeaux, à Villenave-d’Ornon, ce fut l’origine de la colonie Saint-Louis, terrain d’expérience du catholicisme social girondin Jusqu’en 1838 il resta un refuge pour orphelins, puis l’abbé Buchouse rendit acquéreur de cette immense propriété et devint le premier directeur de l’établissement. La particularité de cette oeuvre repose sur un idée très simple : former les orphelins à des travaux agricoles jusqu’à l’âge de 21 ans Cette oeuvre malgré la perception des bourses pour les pupilles ne posséda aucune autorisation légale pendant 46 ans.. il faudra un drame pour que l’administration prenne conscience de cette anomalie : le décès en 1884, de onze enfants après l’ingestion de champignons vénéneux. Durant 5 ans la colonie n’accueillit plus d’enfants jusqu’à la création en 1890 de l’Œuvre des enfants délaissés et abandonnés de la Gironde qui dura jusqu’en 1945. Les Enfants délaissés et abandonnés de la Gironde, 1890-1945 Cette nouvelle association fut créée le 31 janvier 1889 à l’initiative de M Fernand Marin, juge au tribunal : il s’agissait d’étudier les chances de succès d’un refuge destiné aux enfants délaissés et abandonnés du département Le Juge Fernand Marin était préoccupé par l’état déplorable des orphelins ainsi que des enfants dévoyés par des parents indignes. Ces enfants échouaient presque automatiquement au petit parquet ou en correctionnelle. Son but était de faire à Bordeaux ce qui avait été entrepris avec succès à Paris et à Rouen. Le 29 octobre 1889, une offre retint favorablement son attention : la colonie agricole Saint-Louis devenue entièrement laïque. En 1903 la colonie Saint Louis reçoit en don de Marguritte Fillol le Château de la Grande Ferrade, propriété qui jouxte les terrains de l'oeuvre. L’association avait su résister aux nombreuses difficultés financières, matérielles, morales. Elle ne résista pas à la guerre de 1939-45 Les règlements de compte lui seront fatals et c’est l’association du Prado de Lyon qui prit en charge l’établissement. Les vieux Bordelais et Girondins gardaient au fond de leur mémoire cet établissement qui sous un jour utopique cachait de terribles traitements à ses petits pensionnaires « Un règlement sévère, où travail et loisirs se succèdent à un rythme soutenu, et des méthodes coercitives nombreuses, visent à éviter les effets nuisibles des groupes en réduisant les contacts entre les enfants. Comme la sanction permet le rachat, les asociaux sont mis à l’écart, les fugueurs au cachot et souvent tondus. Des leçons sur l’honneur, la probité, le devoir de patriote, l’instruction religieuse faisaient partie de la panoplie éducative. Avec le temps, la présence des militaires s’estompe pour laisser place à de jeunes moniteurs souvent issus du scoutisme. La pédagogie est toujours soutenue par le système récompense pour les bons, sanctions pour les fauteurs de troubles. » https://www.usaquitaine.fr/histoire-dun-etablissement.../ La colonie agricole Saint-Louis (1840-1890) à Villenave d’Ornon Le Prado Saint-Louis | L'Union Scientifique d'Aquitaine


Théâtre à Bx[modifier | modifier le code]

  • Hippolyte Minier et Jules Delpit, Le théâtrè a Bordeaux, étude historique, suivie de la nomenclature des auteurs dramatiques bordelais et de leurs ouvrages, établie en collaboration avec Jules Delpit, Bordeaux, P. Chollet, , 144 p. (disponible sur Internet Archive).
  • Henri Lagrave, Charles Mazouer (dir.) et Marc Régaldo, La Vie théâtrale à Bordeaux des origines à nos jours : Des origines à 1799, t. I, Paris, C.N.R.S., , 501 p. (ISBN 978-2222035060, présentation en ligne).


Bx les bains[modifier | modifier le code]

Document du jour à découvrir dans l’exposition " Bordeaux-les-Bains. Les bienfaits de l’eau. XVIIIe - XXe siècles " désormais ouverte au public.

