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Cimetière militaire du Pas-de-Calais --Brown's Copse Cemetery[modifier | modifier le code]

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Porte monumentale à l'entrée du cimetière.
Pays
Département
Commune
Tombes
349
Mise en service
avril 1917
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte des Hauts-de-France
voir sur la carte des Hauts-de-France
Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
voir sur la carte du Pas-de-Calais

Le Brown's Copse Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Rœux, dans le département du Pas-de-Calais, à l'est d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé à 1 km à l'ouest de la commune mais il n'est accessible que depuis Fampoux par un chemin de terre en sous-bois Le Chemin des deux cimetières qui se termine en cul-de-sac. On passe d'abord devant le Crump Trench British Cemetery et 300 m plus loin on atteint le Rœux British Cemetery.

Histoire[modifier | modifier le code]

Vue aérienne de Roeux avant et après la guerre.

Roeux est occupé par les troupes allemandes dès fin août 1914 et le secteur marquera la fin de la progression allemande devant Arras.

En avril 1917, les alliés lancent la Bataille d'Arras en vue de reconquérir le secteur. Les Allemands avaient construit un système de grottes et de fortifications qui ont contribué à rendre la capture de Roeux exceptionnellement difficile. La 9e division écossaise échoua d'abord le 12 avril. Les usines chimiques proches de la gare furent prises le 22 avril et, après des combats incessants et le village, entièrement détruit du fait des bombardements incessants, fut nettoyé par la même division le 14 mai. L'usine chimique fut perdue le 16 mai et fut finalement prise par la 51e Division le 26 août suivant[2].

Le secteur sera de nouveau perdu fin mars 1918 lors de l'Offensive du printemps de l'armée allemande, puis repris définitivement fin août suivant. Le cimetière britannique de Roeux a été commencé par des unités combattantes entre avril et novembre 1917. Il comporte les tombes de 349 soldats britanniques dint 30 sont non identifiés [3],[4]. Roeux a été construit sur un système de grottes qui a contribué à rendre sa capture en 1917 exceptionnellement difficile. Elle fut attaquée par la 9e division (écossaise) sans succès le 12 avril. Les usines chimiques proches de la gare furent prises par la 51e division (Highland) le 22 avril et après des combats incessants, le village fut nettoyé par la même division le 14 mai. Les usines chimiques furent à nouveau perdues et reprises le 16 mai. Les Allemands rentrent dans le village fin mars 1918, et celui-ci est finalement repris par la 51e Division le 26 août suivant.

Le cimetière tire son nom d'un petit bosquet (le Bois Rossignol) du côté est. Les parcelles I à IV sont composées presque entièrement de tombes dégagées du champ de bataille au cours de l'été 1917. Les parcelles V à VIII ont été constituées après l'Armistice lorsque 850 tombes ont été amenées d'une vaste zone au nord et à l'est d'Arras.

Voici les seuls lieux de sépulture considérables à partir desquels les tombes britanniques ont été transportées au cimetière Brown's Copse : -

CIMETIÈRE DE SEAFORTH, ROEUX, côté nord-est de la route allant du village à la gare, où furent enterrés 18 soldats du Royaume-Uni en avril 1917, et 21 du 6e Seaforth en août et septembre 1918.

CIMETIÈRE COMMUNAL DE VITRY-EN-ARTOIS et EXTENSION ALLEMANDE, dans lesquels 17 soldats du Royaume-Uni (principalement des officiers du Royal Flying Corps) furent enterrés par l'ennemi.

Le cimetière contient aujourd'hui 2 072 sépultures et commémorations de la Première Guerre mondiale. 862 des sépultures ne sont pas identifiées, mais il existe des mémoriaux spéciaux dédiés à huit victimes connues ou soupçonnées d'être enterrées parmi elles. D'autres monuments commémoratifs spéciaux commémorent deux blessés enterrés au cimetière communal de Vitry-en-Artois extension allemande, dont les tombes n'ont pu être retrouvées.

Le cimetière a été conçu par Sir Edwin Lutyens.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan rectangulaire de 50 m sur 15. Il est entièrement clos d'une muret de silex.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures [5]
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 1938
Drapeau du Canada Canada 2
Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud 130
Total 2070

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]

Sur les autres projets Wikimedia :

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La médaille de la Ville de Saint-Quentin évoque son histoire ancienne et contemporaine: les remparts, la royauté, les clés de la Ville, l'épée pour les batailles, la Marianne, la Légion d'Honneur, la Croix de Guerre 14-18.

La devise : PRO DEO REGE ET PATRIA (Pour dieu, le roi et la patrie)

L'idéal serait de remplir le modèle:lien web. Un exemple : (en) « St. Riquier British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ). ce qui donne (en) « St. Riquier British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le 29 mars 2024). Matpib (discuter) 29 mars 2024 à 22:02 (CET) https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/2090440/st-riquier-british-cemetery/

La médaille de la Ville de Saint-Quentin évoque son histoire ancienne et contemporaine: les remparts, la royauté, les clés de la Ville, l'épée pour les batailles, la Marianne, la Légion d'Honneur, la Croix de Guerre 14-18.

La devise : PRO DEO REGE ET PATRIA (Pour dieu, le roi et la patrie)

Cartes postales anciennes[modifier | modifier le code]

GUERRE 14-18[modifier | modifier le code]

Beugny - Première Guerre mondiale
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Beugnâtre et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : farine, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à une dizaine de kilomètres à l'est.
Evacué de ses habitants dès janvier 1917, le village est complètement rasé, toutes les maisons dynamitées , les arbres coupés, les puits pollués. Le 17 mars 1917, les troupes britanniques prennent possession des ruines de Beugnâtre jusqu'en mars 1918 où il repassera de nouveau sous le contrôle des Allemands lors de l'Offensive du Printemps. Ce n'est que fin août 1918 que le secteur sera définitivement libéré.
Le village est complètement détruit. Peu à peu les habitants reviendront de leur lieu d'évacuation et commenceront, avec l'aide des dommages de guerre, une période de reconstruction qui durera plus de dix ans.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [6].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Dès , le village est occupé par les Allemands. Les habitants vivront pendant deux ans sous le joug de l'occupant avec brimades, requisitions, travaux forcés…. Dauthuille, habitant de Grévillers réfugié à Niort, a relaté, dans un cahier conservé aux Archives de la Charente, toutes les souffrances endurées par les Grévillois pendant cette période. Ce recueil est consultable sur le site de la Bibliothèque nationale de France (BnF)[7].
Le village, évacué de ses habitants, rasé par les Allemands en avant leur retrait sur la ligne Hindenburg, passe aux mains des troupes britanniques jusqu'en où il repassera de nouveau sous le contrôle des Allemands lors de l'offensive du Printemps. Ce n'est que fin que le secteur sera définitivemant libéré.
Le village est complètement détruit. Peu à peu les habitants reviendront de leur lieu d'évacuation et commenceront, avec l'aide des dommages de guerre, une période de reconstruction qui durera plus de dix ans.



Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village apparaît pour la première fois en 1146 sous l'appellation latine de Charmesius. Ce nom évoluera ensuite de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs :Calmesius, Calmesi, Carmini (1153 dans un Cartulaire de l'Abbaye de Vauclair , Chermisi, Charmesei, Charmisiacum, Germisi, Charmisy, Chermisiz, Charmisy, puis Chermisy sur la Carte de Cassini au milieu du XVIIIe siècle et enfin l'orthographe actuelle Chermizy au XIXe siècle [9]. Le village doit son nom à la rivière L'Ailette qui prend sa source à 6 km à l'est. C'est au début du XIIe siècle que fut adjoint à Nogent le nom d'Arthaud, seigneur de Nogent, trésorier du comte de Champagne [10].
Sous la Révolution, en 1793, Nogent-l'Arthaud fut débaptisée et devint Nogent-la Loi pour quelque temps.

Ce nom évoluera ensuite de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs :Penvent en 1242, Panvent, Panvant, Pavent, Pavant-sur-Marne, Pavent-sur-marne, Pavant en Brye, Pauvant, Pavans en 1563  et enfin l'orthographe actuelle Pavant sur la Carte de Cassini au milieu du XVIIIe siècle

Carte de Cassini La Hérie[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures de la Première guerre mondiale
Indes britanniques 40
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 29
Drapeau de l'Australie Australie 11
Drapeau du Canada Canada 4
Total 84
Pays Sépultures de la Seconde Guerre mondiale
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 20

Carte de Cassini
La carte de Cassini montre qu'au XVIIIè siècle, Pavant est une paroisse située sur la rive gauche de La Marne.
Au nord est représenté un château aujourd'hui disparu dont les traces en sous-sol sont encore visibles sur les photos aériennes.
Un bac permettait de franchir La Marne pour se rendre à Charly-sur-Marne. A l'ouest, sur les hauteurs est dessiné un moulin à vent dont les vestiges sont encore présents de nos jours.

Ambulant postal[modifier | modifier le code]

Carte postale comportant le timbre à date crénelé d'ambulant postal sur la ligne d' Epinac à Chagny daté du 4 septembre 1910.

Un service d' ambulant postal a fonctionné sur cette ligne avant la guerre 14. Les lettres étaient déposées dans les gares et, dans le train, un employé oblitérait le courrier avec un timbre à date rond à créneaux, typique des cachets d'ambulants postaux français du début du XXè siècle.

Jumelages[modifier | modifier le code]

La municipalité de a conclu six jumelages[11] avec :

Architecture[modifier | modifier le code]

L'église est construite en Brique.
Construit aux XIVe et XVe siècles, le clocher-tour à qutre niveaux , classé Monument historique en 1907, est le seul clocher en brique du Comminges [12].
XIIIe et XVe siècles

  • Le Pont d'Atel
  • La Fleuriais
  • Les Quatre Croix
  • Roblin

élu[modifier | modifier le code]

Saison 2022-2023 - Effectif
Période Identité Étiquette Qualité

Cartes postales anciennes[modifier | modifier le code]

Heurtoirs[modifier | modifier le code]

Heurtoir: personnages ou visage[modifier | modifier le code]

Eglise de Beuvron-en-Auge[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin de Beuvron-en-Auge
Présentation
Type
Destination initiale
Construction
XVIIe et XXe siècles
Propriétaire
Commune
Localisation
Pays
Département
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte du Calvados
voir sur la carte du Calvados
Localisation sur la carte de Basse-Normandie
voir sur la carte de Basse-Normandie
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France

L'église Saint-Martin est une église catholique située à Beuvron-en-Auge, en France.

Localisation[modifier | modifier le code]

L'église est située dans le département français du Calvados, dans la commune de Beuvron-en-Auge.

Historique[modifier | modifier le code]

L'église a été édifiée en 1642 sur un terrain appartenant à l'abbaye l'Abbaye du Bec-Hellouin.
Vers 1920, le clocher d'origine en mauvais état, est remplacé par un clocher en brique de style néogothique [13]
D'importants travaux de restauration ont été réalisés entre 2010 et 2016.

Galerie: extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Liste des églises du Calvados

Lien externe[modifier | modifier le code]

Catégorie:Église en Calvados|Beuvron -en -Auge]] Catégorie:Église dédiée à saint Martin|Beuvron-en-Auge]]

Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran
Vue latérale de l'église, au premier plan, le tilleul planté én 1831.
Vue latérale de l'église, au premier plan, le tilleul planté én 1831.
Présentation
Type Église
Début de la construction XVe siècle
Fin des travaux XXe siècle
Protection Logo monument historique Classé MH (1988)[1]
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Ville Sarran (Corrèze)
Coordonnées 45° 24′ 35″ nord, 1° 56′ 15″ est
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
(Voir situation sur carte : Corrèze)
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran

L'église Saint-Pierre-ès-Lien est une église située à Sarran dans le département de la Corrèze.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'ancien clocher vers 1900 avant sa destruction.

Au début du XVe siècle fut construite une chapelle qui devenue aujourd'hui l'église paroissiale. Autour de la clé de voûte le première travée, est gravée la date de construction de cette chapelle : Anno Domini MCCCCIX (1409) [2].
Deux chapelles latérales furent ensuite ajoutées.
A la fin du XIXe siècle, l'église fut agrandie avec la construction d'un nouveau clocher octogonal surmonté d'un toit conique. En 1931, ce clocher qui était en mauvais état fut démoli et remplacé par la cloche-mur actuel [3].
Sont classés:

  • la cloche du clocher-mur
  • la statue de Saint-Jean-Baptiste
  • le demi-relief Les Noces de Cana
  • Le demi-relief Le Cène
  • la pieta
  • le tabernacle

L'église a été classée en 1988

Extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]


Catégorie:Église en Corrèze|Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran]] Catégorie:Église dédiée à Saint-pierre-ès-Liens|Sarran]] Catégorie:Église monument historique en Corrèze|Sarran]] Catégorie:Monument historique inscrit en 1988]]


===[modifier | modifier le code]

Église Saint-Méloir de Saint-Méloir-des-Ondes
Image illustrative de l’article Renhour48/Brouillon
L'église Saint-Méloir.
Présentation
Culte catholique
Type église paroissiale
Rattachement Archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo
Début de la construction Seconde moitié du XVIIIe siècle
Style dominant néo-gothique
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Commune Saint-Méloir-des-Ondes
Coordonnées 48° 38′ 15″ nord, 1° 54′ 14″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
(Voir situation sur carte : Ille-et-Vilaine)
Église Saint-Méloir de Saint-Méloir-des-Ondes
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Église Saint-Méloir de Saint-Méloir-des-Ondes

L' Église Saint-Méloir de Saint-Méloir-des-Ondes est une église de le seconde moitié du XVIIIe siècle située à Saint-Méloir-des-Ondes, en France.

Localisation[modifier | modifier le code]

L'église est située au centre de la commune de Saint-Benoît-des-Ondes, dans le département d'Ille-et-Vilaine.

Architecture[modifier | modifier le code]

Comme la plupart des églises chrétiennes, l'édifice est orienté est-ouest. Les hauts murs en granit sont consolidés par des contre-forts en pierre de taille. Le toit est recouvert d'ardoises.
A l'intérieur, la vaste nef de 45 m de longueur, éclairée par 5 baies en hauteur se termine par un chevet polygonal.

Historique[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Méloir a été édifiée de 1860-1884 en remplacement d'une ancienne église délabrée. Saint Méloir, martyr breton, est le patron de cette église [1].

Annexes[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Catégorie:Église en Ille-et-Vilaine|Saint-Méloir]] Catégorie:Église dédiée à saint Benoît|Saint-Méloir]]

========================[modifier | modifier le code]

Cimetière militaire de la Somme - Forest Communal Cemetery[modifier | modifier le code]

Forest Communal Cemetery
Cimetière militaire britannique de
Forest-en-Cambrésis.
Le cimetière militaire britannique de Forest-en-Cambrésis.
Pays
Département
Commune
Tombes
125
Mise en service
octobre 1918
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte du Nord
voir sur la carte du Nord

Le cimetière « Forest Communal Cemetery » est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Forest-en-Cambrésis, Nord.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé dans le village, au nord-est, à l'angle de la Grande-Rue et de la rue de Fontaine.

Historique[modifier | modifier le code]

l y a maintenant plus de 100 victimes de guerre de 1914 à 1918 commémorées sur ce site. Parmi eux, un petit nombre n’est pas identifié. Tous tombèrent en octobre et novembre 1918, dans les clairières de Forest et des environs. Ils ont été enterrés par les 17e, 33e et 38e divisions (galloises). Treize tombes allemandes d'octobre et novembre 1918 ont ensuite été retirées du cimetière.

Le terrain communal a été conçu par William Harrison Cowlishaw

Total des enterrements : 125.

Victimes identifiées : Royaume-Uni 121.

Victimes non identifiées : 4. Occupée dès la fin août 1914 par les troupes allemandes, Cantaing-sur-Escaut est restée loin des combats jusqu'au 21 novembre 1917, premier jour de la bataille de Cambrai, date à laquelle le village a été capturé par la 51e division britannique avec appui de chars. Il a été tenu contre une attaque le , mais abandonné quelques jours plus tard. Le village a été définitivement repris à la fin de septembre 1918. Ce cimetière a été créé à cette date[1]. [2]. https://www.ww1cemeteries.com/forest-communal-cemetery.html Il y a maintenant plus de 100 victimes de guerre de 1914 à 1918 commémorées sur ce site. Parmi eux, un petit nombre n’est pas identifié. Tous tombèrent en octobre et novembre 1918, dans les clairières de Forest et des environs. Ils ont été enterrés par les 17e, 33e et 38e divisions (galloises). Treize tombes allemandes d'octobre et novembre 1918 ont ensuite été retirées du cimetière

Caractéristique[modifier | modifier le code]

Il y a maintenant 68 victimes de guerre 1914-18 commémorées sur ce site dont 5 ne sont pas identifiées. Le cimetière couvre une superficie de 55 mètres carrés et est entouré par un mur de moellons sur trois côtés.

Galerie[modifier | modifier le code]

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 125

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) « Forest Communal Cemetery - Cemetery Details », sur CWGC (consulté le ).
  2. (en) « Forest Communal Cemetery - Cemetery Details », sur CWGC (consulté le ).

Liens internes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

http://www.inmemories.com/Cemeteries/forest.htm

Attention : la clé de tri par défaut « Cimetière militaire britannique de Cantaing-sur-Escaut » écrase la précédente clé « Église de Sarran ». [[Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le département du Nord [[Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Nord|Cantaing British Cemetery

Cimetière militaire de la Somme - Crucifix Corner Cemetery[modifier | modifier le code]

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Pays
Région
Département
Commune
Tombes
804
Mise en service
août 1918
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte des Hauts-de-France
voir sur la carte des Hauts-de-France
Localisation sur la carte de la Somme
voir sur la carte de la Somme

Le Crucifix Corner Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Fouilloy, dans le département de la Somme, à l'est d'Amiens.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé à la limite sud de l'agglomération sur la D23 à proximité de se l'autoroute A29.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le cimetière provisoire Crucifix Corner Cemetery en 1919.

En mars 1918, l'armée allemande lance, depuis les environs de Saint-Quentin, son Offensive du Printemps en vue conquérir Amiens. Villers-Bretonneux est prise par les chars et l'infanterie allemande le 23 avril. Ce sera leur ultime point d'avancée puisque , dès le lendemain, des milliers de soldats australiens, qui étaient venus renforcer les effectifs de l'armée britannique reprennent possesssion des ruines de la ville. Le 24 avril 1918, le premier combat de chars de l'histoire eut lieu entre Villers-Bretonneux et Cachy, et oppose trois Mark IV britanniques et trois A7V allemands. Le secteur fut le théâtre de nombreux combats d'avril jusque mi-août 1918, date à laquelle le secteur fut défintivement libéré. Le cimetière, qui doit son nom à un calvaire détruit situé à proximité, a été commencé par le Corps canadien en août 1918. Après l'armistice, il fut considérablement agrandi lorsque des tombes furent rapportées de cimetières provisoires des environs. Ce cimetière comporte les tombes de 804 soldats de la Première guerre mondiale, dont 191 ne sont pas identifiées [1],[2]

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière présente un plan rectangulaire de 60 m sur 20. Il est entouré d'une haie d'arbustes sur les deux longueurs et d'un muret de pierre.

Il a été conçu par Sir Edwin Lutyens.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 288
Drapeau de l'Australie Australie 296
Drapeau du Canada Canada 76
Drapeau de la France France 142
Drapeau de l'Empire russe Empire russe 2
Total 804


Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]


[[Catégorie:Cimetière militaire britannique dans la Somme [[Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans la Somme

Cimetière militaire de la Somme -Bagneux British Cemetery[modifier | modifier le code]

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Pays
Région
Département
Commune
Tombes
1 374
Mise en service
avril 1918
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte des Hauts-de-France
voir sur la carte des Hauts-de-France
Localisation sur la carte de la Somme
voir sur la carte de la Somme

Le Bagneux British Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Gézaincourt, dans le département de la Somme, au nord d'Amiens. Il existe un second cimetière britannique sur la commune: le Gézaincourt Communal Cemetery Extension.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est implanté à 500 m au sud-ouest de la commune, Rue de la gare, le long de l'ancienne voie ferrée.

Histoire[modifier | modifier le code]

Soldats français, britanniques et prisonniers allemands faisant panser leurs blessures par des infirmières au poste de traitement des blessés n°29 à Gézaincourt, le 27 avril 1918.© IWM (Q 9).

Le village est resté éloigné du front tout au long de la guerre 14-18.
En mars 1918, l'armée allemande lance, depuis les environs de Cambrai, son Offensive du Printemps en vue conquérir Amiens. Après 3 mois de durs combats, cette offensive est finalement stoppée le 18 juilet à une vingtaine de kilomètres de Gézaincourt par les troupes du Commonwealth.
Dès le mois de mars, des hôpitaux militaires sont implantés sur la commune pour soigner les nombreux blessés des combats.
Pour suppléer l'extension du cimetière communal, ce cimetière fut commencé en avril 1918 pour inhumer les soldats décédés des suites de leurs blessures.
Il y a aujourd'hui 1 374 militaires du Commonwealth inhumés dans ce lieu, dont seulement 3 ne sont pas indentifiés [3] [4].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Le cimetière britannique a un plan rectangulaire 75 m sur 45. Il est entouré d'une haie d'arbustes.
Le cimetière a été conçu par Sir Edwin Lutyens et George Hartley Goldsmith.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau de l'Australie Australie 985
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 860
Drapeau du Canada Canada 9
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande 6
Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud 2
Total 1 862

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]


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Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Bois-Carré British Cemetery[modifier | modifier le code]

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Cimetière britannique du Bois-Carré
Pays
Département
Commune
Tombes
508
Mise en service
avril 1917
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte des Hauts-de-France
voir sur la carte des Hauts-de-France
Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
voir sur la carte du Pas-de-Calais

Le Bois-Carré British Cemetery, Thélus est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Thélus, dans le département du Pas-de-Calais, au nord-est d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé à 500 m au sud-est de l'agglomération, Rue de Bailleul à la limite des dernières habitations.

Histoire[modifier | modifier le code]

Des soldats de l'armée britannique effectuant des travaux de construction regardent les obus tomber à proximité de Thélus.


NINE ELMS" était le nom donné par l'Armée à un groupe d'arbres situé à 460 mètres à l'est de la route principale Arras-Lens, entre Thélus et Roclincourt. Le cimetière a été commencé, après la prise de la crête de Vimy, par l'inhumation dans l'actuel Parcelle I, rangée A de 80 hommes du 14e Bataillon d'infanterie canadien, tombés le 9 avril 1917, et cette rangée ainsi que la suivante furent comblées en juin 1917. Trois enterrements furent effectués dans la parcelle I, rangée C, en juillet 1918. tombé les 9 et 10 avril 1917. LE CIMETIÈRE ROCLINCOURT SQUARE (ou Roclincourt Forward Cemetery No.5), à 1 kilomètre au nord du village de Roclincourt, renfermait les tombes de 23 soldats de la 51e (Highland) Division tombés le 9 avril 1917. 1917. SEAFORTH GRAVE, ROCLINCOURT (ou Roclincourt Forward Cemetery No.4), un peu au nord-ouest du cimetière Square. Ici furent enterrés douze sous-officiers. et des hommes du 1er/4e Bn. Seaforth Highlanders tombé le 9 avril 1917. *Les nombreux groupes de tombes creusés à cette époque par l'officier des funérailles du Corps canadien n'étaient, en règle générale, pas nommés, mais numérotés et numérotés en série. Près de 700 victimes de guerre de 1914 à 1918 sont aujourd'hui commémorées sur ce site. Parmi eux, près de 150 ne sont pas identifiés et un mémorial spécial est érigé en l'honneur d'un soldat canadien, qui serait enterré parmi eux. D'autres monuments commémoratifs spéciaux enregistrent les noms de 44 soldats du Canada et dix du Royaume-Uni, enterrés dans d'autres cimetières, dont les tombes ont été détruites par des tirs d'obus. Quatre tombes du Parcelle IV, identifiées dans leur ensemble mais non individuellement, sont marquées par des pierres tombales portant la mention supplémentaire : « Enterrée à proximité de cet endroit ». La grande majorité des tombes britanniques datent d’avril 1917 ; les Français sont de 1914 et 1915. 177 tombes françaises ont été déplacées vers d'autres cimetières. Le cimetière couvre une superficie de 3 355 mètres carrés et est entouré d'un muret de briques.


Le village de Thélus a été capturé par l'armée canadienne le 9 avril 1917, premier jour de la Bataille d'Arras et est resté aux mains des Britanniques jusqu'à la fin de la guerre.
Le cimetière britannique de Bois-Carré a été commencé par des unités de la 1re Division canadienne en avril 1917 pour inhumer les doldats victimes des combats. Il fut utilisé jusqu'en joint juin suivant.
Après l'armistice, ce cimetière fut considérablement agrandi par la concentration des nombreuses tombes des cimetières provisoires des environs.
Il y a maintanant 502 victimes de la Première Guerre Mondiale et 6 de la Seconde Guerre commémorées sur ce site dont 59 ne sont pas identifiés [5],[6].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce vaste cimetière a un plan rectangulaire de 50 m sur 35.
Il est entouré par un muret de briques .
Le cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield et William Harrison Cowlishaw.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Canada Canada 382
Royaume-Uni 126
Total 508

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]

Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Tilloy British Cemetery[modifier | modifier le code]

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Pays
Département
Commune
Tombes
1 644
Mise en service
avril 1917
Coordonnées
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Localisation sur la carte des Hauts-de-France
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Tilloy British Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Tilloy-lès-Mofflaines, dans le département du Pas-de-Calais, à l'est d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé au sud-est de l'agglomération, en limite des habitations, Rue de Wancourt.

Histoire[modifier | modifier le code]

Prisonniers allemands transportant des blessés britanniques vers un poste de secours avancé britannique à Tilloy-les-Mofflaines, avril 1917. © IWM (Q 2023)

Tilloy-Les-Mofflaines fut prise par les troupes du Commonwealth le 9 avril 1917, mais elle fut de nouveau en partie aux mains des Allemands de mars à août 1918. Le cimetière fut commencé en avril 1917 par des unités combattantes et des officiers funéraires, et les rangées A à H du terrain Je représente en grande partie les sépultures du champ de bataille. Les tombes restantes de la parcelle I, et d'autres dans les trois premières rangées de la parcelle II, représentent les combats ultérieurs de 1917 et des trois premiers mois de 1918, ainsi que le nettoyage du village en août 1918. Ces 390 sépultures originales ont été augmentées après l'Armistice. lorsque des tombes ont été apportées d'une vaste zone à l'est d'Arras et des cimetières plus petits suivants : - CIMETIÈRE DE LA PISTE D'ARTILLERIE, ARRAS, dans lequel ont été enterrés 39 soldats du Royaume-Uni tombés les 9 et 10 avril 1917 ; CHAPEL ROAD CIMETERE, WANCOURT, à mi-chemin entre la chapelle de Feuchy et Neuville-Vitasse, où furent enterrés 34 soldats du Royaume-Uni en avril 1917 ; CIMETIÈRE DE LA REDOUTE DE LA HARP, TILLOY-LES-MOFFLAINES, à proximité d'un fort allemand du côté sud du village qui fut pris par la 14e Division (légère) et les Chars le 9 avril 1917. Le cimetière contenait les tombes de 36 soldats de la K.R.R.C. et 51 autres du Royaume-Uni ; CIMETIÈRE BRITANNIQUE DE MAISON-ROUGE, TILLOY-LES-MOFFLAINES (près d'une maison sur la route principale de Cambrai), qui contenait les tombes de 89 soldats du Royaume-Uni, 14 d'Afrique du Sud, un du Canada et un de Nouvelle-Zélande, et 13 soldats allemands. Ce cimetière fut utilisé en 1917 puis de nouveau en mars, avril et août 1918 ; CIMETIÈRES DE TRANCHÉES TEES No.1 et No.2, ST. LAURENT-BLANGY (près de la route de Bailleul), dans lequel furent enterrés 32 soldats du Royaume-Uni tombés, à deux exceptions près, le 9 avril 1917 ; CIMETIÈRE BRITANNIQUE DE TELEGRAPH HILL, NEUVILLE-VITASSE, sur le versant sud-ouest de la colline entre Tilloy et Neuville-Vitasse, pris par la 14e Division le 9 avril 1917. Le cimetière contenait les tombes de 147 soldats du Royaume-Uni, presque qui appartenaient tous à la 14e Division et tombèrent en avril 1917 ; LE CIMETIÈRE DE TILLOY WOOD, du côté ouest du village, contenant les tombes de 80 soldats britanniques tombés en avril 1917 ; LE CIMETIÈRE DE LA MAISON BLANCHE, à TILLOY-LES-MOFFLAINES, à proximité d'une maison sur la route de Cambrai, contenait les tombes de 22 soldats du Royaume-Uni tombés les 11 et 12 avril 1917. Le cimetière contient aujourd'hui 1 642 sépultures du Commonwealth et commémorations de la Première Guerre mondiale. 611 des sépultures ne sont pas identifiées, mais il existe des mémoriaux spéciaux dédiés à 14 victimes connues ou soupçonnées d'être enterrées parmi elles. D'autres monuments commémoratifs spéciaux commémorent 11 hommes du 6e Bataillon. K.O.S.B., enterré au cimetière n°2 de Tees Trench, dont les tombes ont été détruites par des tirs d'obus. Le cimetière a été conçu par Sir Edwin Lutyens.


Le village de Tilloy-les-Mofflaines est pris le 9 avril 1917 par la 3e Division, suivie par la 37e. Le village de Tilly-les-Mofflaines fut pris par les troupes du Commonwealth le 9 avril 1917, au début de la Bataille d'Arras. Il fut de nouveau en partie aux mains des Allemands de mars à août 1918.
Le cimetière de Bunyans (l'origine du nom n'est pas connue) a été commencé par des unités d'infanterie entre avril et 4 juillet 1917. Le cihttps://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/62600/tilloy-british-cemetery-tilloy-les-mofflaines/metière de Bunyans contient 54 sépultures de soldats britanniques. [7],[8].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan pentagonal irrégulier.
Il est entouré entièrement clos par un muret de pierres.
La Croix du Sacrifice se dresse à l'extérieur, en borfure de la route.
Le cimetière a été conçu par Edwin Lutyens.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 1472
Drapeau du Canada Canada 61
Drapeau de l'Australie Australie 91
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande 3
Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud 15
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 2
Total 1644

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]

Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Bunyans Cemetery, Tilloy-lès-Mofflaines entièrement fini sauf photos[modifier | modifier le code]

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Pays
Département
Commune
Tombes
54
Mise en service
avril 1917
Coordonnées
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Bunyans Cemetery, Tilloy-lès-Mofflaines est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Tilloy-lès-Mofflaines, dans le département du Pas-de-Calais, à l'est d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé en pleine campagne, Allée du Cimetière , à 1 km au nord-est de l'agglomération.

Histoire[modifier | modifier le code]

Prisonniers allemands transportant des blessés britanniques vers un poste de secours avancé britannique à Tilloy-les-Mofflaines, avril 1917. © IWM (Q 2023)

Le village de Tilloy-les-Mofflaines est pris le 9 avril 1917 par la 3e Division, suivie par la 37e. Le village de Tilly-les-Mofflaines fut pris par les troupes du Commonwealth le 9 avril 1917, au début de la Bataille d'Arras. Il fut de nouveau en partie aux mains des Allemands de mars à août 1918.
Le cimetière de Bunyans (l'origine du nom n'est pas connue) a été commencé par des unités d'infanterie entre avril et 4 juillet 1917. Le cimetière de Bunyans contient 54 sépultures de soldats britanniques. [9],[10].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan rectangulaire de 21 m sur 16.
Il est entouré entièrement clos par un muret de pierres.
La Croix du Sacrifice se dresse sur un endroit dédié au fond du cimetière.
Le cimetière a été conçu par George Hartley Goldsmith.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 54

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]

Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Houdain Lane Cemetery, Tilloy-lès-Mofflaines Entièrement fini manque seulement les photos[modifier | modifier le code]

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Pays
Département
Commune
Tombes
76
Mise en service
avril 1917
Coordonnées
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Houdain Lane Cemetery, Tilloy-lès-Mofflaines est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Tilloy-lès-Mofflaines, dans le département du Pas-de-Calais, à l'est d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé en pleine campagne, Chemin des Revers , à 2,5 km au nord-est de l'agglomération.

Histoire[modifier | modifier le code]

Prisonniers allemands transportant des blessés britanniques vers un poste de secours avancé britannique à Tilloy-les-Mofflaines, avril 1917. © IWM (Q 2023)

Le village de Tilly-les-Mofflaines fut pris par les troupes du Commonwealth le 9 avril 1917, au début de la Bataille d'Arras. Il fut de nouveau en partie aux mains des Allemands de mars à août 1918.
« Houdain Lane » était une tranchée située dans la zone située entre Tilloy et Feuchy. Le cimetière a été aménagé en avril 1917 pour inhumer les victimes des combats.
Le cimetière contient 76 sépultures de la Première Guerre mondiale dont 9 ne sont pas identifiées [11],[12].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan rectangulaire de 30 m sur 15.
Il est entouré entièrement clos par un muret de briques.
La Croix du Sacrifice se dresse sur un terre-plein dédié au fond du cimetière.
Le cimetière a été conçu par Sir William Harrison Cowlishaw.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 74
Drapeau du Canada Canada 2
Total 76

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

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Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Beaurain Road Cemetery a terlminer photos = tombes[modifier | modifier le code]

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Pays
Département
Commune
Tombes
335
Mise en service
avril 1918
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Beaurains Road Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Beaurains, dans le département du Pas-de-Calais, au sud d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé au nord de l'agglomération, en bordure de la D917, Rue de La République.

Histoire[modifier | modifier le code]

Un soldat britannique sous le feu des obus allemands le 6 avril 1918.

Le cimetière a été commencé quelques jours avant la capture de Beaurains par les forces du Commonwealth le 18 mars 1917 lors de l'Offensive du Printemps. C'était un mois avant le début de la première Bataille d'Arras. Le cimetière fut utilisé jusqu'au début du mois de juin par les unités combattantes pour inhumer les soldats victimes des combats. Il fut de nouveau utilisé pendant une courte période en août et septembre 1918, lors de la deuxième bataille d'Arras.
Il contenait, à la date de l'Armistice, les tombes de 129 soldats britanniques, 15 soldats français et quatre prisonniers allemands. Il fut agrandi après l'armistice lorsque des tombes furent rapportées des champs de bataille des environs. Le cimetière contient désormais 331 sépultures et commémorations du Commonwealth de la Première Guerre mondiale dont 23 des ne sont pas identifiées. Il y a également quatre tombes allemandes [13],[14].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan trapézoïdal dont les plus grands côtés mesurent 55 m et 40 m.
Il est entouré entièrement clos par un muret de pierre naturelle.
La Croix du Sacrifice se dresse en bordure de route à l'angle sud.
Le cimetière a été conçu par Sir Edwin Lutyens.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 318
Drapeau du Canada Canada 14
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 3
Total 335

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

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Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Ayette British Cemetery Photos à mettre + nombre de victimes[modifier | modifier le code]

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Pays
Département
Commune
Tombes
678
Mise en service
avril 1918
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Ayette British Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune d' Ayette, dans le département du Pas-de-Calais, au sud d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé derrière une cour de ferme, au nord-ouest de l'hôtel de ville. Il est accessible depuis la Rue du 11 Novembre par un chemin d'une centaine de mètres.

Histoire[modifier | modifier le code]

Un soldat britannique sous le feu des obus allemands le 6 avril 1918.


Le village d'Ayette resta aux mains des Britanniques de mars 1916 jusqu'au 27 mars 1918, date à laquelle il tomba aux mains des Allemands lors de l'Offensive du Printemps. Il fut le théâtre de combats de la Division des Gardes le 28, et fut repris par la 32e Division le 3 avril 1918. Le cimetière britannique d'Ayette fut construit par les unités combattantes en mars-juin 1918 [15],[16]. Six cents mètres plus au sud se trouve le cimetière indien et chinois d'Ayette.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière présente un plan rectangulaire de 23 m sur 13.
Il est entouré entièrement clos par un muret de brique.
La Croix du Sacrifice se dresse sur un plateau surélevé contre le mur nord.
Le cimetière a été conçu par William Cowlishaw.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Total

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

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Cimetière militaire du Pas-de-Calais- Ligny-St-Flohel British Cemetery, Averdoingt[modifier | modifier le code]

Entièrement fini manquenr les photos

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Pays
Département
Commune
Tombes
678
Mise en service
avril 1918
Coordonnées
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Le Ligny-St-Flohel British Cemetery, Averdoingt est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune d' Averdoingt, dans le département du Pas-de-Calais, au sud-ouest d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé à 1 km au nord-ouets du la commune, sur la D81, en limite de la commune de Ligny-Saint-Flochel.

Histoire[modifier | modifier le code]

Soldats français à Ligny-Saint-Flochel en mai 1915.

Le secteur resta, tout au long de la guerre, loin du front qui se situait à un vingtaine de kilomètres à l'est aux environs d'Arras. Le village servira de base arrière à l'armée française jusqu'en juin 1915 puis aux armées du Commonwealth.
En avril 1918, en prévision d'une avancée allemande, des hôpitaux militaires furent implantés dans les secteur. C'est à cette date que fut commencé ce cimetière pour inhumer les soldats décédés des suites de leurs blessures. Il y a aujourd'hui 632 sépultures du Commonwealth de la Première Guerre mondiale dans ce cimetière et 46 autres tombes de guerre allemandes [17],[18].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

ce cimetière présente un plan quasi-carré de 40 m de côté.
Il est entouré entièrement clos par un muret de brique.
Le cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 632
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 46
Total 678

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

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Cimetière militaire du Pas-de-Calais - Level Crossing Cemetery entièrement fini[modifier | modifier le code]

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Pays
Département
Commune
Tombes
405
Mise en service
juin 1917
Coordonnées
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Level Crossing Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Fampoux, dans le département du Pas-de-Calais, au nord-est d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé à 800 m au sud du village, Rue des Moulins, sur le rive droite de la Canche à proximité de la voie ferrée.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ruines de Fampoux libérée par la 51e Division britannique le 29 août 1918.

Le village de Fampoux, aux mains des Allemands depuis le début de la guerre, est pris par les troupes du Commonwealth le 9 avril 1917 au début de la Bataille d'Arras
Il sera perdu fin mars 1918 lors de l'Offensive du printemps de l'armée allemande, puis repris définitivement le 26 août suivant par la 51e division d'infanterie (Highland).
Ce cimetière a été commencé en juin 1917 lorsqu'un certain nombre de tombes d'avril et de mai ont été rapportées du champ de bataille. Il a été utilisé jusqu'en mars 1918. Plus de la moitié des tombes sont celles de soldats de régiments écossais.
Le cimetière Level Crossing contient 405 sépultures dont 29 ne sont pas identifiées [19],[20].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan rectangulaire de 45 m sur 25.
Il est entièrement clos d'une muret de moellons.
Le cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 405

Galerie[modifier | modifier le code]


Liens internes[modifier | modifier le code]

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Cimetière militaire du Pas-de-Calais --Fampoux British Cemetery entièrement fini sauf photos[modifier | modifier le code]

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Pays
Département
Commune
Tombes
118
Mise en service
avril 1917
Coordonnées
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Le Fampoux British Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Fampoux, dans le département du Pas-de-Calais, au nord-est d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé au nord-ouest du village est accessible après avoir emprunté un chemin vicinal Rue Voie Herbeuse sur 800 m.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ruines de Fampoux libérée par la 51e Division britannique le 29 août 1918.

Le village de Fampoux, aux mains des Allemands depuis le début de la guerre, est pris par les troupes du Commonwealth le 9 avril 1917 au début de la Bataille d'Arras
Il sera perdu fin mars 1918 lors de l'Offensive du printemps de l'armée allemande, puis repris définitivement le 26 août suivant par la 51e division d'infanterie (Highland).
Le cimetière britannique de Fampoux (appelé autrefois cimetière Helena Trench) fut commencé en avril-juin 1917 et réutilisé par les gardes en 1918.
Ce cimetière comporte 118 sépultures de la Première Guerre mondiale, dont 8 ne sont pas identifiées [21],[22].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan rectangulaire de 25 m sur 10.
Il est entièrement clos d'une muret de moellons.
Le cimetière a été conçu par N. A. Rew.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 118

Galerie[modifier | modifier le code]


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Cimetière militaire du Pas-de-Calais --Sunken Road Cemetery entièrment fini sauf photos[modifier | modifier le code]

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Pays
Département
Commune
Tombes
196
Mise en service
avril 1917
Coordonnées
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Sunken Road Cemetery ( Le cimetière en contre-bas de la route) est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Fampoux, dans le département du Pas-de-Calais, au nord-est d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé au nord du village est accessible après avoir emprunté un chemin vicinal menant à Bailleul-Sir-Berthoult sur 800m.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ruines de Fampoux libérée par la 51e Division britannique le 29 août 1918.

Le village de Fampoux, aux mains des Allemands depuis le début de la guerre, est pris par les troupes du Commonwealth le 9 avril 1917 au début de la Bataille d'Arras
Il sera perdu fin mars 1918 lors de l'Offensive du printemps de l'armée allemande, puis repris définitivement fin août suivant.
Ce cimetière se trouve au sommet d'un chemin en contrebas menant à Bailleul Bailleul. Commencé en avril 1917, il a été utilisé jusqu'en janvier 1918. Le cimetière de Sunken Road comporte 196 sépultures dont 26 ne sont pas identifiées [23],[24].


Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan quasi pentagonal dont le plus grand côté en bordure de route mesure 50 m. Il est entièrement clos d'une muret de silex.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures [25]
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 196

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

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Cimetière militaire du Pas-de-Calais -- Crump Trench British Cemetery entière ment fini sauf photos[modifier | modifier le code]

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Pays
Département
Commune
Tombes
217
Mise en service
avril 1917
Coordonnées
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Crump Trench British Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Fampoux, dans le département du Pas-de-Calais, au nord-est d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé au milieu des bois, à 1,5 km au sud-est du village, sur la rive gauche de la Scarpe.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ruines de Fampoux libérée par la 51e Division britannique le 29 août 1918.

Aux mains des Allemands depuis le début de la guerre, le village de Fampoux est pris par les troupes britanniques le 9 avril 1917, lors de la Bataille d'Arras (1917). Il reste proche de la ligne de front alliée, mais une partie est perdue le 28 mars 1918 lors de l'Offensive du printemps de l'armée allemande. Le village, complètement en ruines, sera finalement libéré par la 51e division d'infanterie Highland le 26 août 1918.

Le cimetière britannique de Crump Trench a été crée proximité de la Tranchée Crump pour inhulmer les soldats victimes des combats entre avril et août 1917.

Ce cimetière contient 215 sépultures du Commonwealth de la Première Guerre mondiale dont 74 ne sont pas identifiées. Il y a également deux sépultures de soldats allemands [26],[27].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan rectangulaire très allongé de 55 m sur 10.
Il est entouré d'un muret de silex.
Le cimetière a été conçu par N. A. Rew.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 215
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 2
Total 217

Galerie[modifier | modifier le code]


Liens internes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-Calais]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-Calais]]


==============[modifier | modifier le code]
Acheux Military Cemetery
Pays
Région
Département
Commune
Tombes
180
Mise en service
1916
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte des Hauts-de-France
voir sur la carte des Hauts-de-France
Localisation sur la carte de la Somme
voir sur la carte de la Somme

Le Acheux Military Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune d'Acheux-en-Amiénois, dans le département de la Somme, au nord-est d'Amiens.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé à l'ouest du village, à proximité des dernières habitations.

Histoire[modifier | modifier le code]

13 avril 1918. Bataille de la Lys. Détachement du Royal Army Medical Corps marchant vers la zone avancée (civières à roues). Route d'Acheux-Forceville. © IWM Q 372.

Situé à quelques kilomètres de la ligne de front, c'est dans ce secteur qu'ont été implantés des hôpitaux de campagne pour soigner les blessés évacués de la zone de combats lors de la Bataille de la Somme .
Le cimetière d'Acheux fut commencé en juillet 1916.
Il fut abandonné en novembre et le resta jusqu'à ce que les Allemands lancent leur Offensive du Printemps qui ramena la ligne de front alliée à moins de 8 kilomètres à l'est d'Acheux en avril 1918. De nouvelles inhumations eurent lieu à cette période [28]. Le cimetière compte aujourd'hui 180 sépultures de la Première Guerre mondiale.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan quasi rectangulaire de 40 m sur 20.
Il est clos par un muret de moellons sur trois côtés et d'une haie d'arbustes.
Le cimetière a été conçu par N. A. Rew.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 179
Drapeau du Canada Canada 1
Total 180

Galerie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Cimetière militaire britannique en France|Acheux Military Cemetery ]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans la Somme| Acheux Military Cemetery]] Catégorie:Cimetière dans la Somme| Acheux-en-Amiénois]]


Varennes Military Cemetery
Pays
Région
Département
Commune
Tombes
1 220
Mise en service
1916
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte des Hauts-de-France
voir sur la carte des Hauts-de-France
Localisation sur la carte de la Somme
voir sur la carte de la Somme

Le Varennes Military Cemetery est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Varennes-en-Croix, dans le département de la Somme, au nord-est d'Amiens.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière, situé au nord-oust du village, Route de Léalvillers, non loin du cimetière communal.

Histoire[modifier | modifier le code]

Soldats britanniques blessés lors la Bataille de la Sommeen 1916 et qui ont peut-être été évacués à varennes.

Situé à quelques kilomètres de la ligne de front, c'est dans ce secteur a qu'ont été implantés des hôpitaux de campagne pour soigner les blessés évacués de la zone de combats lors de la Bataille de la Somme.
Le cimetière a été commencé en septembre 1916 pour inhumer les soldats décédés des suites de leurs blessures.
Il fut abandonné en novembre et le resta jusqu'à ce que les Allemands lancent leur Offensive du Printemps dans le secteur en avril 1918 date à laquelle de nouvelles inhumations eurent lieu [29].
Ce vaste cimetière comporte 1220 sépultures, principalement de soldats britanniques (1192). Comme les soldats arrivaient blessés avec leur plaque d'identification, contrairement aux cimetières de la ligne de front, ici un seul n'est pas identfié.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce vaste cimetière a un plan quasi carré de 55 m de côté .
Il est clos par une haie d'arbustes sur trois côtés.
Ce cimetière a été conçu par Sir Reginald Blomfield.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 1 192
Drapeau de l'Australie Australie 2
Drapeau du Canada Canada 5
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande 16
Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud 4
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 1
Total 1 220

Galerie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Catégorie:Cimetière militaire britannique en France|Varennes Military Cemetery ]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans la Somme| Varennes Military Cemetery]] Catégorie:Cimetière dans la Somme| Varennes-en-Croix]]


Église Saint-martin de Féron
Présentation
Style
Construction
XVIIe siècle, XVIIIe siècle et XIXe siècle
Propriétaire
Commune
Patrimonialité
Localisation
Pays
France
Département
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de Franceles coordonnées indiquées sont hors de la carte de géolocalisation demandée
Localisation sur la carte du Nord
voir sur la carte du Nordles coordonnées indiquées sont hors de la carte de géolocalisation demandée

L'église Saint-Martin est une église située sur le territoire de la commune de Féron, dans le département du Nord [31].

Localisation[modifier | modifier le code]

L'église est située sur la commune de Féron, dans le département du Nord.

Description[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin est protégée par un imposant donjon à base carré de 8 m de côté surmonté d'un toit à quatre pans en ardoise. Trois niveaux de construction sont bien démilmités: les deux niveaux inférieurs en granit grosier et la partie supérieure en brique. Les deux niveaux supérieurs sont eux-mêmes divisés chacun en deux étages avec une porte centrale et des meurtrières ( la porte du haut a été remplacée par l'horloge).
Sur la partie en brique sont fixés les quatre chiffres en fer forgé qui scellent la date de construction de l'édifice: 1614.

Historique[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin est construite en 1614. Des phases de reconstruction de la nef auront lieu au XVIIIe siècle et XIXe siècle.

Mobilier[modifier | modifier le code]

L'essentiel du mobilier de l'église est classé à l'inventaire général du patrimoine culturel en particulier :

  • Le maître-autel en bois peint du XVIIe
  • L'autel de la Sainte-Vierge et son retable
  • La statue de la Vierge à l'enfant
  • Le groupe sculpté de Saint Marin et le pauvre
  • La statue de Saint-Nicolas

Galerie[modifier | modifier le code]

Cartes postales anciennes[modifier | modifier le code]

Extérieur de l'église saint-Martin[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église saint-Martin[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église saint-Martin : éléments classés[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) « Crucifix Corner Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  2. (en) « Crucifix Corner Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  3. https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/5700/bagneux-british-cemetery-gezaincourt/
  4. https://www.ww1cemeteries.com/bagneux-british-cemetery.html
  5. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  6. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  7. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  8. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  9. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  10. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  11. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  12. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  13. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  14. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  15. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  16. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  17. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  18. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  19. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  20. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  21. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  22. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  23. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  24. (en) « Cremp Trench British Cemetery », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  25. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/49/Sunken_Road_Cemetery_30.jpg
  26. (en) « Crump Trench British Cemetery, Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le ).
  27. (en) « Crump Trench Cemetery Fampoux », sur www.cwgc.org, Commonwealth war graves commission (consulté le )
  28. https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/11501/acheux-british-cemetery/
  29. https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/7200/varennes-military-cemetery/
  30. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00107525
  31. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00107525

Catégorie:Féron]] Catégorie:Église fortifiée en Thiérache|Féron]] Catégorie:Monument historique inscrit en 1934]] Catégorie:Église dédiée à saint Martin|Féron]] Catégorie:Église monument historique dans le Féron Saint-Martin]]


= GUERRE 14-18[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands envahissent la France et poursuivent leur route vers l'ouest. Le front se stabilisera ensuite du côté de Péronne. Pour cette raison, Morlancourt restera loin des combats jusqu'au printemps 1918. En juillet 1916, un hôpital de campagne britannique s'installe à l'ouest du village pour soigner les victimes de la Bataille de la Somme. Les soldats décédés des suites de leurs blessures seront inhumés dans le cimetière qui porte le nom de Morlancourt British Cemetery N°1.
En mars 1918, l'Etat-Major allemand lance l'Offensive du printemps dont le but est de prendre Amiens. Peu de temps après, les Allemands s'emparent de Morlancourt. Evacué des tous ses habitants, le village restera sur la ligne de front jusqu'à sa libération par les troupes britanniques fin août 1918 et sera complètement détruit.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [1].
Alors commença une longue période de reconstruction de l'église, de la mairie, des routes et des habitations grâce aux dommages de guerre.

Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Neuilly-sur-Suize[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Neuilly-sur-Suize
Vue de l'église.
Présentation
Style
Gothique
Construction
XVe siècle
Propriétaire
Commune
Patrimonialité
Localisation
Pays
Département
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte de Grand Est
voir sur la carte de Grand Est
Localisation sur la carte de la Haute-Marne
voir sur la carte de la Haute-Marne

L' église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Neuilly-sur-Suize est une église de style gothique située à Neuilly-sur-Suize, dans le département de la Haute-Marne, en France.

Historique[modifier | modifier le code]

Cette église qui date de la fin du XVe siècle est de style gothique flamboyant. Cinq chapelles latérales d'inégales dimensions (3 du côté sud et 2 du côté nord) s'ouvrent sur la nef terminée par un chevet plat. Le clocher est bâti au-dessus de la dernière chapelle du côté nord [2].