Plan et élévation des Bains flottants d'Orléans, encre et aquarelle sur papier de Jean-Baptiste Lafargue, 1839. [ABM Bordeaux Fi XXI V 1 recueil 109] + d'infos https://archives.bordeaux-metropole.fr/actualites/rendez-vous-1/bordeaux-les-bains-les-bienfaits-de-l-eau-xviii-sup-e-sup-xx-sup-e-sup-siecles-231/n:44

Bordeaux Métropole Bordeaux culture Quartier La Bastide Bordeaux Sortir à Bordeaux Bordeaux Tourisme Agenda Culturel Bordeaux et Alentours Agenda | Rue89 Bordeaux

https://archives.bordeaux-metropole.fr/expositions/salle-hydrotherapie-49/n:45

Bordeaux - LE HAMMAN (1903) Le Hammam se situait à l'angle de la rue Vital-Carles et de la rue des Trois-Conils. Dirigé par le docteur Léon Réjou, cet « Institut physique médical » offrait, selon le Guide illustré de Gounouilhou (éd. 1914, p. 122) de «véritables bains de sudation turco-romains, bains ordinaires et médicamenteux, hydrothérapie médicale sous toutes ses formes, massothérapie, électrothérapie ». Nous n'avons pas trouvé de reproduction de ce dessin mais nous pouvons imaginer qu'il s'agissait d'une affiche publicitaire à cause de l'enseigne placée au-dessus de la porte et de la publicité installée sur le toit du tramway. En outre, l'angle de vue choisi par le dessinateur, depuis la place Pierre-Laffitte ne permet pas de voir entièrement la façade de gauche du bâtiment. Il prouve simplement la mise en valeur de l'édifice balnéaire, à l'architecture et au décor néomauresque, avec les arcs outrepassés des portes d'entrées. L'animation de la rue, avec ces nombreux passants tous élégants qui reflétaient la vie de la bourgeoisie bordelaise, participait aussi à la promotion de l'établissement. La célèbre imprimerie de Gabriel Delmas, située rue Saint-Christoly, devait être chargée de l'impression de cette affiche comme l'indique la mention G. Delmas gravr. K.A. Signé et daté, en bas à gauche: «MS 03 (1903)» ; estampillée « G. Delmas « Encre de Chine et lavis brun rehaussé de gouache blanche, sur papier beige. H. 0,456 m. L. 0,612 m. Gravure extraite du livre » Eloge de Bordeaux Trésors d'Une Collection » Editions L'Horizon Chimérique, 2009.


https://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=33063_78


https://books.google.fr/books?id=TkheBwAAQBAJ&pg=PT286&lpg=PT286&dq=hammam+bordeaux+vital+carles&source=bl&ots=lS7icXdh6G&sig=ACfU3U1jxNO-di73Fz6iXnnEC3flzz_ENw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjYpvDs5tfyAhXpxoUKHUoBAyA4FBDoAXoECCAQAw#v=onepage&q=hammam%20bordeaux%20vital%20carles&f=false

Terre nègre[modifier | modifier le code]

’l'appellation « Terre-Nègre » vient du nom d’un quartier historique de Bordeaux développé sur l’emprise d’une ancienne nécropole gallo-romaine où était pratiquée l’incinération : cette zone s’appelait en latin « Terra Negra », ce qui fait référence à la couleur noire de la terre résultant de ce rite funéraire. Les deux premiers bâtiments, loués en 1827 puis achetés un an plus tard, étaient ceux d’une auberge située en limite du quartier Terre-Nègre.L’établissement est créé le 11 avril 1827 par des personnalités bordelaises, dont l’Archevêque, le Maire et le Préfet.

Le principe fondateur est d’accueillir et d’aider les personnes les plus démunies, sans ressources et sans domicile, sur la commune de Bordeaux.


Gustave de Galard[modifier | modifier le code]

Biographie : https://occitanica.eu/items/show/20970?fbclid=IwAR2PeO0T37YIQiIky1aef7q2E3KYL-jBKGkR40sglsaowy8jtWP0RoMQvjk


Temple des Chartrons[modifier | modifier le code]

Temple des Chartrons de Bordeaux

En 1776, temps de l’église sous la croix, les huguenots étrangers, résidant à Bordeaux, au lieu dit : les « Chartrons, parce qu’ils étaient économiquement puissants et ne relevaient pas du Roy de France, eurent tolérance d’aménager dans un chai, acheté en secret par un prête-nom, une maison d’oraison. Lieu clandestin de culte qu’ils s’empressèrent de rendre secrètement accessible aux protestants français proscrits et pourchassés par les édits royaux.