Objets d'art[modifier | modifier le code]

  • Statue de Saint-Pierre, pape, pierre polychrome du XVIe siècle
  • Vierge à l'enfant en pierre polychrome du XVIe siècle
  • Vierge de pitié en pierre polychrome du XVIe siècle
  • Saint-Hubert, statue équestre en pierre polychrome du XVIe siècle
  • Retable d'autel en pierre datant de 1611
  • Maître autel en bois sculpté peint doré du XVIIIe siècle
  • Cadran solaire à l'angle de la chapelle sud daté de 1608


L'église est inscrite au titre de monument historique le [3].

Intérieur de l'église saint-Martin[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]


Liens internes[modifier | modifier le code]


Catégorie:Église monument historique en Haute-Marne| Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Neuilly-sur-Suize]] Catégorie:Monument historique inscrit en 1928]] Catégorie:Église dédiée à Saint-Pierre-et-Saint-Paul |Neuilly-sur-Suize]]

Église Saint-Eutrope de Grandsaigne[modifier | modifier le code]

Église Saint-Eutrope-de-Saintes de Grandsaigne
Vue de la façade avec son clocher-mur.
Vue de la façade avec son clocher-mur.
Présentation
Dédicataire Saint Eutrope
Type Église
Début de la construction XIVe siècle
Style dominant roman
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Ville Grandsaigne
Coordonnées 45° 29′ 23″ nord, 1° 55′ 07″ est
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Église Saint-Eutrope-de-Saintes de Grandsaigne
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
(Voir situation sur carte : Corrèze)
Église Saint-Eutrope-de-Saintes de Grandsaigne

L'Église Saint-Eutrope-de-Saintes de Grandsaigne est une église située à Grandsaigne dans le département de la Corrèze.

Architecture[modifier | modifier le code]

Comme la plupart des églises chrétiennes, l'édifice est orienté est-ouest. Les murs sont en granit et pierre de taille. Le toit est actuellement recouvert d'ardoises. A l'ouest, percé d'un portail de style roman, le clocher-mur avec deux baies campanaires, est supporté par deux imposants contre-forts.

Intérieur[modifier | modifier le code]

La nef simple avec deux chapelles latérales est terminée par un chevet à trois pans dont les baies sont ornées de simples vitres.
L'église ne comporte pas de chemin de croix.

Mobilier remarquable[modifier | modifier le code]

  • Le maître-autel
  • statue de Saint-Madeleine
  • statue en bois du Christ
  • retable de Saint-Eutrope

Extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]


Catégorie:Église en Corrèze|Grandsaigne]] Catégorie:Église dédiée à Saint Eutrope|Grandsaigne]]

Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran
Vue latérale de l'église, à gauche les tours du château, au premier plan, le tilleul planté én 1831.
Vue latérale de l'église, à gauche les tours du château, au premier plan, le tilleul planté én 1831.
Présentation
Dédicataire Notre-Dame
Type Église
Début de la construction XIIe siècle
Fin des travaux XIXe siècle
Style dominant roman
Protection Logo monument historique Classé MH (1977)[1]
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Ville Sarran (Corrèze)
Coordonnées 45° 22′ 00″ nord, 1° 42′ 40″ est
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
(Voir situation sur carte : Corrèze)
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Sarran

L'église Notre-Dame de Seilhac est une église située à Seilhac dans le département de la Corrèze.

Histoire[modifier | modifier le code]

Architecture[modifier | modifier le code]

L'abside à pans coupés et le chœur ont été classés au titre des Monuments historique e 1977. [2].

Extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église[modifier | modifier le code]


Cartes postales anciennes[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]


Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Attention : la clé de tri par défaut « Eglise Notre-Dame de Seihac » écrase la précédente clé « Cimetière militaire britannique de Cantaing-sur-Escaut ». Catégorie:Église en Corrèze|Notre-Dame Seilhac]] Catégorie:Église dédiée à Notre-Dame|Seilhac]] Catégorie:Église monument historique en Corrèze|Seilhac Notre-Dame]] Catégorie:Monument historique inscrit en 1977]]

Église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet
Image illustrative de l’article Renhour48/Brouillon
Vue du clocher de l'église.
Présentation
Culte catholique
Type église paroissiale
Rattachement Archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo
Début de la construction 1901
Fin des travaux 1904
Style dominant néo-gothique
Protection Logo monument historique Inscrit MH (1996)
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Commune Saint-Père-Marc-en-Poulet
Coordonnées 48° 34′ 12″ nord, 1° 58′ 24″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
(Voir situation sur carte : Ille-et-Vilaine)
Église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet

L'église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet est une église du XXe siècle située à Saint-Père-Marc-en-Poulet, en France.

Localisation[modifier | modifier le code]

L'église est située au centre de la commune de Saint-Père-Marc-en-Poulet, dans le département d'Ille-et-Vilaine.

Historique[modifier | modifier le code]

Pierre gravée de l'ancienne église sur laquelle est gravé: L'an mil quatre cent vingt-et-un, après XIII jours puis avril, après Pâques, cette église fut dédiée
.

L'église Saint-Pierre de Saint-Père-Marc-en-Poulet a été construite entre 19o1 et 1904 pour remplacer une église du XXe siècle jugée trop vétuste. Une pierre gravée insérée dans le mur nord rapelle la date de construction de l'église primitive[1]. L'église Saint-Pierre[2] possède un vitrail comportant des fragments du XIVe siècle, classé monument historique en tant qu'objet[3], remontés par le maître verrier Charles Lorin de Chartres dans les années 1920.

Galeries[modifier | modifier le code]

Extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Vitraux[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Références[modifier | modifier le code]


Catégorie:Église en Ille-et-Vilaine|Saint-Pierre]] Catégorie:Monument historique en Ille-et-Vilaine]] Catégorie:Monument historique classé en 1996]] Catégorie:Église monument historique en Bretagne|Saint-Père-Marc-en-Poulet]]

Eglise de Notre-Dame de Seihac[modifier | modifier le code]

Eglise Notre-Dame de Seilhac
Vue latérale de l'église, à gauche les tours du château, au premier plan, le tilleul planté én 1831.
Vue latérale de l'église, à gauche les tours du château, au premier plan, le tilleul planté én 1831.
Présentation
Dédicataire Notre-Dame
Type Église
Début de la construction XIIe siècle
Fin des travaux XIXe siècle
Style dominant roman
Protection Logo monument historique Classé MH (1977)[1]
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Ville Seilhac
Coordonnées 45° 22′ 00″ nord, 1° 42′ 40″ est
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Eglise Notre-Dame de Seilhac
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
(Voir situation sur carte : Corrèze)
Eglise Notre-Dame de Seilhac

L'église Notre-Dame de Seilhac est une église située à Seilhac dans le département de la Corrèze.

Histoire[modifier | modifier le code]

Une première église est mentionnée au Xe siècle dans un legs au monastère de Tulle sous le nom de Sainte-Marie de Seilhac [2]. En 1154, une bulle du pape Adrien II mentionne le seconde église dont il ne subsiste aujourdh'hui que le chœur. En 1660, un incendie détruisit la nef qui e fut reconstruite qu'un siècle plus tard. En 1955, la flèche fut détruite par un incendie provoqué par la foudre.

Architecture[modifier | modifier le code]

L'abside à pans coupés et le chœur ont été classés au titre des Monuments historique e 1977. [3].

Extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Cartes postales anciennes[modifier | modifier le code]

Extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église=[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Eglise Saint-Martin[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]


Catégorie:Église en Corrèze|Notre-Dame Seilhac]] Catégorie:Église dédiée à Notre-Dame|Seilhac]] Catégorie:Église monument historique en Corrèze|Seilhac Notre-Dame]] Catégorie:Monument historique inscrit en 1977]]

Eglise Saint-Médard de Bonnefond[modifier | modifier le code]

Église Saint-Médard de Bonnefond
L'église vue côté nord.
Présentation
Destination actuelle
Diocèse
Dédicataire
Saint Médard
Style
roman
Construction
XVe siècle, XVIIIe siècle
Propriétaire
Commune
Localisation
Pays
Département
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte de Nouvelle-Aquitaine
voir sur la carte de Nouvelle-Aquitaine
Localisation sur la carte de la Corrèze
voir sur la carte de la Corrèze

L'église Saint-Médard est une église catholique située à Bonnefond, en France[1].

Localisation[modifier | modifier le code]

L'église est située dans le département français de la Corrèze, sur la commune de Bonnefond, au centre du village, juste à côté du tilleul de Sully.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'église de Bonnefond est attestée pour la première fois dans les archives en 1202. Au XIVe siècle, elle dépendait de l'Abbaye de la Chaise-Dieu. Effondré en 1757, le clocher a été reconstruit peu après comme l'atteste une clé de voûte portant cette date[2].

Architecture[modifier | modifier le code]

De style roman, l'église n'est éclairée que par un petit oculus dans la chapelle Saint-Joseph et deux autres petites baies.
L'église est construite en pierre de taille et est recouverte d'ardoises. A l'ouest, le clocher-mur , avec deux baies campanaires, qui comporte un portail, est supporté par deux imposants contre-forts.
Le plan est formé d'un vaisseau allongé et des voûtes d'ogives supportent l'ensemble. La nef simple avec deux chapelles latérales est terminée par un chevet plat.

Objets protégés[modifier | modifier le code]

De nombreux objets de cette église, dont la plupart ne sont pas exposés pour éviter les vols, sont inscrits au titre de monuments historiques :

  • la statue de Saint Médard[3]
  • la statue de Saint Roch en bois polichrome du XVIIe siècle[4]

Une croix monumentale du XIVe siècle située contre le mur sud de l'église est inscrite au titre des Monuments historiques [5]

Galerie: extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Galerie: intérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

Annexes L'église Saint-Médard de Bonnefond est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[6].

Liens internes[modifier | modifier le code]

Portail|Corrèze|architecture chrétienne|catholicisme}}


Catégories:Liste des églises de la Corrèze|Bonnefond]] Catégorie:Église dédiée à saint Médard de Noyon|Bonnefond]]

Fin[modifier | modifier le code]

Gâteau au yaourt
Image illustrative de l’article Renhour48/Brouillon
Ingrédients typiques du gâteau au yaourt

Place dans le service Dessert
Température de service refroidi
Ingrédients yaourt, farine, sucre, huile, œufs, levure, zeste de citron

Le gâteau au yaourt est un dessert dont la base est un yaourt nature. Le pot du yaourt utilisé sert à doser les autres ingrédients, ce qui simplifie sa réalisation et la rend accessible aux enfants[7],[8].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les premières recettes de gâteau au yaourt apparaissent vers 1950 en France[9], après la généralisation de la consommation de yaourt en 1945 après la fin de la Seconde Guerre mondiale[10].

Ingrédients[modifier | modifier le code]

Hormis le yaourt nature, les ingrédients sont basiques : farine, sucre, huile, œufs, levure et zeste de citron [11]. D'autres recettes remplacent l'huile par du beurre.

Ce gâteau peut servir de base en y ajoutant des fruits en morceaux ou en jus, ainsi que du chocolat, des épices, du rhum ou du sucre vanillé.

Recette[modifier | modifier le code]

Mélanger un à un les différents ingrédients dans un saladier en utilisant le pot de yaourt pour quantifier l'huile (1/2 mesure), le sucre (2 mesures), et la farine (3 mesures).

Ajouter 2 ou 3 œufs par pot de yaourt et 1 sachet de levure chimique. Parfumer avec un sachet de sucre vanillé ou un jus de citron.

Puis, beurrer un moule et y verser le mélange.

Enfin, cuire au four préalablement préchauffé pendant 30 minutes à 180° (Thermostat 6).

Diététique[modifier | modifier le code]

Le gâteau au yaourt est un dessert faiblement calorique : environ 200 Kcal pour 100 g[12].

Uzerche - Bouquet porte-bonheur

Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

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Attention : la clé de tri par défaut « Gateau au yaourt » écrase la précédente clé « Eglise Notre-Dame de Seihac ».

BOITE DEROULANTE Modèle vide[modifier | modifier le code]

Boite déroulante Modèles Galerie de photos[modifier | modifier le code]

Boite déroulante Description Eglises[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Dictionnaoire du pas de calais[2]
croisilles[3] Vaulx-vraucourt[4] château de Vaulx[5]
Lagnicourt texte[6] Ligne drocourt -quéant[7]
Mory[8]

Saison 2022-2023[modifier | modifier le code]

Avec un effectif renouvelé à près de 80%, au vu des résultats décevants des matches de préparation et de la Leaders Cup, cette nouvelle saison s'annonce incertaine.
Pourtant, au fur et à mesure des matches, la cohésion et l'efficacité de l'équipe s'affirment, et, grâce à une invincibilité à domicile lors des 11 premiers matches et aussi à de précieuses victoires à l'extérieur contre des équipes prétendant à la montée, le club intègre le haut du tableau dès la mi-championnat.
A l'issue du dernier match de la saison régulière, Saint-Quentin Basket-Ball et Châlons-sur-Saône terminent en tête avec chacun 25 victoires. Avec un point-average favorable (+3) sur son adversaire, SQBB est champion de Pro B saison 2022-2023 et a ainsi la possibilité d'intégrer l'élite du basket français qu'il a quittée en 1993.
Le club a l'honneur de posséder en son sein les trois MVP de ProB de la saison:

Palmarès[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Si son origine remonte sans doute à la période Gallo-romaine, l’histoire de Vergèze n’a pas laissé de traces jusqu’au début du XIVe siècle. Au XVIIIe siècle, on peut signaler une bataille qui oppose les Camisards aux troupes royales, durant la guerre des Cévennes.

Jusqu’au XIXe siècle, Vergèze a surtout été un village à vocation agricole. La principale culture était la vigne et l’économie villageoise était tournée vers cette production. La plupart des habitants se répartissaient dans les professions suivantes : viticulteurs, tonneliers, négociants en vin. Cette empreinte peut encore s'observer sur les maisons de vignerons de la « rue Neuve » ou de la « rue d’Entrevignes », et la reconstitution d’un atelier de tonnellerie avec des mannequins animés, grandeur nature, se veut être un hommage à cette époque révolue.

De nos jours, si le vin produit par les viticulteurs est un excellent vin de table commercialisé par la cave coopérative des « Vignerons de la voie d’Héraclès », la richesse de la commune vient surtout de l’exploitation sur le territoire de la Source Perrier.

Connue depuis l’antiquité, l’eau de cette source était surtout consommée pour ses vertus médicales : atonie gastrique ou états nauséeux. La source d’eau minérale n’a cependant été exploitée industriellement que depuis le début du XXe siècle.

Actuellement, ce sont plus de 1 500 employés qui travaillent dans une usine dont les bâtiments couvrent plusieurs hectares et dont la production est exportée.

Margival [9] Armorial de Lorraine [10]
Armorial illustré très bien[11]

    • D’ailleurs son vieil ami le notaire, et transmutait tout en or et en argent qui venait se réunir secrètement aux sacs empilés dans le cabinet. Modèle:Source

Vernègues Château[12]
séisme de 1700[13]
nombre de morts[14]

Naissance Clédat[15] papeteri de Thenailles [16] Thernailles [17] Abbaye de Thenailles [18] Chemin de laon à Hirson Halte à Voyennes[19] Lignes du département[20]

[21]
Réélu pour le mandat 2020-2026

[22]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

[23] [24]
(Drapeau de l'Espagne Espagne)

(Drapeau de la France France)

(Drapeau d'Andorre Andorre)
Océan atlantique
(Drapeau de la Suisse Suisse),Neuchâtel
(Drapeau de la France France)
Côtes-d'Armor
Vienne La Manche
Le Rhône (Alpes-de-Haute-Provence)
Estuaire de la Loire
La Loire
Océan atlantique
Ille-et-Vilaine
Deux-Sèvres
Loir-et-Cher
Sarthe
Indre-et-Loire
La Vienne
Le Cher
Vienne

Indre

Sarthe

Indre-et-Loire

XIXe siècle[modifier | modifier le code]


Vaucluse
Bouches-du-Rhône
Hérault
Ardèche
Gard La Manche Le Mesnil-Mauger (comm. ass. d'Écajeul)

Communes limitrophes de Renhour48/Brouillon
[[]] [[]] [[]]
[[]] Renhour48/Brouillon [[]]
[[]] [[]] [[]]

Léman

Communes limitrophes de Nom ?
[[]] [[]] [[]]
[[]] Nom ? [[]]
[[]] [[]] [[]]
Communes limitrophes de Renhour48/Brouillon
[[]] [[]]
Renhour48/Brouillon
[[]] [[]]
Communes limitrophes de Renhour48/Brouillon
[[]]
[[]] Renhour48/Brouillon [[]]
[[]]


  

élu[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité

Liste des monuments aux morts dazns le Gers[modifier | modifier le code]

Cet article vise à recenser les monuments aux morts dans les Ardennes, en France.

Liste[modifier | modifier le code]

Les monuments sont classés par ordre alphabétique de communes, ou anciennes communes.

Œuvre Auteur Commune Localisation Notes Installation Coordonnées Illustration
Monument aux morts À déterminer Acy-Romance À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Aiglemont À déterminer À déterminer à géolocaliser
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Monument aux morts À déterminer Aire À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Alincourt À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Alland'Huy-et-Sausseuil À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Amagne À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Ambly-Fleury À déterminer Monument surmonté d'un coq À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Anchamps À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Angecourt À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Annelles À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Antheny À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Aouste À déterminer Soldat au repos À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Apremont À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Ardeuil-et-Montfauxelles À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Arnicourt À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Arreux À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Artaise-le-Vivier À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Asfeld À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Attigny À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Aubigny-les-Pothées À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Auboncourt-Vauzelles À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Aubrives À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Auflance À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Auge À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Aure À déterminer Monumentsurmonté d'un coq À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Aussonce À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Authe À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Autrecourt-et-Pourron À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Autruche À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Autry À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Auvillers-les-Forges À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Avançon À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Avaux À déterminer À déterminer à géolocaliser
Image manquante
Monument aux morts À déterminer Les Ayvelles À déterminer À déterminer à géolocaliser
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Monument aux morts À déterminer Baâlons À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Bairon et ses environs (Louvergny) À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Bairon et ses environs (Le Chesne) À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Bairon et ses environs (Les Alleux) À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Balan À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Balham À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Ballay À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Banogne-Recouvrance À déterminer À déterminer à géolocaliser
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Monument aux morts À déterminer Bar-lès-Buzancy À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Barbaise À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Barby À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Bayonville À déterminer À déterminer à géolocaliser
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Monument aux morts À déterminer Beaumont-en-Argonne À déterminer À déterminer à géolocaliser
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Monument aux morts À déterminer Beffu-et-le-Morthomme À déterminer À déterminer à géolocaliser
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Monument aux morts À déterminer Belleville-et-Châtillon-sur-Bar (Belleville-sur-Bar) À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Belleville-et-Châtillon-sur-Bar (Châtillon-sur-Bar) À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer [[Belval (Ardennes)

]]

À déterminer À déterminer à géolocaliser
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Monument aux morts À déterminer Belval À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Belval-Bois-des-Dames À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Bergnicourt À déterminer À déterminer à géolocaliser
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Monument aux morts À déterminer La Berlière À déterminer Monument moderne À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer [[]] À déterminer À déterminer à géolocaliser
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Monument aux morts À déterminer Le Chesne À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
Monument aux morts À déterminer Louvergny À déterminer À déterminer à géolocaliser Monument aux morts
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Liens externes[modifier | modifier le code]

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Catégorie:Culture dans le Gers Monuments aux morts Gers *

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Définition : Pélican », sur Église catholique en France (consulté le )
  2. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f63.item.r=vraucourt
  3. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f63.item.r=croisilles
  4. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f125.item.r=vaulx-vraucourt
  5. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f135.
  6. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4533641r/f3.item.r=Lagnicourt.zoom
  7. https://www.archivespasdecalais.fr/Decouvrir/Chroniques-de-la-Grande-Guerre/Histoires-de-la-Grande-Guerre/Le-percement-de-la-ligne-Drocourt-Queant-2-3-septembre-1918
  8. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f111.item.r=mory
  9. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k61166709/f31.item.r=Montgarny
  10. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54910319.r=Baissey?rk=21459;2
  11. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111469d/f140.item
  12. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56742417/f3.image.r=Vern%C3%A8gues?rk=128756;0
  13. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62543700/f2.image.r=Vern%C3%A8gues?rk=450646;0
  14. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k46408945/f2.item.r=Vern%C3%A8gues.zoom
  15. http://www.archinoe.fr/cg19/visu_affiche.php?PHPSID=1fad930c9a10257805f1f2185c1c5e17&param=visu&page=1#
  16. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f44.item.r=Thenailles
  17. http://www.histoireaisne.fr/memoires_numerises/chapitres/tome_02/Tome_002_page_080.pdf
  18. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k454014z/f16.item.r=thenailles
  19. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5499818p/f71.image.r=Voyenne?rk=1587990;4
  20. https://www.facs-patrimoine-ferroviaire.fr/histoire/les-chemins-de-fer-secondaires/liste/02
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  23. https://www.habitants.fr/puy-de-dome-63
  24. http://www.habitants.ch/habitants_suisse_canton-de-vaud_02.html

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

élu[modifier | modifier le code]

Saison 2022-2023 - Effectif
Période Identité Étiquette Qualité


Carte des cognacs
Carte des cognacs

Eglise de Notre-Dame de Seihac[modifier | modifier le code]

Eglise Notre-Dame de Seilhac
Vue latérale de l'église.
Vue latérale de l'église.
Présentation
Dédicataire Notre-Dame
Type Église
Début de la construction XIIe siècle
Fin des travaux XIe siècle
Style dominant gothiqe
Protection Logo monument historique Classé MH (1977)
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Ville Seilhac
Coordonnées 45° 22′ 00″ nord, 1° 42′ 40″ est
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Eglise Notre-Dame de Seilhac
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
(Voir situation sur carte : Corrèze)
Eglise Notre-Dame de Seilhac

L'église Notre-Dame de Seilhac est une église située à Seilhac dans le département de la Corrèze.

Histoire[modifier | modifier le code]

https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Eglise_Notre-Dame_de_Seilhac_-_Informations.jpg

Architecture[modifier | modifier le code]

L'église est un des plus beaux exemples d'architecture romane en Bas Limousin. Elle a été classée Monument Historique le [1].


Extérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Les statues[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Eglise Saint-Pierre », notice no PA00099955, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]


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Toponymie du pas de Calais[modifier | modifier le code]

Tropnymie [3]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire du village est traversé du 'Omignon prend sa source au nord-ouest du village. Le territoire de la commune n'est traversé par aucun cours d'eau.
Le territoire du village est traversé du sud au nord par la Selle, affluent de l' Escaut.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée du sud au nord par le cours d'eau La Suize qui prend sa source à Courcelles-en-Montagne et qui se jette dans La Marne à Chaumont.
Deux vieux ponts en pierre permettent à la Rue du Pont et à la Rue de La Planche de franchir ce cours d'eau.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Ru Lua se jette au centre du village dans le ruisseau L'Ordrimouille qui traverse le territoire du sud au nord et qui conflue avec l'Ourcq à Nanteuil-Notre-Dame.

Toponymie[modifier | modifier le code]

XVIIIe siècle
Vendresse: Le nom du village apparaît pour la première fois en 1136 sous le nom de Venderessa, puis Venderissa en 1185 dans un cartulaire de l'Abbaye de Vauclair. Le nom évoluera encore de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs: Communitas de Venderesse, Vendrece, Vanderesse, Venderesse-en-Laonnois, Vandresse enfin l'orthographe actuelle Vendresse au XVIIIe siècle sur la carte de Cassini [4].
Troyon: hameau de la commune de Vendresse-et-Troyon est cité pour la première fois en 1136 sous le nom de Troion puis Troium, Tryon-en-Laonnois, Troions et enfin l'orthographe actuelle Troyon au XVIIIe siècle sur la carte de Cassini [5]. Troyon a été uni a Vendresse par décret du 30 août 1804.
Beaulne: Est cité en 1143 sous le nom de Behelna puis Belna, Biaune, Byanne, Beaunne, Paroisse Saint-Victor de Beaulne, Beaulne et Chivy en 1709. La commune a été instituée par Philippe Auguste en 1184 [6].
Chivy: hameau de la commune de Beaulne-et-Chuvy, est cité en 1184 sous le nom de Chevis puis Chievi, Chiviacum-squper-Auxonam, Chivi-Beaune en 1474 et Chivy-Beaulne en 1685 [7].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village apparaît pour la première fois en 1136 sous l'appellation latine de Paxiacum. Ce nom évoluera ensuite de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs :Passi, Passeicum, Paissi, Paysi, Payssiacum, Territorium de Payssi, Passi, Paissiacum, Passiacum et enfin l'écriture actuelle Paissy sur la Carte de Cassini au milieu du XVIIIe siècle [8]

Histoire[modifier | modifier le code]

L'histoire de la commune est consultable dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873 tome3[9]

L'histoire de la commune est consultable dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873 [10].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Passage à niveau et ancienne maison du garde barrière sur la ligne d'Hirson à Liart.

Logny-lès-Aubenton est traversé par la D 38 qui relie Aubenton à Hannappes.
La ligne de chemin de fer d'Hirson à Liart traverse également le village. Un passage à niveau permet de franchir la Rue de Ribeauvillé.

Paysages et relief[modifier | modifier le code]

Monographie[modifier | modifier le code]

La Bibliothèque nationale possède une monographie sur la commune fort complète écrite par Henry-Fernand Carpentier en 1896 consultable en cliquant sur le lien ci-après [11].

GUERRE 14-18[modifier | modifier le code]

QUéant - Première Guerre mondiale
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Bullecourt et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en septembre 1918. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à à la limite de Fontaine-lès-Croisilles.
La Ligne Hindenburg qui comprend un important réseau de barbelés, de bunkers, de postes de mitrailleuses et qui s'appuie sur les constructions non détruites des villages à l'arrière, résistera aux assauts incessants des alliés jusqu'au 27 aôut 1918, date du percement de la ligne Hindenburg entre Drocourt et Quéant par la première Division canadienne. [17].
Evacué de ses habitants dès 1917, le village est complètement détruit.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [18].
Alors commença une longue période de reconstruction de l'église, de la mairie, des routes et des habitations grâce aux dommages de guerre.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. SNCF, « Fréquentation en gares », sur data.sncf.com, (consulté le ).
  2. Ces estimations tiennent compte de l'ensemble des voyageurs transitant dans ces gares. Dans le cas où ces dernières sont également implantées sur d'autres lignes ouvertes (elles sont alors mentionnées en caractères gras), une partie du nombre de voyageurs indiqués n'a pas fréquenté la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière).
  3. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1101013/f258.image
  4. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f331.item.zoom
  5. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f321.item.zoom
  6. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f366.item.zoom
  7. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f113.item.zoom
  8. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f253.item.zoom
  9. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k361218.r=Beugny?rk=42918;4
  10. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36118c/f16.item
  11. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k135269c/f1.item.r=Iviers
  12. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Morchies_-_Attaque_allemande_du_31_mars_1918.jpg
  13. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Morchies_4_septembre_1918.jpg
  14. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  15. https://www.archivespasdecalais.fr/Decouvrir/Chroniques-de-la-Grande-Guerre/Histoires-de-la-Grande-Guerre/Le-percement-de-la-ligne-Drocourt-Queant-2-3-septembre-1918
  16. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  17. https://www.archivespasdecalais.fr/Decouvrir/Chroniques-de-la-Grande-Guerre/Histoires-de-la-Grande-Guerre/Le-percement-de-la-ligne-Drocourt-Queant-2-3-septembre-1918
  18. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Cimetière militaire du Nord- Saint-Vaast Communal Cemetery Extension[modifier | modifier le code]

Utilisateur:Renhour48/Brouillon
Extension du cimatière communal de Saint-Vaast
Pays
Région
Département
Commune
Tombes
46
Mise en service
novembre 1916
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte des Hauts-de-France
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Le Hunter's Cemetery (Le Cimetière des Chasseurs) est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Beaumont-Hamel, dans le département de la Somme, au nord-est d'Amiens.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé à l'intérieur du Mémorial terre-neuvien de Beaumont-Hamel.

Histoire[modifier | modifier le code]

Soldats du Lancashire Fusiliers dans une tranchée à Beaumont Hamel en 1916.

L'extension du cimetière communal de Saint-Vaast a été réalisée par la division des gardes dans la seconde moitié d'octobre 1918, après la prise du village, lorsqu'ils ont enterré 31 de leurs officiers et hommes dans les rangées A, B et C. La rangée D a été ajoutée après la Armistice lors du transfert des tombes du CIMETIÈRE COMMUNAL DE HASPRES EXTENSION ALLEMANDE. L'extension contient 45 sépultures et commémorations de la Première Guerre mondiale. L'une des sépultures n'est pas identifiée et il existe des mémoriaux spéciaux pour deux victimes enterrées dans l'extension allemande à Haspres, dont les tombes n'ont pu être retrouvées. [1].

Caractéristique[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan circulaire de 15 m de diamètre. Il est entouré par un muret de moellons.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 46

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]


Catégorie:Cimetière militaire britannique en France| Hunter's Cemetery]] Catégorie:Lieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans la Somme| Hunter's Cemetery]] Catégorie:Cimetière dans la Somme| Hunter's Cemetery]]

Historique[modifier | modifier le code]

Le village a été occupé par les Allemands dès fin et est resté loin des combats jusqu'à libération par les troupes britanniques en .
Au cours de la guerre, le cimetière de Ligny a été utilisé par les Allemands pour inhumer leurs morts et les soldats britanniques rapatriés dans le shôpitaux de l'arrière, décédés des suites de leurs blessures. Les tombes allemandes ont été enlevées après l'armistice [2]. L'extension du cimetière communal de Saint-Vaast a été réalisée par la division des gardes dans la seconde moitié d'octobre 1918, après la prise du village, lorsqu'ils ont enterré 31 de leurs officiers et hommes dans les rangées A, B et C. La rangée D a été ajoutée après la Armistice lors du transfert des tombes du CIMETIÈRE COMMUNAL DE HASPRES EXTENSION ALLEMANDE. L'extension contient 45 sépultures et commémorations de la Première Guerre mondiale. L'une des sépultures n'est pas identifiée et il existe des mémoriaux spéciaux pour deux victimes enterrées dans l'extension allemande à Haspres, dont les tombes n'ont pu être retrouvées.

Cimetière militaire de la Somme - Bouzincourt Communal Cemetery Extension[modifier | modifier le code]

Utilisateur:Renhour48/Brouillon
Pays
Région
Département
Commune
Tombes
624
Mise en service
1916
Coordonnées
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Le Bouzincourt Ridge Cemetery, Albert est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Bouzincourt, dans le département de la Somme, à l'est d'Amiens.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé au nord-ouest du village, Rue Jérôme, au fond du cimetière communal.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ruines de l'église en 1919.

En 1916, le village de Bouzincourt, situé loin de la ligne de front, fut utilisé par des ambulances de campagne pour soigner les blessés rapatriés des zones de combat. C'est à cette date que fut commencé le premier cimetière situé dans le cimetière communal, pour inhumer les soldats décédès des suites de leurs blessures.
L'extension du cimetière fut ensuite utilisée jusqu'en 1917.
De fin mars à septembre 1918, lors de l'Offensive du printemps de l'armée allemande, de nombreuse vistimes des combats furent inhumées.
L'extension contient désormais 322 sépultures et commémorations du Commonwealth de la Première Guerre mondiale dont 108 ne sont pas identifiées. Il y a également 2 tombes de soldats allemands. L'extension a été conçue par Sir Reginald Blomfield De 1915 à 1917, le village de Dernancourt, situé loin de la ligne de front, fut utilisé par des ambulances de campagne pour soigner les blessés rapatriés des zones de combat. C'est à cette date que fut commencé ce cimetière pour inhumer les soldats décédès des suites de leurs blessures.
En mars 1918, lors de l'Offensive du printemps, le secteur fut occupé par les Allemands. Lors de la Première bataille de Dernancourt de violents combats eurent lieu pour la conquête de la voie ferrée . Le secteur fut définitivement repris en août 1918.
Ce cimetière comporte les tombes de 2 165 soldats du Commonwealth

[3]

Caractéristique[modifier | modifier le code]

Ce vaste cimetière a un plan quasi rectangulaire de 45 m sur 40.
Il est entouré d'une mur de moellons sur trois côtés et d'une haie d'arbustes pour la séparation avec le cimetière communal.
L'extension a été conçue par Sir Reginald Blomfield.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 670
Drapeau de l'Australie Australie 35
Drapeau du Canada Canada 6
Total 711

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]


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Cimetière militaire du Pas-de-Calais --Bellacourt Military Cemetery, Rivière[modifier | modifier le code]

Utilisateur:Renhour48/Brouillon
Au fond, la terrasse et la Croix du Sacrifice.
Pays
Département
Commune
Tombes
539
Mise en service
octobre 1914
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
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Localisation sur la carte des Hauts-de-France
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Bellacourt Military Cemetery, Rivière est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Rivière (Pas-de-Calais), dans le département du Pas-de-Calais, au sud-ouest d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé à 500 m à l'ouest du village, au lieu-dit Bellacourt, chemin de Basseux.

Histoire[modifier | modifier le code]

Etat de l'église de Rivière à l'issue de la guerre 14-18.

Le cimetière a été commencé par les troupes françaises en octobre 1914 lors des combats de la Course à la mer. La dédense du secteur a été confiée aux Britanniques début 1916 et les victimes britanniques et canadiennes ont été inhumées dans ce cimetière jusqu'à la fin de la guerre. Il y a 434 sépultures du Commonwealth de la guerre de 1914-18 commémorées sur ce site, dont 1 seule non identifiées. Il y a également 116 sépultures françaises ici et 1 sépulture allemande inconnue [4].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce vaste cimetière mesure 70 m sur 60.
La terrase du fond du cimetière, accessible par deux escaliers monumentaux, où sont posées la Croix du sacrifice et la stèle de la mémoire, représente un rectagle de 35 m sur 15.
Le cimetière couvre une superficie de 3 600 mètres carrés et est entouré d'un mur de moellons.
Le cimetière a été conçu par Sir Edwin Lutyens et le capitaine Wilfred Clement Von Berg.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 259
Drapeau du Canada Canada 173
Drapeau de la France France 116
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 1
Total 539

Galerie[modifier | modifier le code]


Liens internes[modifier | modifier le code]

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Cimetière militaire du Pas-de-Calais --Le Fermont Military Cemetery, Rivière[modifier | modifier le code]

Utilisateur:Renhour48/Brouillon
Pays
Département
Commune
Tombes
81
Mise en service
mars 1916
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
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Localisation sur la carte des Hauts-de-France
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Localisation sur la carte du Pas-de-Calais
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Le Le Fermont Military Cemetery, Rivière est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Rivière (Pas-de-Calais), dans le département du Pas-de-Calais, au sud-ouest d'Arras.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière est situé à 1,5 km au nord-est du village, rue du Fermont.

Histoire[modifier | modifier le code]

Etat de l'église de Rivière à l'issue de la guerre 14-18.

Le secteur était situé juste à l'arrière de la ligne de front. Ce cimetière a été commencé en mars 1916 et fermé en mars 1917, à l'exception d'un enterrement en mars 1918. Il contient 81 sépultures de la Première Guerre mondiale.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan rectangulaire de 35 m sur 16.
Il est entouré d'un muret de moellons sur 3 côtés.
Ce cimetière a été conçu par l'architecte William Harrison Cowlishaw.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 81

Galerie[modifier | modifier le code]


Liens internes[modifier | modifier le code]

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Cimetière dans l'aisne : Saint-Erme Communal Cemetery Extension =[modifier | modifier le code]

Utilisateur:Renhour48/Brouillon
Pays
Département
Commune
Tombes
84
Mise en service
fin 1918
Coordonnées
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Localisation sur la carte des Hauts-de-France
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Localisation sur la carte de l’Aisne
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Le Saint-Erme Communal Cemetery Extension est un cimetière militaire de la Première Guerre mondiale, situé sur le territoire de la commune de Saint-Erme-Outre-et-Ramecourt, dans le département de l'Aisne, à l'est de Laon.

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce cimetière jouxte le cimetière communal au nord-est du village de Saint-Erme. Pour y accéder, il faut pénétrer à l'intérieur dudit cimetière.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ruines de la gare de Saint-Erme à l'issue de la guerre 14-18.

Le secteur de Saint-Erme-Outre-et-Ramecourt a été aux mains des Allemands pendant presque toute la guerre de 1914-1918 et ne fut libéré qu'en octobre 1918.
C'est après l'armitice que ce cimetière a été créé par le regroupement de tombes de soldats britanniques unhumés par les Allemands dans leurs cimetières. La plupart sont décédés de leurs blessures en 1918 après avoir été recueillis par les Allemands, notamment 18 victimes le 24 juillet 1918 lors de la contre-offensive alliée.
Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, les corps de huit aviateurs (6 Britanniques et 2 Canadiens) seront inhumés dans ce cimetière après que leur avion ait été abattu le 16 avril 1943.
Ce cimetière comporte 76 sépultures du Commonwealth de la guerre 1914-18, dont 7 non identifiées et 8 de la guerre 1939-1945 [5]

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Ce cimetière a un plan rectangulaire très allongé aux angles arrondis de 45 m sur 12.
Il est entouré d'un muret de moellons.

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 84

Galerie[modifier | modifier le code]

Liens internes[modifier | modifier le code]

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Boite mémorial[modifier | modifier le code]

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Le mémorial cite les noms des 7048[10] soldats originaires du Royaume-Uni et d'Afrique du Sud morts pendant la bataille de Cambrai en novembre et décembre 1917 et qui n'ont pas été retrouvés[11].

Le mémorial a été conçu par Harold Chalton Bradshaw qui a également conçu le monument à la mémoire des Disparus de Ploegsteert en Belgique[12]. Ce mémorial comporte une sculpture de Charles Sargeant Jagger. De part et d’autre de la rotonde semi-circulaire, sont gravées deux scènes de la vie des tranchées : l’assaut et l’évacuation des blessés. Au centre de l’hémicycle se dresse la pierre du souvenir[13].

Il a été inauguré le par le Lieutenant-Général britannique Sir Louis Ridley Vaughan.

Mémorial de Louverval le 24 novembre 2017 peu de temps avant un Drumhead Service par le Royal Tank Regiment marquant le 100e anniversaire de la Bataille de Cambrai

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Le mémorial cite les noms des 7048[14] soldats originaires du Royaume-Uni et d'Afrique du Sud morts pendant la bataille de Cambrai en novembre et décembre 1917 et qui n'ont pas été retrouvés[11].

Le mémorial a été conçu par Harold Chalton Bradshaw qui a également conçu le monument à la mémoire des Disparus de Ploegsteert en Belgique[12]. Ce mémorial comporte une sculpture de Charles Sargeant Jagger. De part et d’autre de la rotonde semi-circulaire, sont gravées deux scènes de la vie des tranchées : l’assaut et l’évacuation des blessés. Au centre de l’hémicycle se dresse la pierre du souvenir[15].

Il a été inauguré le par le Lieutenant-Général britannique Sir Louis Ridley Vaughan.

Mémorial de Louverval le 24 novembre 2017 peu de temps avant un Drumhead Service par le Royal Tank Regiment marquant le 100e anniversaire de la Bataille de Cambrai

Résumé de la bataille[modifier | modifier le code]

Sir Douglas Haig a décrit l'objet des opérations de Cambrai comme un succès local par une attaque surprise à un point où l'ennemi ne s'y attendait pas et, dans une certaine mesure, ils ont réussi.

La méthode d'assaut proposée était nouvelle, sans bombardement d'artillerie préliminaire. Au lieu de cela, les chars seraient utilisés pour percer le front allemand, avec l'infanterie à la suite de barrages de fumée. L'attaque a commencé tôt le matin du et les premiers progrès ont été remarquables. Cependant, avant le , un arrêt a été demandé pour le repos et la réorganisation, permettant aux Allemands de se renforcer. Du 23 au , les combats se sont concentrés presque entièrement autour de Bourlon Wood et, le , il était clair que les Allemands étaient prêts pour une contre-attaque majeure. Pendant les combats acharnés des cinq jours suivant, une grande partie du terrain gagné au cours des premiers jours de l’attaque a été perdue. Pour les Alliés, les résultats de la bataille ont finalement été décevants mais de précieuses leçons ont été tirées concernant les stratégies et les approches tactiques au combat. Les Allemands avaient également découvert que leurs lignes de défense fixes, aussi bien préparées soient-elles, étaient vulnérables[16].

44 200 britanniques et 50 000 allemands y perdirent la vie en une quinzaine de jours[17].

Noms notables[modifier | modifier le code]

Sept soldats qui n'ont pas de tombe connue ont reçu la Croix de Victoria[18] :

  • Soldat George William Burdett Clare
  • Soldat Frederick George Dancox
  • Second Lieutenant James Samuel Emerson
  • Major Frederick Henry Johnson
  • Capitaine Allastair Malcolm Cluny McReady-Diarmid
  • Capitaine Walter Napleton Pierre
  • Capitaine Richard William Leslie Wain

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/24203/st-vaast-communal-cemetery-extension/
  2. https://www.cwgc.org/find-a-cemetery/cemetery/33504/ligny-en-cambresis-communal-cemetery/
  3. https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/2000051/bouzincourt-communal-cemetery-extension/
  4. https://www.ww1cemeteries.com/bellacourt-military-cemetery.html
  5. https://www.cwgc.org/visit-us/find-cemeteries-memorials/cemetery-details/2067142/st-erme-communal-cemetery-extension/
  6. Chris Baker, « The Cambrai Operations: November-December 1917 », The Long, Long Trail: The British Army of 1914-1918, sur The Long, Long Trail: The British Army of 1914-1918, (consulté le )
  7. « Cambrai Memorial, Louverval », Commonwealth War Graves Commission, sur Commonwealth War Graves Commission, (consulté le )
  8. « Louverval Military Cemetery, Doignies », Commonwealth War Graves Commission, sur Commonwealth War Graves Commission, (consulté le )
  9. « Mémorial de Louverval », sur www.tourisme-cambresis.fr (consulté le )
  10. « The Cambrai Battlefields: Louverval Memorial to the Missing », World War One Battlefields, sur World War One Battlefields, (consulté le )
  11. a et b « CWGC Memorials » [archive du ], Malvern Remembers, sur Malvern Remembers (consulté le )
  12. a et b « Ploegsteert Memorial », Commonwealth War Graves Commission, sur Commonwealth War Graves Commission, (consulté le )
  13. « Louverval », sur Sites funéraires et mémoriels de la première guerre mondiale - Front Ouest (consulté le )
  14. « The Cambrai Battlefields: Louverval Memorial to the Missing », World War One Battlefields, sur World War One Battlefields, (consulté le )
  15. « Louverval », sur Sites funéraires et mémoriels de la première guerre mondiale - Front Ouest (consulté le )
  16. https://www.cwgc.org/find-a-cemetery/cemetery/26606/LOUVERVAL%20MILITARY%20CEMETERY,%20DOIGNIES
  17. « 28 - Mémorial de Louverval », sur www.tourisme-cambresis.fr (consulté le )
  18. « Names of Victoria Cross holders on the Cambrai Memorial, France », Victoria Cross.org.uk, sur Victoria Cross.org.uk, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Catégorie:Cimetière dans le département du Nord Catégorie:Mémoire de la Première Guerre mondiale en France


Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx
Image illustrative de l’article Renhour48/Brouillon
Vue latérale de l'église en mai 2022.
Présentation
Culte Catholique romain
Type église paroissiale
Rattachement Archidiocèse de Toulouse
Début de la construction Moyen-Age
Fin des travaux XIXè
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Ville Sepx
Coordonnées 43° 09′ 20″ nord, 0° 50′ 28″ est
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
(Voir situation sur carte : Haute-Garonne)
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx

L' église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx est une église située dans la commune de Sepx , Haute-Garonne en France.

Localisation[modifier | modifier le code]

L'église, avec son immense clocher blanc visible de très loin, est située au centre du bourg.

Panorama du village depuis la chapelle Saint-Roch.

Historique[modifier | modifier le code]

Ancienne église fortifiée dont le clocher est flanqué de deux tours et surmonté d'un pignon ajouré. A l'intérieur, les colonnes supportent des chapiteaux historiés, en plâtre fin sculpté, faits en 1880. Ce détail présente un intérêt dans le cadre d'une école de sculpture d'inspiration romane. Le reste de l'église a été entièrement remanié avec, de 1877 à 1884, construction de contreforts, agrandissement de l'église, construction d'une tour au nord du clocher, reconstruction de la voûte. En 1887, construction de la tribune. En 1890, percement du portail.

Description[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption dont son clocher du XIVe siècle est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1966[1]. C'est un clocher-mur en pierre de taille, percé de 5 fenêtres à ogive triangulaire et surmonté de créneaux. À sa base, une coursive (ou chemin de ronde) crénelée supportée par de faux mâchicoulis et encadrée par deux tours carrées porte le blason de la famille des Mauléon, qui compte les anciens abbés commandataires de l'abbaye cistercienne de Bonnefont et seigneurs de Sepx. L'église conserve un ancien portail gothique aujourd'hui muré, dont on aperçoit les premières colonnes et le départ des chapiteaux à décor floral (feuilles de vigne). La nef a été rehaussée et partiellement reconstruite au XIXe siècle.

L'église est en pierre calcaire ocre jaune clair. Le clocher-porche, soutenu par deux contre-forts en façade, culmine à 42 mètres de hauteur.
Au sommet, il est orné de quatre tourelles d'angle, entre lesquelles sont disposés les cadrans d'horloge. En 1989 pour le centenaire de la consécration de l’église, un bas-relief a été mis en place au-dessus du porche. Au-dessus du porche d’entrée, un bas-relief a été installé en 1989 pour le centenaire de la consécration de l’église. Ce tympan représente Notre-Dame de Roumé . De chaque côté, sont représentés les apôtres. Assis au premier plan, à la gauche de la vierge, Saint-Barthélémy présente un épi de maïs, symbole de l’unité paroissiale de Cieutat.

Le tympan installé en 1989 pour marquer le centenaire de l'église.

Galerie[modifier | modifier le code]

Catégorie:Église dans le département du Pas-de-Calais Catégorie:Église dédiée à saint Nicolas Catégorie:Édifice religieux du XXe siècle dans les Hauts-de-France

Église Saint-Nicolas de Bapaume[modifier | modifier le code]

Église Saint-Nicolas de Bapaume
Image illustrative de l’article Renhour48/Brouillon
Présentation
Nom local Église Saint-Nicolas
Culte Catholique romain
Dédicataire saint Nicolas
Type Église
Rattachement diocèse d'Arras
Début de la construction 1548 [2]
Fin des travaux 1929
Architecte Eugène Bidard [3]
Style dominant Néo-gothique
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Ville Bapaume
Coordonnées 50° 06′ 07″ nord, 2° 50′ 58″ est
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
(Voir situation sur carte : Pas-de-Calais)
Église Saint-Nicolas de Bapaume
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Église Saint-Nicolas de Bapaume

L' église saint-Nicoals de Bapaume est une église située dans la commune de Bapaume , Pas-de-Calais en France.

Historique: l'ancienne église[modifier | modifier le code]

Edifiée au milieu du XVIè sur les ruines d'une ancienne église, Saint-Nicolas présentait, comme le montrent les documents ci-dessus, un aspect pratiquement identique à l'église actuelle, avec un imposant clocher-tour flanqué sur le côté nord.

Destruction[modifier | modifier le code]

Bapaume est occupée par les Allemands à partir du , puis reprise par les Britanniques en . Le , les Allemands reprennent la ville. Les Nèo-Zélandais vont reconquérir la ville le fin août 1918.
Plusieurs fois bombardées au cours des combats, l'église n'est plus qu'à l'état de ruines à la fin de la guerre.

Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sepx[modifier | modifier le code]

= Reconstruction[modifier | modifier le code]

Les travaux de reconstruction de l'édifice dureront cinq ans, de 1924 à 1929, Eugène Bidard étant l'architecte.
L' église sera reconstruite sur le plan de l'ancienne église en conservant les fondations: un plan allongé avec une nef à cinq travées, un bras du transept sur la façade sud, une tour-clocher sur la façade nord et un chœur à chevet polygonal[4] Galerie ===

Notes et références[modifier | modifier le code]

Historique[modifier | modifier le code]

Ancienne église fortifiée dont le clocher est flanqué de deux tours et surmonté d'un pignon ajouré. A l'intérieur, les colonnes supportent des chapiteaux historiés, en plâtre fin sculpté, faits en 1880. Ce détail présente un intérêt dans le cadre d'une école de sculpture d'inspiration romane. Le reste de l'église a été entièrement remanié avec, de 1877 à 1884, construction de contreforts, agrandissement de l'église, construction d'une tour au nord du clocher, reconstruction de la voûte. En 1887, construction de la tribune. En 1890, percement du portail.

= Notes et références[modifier | modifier le code]


Cieutat Cieutat Catégorie:Édifice religieux du XIXe siècle en France

Eglise de Saint-Jean-Baptiste de Rochejean[modifier | modifier le code]

Église Saint-Jean-Baptiste de Rochejean
Image illustrative de l’article Renhour48/Brouillon
Présentation
Culte Catholique romain
Rattachement Diocèse de Besançon
Début de la construction XVe siècle
Fin des travaux XXe siècle
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Ville Rochejean
Coordonnées 46° 44′ 47″ nord, 6° 17′ 46″ est
Géolocalisation sur la carte : Doubs
(Voir situation sur carte : Doubs)
Église Saint-Jean-Baptiste de Rochejean
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Église Saint-Jean-Baptiste de Rochejean

L' Église Saint-Jean-Baptiste de Rochejean est une église des XVe siècle, XVIIIe siècle et XXe siècle située à Rochejean, dans le Haut-Doubs en Franche-Comté. Elle est dédiée à Saint-Jean-Baptiste.

Localisation[modifier | modifier le code]

L'église est située dans la partie haute du village, sur la rive gauche du Doubs.

Historique[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste fut construite au XVe siècle à l'emplacement d'une ancienne chapelle dédiée à Saint-denis datant du XIVe siècle, époque de la création du village.
En 1753, un incendie ravage le village et l'église est en partie détruite. Le clocher sera démoli et reconstruit en 1779, date gravée sur le fronton.
En 1961, l'église est à nouveau incendiée par la foudre: détruits, la toiture et le dôme seront reconstruits dans leur état actuel [1].

Description[modifier | modifier le code]

L'édifice, en pierre calcaire blanche, est couvert de tuiles plates.
Le clocher-porche de style comtois est surmonté d'un dôme à l'impériale recouvert de tuiles vernissées disposées en losange.

Galerie: extérieur de l'église[modifier | modifier le code]


Galerie: intérieur de l'église[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Attention : la clé de tri par défaut « Rochejean, Eglise » écrase la précédente clé « Gateau au yaourt ». Catégorie:Église dans le Doubs Rochejean Église Saint Saturnin de Bégadan ===

Église Saint Saturnin de Bégadan[modifier | modifier le code]

Église Saint Saturnin de Bégadan
Vue de l'église depuis le chevet.
Présentation
Destination actuelle
utilisation cultuelle
Dédicataire
Construction
Propriétaire
Commune
Patrimonialité
Logo monument historique Classé MH (1896, façade occidentale)
Logo monument historique Inscrit MH (1925, 2004)
Localisation
Pays
Département
Commune
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France

L'église Saint Saturnin de Bégadan est une église catholique située à Bégadan, en France.