Puis, les articles organiques du 18 germinal an X ( 8 avril 1802 ) légalisent notamment l’exercice des cultes réformés. Ainsi en 1803 à Bordeaux, la chapelle Marie-Notre-Dame, rue du Hâ, renommée Temple du Hâ est attribuée à la communauté protestante de Bordeaux, pour y pratiquer son culte librement. Cependant l’essor de la communauté, et la souvenance de l’Histoire, invitent en 1831, au place de la friche de la maison d’oraison des Chartrons, à envisager un nouveau lieu de culte. Ainsi, en 1835 s’y ouvre un nouveau temple à Bordeaux, ainsi que la loge ( imposée ) d‘un concierge, une école cultuelle filles et une école cultuelle garçons détruites depuis.

La communauté protestante a financé cette construction à hauteur de 100 000 francs complétés par un emprunt à la ville de 50 000 francs. Centre trente cinq ans plus tard, en 1970 pour des raisons économiques le temple des Chartrons a été désaffecté, inscrit au patrimoine des monuments historiques en 1975 et finalement cédé à la ville de Bordeaux en 1985.

Frères Panajou[modifier | modifier le code]

https://www.panajou.fr/content/6-panajou-photo-bordeaux

Charles Chambon[modifier | modifier le code]

https://gw.geneanet.org/blingot?n=chambon&oc=&p=claude+francois+charles

https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb149774475

https://www.wikidata.org/wiki/Q97034857

https://viaf.org/processed/WKP%7CQ97034857

https://viaf.org/processed/BNF%7C14977447

Temple Piliers de Tutelles[modifier | modifier le code]

https://www.bordeaux-gazette.com/la-destruction-du-temple-des-piliers-de-tutelle-une-inestimable-perte.html


A Noyer (photographe)[modifier | modifier le code]


Frères Faucher[modifier | modifier le code]


NOTES EN VRAC[modifier | modifier le code]

  • 'Arhives Bordeaux Metropole - Cherche date de DC de Briet dans les états civils des protestants de Bx. Sur internet ??


  • Bib municipale disponible Fonds patrimoine BM S 12331 Peut-être Mathieu ou Christian peut le dénicher et commenter ?
  • Lettres sur la peste écrites à un médecin de Bordeaux, contenant les extraits des principaux auteurs depuis près de 200 ans, qui ont donné leurs observations & leurs méthodes après avoir travaillé sur des pestiférez / [Doazan] / Bordeaux : R. Brun , 1721


  • Arrest du Parlement

Il y a 1400 mètres linéaires sur le Parlement de Bordeaux aux Archives départementale...

Arrest de la cour et Parlement de Bourdeaus, par leque il est ordonné que d'orès-en-avant quatre Médecins liront publiquement en l'Université de la dicte Ville de Bordeaus ce que doivent sçavoir ceux, qui veulent estre Médecins, Apoticaires et cirurgiens., Bordeaux, Simon Millanges, , 8 p.

Christian ; on peut aller ensemble pour photographier le document ?

Il y a aussi :

Arrest de la Cour de Parlement contenant prohibitions à ceux qui ne sont pas de la Seneschaussée de Bourdelois de ne pas faire les barriques pour mettre les vins cueilli hors ladicte Seneschaussée en barriques de mesme gauge, grandeur et longueur que celles qu'on faict pour mettre vins de ladicte Seneschaussée, et de ne les cercler d'auban, n'y les vendre en autre lieu qu'aux Chartreux, et ce après la feste de Noel., Bordeaux, Simon Millanges, , 16 p..

qui manque dans la collection Simon Millanges 'en-ligne'


  • Le livre :
Alexandre-Albert Chabé (préf. Émile Delage et Georges Portmann), La Faculté de médecine de Bordeaux au XVe et XVIe siècles, Bordeaux, Bière, , 160 p. (présentation en ligne).
me semble une source d'information importante sur l'histoire de la médecine à Bordeaux. J'ai trouvé un seul exemplaire, heureusement à la Bib Univ de Bx.. Je voudrais bien le consuler et photcopier quelqes page quand la situation devient plus normale !
  • Chronique bordeloise
Gabriel de Lurbe, Chronique bordeloise , corrigée et augmentée depuis l'année 1671 jusqu'au passage du roi d'Espagne... l'année 1701,, Bordeaux, Simon Boé, , 740 p. (lire en ligne sur Gallica)
Jean de Gaufretau (préf. Jules Delpit), Chronique bordeloise., t. 1 (1230-1599), Bordeaux, Ch. Lefébvre, , 347 p. (lire en ligne sur Gallica)
Jean de Gaufretau (préf. Jules Delpit), Chronique bordeloise., t. 2 (1600-1638), Bordeaux, Ch. Lefébvre, , 490 p. (lire en ligne sur Gallica)