Localisation == L'église est située dans le département français de la Gironde, sur la commune de Bégadan, dans le centre du bourg, sur la grand'place où sont implantés également la mairie et le monument aux morts.

Historique[modifier | modifier le code]

Adresse renseignée dans la base Mérimée : 33340 Bégadan - France

Code Insee de la commune : 33038 Gironde [33] - Bordeaux - Aquitaine - Nouvelle-Aquitaine

Adresse approximative issue des coordonnées GPS (latitude et longitude) : 1 Route de Saint-Saturnin 33340 Bégadan

Eléments protégés : Le choeur et l'abside : classement par liste de 1862

Historique : La paroisse dépendait de l'abbaye de Vertheuil. L'église conserve son abside du XIIe siècle. Le reste a été entièrement détruit au XIXe siècle et reconstruit avec clocher surmonté d'une flèche. L'abside, semi-ciruclaire à l'intérieur, présente cinq pans à l'extérieur. A la naissance du choeur, deux tourelles pleines servaient autrefois de contreforts. Les chapiteaux des colonnes s'ornent de feuillages ou d'animaux fantastiques. A l'extérieur, les angles saillants du polygone disparaissent sous des faisceaux de trois colonnes engagées, celle du milieu se terminant par un chapiteau. L'étage supérieur est composé de fenêtres géminées aveugles, avec une colonnette au centre et quatre colonnettes latérales. Deux des chapiteaux sont en marbre et appartiennent à l'ordre corinthien, vestiges sans doute d'un monument antique.

Périodes de construction : 12e siècle, 19e siècle

Propriété de la commune

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes =[modifier | modifier le code]

Liens externes =[modifier | modifier le code]

Notes et références ==

Attention : la clé de tri par défaut « Eglise Saint-Saturnin Bégadan » écrase la précédente clé « Rochejean, Eglise ».

Historique[modifier | modifier le code]

La sculpture est réalisée par Firmin Michelet. L'inauguration du monument a eu lieu le .

Description[modifier | modifier le code]

Le monument se compose d'un piédestal sur lequel se dresse la statue qui représente une jeune fille, vêtue d'une longue robe, et qui tient un bouquet de fleurs.

Il est situé sur la place d'Astarac, au centre du village.

Galerie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]


Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 14 soldats de la commune tombés aux Champ d'honneur au cours de la guerre.
Dans les années 1920, la reconstruction du village se fera progressivement et peu à peu les habitants évacués vinrent reprendre possesion de leurs biens.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Morlancourt

Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 14 soldats de la commune tombés aux Champ d'honneur au cours de la guerre.
Dans les années 1920, la reconstruction du village se fera progressivement et peu à peu les habitants évacués vinrent reprendre possesion de leurs biens.


GUERRE 14-18[modifier | modifier le code]

Applincourt - Achiet-le-Grand - Achiet-le-Petit - Ecoust-Saint-Mein

Première Guerre mondiale avec ligne hindenburg
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village d'Écoust-Saint-Main et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusq'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg , ligne fortifiée située à une quinzaine de km à l'est devant Cambrai. Avant leur départ, le village est évacué de ses habitants et toutes les constructions (église, mairie, maisons) sont systhématiquement dynamitées, tous les arbres sont coupés, les puits pollués avec du fumier [1].
Les troupes britanniques prennent alors possessions des ruines du village le 2 avril 1917. Écoust-Saint-Main repassera aux mains des Allemands en mars 1918 lors de l'Offensive du Kaiser jusqu'au , date à laquelle le village sera définitivement repris par les troupes du Commonwealth après de violents combats, attestés par la présence de nombreux cimetières britanniques ou allemands dans le secteur [2].
Après l'armistice, les habitants reviennent peu à peu au village. Alors commença une longue période de reconstruction.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le [3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Aucun cours d'eau ne traverse le territoire de la commune.

Château de Muret[modifier | modifier le code]

Château de Muret-et-Crouttes
Image illustrative de l’article Renhour48/Brouillon
Nom local Château
Début construction XIXe siècle
Destination initiale Château familial
Centre de vacances (à partir de 1954)
Centre musical (à partir de 1980)
Propriétaire actuel Commune
Destination actuelle Bâtiment municipal (depuis 2011)
Coordonnées 46° 01′ 13″ nord, 4° 45′ 49″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts(de(France
Département Aisne
Commune Muret-et-Crouttes
Géolocalisation sur la carte : Ain
(Voir situation sur carte : Ain)
Château de Muret-et-Crouttes
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Château de Muret-et-Crouttes

Le château de Muret-et-Crouttes est un château situé en centre-ville de la commune de Muret-et-Crouttes, à proximité de l'église Notre Dame de l'Assomption, dans l'Ain.

Présentation[modifier | modifier le code]

Le château fut construit au XIXe siècle sur le site d'une ancienne maison bourgeoise[4]. Albert Bouchet (1835 - 1915), avocat lyonnais, maire de Fareins et député de l'Ain, transforme en profondeur l'édifice[4] auquel il donne son nom, ses descendants ajoutant le nom de la commune à leur patronyme pour se distinguer de l'autre branche des Bouchet, implantée non loin de là au château de Beauregard (Beauregard). Parmi les descendants du bâtisseur du château figurent le colonel Pierre Bouchet de Fareins et l'écrivain Serge Bouchet de Fareins. En 1954, la famille Bouchet de Fareins, qui possède aussi le manoir de Bataillard à Saint-Paul-de-Varax, vend le château à la Ville de Paris[5]. Celle-ci l'utilise comme centre de vacances puis à partir des années 1980, le château devient un centre musical[5]. Début 2011, la commune de Fareins rachète le château et son parc de 5,5 hectares[5]. Une réflexion s'est donc initiée pour définir une nouvelle destination à l'édifice. Le château est pour le moment utilisé pour des évènements ponctuels comme pour la fête des écoles en 2013 [6].

Le château a subi trois incendies durant son histoire dont le dernier le [4],[5]. Le parc qui l'entoure regroupe près de 180 essences d’arbres[5].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ligne_Hindenbourg_Carte_Nord_2.jpg
  2. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ecoust-Saint-Main_Lib%C3%A9ration.jpg
  3. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  4. a b et c « Le château Bouchet à Fareins », sur Découvrez la Dombes.
  5. a b c d et e Marie-Claude Henry, « Fareins : le château Bouchet ouvre ses portes pour la première fois », Voix de l'Ain,‎ (lire en ligne).
  6. « Fareins. Fête des écoles au château Bouchet », Le Progrès,‎ (lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Bouchet Catégorie:Monument dans le Val de Saône Catégorie:Fareins

Notes et références[modifier | modifier le code]


Ontario Cemetery, Sains-lès-Marquion Ontario Cemetery, Sains-lès-Marquion Ontario Cemetery, Sains-lès-Marquion

Sépultures[modifier | modifier le code]

Pays Sépultures
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 3599
Drapeau de l'Australie Australie 51
Drapeau du Canada Canada 3
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande 81
Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud 1
Indes britanniques 1
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 4
Total 4040

Jumelages[modifier | modifier le code]

La municipalité de Soulac a conclu quatre jumelages avec :

Des traités d'amitiés se sont également créés avec la ville canadienne Saint-Quentin du Nouveau-Brunswick[1] (1998), Greiz en Allemagne (2009) mais aussi Dej en Roumanie.

Pour les dix ans de jumelage Saint-Quentin et Kaiserslautern en octobre 1977

Familles existant au dix-huitième siècle[modifier | modifier le code]

Baverel, Bernard, Bunot, Carmillet, Clerc, Cuinet, Daval, Deleule, Dornier, Dubiez (nom typique du village > racines étymologiques équivalentes), Edme, Girard, Griffond, Guyon, Jacquemot, Jeangirard, Jeannier, Joray, L'Homme, Loriot, Louvier (meunier), Lucas, Maire, Marguet, Naviller, Nicolet (recteur d'école), Paillard, Parnet, Peclet, Periguet, Perny, Roux, Thiebau, Trimaille, Vermot.

Le port de Talais[modifier | modifier le code]

Passé ferroviaire du village[modifier | modifier le code]

Vaulx Hill Cemetery.
Vaulx Australian Field Ambulance Cemetery.
Vraucourt Copse Cemetery 10.jpg.

De 1880 à 1996, la commune de Saint-Laurent-sur-Gorre a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à Bussière-Galant , qui, venant de Saint-Auvent se dirigeait ensuite vers la gare d'Oradour-sur-Vayres.
A l' époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996 date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de Bussière-Galant à Châlus.
De 1908 à 1948, la commune a également été située sur la ligne 1 des chemins de fer départementaux de la Haute-Vienne allant de Limoges à Saint-Mattieu pour se terminer à Rochechouart.

Cartes postales anciennes[modifier | modifier le code]

Carte postale du village vers 1905.
Ruines du village au lendemain de la guerre.14-18.
Ruines du village au lendemain de la guerre.14-18.
Ruines du village au lendemain de la guerre.14-18.

De 1882 au 2 mars 1969, la commune de Saint-Thibault a été traversée par la ligne de chemin de fer de Troyes à Gray, qui, venant du nord-ouest de la gare de Buchères-Verrières, suivait la route de Troyes à Bar-sur-Seine, s'arrêtait à la gare de Saint-Thibault et se dirigeait ensuite en ligne droite vers la gare de Clérey.
Les bâtiments de la gare sont encore présents de nos jours, Chemin de la gare.
L'horaire ci-dessus montre qu'en 1914, quatre trains s'arrêtaient chaque jour à la gare dans le sens Troyes-Gray et quatre autres dans l'autre sens.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
A partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée le 2 mars 1969 au trafic voyageurs puis désaffectée.

Histoire ferroviaire de la commune[modifier | modifier le code]

Carte postale de la gare des chemins de fer de l'Est vers 1910.
>Carte postale de la gare des chemins de fer de l'Aube vers 1910 .
Les deux lignes séparées par une barrière.
Le café-restaurant des deux gares vers 1910.
Horaire de la ligne de Bar-sur-Seine à Châtillon-sur-Seine en 1914.

Polisot a été un important carrefour de lignes de chemin de fer:

La ligne de chemin de fer de Troyes à Gray
De 1882 au 2 mars 1969, la commune a été traversée par la ligne de chemin de fer de Troyes à Gray, qui, venant du nord-est de la [[gare de Bar-sur-Seine, passait à l'est et se dirigeait ensuite vers la gare de Gyé-sur-Seine.
L'horaire ci-dessus montre qu'en 1914, 4 trains s'arrêtaient chaque jour à la gare de polisot dans le sens Troyes-Gray et 4 autres dans l'autre sens.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
A partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée le 2 mars 1969 au trafic voyageurs puis désaffectée.

La Ligne de Polisot aux Riceys et à Cunfin
Cette ligne à voie métrique a fonctionné de 1897 à 1952. Venant de Polisy, au sud, elle longeait les voies de la ligne de chemin de fer de Troyes à Gray et se dirigeait ensuite vers Celles-sur-Ource.
La ligne a été fermée en 1952.
Les deux gares de Polisot Polisot a eu la particularité de posséder deux gares qui se faisaient face:

Comme le montrent les cartes postales ci-dessus, les deux gares étaient séparées par une barrière; l'écartement des rails n'étant les mêmes pour chaque ligne (1,435 m pour la voie normale et 1 m pour la voie métrique), les marchandises devaient être déchargées en gare de Polisot pour changer de ligne.

=[modifier | modifier le code]

Comme au moment de la création de la ligne, chaque village voulait sa gare, le Conseil général pour satisfaire tout le monde, baptisait la gare du nom de deux communes limitrophes; la gare de Villey-Crécey est située sur le terroir de Villey-sur-Tille à environ 1 km du Crécey-sur-Tille.
=== Contrairement à une gare, une halte était un simple abri en planches ou en briques, sans porte ni fenêtre. Le train ne s'arrêtait u'à la demande des voyageurs. De cette halte, aucune trace ne subsiste de nos jours.

chapelle de Fournol[modifier | modifier le code]

Chapelle Notre-Dame, Un des rares prieurés français du Saint-Sépulcre.
 L'ordre des chanoines du Saint-Sépulcre a été fondé à Jérusalem peu après la prise de la ville et le premier règlement le concernant a été rédigé à la fin de 1102 ou au début de 1103. L'ordre fut supprimé en 1489 par le pape Innocent VIII et ses biens passèrent aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Un de ses rares prieurés français était situé dans le diocèse de Limoges, à La Vinadière (commune de Soudaine-Lavinadière).


 Ce prieuré, dont on a mis récemment à jour les vestiges, possédait lui-même des chapelles, dont celle de Fournol, perdue au cœur du plateau de Millevaches, au milieu des herbes folles, dans un hameau comptant quelques rares maisons.
 Dédiée à la Vierge, la chapelle, trappue, avec son clocher-mur à deux baies, peut dans son état actuel être datée du XIVe siècle ; c'est un exemple typique des églises rurales de la Montagne limousine. On remarquera aussi le curieux escalier extérieur qui conduit dans les combles. Couverte en chaume au xvne siècle, elle est accompagnée au sud d'un petit cimetière où l'on voit une tombe médiévale, à toit en bâtière.
 La chapelle conservait une statue de la Vierge, en cuivre, des années 1300, placée en 1751 dans une niche au-dessus du tabernacle, et retrouvée voici quelques années, passée à la peinture et méconnaissable, sur un appui de fenêtre. La fontaine Notre-Dame, quelques dizaines de mètres en contrebas.

GUERRE 14-18[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale
Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest.[2] Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en octobre 1918. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.


=

Tableau des maires[modifier | modifier le code]

élu[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité

boite déroulante[modifier | modifier le code]

Boîte déroulante[modifier | modifier le code]

  • les Ayettes
  • Bajin
  • le Bessey
  • le Bugnon
  • Clarabout
  • le Clos
  • le Closy-Jolie-Vue
  • le Colombet
  • le Colombier
  • Côte Chevrets
  • Cottard
  • le Crozet
  • le Cuchet
  • le David
  • l'Epeluat
  • l'Epinette
  • Le Glapigneux
  • Grange Merle
  • Grange Neuve
  • le Guillet
  • le Jeu de Paume
  • Montouvrard
  • la Morarde
  • Moret
  • l'Oursière
  • les Panissières
  • les Perrières
  • Pommier
  • la Ratz
  • le Replat
  • la Retourdière
  • la Ronzière
  • la Tour du Treuil
  • Vaugraine
le Quai-Belu au bord de la Somme .
ponts sur deux bras de la Somme
les hortillonnages
façade de la cathédrale
intérieur de la cathédrale
abbaye Saint-Jean
place du Don et la cathédrale
le musée de Picardie
le logis du Roi
le beffroi
Ville d'Amiens


Liste des maires[modifier | modifier le code]

sucrerie en 1875[5]
liste des journaux en 1896[6] lignes de Thiérache Tres bien[7] Ligne romery carte Très bien[8] ligne romey adjudisation[9] Ligne de Romery Inauguration 6avril 1912[10] Ligne de Romery à Liart[11] LignRomery[12] Ligne de Saint-Gobert à saint-Richaumont[13] Ligne secondaires [14] Tarif ligne Romery[15] Ligne de laon au Cateau[16] sucrerie en 1875[17]
LAISNE DEVAST2E [18] Dégats en 1944sur les lignes [19]
Liste des stations de toute le région Thiérache en 1934
[20]<vr> Embranchement de Guise à Hirson
[21]
Train du nord Laon-Liartest trèsbien
[22]
almanach 1885
[23]
Histoire de Marle et de ses environs [24]
ernest nègre[25]
Sorbais AD[26]
Sorbais s[27]
dictionnaire totpo [28]
dictionnaire topo de la Meurthe[29]
protestantisme Parfon de val Montbrehain[30]
description de l'église deparfondeval[31]
Parfondeval Eglise[32]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est traversé du sud-est au nord-ouest par le ruisseau le Ton qui pas au nord-est du village.

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Le terroir de la commune est traversé à l'est, du nord au sud, par l'Autoroute A31 (A31). Le péage de Til-châtel, sortie N°5, se trouve à 1 km au nord-est.

Citation bloc[modifier | modifier le code]

« Tantôt un protestant y a signé sa foi, tantôt un ligueur y a maudit Henry IV. Quelque bourgeois y a gravé les insignes de sa noblesse de cloches, la gloire de son échevinage oublié. (Honoré de Balzac - Eugénie Grandet) »

Passé ferroviaire du village[modifier | modifier le code]

Le port.
Le port.
La médaille de la Ville de Saint-Quentin évoque son histoire, ancienne et contemporaine: les remparts, la royauté, les clés de la Ville, l'épée pour les batailles, la Marianne, la Légion d'Honneur, la Croix de Guerre 14-18.

La devise : PRO DEO REGE ET PATRIA (Pour dieu, le roi et la patrie)

De 1883 à 1963, la commune d'Aprey a été traversée par la ligne de chemin de fer de Poinson - Beneuvre à Langres, qui, venant de Brennes , contournait le village par le nord et se dirigeait vers Aujeurres.
La ligne passait au nord et la gare était située à environ 1 km à au nord du village.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
A partir de 1950, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en 1963. Les rails ont été retirés. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours utilisés comme sentier de randonnée ou chemin d'exploitation agricole.

Quelqueq dessins d'Amédée Piette[modifier | modifier le code]

.
L'ancienne et son bâtiment annexe.
L'église de Courmelles en 1889.
Fichier:Vende.jpg
Horaire des trains en 1946.

Passé ferroviaire du village[modifier | modifier le code]

Façade de l'église de Courmelles en 1889 avec le cimetière.
Carte postale de l'église vers 1910. Un mur avec un portail entourait le cimetière et l'église.
Carte postale de l'église en 1919.
Carte postale de l'église en 1920.Une grande partie du clocher s'est effondrée.
L'église actuelle qui a été pratiquement reconstruite à l'identique, sauf l'horloge qui a été centrée et les trois cloches placées au sommet de la façade.

L'église Notre-Dame de la Vie[modifier | modifier le code]

Saint-Cannat[34] L'église paroissiale Autrefois, la chapelle Notre-Dame de l'Annonciation était la propriété d'une confrérie d'hommes. Suite au mauvais état de l'église paroissiale située alors sur les hauteurs du château qui risquait de s'écrouler, elle est devenue église paroissiale à la fin du XVIIIè siècle. Des travaux d'agrandissement ont ensuité été réalisés ainsi que la construction du clocher [35]. Comme le montrent les deux cartes postales ci-dessus, l'église de Saint-Cannat a été très endommagée par le Tremblement de terre du 11 juin 1909. Il a fallu la raser entièrement. Elle a été reconstruite au même endroit et inaugurée en 1927.

Galerie[modifier | modifier le code]

Le village était construit sur en réseau de creutes, cavernes creusées au fil des temps pour se protéger des invasions, pour en extraire le pierre.
Avant d'abanconner le village en mars 1917, les Allemands ont dynamité ces creutes ce qui a entraîné la destruction de toutes les habitations.
La carte des régions dévastées montre que Neuville-sur-Margival a été complètement détruit. Des bois qui poussaient au sud, rien ne subsiste après la guerre.
Le village qui comptait 135 habitants en 1911 a perdu plus de la moitié de sa population en 1921.

Le chemin de croix d'Alleins[modifier | modifier le code]

Le

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village est cité pour la première fois en l'an 1258 sous le nom de Loognis puis Longnis en 1261 dans une charte du chapitre de la cathédrale de Laon. Le nom évoluera encore de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs: Lonnis, Lonnys, Longny, Longni, Longni-les-Aubenton, Longny-les-Aubenton en 1765 et enfin la dénomination actuelle Logny-lès-Aubenton au XIXè siècle [36].

Carte de Cassini[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini du secteur vers 1750.
Plan du village en 1888 par M. Ramage. Deux moulins à eau, le Moulin Botté et Le Moulin de Courmelles, sont représentés sur La Crise. Le hameau de Vignolles sur la rive droite de la rivière est mentionné. Au sud-ouest, on trouve la hameau de La Roche, le château de Latilly et la ferme de La Roche.
Dessin du château de Latilly en 1869 par Amédée Piette .
Carte de Cassini du secteur vers 1750.



La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au XVIIIè siècle, Grévillers est une paroisse située sur une hauteur entre deux vallées dans lesquelles est figuré un ruisseau qui est tari aujourd-hui.
Un moulin à vent en bois fonctionnait au nord-ouest près de la Chapelle Notre-Dame aujourd'hui disparue. Son nom est évoqué dans le lieu-dit Fond de la chapelle.
Au sud est représenté un calvaire en pierre.

M. Ramage a écrit en 1888 une intéressante monographie sur le village consultable sur le site des Archives départementales de l'Aisne en cliquant sur la référence ci-après [37]

Vignolles [38]


Ambrief, a écrit en 1887 une monographie sur le village consultable sur le site des Archives départementales de l'Aisne en cliquant sur la référence ci-après [39].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ces noms de localités se terminant par -court sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages. Ferdinand Lot a montré que les noms terminés en court était des noms formés par des gens parlant une langue romane[40]. Le préfixe était souvent - mais pas toujours - le nom d'une personne germanique. Court est dérivé du latin vulgaire curtis signifiant, cour de ferme, ferme puis village. La formation des toponymes de ce type remonte au haut Moyen Âge et cesse au Xe siècle[41].

Le toponyme « Gueudecourt » serait lié à l'apport germanique du VIe siècle[Note 1],[42].

Le premier élément Gueude- s'expliquerait par un nom de personne germanique[43].


v[modifier | modifier le code]

An nord, La Maladière était une chapelle aujourd'hui disparue. A côté de cette chapelle, La Justice était un lieu situé à l'extérieur du bourg, qui comportait souvent un Gibet, où le seigneur du lieu rendait la justice seigneuriale.
Au sud sont représentées La Chapelle Sainte-Pétronille et La Commanderie de Fontenotte


Un moulin à eau, dont les bâtiments sont encore présents de nos jours, symbolisé par une roue dentée, est représenté sur le cours de la rivière dans sa traversée du village.
Au nord-ouest, près d'un autre moulin à eau, Le Fossé était un hameau avec une ferme fortifiée encore prsésente actuellement.

Au nord-ouest, près d'un autre moulin à eau, Le Fossé était représenté. Les maillets du moulin servaient à battre le fer extrait du minerai présent dans le secteur. Des vestiges ont encore présents de nos jours au lieu-dit Les Forges.
Deux fermes sont représentées au sud-ouest Bonvent' et la Brulée.


Vu les souffrances endurées par la population pendant les 4 années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la croix de guerre 1914-1918 (France) le [44]. Dans le cimetière, sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 5 Vendellois morts pour la

Première Guerre mondiale dictionnair[45]

Le village est occupé par l'armée allemande dès le et le restera jusqu'au début de 1917. Après le retrait allemand sur la ligne Hindenburg, les Français reprennent possession de Neuville le et les ruines du village se trouvent pendant plusieurs mois à proximité du front et des combats de Vauxaillon ou du Moulin de Laffaux, servant de base de départ à ceux-ci. Neuville, réoccupé le , est définitivement libéré le En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Dès le , les habitants de Jeancourt furent emmenés à la gare d'Hervilly-Montigny, installés dans des wagons à bestiaux, emmenés à Saint-Quentin et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique. En [46], avant du retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons ont été pillées et incendiées, le village a été systématiquement détruit . L'église, le temple protestant, la mairie et toutes les maisons ont été dynamités et les arbres sciés à 1 m de hauteur ; seules deux chapelles du cimetière sont restées intactes.
Le village, vidé de ses habitants, est resté occupé par les Allemands et a été repris le après de durs combats par les troupes britanniques[47]; Jeancourt restera sur la ligne de combats jusqu'au , début de la bataille de la ligne Hindenburg (voir la carte ci-dessous).
Après l'Armistice, de nombreux habitants ne revinrent pas s'installer à Jeancourt et, avec les dommages de guerre, commencèrent une nouvelle vie dans d'autres lieux. Pour ceux qui furent de retour commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 600 habitants avant la guerre, Jeancourt n'en comptait plus que 300 en 1921.
Le monument aux morts fut inauguré en 1923 : il porte les noms des 16 soldats de la commune morts pour la France[48].
Dans le cimetière militaire



Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[49] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [50].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village apparaît pour la première fois dans les écrits en 1047, dans une charte de l'Abbaye de Beaulieu, sous l'appellation latine de Ecclesia S. Petri de Balcema. Le nom évoluera de nombreuses fois par la suite en fonction des différents transcripteurs: Lamela, Balcema, en 1107, Ballesma en 1218 dans une charte de l'Abbaye de la Merci-Dieu, puis Paroschia de Balesma, Balisma, Ballème sur la Carte de Cassini au XVIIIe siècle, et enfin la dénomination actuelle Balesmes au XIXe siècle [51]
.

Vidéos mises[modifier | modifier le code]

Chemin de croix[modifier | modifier le code]

Arrêt de volet[modifier | modifier le code]

Troncs d'église[modifier | modifier le code]

Cadrans solaire[modifier | modifier le code]

Monument aux morts avec soldat[modifier | modifier le code]

Croix[modifier | modifier le code]

Bornes frontières canton de Vaud[modifier | modifier le code]

Photomontage[modifier | modifier le code]

De gauche à droite, de haut en bas: Le château de Catuélan et sa cour d'honneur; Chevet de l'église; Manoir du Colombier à Hénon; Domaine des Granges; Vue panoramique du château.


lisrte des commune[52] Dictons et sobriquets[53] Au siècle dernier, les habitants des communes alentour affublaient les saintois du sobriquet de Gagins de Sains[54].

Ambulant postal[modifier | modifier le code]

Carte postale comportant le timbre à date crénelé d'ambulant postal sur la ligne de Provins à Longueville daté de 1905.

Un service d' ambulant postal a fonctionné sur cette ligne avant la guerre 14. Les lettres étaient déposées dans les gares et, dans le train, un employé oblitérait le courrier avec un timbre à date rond à créneaux, typique des cachets d'ambulants postaux français du début du XXè siècle.

Passé ferroviaire de la commune[modifier | modifier le code]

De 1880 à 1950, le village a été traversé par la Ligne de chemin de fer de Hermes à Beaumont, qui , venant de Berthecourt, passait au nord de la commune et se dirigeait ensuite vers la gare de Sainte-Geneviève.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises. Avant 1914, cinq trains s'arrêtaient à Noailles dans chaque sens chaque jour.
Après la Seconde Guerre mondiale, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en 1948. Les rails ont été retirés et la gare désaffectée.
De nos jours, la Rue des Ecoles et la Rue Maupéou suivent le tracé de l'ancienne voie.

Passé ferroviaire de la commune[modifier | modifier le code]

De 1891 à 1949, le village d'Acheux-en-Amiénois a été relié à la Ligne de chemin de fer de Doullens à Albert, qui , venant de Léalvillers, passait au mord de la commune et se dirigeait ensuite vers la halte de Bertrancourt. La gare commune aux villages d'Acheux et de Varennes était située au nord de la commune.
A une époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises. En 1914, cinq trains s'arrêtaient dans chaque sens chaque jour à la gare commune aux villages d'Acheux et de Varennes, située à 1,5 km au nord de la commune sur le territoire de la commune d'Acheux-en-Amiénois.
Après la Seconde Guerre mondiale, avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée en 1949. Les rails ont été retirés et la gare désaffectée.
De nos jours, le tracé de l'ancienne voie est encore présent dans le sud de la commune.

Historique[modifier | modifier le code]

Cette ligne était destinée à compléter le maillage des voies de chemin de fer fer du département de l'Aisne en reliant la ligne de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise ouverte en 1874 à la Ligne de Creil à Jeumont qui passe à Saint-Quentin.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Saint-Quentin et le Saint-Quentinois », Office de tourisme de Saint-Quentin (consulté le )
  2. http://www.carto1418.fr/target/19140831.html
  3. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5702838h/f129.image.r=Ribemont%20La%20Fert%C3%A9-Chevresis?rk=214593;2
  4. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9311352/f6.image.r=Ligne%20de%20Hirson%20%C3%A0%20Guise?rk=386268;0
  5. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5702838h/f129.image.r=Ribemont%20La%20Fert%C3%A9-Chevresis?rk=214593;2
  6. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9311352/f6.image.r=Ligne%20de%20Hirson%20%C3%A0%20Guise?rk=386268;0
  7. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738133j/f111.item.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart
  8. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4753648p/f3.item.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart.zoom
  9. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6290001k/f7.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=278971;2
  10. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54884691/f8.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=214593;2
  11. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65116054/f2.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=42918;4
  12. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55044158/f21.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=64378;0
  13. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55044158/f23.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=64378;0
  14. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55044158/f63.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=64378;0
  15. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6521358h/f3.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=85837;2
  16. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9766412m/f44.image.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart?rk=193134;0
  17. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5702838h/f129.image.r=Ribemont%20La%20Fert%C3%A9-Chevresis?rk=214593;2
  18. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738133j/f1.item.r=Ligne%20de%20Romery%20%C3%A0%20Liart.zoom
  19. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k873944t/f2.item.r=Ligne%20de%20Busigny%20%C3%A0%20Hirson.zoom
  20. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4140352/f6.item.r=Ligne%20de%20Marle-sur-Serre%20%C3%A0%20Montcornet.zoom
  21. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9766412m/f42.item.r=ligne%20de%20Marle-sur-Serre%20%C3%A0%20Montcornet
  22. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9766412m/f44.item.r=ligne%20de%20Marle-sur-Serre%20%C3%A0%20Montcornet
  23. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8667954j/f1.planchecontact
  24. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1434621.r=Montigny-sous-marle?rk=64378;0
  25. https://books.google.fr/books?id=rsNpi7IVulEC&printsec=frontcover#v=onepage&q&f=false
  26. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta7e5134316812c2e9/dao/0/layout:linear/idsearch:RECH_a168f8719fad8715a79f3bb76e4e8ce1#id:1819221050?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=4322.000,-2701.000&zoom=8&rotation=0.000
  27. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551644ea0bccf/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_4a7c1d1116c584179337d8f81790270d#id:1417385287?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=3599.480,-1572.467&zoom=10&rotation=0.000
  28. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w
  29. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96349681/f14.image
  30. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k657877/f108.image.r=Parfondeval?rk=64378;0
  31. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k408881m/f192.image.r=Parfondeval?rk=257512;0
  32. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1434621/f246.item.r=Parfondeval
  33. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00079071
  34. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9688981h/f11.item.r=Saint-Cannat.zoom
  35. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Alleins_Eglise_10.jpg
  36. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f202.item.zoom
  37. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551aa8c743d94/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_c43b630b4b70c22d34c0cff3d10f1728#id:925041089?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=2320.000,-1749.000&zoom=6&rotation=0.000
  38. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551aa8c743d94/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_c43b630b4b70c22d34c0cff3d10f1728#id:919499963?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=3066.183,-1615.704&zoom=9&rotation=0.000
  39. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551a427267fe2/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_d177818c73bdb6465c70116734b9ad5e#id:1056448553?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1120.000,-1746.000&zoom=5&rotation=0.000
  40. Romania, LIX, 1933
  41. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969
  42. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
  43. Ernest Nègre, op. cit.
  44. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  45. http://dictionnaireduchemindesdames.blogspot.com/2009/02/l-comme-laffaux.html
  46. « Carte des positions 16 mars 2017 », sur www.carto1418.fr.
  47. L'Echo d'Alger : journal républicain du matin, 2 avril 1917 sur Gallica.
  48. « Jeancourt - Monument aux Morts », sur Geneanet.
  49. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  50. Journal officiel du 28 octobre 1920, p. 16685.
  51. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2100400/f123.item
  52. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k408869z/f139.image.r=chevennes
  53. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5831522c/f1.image.r=Sains-Richaumont
  54. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5831522c/f164.image.r=Sains-Richaumont?rk=751076;4



Ligne Laon au Cateau[modifier | modifier le code]

Ligne de Romery à Liart[modifier | modifier le code]

Ligne d'Hirson à Amagne - Lucquy[modifier | modifier le code]

Ligne de Busigny à Hirson[modifier | modifier le code]

Ligne de Laon à Hirson[modifier | modifier le code]

Ligne du Cambrésis[modifier | modifier le code]

Ligne de Marle à Montcornet[modifier | modifier le code]

Les moulin[modifier | modifier le code]

Les nombreux cours d'eau serpentant en Thiérache en permis l'installation de nombreux moulins à eau: beaucoup ont permis de moudre le grain pour obtenir la farine et d'autres ont fabriqué du papier[11].
La monographie écrite par M.Blanche indique qu'en 1888 Il existait trois moulins à eau dans la commune: le Moulin des Moines, le Moulin Neuf et le moulin de Lambercy. Le moulin des Moines a été incendié le 1er novembre 1885 et les deux autres chôment depuis plusieurs années [12].
Ces moulins, installés sur de petits cours d'eau à petit débit, souffraient du manque d'eau pendant les mois d'été. Peu rentables la plupart des moulins de Thiérache ont été abandonnés.

Première guerre mondiale
Le 29 août 1914, soit moins d'un mois après la déclaration de la guerre, le village est occupé par les Allemands après le défaite de l'armée française lors de le bataille de Guise. Pendant toute la guerre, Dagny-Lambercy restera loin du front qui se stabilisera à environ 150 km à l'est aux alentours de Péronne. Les habitants vivront sous le joug de l'ennemi: réquisitions de logements, de matériel, de nourriture, travaux forcés.
Ce n'est que début novembre 1918 que le village sera libéré. Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 14 soldats de la commune morts au Champ d'Honneur lors de la Grande Guerre. [13].


Les moulins
Les nombreux cours d'eau serpentant en Thiérache en permis l'installation de nombreux moulins à eau: beaucoup ont permis de moudre le grain pour obtenir la farine et d'autres ont fabriqué du papier [14].
La monographie écrite par M.Gosse indique qu'en 1888 Il existait deux moulins à eau dans la commune [15].
Ces moulins, installés sur de petits cours d'eau à petit débit, souffraient du manque d'eau pendant les mois d'été. Peu rentables la plupart des moulins de Thiérache ont été abandonnés au début du XXè siècle.

Ligne de chemin de fer L'ancienne ligne de chemin de fer de Guise à Hirson
Sorbais a possédé une gare située sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson qui a fonctionné de 1910 à 1978. A l'ouverture de ligne en 1910, quatre trains s'arrêtaient chaque jour dans cette gare (voir les horaires en 1910 [16]).
Son emprise est utilisée depuis 2014 par l'Axe vert de la Thiérache.

Première guerre mondiale
Le 29 août 1914, soit moins d'un mois après la déclaration de la guerre, le village est occupé par les Allemands après le défaite de l'armée française lors de le bataille de Guise. Pendant toute la guerre, Dagny-Lambercy restera loin du front qui se stabilisera à environ 150 km à l'est aux alentours de Péronne. Les habitants vivront sous le joug de l'ennemi: réquisitions de logements, de matériel, de nourriture, travaux forcés.
Ce n'est que début novembre 1918 que le village sera libéré. Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 14 soldats de la commune morts au Champ d'Honneur lors de la Grande Guerre. [17].


Les églises fortifiées de Thiérache[modifier | modifier le code]

Jeunes,Adultes et personnes agées à Lantriac

  • 0 à 14 ans (20,2 %)
  • 15 à 29 ans (14,4 %)
  • 30 à 44 ans (20 %)
  • 45 à 59 ans (22 %)
  • 60 à 74 ans (16,2 %)
  • 75 ans et plus (7,2 %)

Fortifications des églises
Au XVIè siècle, lors des affrontements entre François 1er et Charles Quint, et lors de la Guerre franco-espagnole de 1635 à 1659, les villages de la Thiérache furent constamment ravagés aussi bien par les troupes françaises qu'étrangères. C'est à cette époque que la plupart des villages de Thiérache, comme Autreppes, fortifient leurs églises pour permettre aux habitants de s'y réfugier an cas d'attaque. Le clocher ou la nef, faits de hauts murs de briques et surmontés d'un étage, sont flanqués de tours percées de meurtrières. En cas d'attaque de bandes de pillards, les habitants du village s'y réfugiaient avec provisions pour tenir un siège de plusieurs jours[18].
papeteries del'aisne[19]
Histoire de la ville de Marle
[20]
Lire l'exhaustive description de l'église faite par M. Leroy, instituteur, dans sa monographie sur le village de Sa ouvriers en 1884 int-Pierre-lès-Franqueville su r le site des Archives Départementales de l'Aisne en 1880 [21].
Une monographie communale de 1884 écrite par M.Moura consultable sur le site des Archives Départementales de l'Aisne, indique qu'il n'y a pratiquement plus de traces du château; les deux moulins à eau existant fabriquent de la farine [22].

papeteris[modifier | modifier le code]

Les papeteries
Les nombreux cours d'eau serpentant en Thiérache en permis l'installation de nombreux moulins à eau: beaucoup ont permis de moudre le grain pour obtenir la farine et d'autres, notamment à Saint-Gobert, Rougeries, Faty, Romery, Voulpaix, Franqueville, Vervins, Thenailles, Harcigny sont devenus des papeteries [23].
La roue à aube du moulin entraînait un axe sur lequel étaient fixés des plots avec des maillets qui frappaient la matière première composée pour un quart de déchets de chanvre et de chiffons et le reste de papier recyclé. La pâte obtenue était ensuite travaillée en fonction d'un cahier des charges très strict [24] pour obtenir différents types de papiers qui servaient notamment d'emballage des produits alimentaires dans les épiceries.
Jean-Louis Créplet créa en 1797 une papeterie à Saint-Gobert au lieudit "le Pré à la Barre" à la jonction des ruisseau du Cher-Temps et du Vilpion. En 1811, elle occupait dix ouvriers. Cette papeterie fut détruite par un incendie en septembre 1875 [25]
[26].<br ====Voulpaix
Les papeteries
Les nombreux cours d'eau serpentant en Thiérache en permis l'installation de nombreux moulins à eau: beaucoup ont permis de moudre le grain pour obtenir la farine et d'autres, notamment à Voulpaix , Franqueville, Saint-Gobert, Rougeries, Wiège-Faty, Romery, Vervins, Thenailles, Harcigny sont devenus des papeteries.
La roue à aube du moulin entraînait un axe sur lequel étaient fixés des plots avec des maillets qui frappaient la matière première composée pour un quart de déchets de chanvre et de chiffons et le reste de papier recyclé. La pâte obtenue était ensuite travaillée en fonction d'un cahier des charges très strict [27] pour obtenir différents types de papiers qui servaient notamment d'emballage des produits alimentaires dans les épiceries.
La papeterie de Voulpaix est fort ancienne puisque le 16 octobre 1649, Claude Roger de Comminge loua le moulin de Voupaix et son cours d'eau [28],

Carte de Cassini La Hérie[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).
Carte postale du village en 1909.
(Colin-Delaby Edit)

Toponymie
Le village apparaît pour la première fois en 1144 sous l'appellation de Lahéris dans un cartulaire de l'Abbaye de Thenailles. L'orthographe variera ensuite de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs: Leeris, Leherie, Lanheris, Leharis, Leheries, Le Herys en 1556, Leeheries et la Viefville en 1568, Leheri, Lherys, Leherues en Vermandois, La Herry, Hérie, Laheries, la Hairie-la-Vieville en 1709. [29].
La Viéville était une ferme déjà disparue en 1880. Son nom était Viesville en 1353, La Viezville, Cense de Wiefville. Cette ferme a été acquise au XIIè siècle par l'Abbaye de Ribemont [30].
Carte de Cassini
La carte de Cassini montre qu'au XVIIIè siècle, Le Hérie (écrit le Héry est une paroisse. A l'ouest, est représenté le château qui fut construit en 1671 par la famille De Malortie. Incendié partiellement par les Allemands en 1916 et endommagé par les bombardements de novembre 1918, ce château a été reconstruit par la suite.
A l'ouest, sur les hauteurs est dessiné un moulin aujourd'hui disparu. Le chemin La pièce du moulin, près du château d'eau, rappelle la présence de ce moulin.
Au nord, existait une ferme dénommée Bretagne qui était déjà disparue en 1880.
A l'est est représentée le ferme La Viéville dont le nom a été joint à celui de Le Héry pour former le village de Le Hérie-la-Viéville à la fin du XVIIIè siècle.
L'ancienne ligne de chemin de fer de Laon au Cateau
Le Hérie-la-Viéville a possédé une halte située sur la ligne de chemin de fer de Laon au Cateau qui a fonctionné de 1892 à 1972. En 1910, quatre trains s'y arrêtaient dans chaque sens chaque jour. Désaffectée en 1972, cette halte, située à 4 km au sud du village en direction de Marle existe en core de nos jours. (voir les horaires)[31].
Première guerre mondiale
Après les combats des 29 et 30 août 1914 aux alentours de la commune, [32], soit moins d'un mois après la déclaration de la guerre, le village est occupé par les troupes allemandes après le défaite de l'armée française lors de le bataille de Guise. Pendant toute la guerre, Le Hérie-la-Viéville restera loin du front qui se stabilisera à environ 150 km à l'est aux alentours de Péronne. Les habitants vivront sous le joug des Allemands: réquisitions de logements, de matériel, de nourriture, travaux forcés. Ce n'est que début novembre 1918 que les Allemands seront chassés du village par les troupes françaises. Sur le monument aux morts sont écrits les noms des dix-neuf soldats de la commune morts au Champ d'honneur.
papeteruie 1871[33] papeteries del'aisne[34]

Lire l'exhaustive description de l'église faite par M. Leroy, instituteur, dans sa monographie sur le village de Saint-Pierre-lès-Franqueville sur le site des Archives Départementales de l'Aisne en 1880 [35].
M. Leroy, instituteur, a publié une monographie sur le village consultable sur le site des Archives Départementales de l'Aisne en 1880 [36].



Canal de Saint-Quentin
Inauguré en 1810 par Napoléon, le Canal de Saint-Quentin apporta un important essor économique au village avec l'implantation d'un quai de chargement.
Guerre14 18 Bohain[37]
Eaves[38]
fontaine uerte[39]
caulaincourt[40]
morcourt lesdins[41]
hombmières prémont[42]
holnon[43]
germaine[44]
vendhuille page 120!Foreste 142: villerssaint b 152:Fayet 162 > Gouy 14_18[45]

1827. Le village fut presque entièrement détruit pendant la Première Guerre mondiale.

===Guerre 14-18===Déplacement a Vraignes des habitants de Maissemy, caumaincourt, Trefcon, poeuilley, moncjy, gricourt Villevque[46]

Palmarès[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.lignes-oubliees.com/index.php?page=cateau1
  2. Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
  3. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ligne_Laon_-_Guise_-_Wassigny-Busigny_1910.jpg
  4. Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
  5. Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
  6. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6239072s/f33.image.r=Ligne%20de%20Busigny%20%C3%A0%20Hirson?rk=150215;2
  7. Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
  8. Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
  9. Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
  10. Les points kilométriques sont ceux mentionnés au Livret Chaix de mai 1914
  11. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f82.item.r=Saint-Gobert
  12. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551644d773309/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_b859f8c0daf1c6e97e6358a3c926d94a#id:649670711?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1120.000,-1774.500&zoom=6&rotation=0.000
  13. https://en.geneanet.org/cemetery/search/?go=1&name=&niveaux_1___1875158291__=monuments&page=2&place__0__=Dagny-Lambercy&prenom=
  14. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f82.item.r=Saint-Gobert
  15. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta7e5134316812c2e9/dao/0/layout:linear/idsearch:RECH_a168f8719fad8715a79f3bb76e4e8ce1#id:1819221050?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=4322.000,-2701.000&zoom=8&rotation=0.000
  16. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/af/Ligne_Hirson-Guise_Horaires_1910.jpg
  17. https://en.geneanet.org/cemetery/search/?go=1&name=&niveaux_1___1875158291__=monuments&page=2&place__0__=Dagny-Lambercy&prenom=
  18. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k408887w/f32.image.r=burelles?rk=236052;4
  19. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville?rk=21459;2
  20. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1434621.r=Gronard?rk=150215;
  21. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta5519639883b28/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_5a90f5173d0b24f1655476354f9db035#id:51018508?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1120.000,-1742.000&zoom=6&rotation=0.000
  22. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta551a427e778e4/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_2caa3f6e98e6aa594ec94940c2a2c3d1#id:1734740157?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1340.000,-1771.000&zoom=3&rotation=0.000
  23. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville?rk=21459;2
  24. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f22.item.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville
  25. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f82.item.r=Saint-Gobert
  26. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f73.item.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville
  27. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f22.item.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville
  28. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f34.image.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-
  29. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f185.item.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s.zoom
  30. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f336.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  31. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Ligne_Laon_-_Guise_-_Wassigny-Busigny_1910.jpg
  32. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6556253g/f102.image.r=Le%20H%C3%A9rie
  33. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n/f76.image.r=Rougeries
  34. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9738106n.r=Saint-Pierre-l%C3%A8s-franqueville?rk=21459;2
  35. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta5519639883b28/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_5a90f5173d0b24f1655476354f9db035#id:51018508?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1120.000,-1742.000&zoom=6&rotation=0.000
  36. https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vta5519639883b28/daogrp/0/layout:linear/idsearch:RECH_5a90f5173d0b24f1655476354f9db035#id:49171466?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00&center=1370.000,-1785.500&zoom=6&rotation=0.000
  37. https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/74b46ae923
  38. https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/71fdb0a021
  39. https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/77c3bced1b
  40. https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/77c3bced1b
  41. https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/77c3bced1b
  42. https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/75d483c7c8
  43. https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/edafc92a94
  44. https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/1470 nauro7/a011435678431aLzPq8/55cd366a8f
  45. https://argonnaute.parisnanterre.fr/ark:/14707/a011435678431aLzPq8/d17ea3dbf6
  46. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f219.image.r=Tertry?rk=364808;4



Liste de communes comportant une nombre dans leur nom[modifier | modifier le code]

======[modifier | modifier le code]

6 ou 7 mots

====[modifier | modifier le code]

animal

====[modifier | modifier le code]

fruits

======================[modifier | modifier le code]

Première guerre mondiale
Après la bataille des frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'état-major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Le , les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest [1]. Dès lors commença l'occupation qui dura jusqu'en octobre 1918. Pendant toute cette période, Beauvois restera loin des combats, le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne. Le village servira de base arrière pour l'armée allemande.
En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; cette ligne Hindenburg de fortifications s'appuiera sur le canal de Saint-Quentin. Comme tous les villages se trouvant à l'avant de cette ligne, Beauvois sera rasé [2]: l'église, l'école, et les habitations seront dynamitées et incendiées; tous les arbres seront sciés à 1 m du sol. Auparavant, les habitants du village seront évacués vers Vraignes-en-Vermandois qui sera épargné pour servir d'abri à la population civile [3].
Après l'Armistice, peu à peu, les habitants évacués sont revenus Pour ceux qui furent de retour commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes et la population de 465 habitants en 1911 ne sera plus que de 284 en 1921.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [4].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 12 soldats de la commune Morts pour la France ainsi que de 5 victimes civiles [5].
Le village sera repris le 24 septembre 1918 par les troupes franco-britanniques [6] [7]

=[modifier | modifier le code]

Canal de Saint-Quentin
Inauguré en 1810 par Napoléon, le Canal de Saint-Quentin apporta un important essor économique au village avec l'implantation d'un quai de chargement et l'établissement de nombreux commerces jusque dans les années 1980. Situé à l'entrée du tunnel du Tronquoy, les nombreuses péniches attendaient le toueur pour traverser en convoi ce tunnel et celui de Riqueval. avec l'implantation d'un quai de chargement et l'établissement de nombreux commerces jusque dans les années 1980.
L'ancienne ligne de chemin de fer du Cambrésis
La ligne de chemin de fer du Cambrésis a fonctionné de 1892 à 1954. Chaque jour, 6 trains partis de la gare du Cambrésis à Saint-Quentin, s'arrêtaient à Lesdins et partaient en direction de Cambrai [8] et 6 autres venaient de Cambrai pour se diriger vers Saint-Quentin. La gare que l'on peut voir sur la carte postale ci-contre n'existe plus depuis quelques années (voir les horaires [9]).

L'ancienne gare de chemin de fer sur la Ligne de Creil à Jeumont
En 1855 fut mise en service la portion de Saint-Quentin à Jeumont de la ligne de chemin de fer de Saint-Quentin à Jeumont. La gare d'Omissy a fonctoionné jusqu'en

En septembre 1918, après de durs combats, la Ligne Hindenburg est franchie sur le Canal de Saint-Quentin et peu à peu les Allemands, attaqués par les troupes franco-australiennes reculent de village en village. D'abord libéré le 2 octobre par les troupes britanniques, le village a été repris le lendemain par les Allemands puis de nouveau libéré par les Britanniques après de violents combats [10]. Dans les deux cimetières britanniques de la commune sont inhumés 106 soldats britanniques tombés lors de ces combats [11] [12]. Le village a subi de nombreux dégâts suite aux bombardements.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le 26 octobre 1920[13]. Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 20 soldats de la commune morts pour la France ainsi s'une victime civile[14].


Lesdins fut libéré entre le 4 et le 8 octobre 1918 après de durs combats [15]. Le Tronqoy[16]

DICTIONNAIRE Toponymique Aisne[modifier | modifier le code]

Lettre A[17]>br>

TOPO DEBUT[18]
topo Brancourt[19]
topo Cauvigny[20]
topoCO[21]
topo fonsomme [22]
Topo Lempire[23]

Topo Montbrehain[24]
Topo letttre N [25]
Topo Lettre O[26]
Toponymieaisne Roupy[27]
Toponymie Aisne LettreT[28]
Toponymie aisne Vermand[29]
Trefon Adjudication en 1792 "La ferme de Saint-Martin-des-Prés, située terroir de Trefcon, canton de Vermand, maiosn de fermier et bâtiments, cour jardin patagern..[30]
Courtigny[31]
Courtigny2[32]
harfleur histoire[33] Renhour48/Brouillon2.
Toponymi Aisne[34]
Toponumie de l4aisne[35]
Toponymie aisne début[36] Toponymie de la Meuse [37] Le nom de la localité est attesté sous la forme Abecurt en 1151[38].

Fabrique de Sucre[modifier | modifier le code]

Sucreries en [39]
Il s'agit d'une formation en -court, caractéristique du haut Moyen Âge et du Nord de la France. Le mot court (curt, cort en ancien français) avait autrefois le sens de « cour de ferme, ferme, domaine rural » (parallèle au mot germanique hof cf. allemand Hof « cour, ferme »). Il est issu du bas latin cōrtem[40], comprendre gallo-roman CŌRTE, issus du latin classique cohors, cohortis. Le mot cour qui en procède, a une orthographe différente par analogie avec le latin curia.

Cassini Saint-Quentin[41]
Cassini Somme -Amiens [42]
Cassini Nord Cambrai[43]
Cassini Chalons sur Marne[44]
Carte de Cassini Chaumont [45]
Carte de Cassini Langres[46] Carte de Cassini Creuse[47]
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095113v.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20marne?rk=214593;2</ref>
Carte de Cassini Chateau-Thierrey sud[48]

Cassini Somme Albert[49]
Cassini Creuse Aubusson[50]
Cassini crese Evauxles-Bains[51]
Cassini Creuse bon[52]
Géographie de la Cresue [53]
Hameau de la Creuse Le monteil [54]
[55]

lazrbroye[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini de Larbroye et des environs (vers 1750)

Sur la Carte de Cassini (vers 1750), le nom du village est écrit l'Arbroye. Larbroye possèdait des carrières de pierre de bonne qualité dont certaines servirent à la construction du beffroi de Noyon en 1328 [56].
Au XVIIIè siècle, des vignes étaient cultivées sur territoire de la paroisse: un ordonnance royale du 27 août 1771 nomme un garde pour surveiller les vignobles [57]. Le village possédait un pressoir banal [58].

Première Guerre Mondiale[modifier | modifier le code]

Dès le début du mois de septembre 1914, Larbroye, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et restera loin du front qui se stabilisera à quelques kilomètres à sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Les occupants se livreront à de nombreuses exactions sur les habitations. Le propriétaire du château, soupçonné d'espionnage fut emprisonné à Noyon. Quand il revint fin septembre son château avait été pillé et incendié par l'ennemi [59] [60]. Pendant 30 mois les habitants vivront sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front. En février 1917, lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, le village est évacué par l'ennemi [61]. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de mars 1918. C'est au cours de cette période que les bombardements feront de nombreux dégâts à la mairie, à l'église et aux habitations. Ce n'est que début octobre 1918 que le secteur sera définitivement repris. Après l'Armistice, peu à peu les habitants revinrent s'installer à Larbroye. Pour eux commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. chateau[62] chateay[63]

dépositio,ns Guerre violationIMPORTANT[modifier | modifier le code]

Liste des communes [64] Sermaize[65] Toponymie Pontl'Évêque doit son nom au Pont de l'Évêque qui fut construit au-dessus de l'Oise au XIIè siècle sur ordre de l'évêque de Noyon.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le Pont-sur-l'Oise était autrefois un important Peages[66]

histoire Varesne[modifier | modifier le code]

Louis 13[67]

Liste des articles divers que j'ai créés depuis mon inscription le 7 août 2018 Total 213 articles[modifier | modifier le code]

2018[modifier | modifier le code]

  • Clédat village abandonné article le 23 novembre 2018 (3 218/an)

TOTAL: 1 article

2019[modifier | modifier le code]

TOTAL: 3 artcicles

2020[modifier | modifier le code]

TOTAL: 7 article

2021[modifier | modifier le code]

TOTAL: 11 articles

2022[modifier | modifier le code]

TOTAL: 5 articles

2023[modifier | modifier le code]

Liste des artciles Eglise + édifice religieux faites[modifier | modifier le code]

2018[modifier | modifier le code]

TOTAL: 2 articles

2020[modifier | modifier le code]

TOTAL: 2 artciles

2021[modifier | modifier le code]

TOTAL: 1 articles

2022[modifier | modifier le code]

TOTAL: 7 artcicles

2023[modifier | modifier le code]

Total 2023: 12 pages

2024[modifier | modifier le code]

Liste des articles cimetières militaires[modifier | modifier le code]

2018

TOTAL: 63 pages cimetière pour 2018

2019[modifier | modifier le code]

TOTAL: 33 artciles

2020[modifier | modifier le code]

TOTAL: 3 articles

2022[modifier | modifier le code]

TOTAL: 78 articles

2023[modifier | modifier le code]

Total 2023 : 79 pages

2024[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Construite au sud du bourg, elle domine la vallée de la Jougnena et la route des Alpes arrivant de la Suisse.

Historique[modifier | modifier le code]

S'appuyant sur les anciennes fortifications, elle servait à protéger le bourg des invasions pouvant venir de la Suisse ou de la vallée de la Jougnena ; ce passage était fermé par une porte dont il reste les deux piliers et les gonds. L'église d'origine ayant été jugée trop vétuste et trop petite du fait du fort développement de la population des forges du hameau de La Ferrière (en effet, la population de Jougne est passée de 1 317 habitants en 1856 à 2020 en 1872, soit pratiquement 50% en une quinzaine d'années), une nouvelle église plus grande a été construite vers 1860 en conservant le clocher d'origine. Mais un incendie détruisit en partie l'édifice en 1870. Pour raisons d'économies, la commune rebâtit un clocher plus simple comme on le voit sur la carte postale ; ce n'est qu'en 1981 qu'un nouveau clocher dans le style comtois fut reconstruit[68].

Galerie[modifier | modifier le code]


Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. http://www.carto1418.fr/19140828.php
  2. http://www.carto1418.fr/target/19170316.html
  3. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f219.image.r=trefcon?rk=1158804;0
  4. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  5. https://www.geneanet.org/gallery/?action=detail&id=208062&individu_filter=AUDIN&rubrique=monuments
  6. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6235195w/f37.image.r=francilly?rk=85837;2
  7. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6466497c/f6.image.r=francilly?rk=107296;4
  8. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Horaire_St-Quentin,_Le_Catelet,_Caudry_en_1898.jpg
  9. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Horaire_de_la_ligne_du_Cambr%C3%A9siis_1.jpg
  10. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7579741p/f1.item.r=Sequehart.zoom
  11. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530268h/f6.image.r=Sequehart?rk=85837;2
  12. http://www.carto1418.fr/target/19181010.html
  13. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  14. https://www.geneanet.org/gallery/?action=detail&id=197456&individu_filter=DESCHATRES&rubrique=monuments
  15. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63409679/f11.image.r=lesdins?rk=21459;2
  16. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2993669/f1.item.r=Lesdins.zoom
  17. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f46
  18. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f46.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  19. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f83.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  20. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f96.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  21. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f123.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  22. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f159.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  23. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f198.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  24. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f224.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  25. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f240.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  26. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f249.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  27. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f282.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  28. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f312.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  29. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f332.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  30. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65772162/f8.image.r=trefcon?rk=64378;0
  31. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k141681d/f134.image.r=courtigny?rk=257512;0
  32. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k141681d/f134.image.r=courtigny?rk=257512;0
  33. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65470080/f10.image.r=harfleur
  34. https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&collapsing=disabled&rk=321890;0&query=%28gallica%20all%20%22Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s%22%29%20and%20dc.relation%20all%20%22cb37326793g%22
  35. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f396.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  36. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39289w/f46.image.r=Saint-Martin-des-Pr%C3%A9s
  37. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k392996/f50.image.r=cate%20de%20cassini%20de%20la%20meuse
  38. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 1.
  39. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5702838h/f129.image
  40. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  41. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095286g/f1.item.r=carte%20de%20cassini%20du%20d%C3%A9partement%20de%20l'aisne.zoom
  42. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095205q.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Somme?rk=42918;4
  43. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095239r/f1.item.r=Carte%20de%20Cassini%20du%20Nord.zoom
  44. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095244x.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20marne?rk=85837;2
  45. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530952421/f1.item.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20marne
  46. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095113v.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20Langres?rk=64378;0
  47. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530951880.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse?rk=85837;2
  48. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095173b.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20marne?rk=321890;0
  49. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095180d.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20somme?rk=85837;2
  50. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530951880.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse?rk=85837;2
  51. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53095185n.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse?rk=128756;0
  52. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530951880.r=Carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse?rk=85837;2
  53. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k503890d/f2
  54. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k503890d/f145.image.r=Le%20Monteil-au-Vicomte
  55. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b530951880/f1.item.r=carte%20de%20Cassini%20de%20la%20Creuse
  56. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57889096/f265.image.r=larbroye
  57. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k453741r/f291.image.r=larbroye?rk=64378;0
  58. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k453741r/f249.image.r=larbroye?rk=64378;0
  59. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9770208f/f127.image.r=Larbroye
  60. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9770208f/f127.image.r=Larbroye
  61. http://www.carto1418.fr/target/19170316.html
  62. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f113.image.r=sermaize-oise
  63. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9770208f/f127.image.r=Larbroye
  64. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f268.image.r=sermaize-oise
  65. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6530584n/f150.image.r=sermaize-oise
  66. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8625084b/f13.image.r=Pont-l'Ev%C3%AAque
  67. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57889096/f306.image.r=Varesnes
  68. Panneaux d'informations touristique apposés à l'intérieur de l'église

La première guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Comme d'autres villages de la région, Berzy-le-Sec est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village est resté sur la ligne de front tout au long de la guerre.

Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Berzy-le-Sec[1]. En octobre de la même année, le secteur sera repris par les troupes françaises et le front se stabilisera à une vingtaine de kilomètres au nord de Soissons[2].
Le 31 mars 1917, M Raymond Poincarré, Président de la République, accompagné du Général Nivelle, descendent à la gare de Berzy pour visiter le front[3].
En mai 1917, les soldats français tiennent les hauteurs du village. Des combats meurtriers se dérouleront le 30 mai car les Allemands essayaient de reprendre la position[4]
Le village sortira définitivement de la zone des combats le 21 juillet 1918, la commune est reprise par la 69e division d'infanterie[5].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 28 soldats berziciens Morts pour la France.

suite[modifier | modifier le code]

La carte des régions dévastées montre qu'à la fin de la guerre, le village de Margival est complètement détruit; il ne compte plus que 180 habitants contre 286 avant la guerre.

La ferme de Montgarny est également détruites.

Deux cimetères militaires provisoires sont implantés dans le village.

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[6] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [7].

Première Guerre Mondiale[modifier | modifier le code]

Dès le début du mois de septembre 1914, le village, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et restera loin du front qui se stabilisera à une vingtaine de kilomètres à sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Pendant 30 mois les habitants vivront sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front.

En février 1917, lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, les habitants sont évacués et le village est systématiquement détruit: les constructions sont dynamitées, incendiées et tous les arbres coupés. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de mars 1918. Ce n'est que le 4 octobre 1918 que le secteur sera définitivement repris. Après l'Armistice, peu à peu les habitants revinrent s'installer à Mondescourt. Pour eux commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes.

Pontoise[8]

eglise dtruites en 1917[modifier | modifier le code]

ef[9] ==Liste des monumnets détruits 14-18==
Liste[10] Département de l'Aisne[11]

Liste des localités membres du réseau Les Plus Beaux Villages de France[modifier | modifier le code]

Région Département Localité (Commune) Date
Auvergne-Rhône-Alpes Ain Pérouges 1988
Allier Charroux
Visité dans les années 90
1985
Ardèche Balazuc 1982
Vogüé 1990
Cantal Salers 1982
Tournemire 1982
Drôme Châtillon-en-Diois 2021
La Garde-Adhémar 1989
Grignan 2019
Mirmande
Visité vers 2018
1998
Montbrun-les-Bains 1982
Le Poët-Laval 1982
Haute-Loire Arlempdes 1999
Blesle 1982
Lavaudieu 1990
Lavoûte-Chilhac 2022
Polignac 2021
Pradelles 1999
Haute-Savoie Yvoire
Isère Saint-Antoine-l'Abbaye 2009
Loire Sainte-Croix-en-Jarez
Puy-de-Dôme Montpeyroux 1989
Usson
Rhône Oingt 2007
Savoie Bonneval-sur-Arc
Bourgogne-Franche-Comté Côte-d'Or Châteauneuf 1996
Flavigny-sur-Ozerain
Doubs Lods
Haute-Saône Pesmes
Jura Baume-les-Messieurs
Château-Chalon
Saône-et-Loire Semur-en-Brionnais 1982
Yonne Noyers
Vézelay
Bretagne Côtes-d'Armor Moncontour 2010
Finistère Locronan
Ille-et-Vilaine Saint-Suliac 1999
Morbihan Rochefort-en-Terre 2009
Centre-Val de Loire Cher Apremont-sur-Allier
Sancerre 2022
Indre Gargilesse-Dampierre
Saint-Benoît-du-Sault 1988
Indre-et-Loire Candes-Saint-Martin
Crissay-sur-Manse
Montrésor 1987
Loir-et-Cher Lavardin 1990
Loiret Yèvre-le-Châtel (Yèvre-la-Ville) 2002
Corse Corse-du-Sud Piana 1982
Haute-Corse Sant'Antonino 1982
Grand Est Bas-Rhin Hunspach
Mittelbergheim
Haut-Rhin Bergheim 2022
Eguisheim 2003
Hunawihr
Riquewihr 1982
Moselle Rodemack 1987
Saint-Quirin 1989
Hauts-de-France Aisne Parfondeval 1983
Oise Gerberoy 1982
Île-de-France Val-d'Oise La Roche-Guyon
Normandie Calvados Beuvron-en-Auge
Eure Le Bec-Hellouin 2006
Lyons-la-Forêt
Manche Barfleur
Orne Saint-Céneri-le-Gérei 1982
Seine-Maritime Veules-les-Roses 2017
Nouvelle-Aquitaine Charente Aubeterre-sur-Dronne 1993
Charente-Maritime Ars-en-Ré 1982
Brouage (Hiers-Brouage) 2017
La Flotte 1988
Mornac-sur-Seudre 1982
Talmont-sur-Gironde
Corrèze Beaulieu-sur-Dordogne 2022
Collonges-la-Rouge 1982
Curemonte 1988
Saint-Robert 1982
Ségur-le-Château
Turenne
Dordogne Belvès
Beynac-et-Cazenac
Castelnaud-la-Chapelle 2010
Domme
Limeuil 1990
Monpazier 1982
La Roque-Gageac
Saint-Amand-de-Coly 2007
Saint-Jean-de-Côle
Saint-Léon-sur-Vézère
Haute-Vienne Mortemart 1983
Lot-et-Garonne Monflanquin 1989
Penne-d'Agenais 2023
Pujols-le-Haut (Pujols)
Tournon-d'Agenais 2021
Villeréal 2018
Pyrénées-Atlantiques Ainhoa 1982
La Bastide-Clairence
Navarrenx 2014
Saint-Jean-Pied-de-Port 2016
Sare
Vienne Angles-sur-l'Anglin
Occitanie Ariège Camon
Aude Lagrasse
Aveyron Belcastel 1990
Brousse-le-Château 1997
Conques
La Couvertoirade
Estaing 1982
Najac
Peyre (Comprégnac) 2003
Saint-Côme-d'Olt 1987
Sainte-Eulalie-d'Olt 1986
Sauveterre-de-Rouergue 1986
Gard Aiguèze 2005
Lussan 2016
Montclus 2012
La Roque-sur-Cèze 2007
Haute-Garonne Saint-Bertrand-de-Comminges
Gers Fourcès 2005
Larressingle
Lavardens 2011
Montréal
La Romieu 2018
Sarrant 1999
Hérault Minerve
Olargues
Saint-Guilhem-le-Désert
Lot Autoire 1982
Capdenac-le-Haut 2010
Cardaillac 1982
Carennac
Loubressac 1982
Martel 2022
Rocamadour 2022
Saint-Cirq-Lapopie
Lozère La Garde-Guérin (Prévenchères) 1992
Le Malzieu-Ville 2021
Sainte-Enimie
Pyrénées-Orientales Castelnou
Eus 1984
Évol (Olette)
Prats-de-Mollo-la-Preste 2023
Villefranche-de-Conflent 1982
Tarn Castelnau-de-Montmiral
Cordes-sur-Ciel 2021
Lautrec 1983
Monestiés 2001
Puycelsi
Tarn-et-Garonne Auvillar 1994
Bruniquel
Lauzerte 1990
Pays de la Loire Maine-et-Loire Montsoreau
Mayenne Sainte-Suzanne 2010
Vendée Vouvant 1988
Provence-Alpes-Côte d'Azur Alpes-de-Haute-Provence Moustiers-Sainte-Marie 1982
Entrevaux 2023
Alpes-Maritimes Coaraze
Gourdon 1984
Sainte-Agnès 1997
Saorge 2023
Bouches-du-Rhône Les Baux-de-Provence 1988
Hautes-Alpes La Grave
Saint-Véran
Var Bargème
Cotignac 2022
Gassin 1994
Le Castellet 2022
Seillans 1991
Tourtour
Vaucluse Ansouis
Gordes
Lourmarin 1988
Ménerbes
Roussillon
Séguret
Venasque 1992
La Réunion La Réunion Hell-Bourg (Salazie) 1998

Toponymie[modifier | modifier le code]

La forme la plus ancienne est Brivisara dans l'Itinéraire d'Antonin, milieu du IIe siècle; puis Brunsara[12] sur la table de Peutinger, milieu du IIIe siècle; Briva Isaræ IVe siècle[13]; Pontem Hiserae, 874-900[14],[13]; Pontizara en 1174[15]; Pontisaram, 1185[13]; Puntesia en 1189[15]; Pons Isaræ en 1195[13]. Ces derniers noms viennent du latin pontem qui traduit le gaulois briva "pont" + isaram "rivière Oise" (Cf. Samarobriva) et Isara (Cf. Isère, Isar) nom celtique de la rivière qui a donné « Oise », d'où la traduction romane « Pontoise ».

=Notice hictoriaques ur les vcommunes de l'arrondissement de Compiègne[modifier | modifier le code]

Notice [16]

Varesnes =[modifier | modifier le code]

Histoire[17]

Guerre 14-18[modifier | modifier le code]

Liste des communes détruites Oise et aisne [18] Brétigny pierre de Saint-hubert[19]

=[modifier | modifier le code]

Calendrier qui marche Site officiel
Calendrier qui marche Modèle:Site de la LNB
Cliquer pour voir la calendrier ProB de la saison 2019 / 2020 Site officiel

=[modifier | modifier le code]

QUESMY[20]

IMPORTANT==[modifier | modifier le code]

eglises dgats[21] phots éfglises[22]


Commune Texte de l’en-tête
Texte de la cellule Texte de la cellule
Texte de la cellule Texte de la cellule
Texte de la cellule Texte de la cellule
Texte de la cellule Texte de la cellule
Texte de la cellule Texte de la cellule
Texte de la cellule Texte de la cellule

citation[modifier | modifier le code]

« C'était dimanche.leur du clair soleil. »


Articles de Wikipédia[modifier | modifier le code]

Première guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Carte du front à Lassigny de 1914 à 1917.

Le 1er septembre 1914, soit un mois après le début de la guerre, le village fut occupé par troupes allemandes [23] et resta sur la ligne de front jusqu'en mars 1917. Les tranchées allemandes (en rouge sur le carte) se situaient au sud-est du village tandus que les tranchées alliées (en bleu sur la carte) étaient à 2 km au nord-est du village de Plessis-de-Roye; Cette situatio perdura ors du retrait des Allemands sur la Ligne Hindenburg. Comme la plupart des villages des environs, [24] Gallica[25] En février 1917, le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Dès le 15 février, les habitants de Jeancourt furent emmenés à la gare d'Hervilly-Montigny, installés dans des wagons à bestiaux, emmenés à Saint-Quentin et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique. En mars 1917[26], avant du retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons ont été pillées et incendiées, le village a été systématiquement détruit . L'église, le temple protestant, la mairie et toutes les maisons ont été dynamités et les arbres sciés à 1 m de hauteur ; seules deux chapelles du cimetière sont restées intactes.
Le village, vidé de ses habitants, est resté occupé par les Allemands et a été repris le 31 mars 1917 après de durs combats par les troupes britanniques[27]; Jeancourt restera sur la ligne de combats jusqu'au 18 septembre 1918, début de la bataille de la ligne Hindenburg (voir la carte ci-dessous).
Après l'Armistice, de nombreux habitants ne revinrent pas s'installer à Jeancourt et, avec les dommages de guerre, commencèrent une nouvelle vie dans d'autres lieux. Pour ceux qui furent de retour commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 600 habitants avant la guerre, Jeancourt n'en comptait plus que 300 en 1921.
Le monument aux morts fut inauguré en 1923 : il porte les noms des 16 soldats de la commune morts pour la FranceErreur de référence : Balise fermante </ref> manquante pour la balise <ref>. Fin août 1914, la Première Armée allemande envahit l’Oise et le Soissonnais. Entre le 6 et le 12 septembre 1914 les troupes françaises et britanniques stoppent les Allemands lors de la Première bataille de la Marne et les repoussent sur la rive droite de l'Aisne. Après de violents combats dans le Noyonnais et le Soissonnais, les tentatives réciproques de contournement d'aile des deux armées conduisent à la "Course à la mer". Le front se fixe alors pendant 30 mois entre la Somme et le Chemin des Dames, en passant par Lassigny, Ribécourt, Autrêches, Vic-sur-Aisne et s'étend en direction de Soissons. Si les villages proches du front sont progressivement évacués, ceux qui sont situés à l'arrière sont au contact des troupes. Villers-Cotterêts comme Noyon, villes de cantonnement et d’hôpitaux militaires, vivent au rythme du passage des troupes, des cérémonies militaires, des bombardements. Grandvilliers:Lors de la Première Guerre mondiale, la commune est située à l'arrière du front, et sa gare sert au déplacement des troupes et des matériels ainsi qu'à l'évacuation des malades et prisonniers. Un aérodrome militaire est aménagé en 1918 à la limite de Sommereux, sensiblement à l'emplacement des éoliennes actuelles. Il accueille début avril les 5e et 141e escadrilles, équipées de Sopwith, la 207e équipée de Breguet 16, sans doute dans le cadre de la Bataille d'Amiens. À la fin du même mois, le terrain voit passer la 237e escadrille équipée de Sopwith 1½ Strutter puis de Breguet 16, la 286e équipée de SPAD S.XVI, la 21e équipée de 10 Dorand AR.1 puis de SPAD bi-places. La 45e escadrille séjourne au terrain de Grandvilliers/Sommereux du 26 avril au 14 juin 1918, avec ses Breguet XIV A-2, suivie de la 102e, du 26 avril au 9 septembre 1918, avec ses SPAD puis Breguet XIV. D'autres escadrilles stationnent également, plus ou moins longuement, sur ce terrain2 La commune subit également un bombardement le 19 ou le 28 mai 1918, rue de Rouen, soulevant, selon les sources, un caisson d'artillerie ou une cuisine roulante et la projetant sur le toit d'une ferme3,4, .


Lassigny_Zouaves (Agrandir l'image).

Zouaves à Lassigny - © collection GIUVILI Livio Une première libération, avant une reprise violente des combats En mars 1917, l'Oise et une partie de l'Aisne sont libérées suite au repli allemand sur la ligne Hindeburg. Peu de temps après, le 16 avril 1917, la bataille du Chemin des Dames est déclenchée. Un an plus tard, au printemps 1918, les offensives allemandes bouleversent à nouveau la région. Après les batailles de Noyon (24-25 mars), du Mont-Renaud (26 mars-30 avril) et du Matz (9-11 juin) et l'enfoncement des lignes au Chemin des Dames, le front se fixe une nouvelle fois dans l'Oise et l'Aisne.


Vers la fin de la guerre Le 18 juillet 1918, la contre-offensive savamment organisée depuis la forêt de Retz par le général Mangin surprend les Allemands. Les plateaux en direction de Soissons et les villages sont libérés : c'est le début de la fin de la guerre. Celle-ci s'achève véritablement le 11 novembre 1918 avec la signature de l'Armistice dans la Clairière de Rethondes en forêt de Compiègne, symbole de la paix retrouvée.

Cent ans après, ces territoires de l'Aisne et de l'Oise restent marqués par le premier conflit mondial. Un patrimoine mémoriel riche et varié, parfois insolite attend le visiteur d'un bout à l'autre de la Ligne Rouge.

De haut en bas, de gauche à droite : l’église Notre-Dame d’Oulmes ; la maison d’Aliénor à Nieul ; un moulin à eau sur l’Autise ; le cloître de l’abbaye Saint-Vincent ; l’abbaye de Nieul-sur-l’Autise.

Tableaux Cassini Thiérache[modifier | modifier le code]

Liste des villages terminés dans Histoire avec Carte de Cassini
Commune commentaires Date
[[]]
Dolignon Cassini + cp allemande +guerre 14
Lugny Cassini + CP gare +topo + histoire + ligne + guerre 21 juillet 2020
Le Hérie-la-Viéville Cassini + cp village +topo +histoire + texte gare + guerre avec monu +château 4 juillet 2020
Saint-Gobert Cassini + CP gare + église + papeterie + guerre 28 juin 2020
Laigny Cassini + CP eglise+text histoire +cassini +mono+ moulins+ 14-18 17 juin 2020
Marly-Gomont cassini + CP gare + topo +train +eglise fortifiée 16 juin 2020
Autreppes Cassini + CP gare + topo 13 juin 2020
Erloy Cassini + photo moulin + topo +cassini +moulin +monuments 4 juin 20120
Englancourt Cassini + Photo moulin +topo+Eglise fortifiée +mono+ monu 3 juiin 2020
Flavigny-le-Grand-et-Beaurain Cassini + dessin filature+ topo +mono 30 mai 2020
Gronard Topo + cassini (pas de CP) + histoire +insertion + mono +fontaine 16 mai 2020
Voulpaix Cassini + Carte postale moulin + texte Cassini + papeteries + vignttes Train sur pont 4 mai 2020
Gercy Topo + Cassini +carte postale + long texte histoire + papeterie + monument + monographie 2 mai 2020
[[]]
Rougeries Cassini/+ carte postale papeterie + texte +toponymie + monographie + papeterie + monument 28 avril 2020
Saint-Pierre-lès-Franqueville Topo + cassini +pas de photo + Texte histoire + monographie 23 avril 2020
Franqueville Cassini/carte postale moulin + toponymie + papeterie + monographie + pas de monument 22 avril 2020
Marfontaine Topo + Cassini + CP +texte inséré +Texte 20 avril 2020
Chevennes Topo + Cassini + CP =Texte = Insertion texte 19 avril 2020
Sains-Richaumont Cassini + photo ancien gare + topo + histoite + ancienne gare 19 avril 2020
Malzy Cassini+ phto Bon Guerre + topo +Histoire + texte intégé + Monu 18 avril 2020
Haution Topo + Cassini +CP + Texte histoire + Réf AD = Monu 15 avril 2020
La Vallée-au-Blé Cassini + CP GARe =Topo + texte déjà mis + Ancienne ligne + Monu 14 avril 2020
Lemé Topo + cassini + CP gare + histoire + ancienne gare 14 avril 2020
Colonfay Topo + Cassini + pas de carte + texte histoire + Monu 13 avril 2020
Le Sourd Cassini + photo Gare + Topo + Texte + Anvienne ligne + topo 13 avril 2020
Monceau-sur-Oise Cassini + photo Gare + Topo + Texte histoire + églises fortifiées + monu 13 avril 2020
Proisy Cassini + CP + TOPO = Histoire + Texte intégr + ancienne ligne + monu 12 avril 2020
Romery Cassini/photo gare + texte +toponymie + papeterie + ligne de chemin de fer + monographie + réf plan cadastral 11 avril 2020
Puisieux-et-Clanlieu Topo + cassini+ photo gare +chateau +ancienne ligne + monu + Rien aux AD 11 avril 2020
Wiège-Faty Topo + cassini + CP moulin + histoire + texte papeterie + ref cadastre + gare 10 avril 2020
[[]]

}

Tableaux Eglises fortifiées=[modifier | modifier le code]

Liste des Eglises fortifiées faites
Commune Photos septembre 2020 Descriprtion Intérieur Date
[[]]
Église Saint-Martin de Féron Page créée Créée 19 photos 19 octobre 2023
Église Saint-Martin de Chaourse 6 photos de moi avec légendes déjà fait 6 photos de moi avec légendes 18 octobre 2020
Église Notre-Dame de Tavaux 6 photos de moi avec légendes non 12 octobre 2020
Église Saint-Rémi de Bosmont-sur-Serre photo titre + 5 photos avec légendes non 11 octobre 2020
Église Saint-Martin de Cilly photo titre + 5 photos avec légendes j'ai fait histoire non 7 octobre 2020
Église Saint-Martin de Wimy 2 déjà mise + 3 de moi avec légendes Déjà fait très bien 7 photos de moi 29 septembre 2020
Église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte d'Origny-en-Thiérache 1 seule photo de moi 3 déjà mises Travail très important déjà fait non 11 septembre 2020
Église Saint-Martin de Fontaine-lès-Vervins 3 photos avec légende + 1 en place non non 9 septembre 2020
Église Notre-Dame de La Bouteille 5 photos avec légende déjà faite non 9 septembre 2020
Église Saint-Martin de Sorbais 4 photos avec légende à faire 6 photos avec légende 4 septembre 2020
Église Saint-Martin de Macquigny 6 photos avec légende fait non 29 août 2020
Église Saint-Nicolas de Morgny-en-Thiérache 5 photos avec légende à faire non 25 août 2020
Église Saint-Martin de Cuiry-lès-Iviers 6 photos avec légende à faire non 24 août 2020
Église Saint-Médard de Parfondeval 6 photos sans légende pas de moi 6 photos sans légende 23 août 2020
Église Saint-Martin d'Archon 6 photos avec légende pas de moi 4 photos avec légende 21 août 2020
Église Notre-Dame de Renneval 5 photos avec légende j'ai fait non 18 août 2020
Église Saint-Martin de Vigneux-Hocquet 5 photos avec légende à compléter 4 photos avec légende 17 août 2020
Église Saint-Martin de Nampcelles-la-Cour 5 photos avec légende à faire 1 seule 16 août 2020
Église Saint-Martin d'Harcigny 4 photos avec légendes non 5 photos avec légende 14 août 2020
Église Saint-Corneille-et-Saint-Cyprien d'Hary 6 photos avec légendes énorme déjà faite 1 seule prise à travers la grille 4 août 2020
Église Saint-Martin de Burelles 7 photos avec légendes déjà faite 7 photos avec légendes 3 août 2020
Église Saint-Théodulphe de Gronard 5 photos avec légendes 8 photos avec légendes 31 juillet 2020
Église Saint-Médard d'Houry 4 avec légendes à faire 30 juillet 2020
Église Saint-Médard de Prisces 6 sans légende à faire non 27 juillet 2020
Église Saint-Évent de Rogny 6 sans légende à faire 22 juillet 2020
Église Saint-Rémi de Saint-Gobert 7 photos avec légende à faire 22 juillet 2020
Église Saint-Quentin de Lugny 6 photos avec légendes à faire 21 juillet 2020
Église Saint-Rémy de Marly-Gomont 5 photos avec légende à faire 5 photos avec legende 21 juillet 2020
Église Saint-Jean-Baptiste de Franqueville 6 avec légendes à faire 24 juin 2020
[[]]
Église Saint-Martin de Laigny 8 sans légendes à faire 17 juin 2020
[[]]
Église Saint-Hilaire d'Autreppes 13 à compléter Oui 12 juin 2020
[[]]
Église Saint-Algis de Saint-Algis 6 photos avec légendes à compléter J'ai mis 5 photos avec légendes 8 juin 2020
Église Saint-Nicolas d'Englancourt 6 avec légende j'ai fait mais à compléter J'ai mis 5 photos avec légendes 6 juin 2020
[[]]
Église Saint-Martin de Faty 6 j'ai fait légendes non 21 mai 2020
Église Saint-Médard de Flavigny-le-Grand-et-Beaurain 6 avec légendes non 20 mai 2020

Tableau cassini aisne[modifier | modifier le code]

Liste des villages terminés dans Histoire avec Carte de Cassini
Commune Date Commune Date Commune Date Commune Date| style="background:#DFFF00;"
Bernes 14 novembre 2019 Hancourt 14 novembre 2019 Vraignes-en-Vermandois 14 novembre 2019 Poeuilly 14 novembre 2019
Caulaincourt 14 novembre 2019 Attilly 14 novembre 2019 [[]] [[]]
Germaine 4 décembre 2019 Bony 5 décembre 2019 Vendhuile 5 décembre 2018 Beaurevoir 10 décembre 2019
Nauroy 11 décembre 2019 Magny-la-Fosse 12 décembre 2019 Bellenglise 12 décembre 2019 Levergies 16 décembre 2019
Joncourt 17 décembre 2019 Ramicourt 17 décembre 2019 Montbrehain 18 décembre 2019 Brancourt-le-Grand 18 décembre 2019
Serain 21 décembre 2019 Fresnoy-le-Grand 21 décembre 2019 Prémont 20 décembre 2019 Aubencheul-aux-Bois 24 décembre 2019
Roupy 22 novembre 2019 Gouy 26 décembre 2019 Le Catelet 27 décembre 2029 Abbaye du Mont-Saint-Martin 27 décembre 2017
Fonsommes 28 décembre 2019 Croix-Fonsomme 28 décembre 2019 Fontaine-Uterte 28 décembre 2019 [[]]
[[]] Lesdins 15 janvier 2020 Remaucourt 17 janvier 2020 Morcourt 20 janvier 2020
Omissy 21 janvier 2020 Essigny-le-Petit 24 janvier 2020 Trefcon 27 janvier 2020 Beauvois-en-Vermandois 31 janvier 2020
[[]] [[]] [[]] [[]]
[[]] [[]] [[]]

Liste des départements terminés pour les bandeaux localisation[modifier | modifier le code]

Liste des départements terminés au niveau du Bandeau communes limitrophes
Département Date Département Date Département Date Département Date
Drôme août 2018 Corrèze octobre 2018 Aisne décembre 2018 somme février 2019
Cantal 7 mai 2019 Vosges 6 juin 2019 Oise 17 Août 2019 Haute-Marne 23 octobre 2019
Creuse 8 décembre 2019 Morbihan 17 février 2020 Seine-Maritime 19 mars 2020 Aube 18 avril 2020
Ardennes 19 mai 2020 Marne 23 juin 2020 Moselle 10 septembre 2020 Meurthe-et-Moselle 15 novembre 2020
Bas-Rhin 17 février 2021 Haut-Rhin 14 mars 2021 Côtes-d'Armor 28 mars 2021 Loire 10 avril 2021
Haute-Loire 24 avril 1921 Finistère 6 mai 2021 Vaucluse 1er octobre 2021 Vendée 11 novembre 2021
Indre-et-Loire 25 janvier 2022 [[]] [[]] []]

Liste des photos montages[modifier | modifier le code]

Liste des Photos-montages créés
Commune Date Commune Date Commune Date Commune Date
Jougne 2 février 2019 Péronne 8 février 2019 Noyon 6 mars 2019 Douai 8 mars 2019
Le Crotoy 8 mars 2019 Saint-Valery-sur-Somme 8 mars2019 Neussargues en Pinatelle 9 mars 2019 Le Rouget-Pers 9 mras2019
Plateau d'Hauteville 9 mars 2019 Cesny-les-Sources 9 mars 2019 Surjoux-Lhopital 10 mars 2019 Valromey-sur-Séran 10 mars 2019
Évry-Courcouronnes 11 mars 2019 Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe 11 mars 2019 Guillon-Terre-Plaine 11 mars 2019 Rives-d'Autise 11 mars 2019
Les Velluire-sur-Vendée 11 mars 2019 Montaigu-Vendée 12 mars 2019 Chanverrie 12 mars 2019 Bâgé-Dommartin 13 mars 2019
Aubessagne 13 mars 2019 Val-de-Bonnieure 13 mars 2019 La Devise 14 mars 2019 Floirac 14 mars 2019
Marchaux-Chaudefontaine 14 mars 2019 Dangeau 15 mars 2019 Arinthod 15 mars 2019 Amiens 16 mars 2019
Blaignan-Prignac 16 mars 2019 Porte-de-Benauge 16 mars 2019 Entre-Vignes 16 mars 2019 Arvière-en-Valromey 17 mars 2019
Bresse Vallons 17 mars 2019 Cessières-Suzy 18 mars 2019 Abriès-Ristolas 18 mars 2019 Crépy-en-Valois 20 mars 2019
Duvy 20 mars 2019 Allonne 20 mars 2019 Frocourt 20 mars 2019 Vallouise-Pelvoux 20 mars 2019
Bordes-Uchentein 23 mars 2019 Arcisses 23 mars 2019 Eole-en-Beauce 23 mars 2019 Cambrai 25 mars 2019
Laon 25 mars 2019 Bassoues 26 mars 2019 Amblainville 30 mars 2019 Fay-les-Etangs 30 mars 2019
Douzy 31 mars 2019 Notre-Dame-d'Estrées-Corbon 31 mars 2019 Saint Antoine l'Abbaye 31 mars 2019 Beaupréau-en-Mauges 1er avril 2019
|Beaupréau-en-Mauges 1er avril 2019 Magnieu 10 avril 2019 Bierné-les-Villages 10 varil 2019 Saint-Quentin 12 avril 21019
Les Hôpitaux-Neufs 24 avril 2019 Rochejean 26 avril 2019 Moret-Loing-et-Orvanne 26 avril 2019 Neufchâteau 27 avril 2019
Erdre-en-Anjou 28 avril 2019 Mauges-sur-Loire 30 avril 2019 Orée d'Anjou 30 avril 2019 Saint-Crépin-Ibouvillers 30 avril 2019
Villeneuve-en-Perseigne 3 mai 2019 La Romaine (Haute-Saône) 3 mai 2019 Champdor-Corcelles 3 mai 2019 Haut Valromey 4 mai 2019
Groslée-Saint-Benoit 6 mai 2019 Val-Revermont 6 mai 2019 Poissons 6 mai 2019 Plombières-les-Bains 18 mai 2019
Vittel 18 mai 2019 La Corne en Vexin 19 mai 2019 Joinville 19 mai 2019 Charleville-Mézières 22 mai 2019
Clermont (Oise) 7 juillet 2019 Creil 7 juillet 2019 Méru 11 juillet 2019 Sérifontaine 11 juillet 2019
Gisors 13 juillet 2019 Ermenonville 13 juillet 2019 Dieppe 16 juillet 2019 Orthez 17 juillet 2019
Gerberoy 18 juillet 2019 Pont-l'Évêque 12 septembre 2019 Harfleur 14 septembre 2019 Ponts sur Seulles 16 octobre 2019
Crozant 29 octobre 2019 Boussac 3 novembre 2019 Les Hauts-de-Caux 19 décembre 2019 Terres-de-Caux 19 décembre 2019
Petit-Caux 1er janvier 2020 Pluméliau-Bieuzy 3 février 2020 Port-Jérôme-sur-Seine 8 mars 2020 Soissons 17 mai 2020
Monthermé 18 mai 2020 Revin 19 mai 2020 Givet 20 mai 2020 Aÿ-Champagne 24 mai 2020
Épernay 24 mai 2020 Andlau 16 novembre 2020 Kaysersberg Vignoble 21 février 2021 Bon Repos sur Blavet 13 mars 2021
Quessoy 17 mars 2021 [[]] [[]] [[]]
[[]] [[]] [[]] [[]]

Tableau Stat[modifier | modifier le code]

Nombre de pages que j'ai créées et statitiques de vue
DATES Nombre de Pages Nombre de jours Taille réelle Nombre de pages vues Moyenne par jour
14 juillet 2023 435 2153 2 226 964 324
21 juillet 2023 435 2 153 2 229 168 119 514 326
3 novembre 2023 461 2 261 112 339
25 juillet 2023

Brasseries de Saint-Quentin[modifier | modifier le code]

Bière des Deux Cignognes

BRASSERIE ALSACIENNE DES DEUX CIGOGNES (1920-1970)

    02100 SAINT QUENTIN
    Ex Grandes Brasseries Réunies Saint-Quentinoises
    Bières: Bière des deux Cigognes, Cigogne (export, pils, extra), Cigogne 51, Cristal, Grand Luxe, Grande Garde, bière de table et bière bock.

Cette publicité peinte sur la façade d’un ancien « Routier » rappelle une des grandes brasseries de Saint-Quentin. Elle se trouvait 251 rue de la Fère. Elle était née, après la Grande Guerre de la fusion de 10 brasseries et prit le nom de « Les Brasseries Saint-Quentinoises ». Elle avait son siège 84 rue Michelet (ancienne brasserie Vandenbroeck).

Elle produira vers 1930 « Les bières des 2 Cigognes » et en 1943 prendra l’appellation « Grandes Brasseries Alsaciennes des 2 Cigognes ».

Elle se développera jusqu’au début des années 60, mais après une reprise par la brasserie de « La Comète » fermera ses portes en 1970.


BRASSERIE POMME ROUGE

    02100 SAINT QUENTIN
    Bières: Pomme Rouge, Bocdor, Grande Conserve, Bock, Bière de luxe.

Historique Vers 1848, Louis Mouturier fonde cette brasserie qu'il exploite probablement jusqu'au milieu des années 1870. Elle prend probablement dès lors l'appellation courante de Brasserie de la Pomme Rouge, du nom de la rue où elle se situe. Les bâtiments de production sont agrandis en 1867 et en 1869. La brasserie est acquise en 1876 par Julien Boucquey, auquel succède sa veuve en 1889, Rosalie Waëls, associée à ses fils Elie et Sylvain Boucquey, sous la raison sociale Vve Boucquey & fils. Les sociétés se succèdent entre 1896 et 1920 : Vve Boucquey & Fils & Jumez (époux Boucquey) en 1896, Boucquey & Savoye (Mme Waëls veuve Julien Boucquey et Mme Boucquey Vve Savoye) en 1906, la Brasserie et Malterie Coopérative de la Pomme Rouge (fondée par Omer Boucquey, industriel de La Madeleine-lez-Lille) en 1910 et dissoute en 1920. La brasserie est durement touchée durant la Première Guerre mondiale au cours de laquelle ses vastes caves sont reconverties en abris par l'armée allemande. En 1920, la brasserie, et les dommages de guerre qui lui sont associés, sont acquis par Henri Berlaimont et Georges Bourdon qui font reconstruire la partie des ateliers de fabrication détruits et le logement patronal. Remise en route en avril 1920, la brasserie cessera son activité au début des années 1960, après s'être associée quelques années à la Brasserie des Deux Cigognes, route de la Fère. Dans les années 1960, les anciens ateliers (aujourd'hui détruits) sont occupés par une entreprise spécialisée dans le commerce d'aliments pour les animaux (Société de Subsistances Nutritives Concentrées). Seuls subsistent actuellement le logement patronal et les anciens bureaux. La brasserie est équipée en 1858 de deux chaudières, d'une capacité totale de 58 hl. Les ateliers de production, aujourd'hui détruits, portaient la date de 1879 en façade. Elle ne semble pourtant pas correspondre à la construction de l'édifice proprement dit, mais peut-être plutôt au rééquipement de l'usine par Julien Boucquey, alors propriétaire de l'établissement depuis 3 ans. Dans les rôles des patentes, Julien Boucquey est imposé sur la basse de 101 hl en 1877, puis 185 hl en 1881. La brasserie est équipée de deux machines à vapeur de 10 et 25 ch. en 1914. En 1921, la brasserie produit 30 000 hl de bière, qu'elle vend dans un rayon de 25 Km autour de Saint-Quentin.

Afficher le détail de l'historique Description Le logement patronal, en briques partiellement enduites, se compose de caves, d'un rez-de-chaussée surmonté d'un étage carré et partiellement d'un étage de comble. Il est couvert de toits à longs pans en ardoise. La façade alignée sur la rue de Bagatelle porte l'inscription "BRASSERIE DE LA POMME ROUGE". Dans le prolongement du logement patronal s'élèvent les anciens bureaux, dotés d'un étage carré. Ils sont en brique enduite, couvert de toits à longs pans en ardoise artificielle.

Brasserie La Populaire

BRASSERIE LA POPULAIRE (1900-1970)

    02100 SAINT QUENTIN
    Devient GRANDE BRASSERIE DE HAUTE PICARDIE en 1959
    Bières: Bière de Saint Quentin, Bock Stélio, Etoile d'Or, Populaire, Stella Pils, Stella Luxe.

Historique La Brasserie Coopérative La Populaire est fondée en 1910. Elle est implantée initialement rue Dachery, sur le site de la brasserie, rachetée quelques années plus tôt à la famille Diéval par Emile Capelle et fondée en 1885 par Honoré Lahaye et Jean Vatin. Emile Capelle devient le premier administrateur de la coopérative. En 1925, une nouvelle usine est édifiée rue Jacquard : les ateliers de la rue Dachery, pourtant rééquipés après les destructions de la Première Guerre mondiale, ne pouvaient probablement plus suffire aux volontés d'expansion de l'entreprise. Repris dans les années 1950 par la société anonyme Brasserie La Comète, l'établissement ferme ses portes avant 1967. Les locaux sont alors transformés en garage de réparation automobile, mutation au cours de laquelle les ateliers de fabrication sont en partie modifiés, tandis qu'une partie des caves de garde est détruite pour laisser place à un vaste atelier de montage de pneus (1968). En 1949, la brasserie est dotée de deux cuves de 175 hl chacun, de deux générateurs de vapeur, de cinq caves et salles de garde. Elle est alimenté en eau par un puits artésien profond de 93 mètres. La capacité de production annuelle est alors de 150 000 d°hl. La brasserie emploie 50 personnes en 1949 (contre seulement 14 dans les anciens locaux de la rue Dachery en 1914), et 57 en 1960.

Afficher le détail de l'historique Fiche Brasserie Adresse: Brasserie La populaire - 78 Rue Jacquart - Saint Quentin 02

Création: environ 1900 Activité: cessation vers 1970 Bieres brassées: Biere de Saint Quentin, Bock Stelio, Etoile d'Or, Populaire, Steliopils, Stella Lux, Stellapils Histoire de la Brasserie : voir ce document tres complet fait par Cedric Clement au format pdf.


BRASSERIE DU NAIN D'ALSACE (1896-1979)

    33-33 rue Quentin Barré 02100 SAINT QUENTIN
    Elle s'est appelée Brasserie ALLIANCE de 1896 à 1955
    Bières: Nain d'Alsace (pils, stout), Deux Nains, Dame Blanche, Dwarf Export Beer, Bitter Excellence, Tabou (pils, negro, super), Pastel, Zwergen pils, Swerg, Swerg Brau, Swergen Export, Nain (super, export), Trois Nains, Troïka, Armbrust Spezial Pils.

Historique En avril 1896, Ernest Tailliez, brasseur à Saint-Quentin, fonde la société anonyme de la Grande Brasserie Coopérative de Saint-Quentin. En 1898 il fait construire un nouvel établissement industriel, entraînant la fermeture du site initial implanté à l'angle des rues Charlevoix et de Lignières. Suivent la construction de caves, chais et magasins en 1900, d'une malterie en 1904, l'agrandissement de la salle des générateurs en 1910, puis celui de la salle de brassage et le renouvellement de ses équipements en 1913. Durant la Première Guerre mondiale, les outils de production sont soit enlevés, soit détruits. L'usine est remise en marche dès février 1921.

Au début des années 1950, la brasserie prend l'appellation Brasserie du Nain d'Alsace, dont la devise est "Ma force est dans la qualité". Parallèlement à la bière, elle produit aussi des boissons non alcoolisées telles que des sirops et des sodas. Dirigée par Joseph et Louis Armbrust dans les années 1960, la brasserie est l'une des deux dernières de Saint-Quentin, aux côtés de la Brasserie Alsacienne des Deux Cigognes. Spécialisée dans la fabrication de bières fines conditionnées en petites bouteilles, la production atteint 60 000 hl par an en 1960, et 100 000 hl dans les années 1970. L'établissement, dernière brasserie saint-quentinoise, ferme ses portes définitivement en novembre 1979. L'usine, en friche, est détruite en 1992 pour laisser place à un ensemble de logements HLM. Seuls subsistent les anciens bureaux, reconvertis en logements étudiants et la cheminée d'usine se dressant au centre de la cour formée par les immeubles.

L'usine est dotée en 1910 d'une machine à vapeur de 60 ch. ; cette dernière est remplacée en 1911 par une machine à vapeur Moret (constructeur à Saint-Quentin) de 70 à 80 ch., secondée par une machine de secours Van Hoegarden (Blanc Misseron) de 20 ch. La capacité des cuves de la brasserie est de 152 hl en 1901. Le matériel de la brasserie est renouvelé à 80 % en 1957. Elle est imposée pour environ 100 000 degrés hl en 1907, 180 000 degrés hl en 1961, 198 000 degrés hl en 1967.

La brasserie emploie 33 personnes en 1914, environ 45 salariés dans les années 1960, et 47 salariés en 1977.


Nom de plus de 7 mots[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-Lars-en-Sainte-Hermine Saint-Remy-en-Bouzemont-Saint-Genest-et-Isson
Saint-Etienne-du-Gué-de-l'Isle
Beaujeu-Saint-Vallier-Pierrejux-et-Quitteur
Le bâtiment des anciens bureaux se compose d'un rez-de-chaussée, d'un étage carré et d'un étage de comble. Il est construit en brique et couvert d'un toit à longs pans en ardoise. Sa façade est ordonnancée. Les baies de la façade antérieure sont à meneaux et linteaux droits en pierre de taille. Le chambranle du tiers supérieur de ces baies est en pierre de taille, avec une mouluration qui se prolonge entre les baies au niveau des impostes, et qui est répétée au niveau des appuis de fenêtre. Les baies de la façade postérieure et des pignons sont couvertes d'arcs segmentaires, où alternent pierre de taille et brique. L'entrée des bureaux est implantée dans un angle de l'édifice traité en pan coupé uniquement au niveau du rez-de-chaussée. Elle est encadrée de lourds pilastres et consoles portant une pierre de taille en surplomb, où l'on distingue encore l'inscription BUREAU. Le bâtiment est couvert d'une corniche avec modillons à volute en pierre de taille. Les pignons se prolongent au-dessus du faîtage sous la forme d'un petit pignon carré, portant une table d'attente en pierre de taille. La cheminée d'usine, circulaire, en brique, a été abaissée. Elle porte à son extrêmité une sculpture.


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  1. http://www.carto1418.fr/target/19140831.html
  2. https://www.carto1418.fr/target/19141023.html
  3. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k931469j/f106.image.r=Berzy%20le%20Sec?rk=536483;2
  4. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64470258/f267.image.r=Berzy%20le%20Sec?rk=236052;4
  5. 'Carnets de secrets de la grande guerre' Maéchel Fayolle, 1964, p. 127
  6. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  7. Journal officiel du 28 octobre 1920, p. 16685.
  8. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57889096/f286.image.r=Pontoise-les-noyon?rk=85837
  9. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f235.image.r=pontoise-l%C3%A8s-Noyon?rk=128756;0
  10. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f1.item.r=pontoise-l%C3%A8s-Noyon
  11. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f272.item.r=pontoise-l%C3%A8s-Noyon.zoom
  12. Le Magasin pittoresque (1875), t. 43, p. 14.
  13. a b c et d NEGRE (E.) Toponymie de France. (1990), t. 1, p. 363.
  14. DAUZAT (Albert) et ROSTAING (Charles), Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968. Librairie Guénégaud 1978.
  15. a et b COCHERIS (Hyppolyte), Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  16. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57889096.r=morlincourt?rk=450646;0
  17. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4864570/f107.image.r=Varesnes
  18. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65571395/f13.image.r=br%C3%A9tigny-oise?rk=128756;0
  19. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k408371q/f413.image.r=br%C3%A9tigny-oise
  20. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6399538c/f34.image.r=quesmy?rk=128756;0
  21. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f234.image.r=quesmy?rk=1824043;2
  22. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k130929s/f232.image.r=quesmy
  23. https://www.carto1418.fr/target/19140903.html
  24. https://www.carto1418.fr/target/19170315.html
  25. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6507193k/f9.image.r=lassigny
  26. « Carte des positions 16 mars 2017 », sur www.carto1418.fr.
  27. L'Echo d'Alger : journal républicain du matin, 2 avril 1917 sur Gallica.