Utilisateur:Prométhée26/Brouillon
Attaque au Sarin en Syrie[modifier | modifier le code]
Massacre de Khan Cheikhoun du 4 avril 2017
divers[modifier | modifier le code]
https://www.usatoday.com/story/news/politics/2017/04/05/president-trump-defense-secretary-mattis-chemical-attack-bashar-al-assad-obama-administration/100093210/
http://abcnews.go.com/International/us-releases-flight-path-plane-syria-chemical-attack/story?id=46651125
http://edition.cnn.com/2017/04/06/middleeast/syria-idlib-chemical-attack/index.html
Syrian Foreign Minister Walid al-Moallem denied the government carried out airstrikes at the time of the attack and repeated the government's claims it had never used chemical weapons and never would.
He said the government's first strike happened at 11:30 a.m., about five hours after reports of the chemical attack emerged.
Le Kremlin a donné sa propre version des faits : "D’après les données du contrôle russe de l’espace aérien en Syrie, le 4 avril de 11 h 30 à 12 h 30 [heure locale], l’aviation syrienne a frappé un entrepôt d’armes chimiques et d’équipement militaire des terroristes, situé dans l’est du village rebelle de Khan Cheikhoun", a déclaré le porte-parole de la Défense russe, Igor Konachenkov. "Dans cet entrepôt se trouvaient des ateliers pour la production de bombes chargées d’explosifs toxiques. Depuis ce grand atelier, les terroristes envoyaient des munitions contenant des substances chimiques en Irak." Les bombes du régime, selon Moscou, ne contenaient donc pas elles-mêmes d’agents toxiques.
https://www.pressreader.com/france/le-figaro/20170407/281595240385571
=> ZAKHAROVA
+
le président russe Vladimir Poutine juge inacceptable que les occidentaux formulent des « accusations non fondées contre qui que ce soit avant la mise en oeuvre d'une enquête impartiale et minutieuse »
https://sputniknews.com/middleeast/201704051052334782-idlib-chemical-attack-no-facts/
Maria Zakharova said that the White Helmets and the Syrian Observatory for Human Rights (SOHR) cannot be considered to be reliable sources as they have been repeatedly caught spreading fake reports on the situation in the war-torn country.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova (...)
Les Casques blancs ne peuvent pas servir en tant que source fiable pour rendre un rapport à ce sujet, car ils ont déjà publié de faux rapports sur la situation en Syrie ».
the deputy Russian ambassador to the UN, dismissed the allegations against Mr Assad as false, repeating the foreign ministries' claim they were based on "false information."
"We need an objective enquiry into what happened as until now there have been false reports on these incidents which have come from the White Helmets and the Syrian Observatory of Human Rights in London, which have been discredited long ago. They are not professional."
je voudrais également souligner que tous les rapports falsifiés sur ce sujet proviennent uniquement des fameux Casques blancs et de cet Observatoire syrien des droits de l'homme qui est déjà devenu odieux. Il ne faut faire confiance ni aux Casques blancs, ni à l'Observatoire syrien. Ils ont à maintes reprises sapé leur crédibilité par des vidéos truquées et par une information qui a été ensuite démentie par toutes les parties » a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova lors d'un briefing à Moscou.
Les premières informations faisant état d’une attaque chimique sont arrivées quelques heures avant que l’aviation syrienne ne réalise le 4 avril sa première frappe sur un entrepôt de munitions du groupe terroriste Front al-Nosra, a déclaré ce jeudi le chef de la diplomatie syrienne, Walid Mouallem, lors d’une conférence de presse à Damas.
« L’annonce de ce qui s’est passé à Khan Cheikhoun [dans la province d'Idlib, ndlr] est arrivée à 6h00, alors que la première frappe des Forces aériennes syriennes sur un entrepôt de munitions du groupe terroriste Front al-Nosra, contenant des armes chimiques, a été effectuée à 11h30 », a expliqué le ministre. [ministre des Affaires étrangères de la Syrie]
Russia’s deputy U.N. ambassador, Vladimir Safronkov, told the Security Council. “Up to now all falsified reports about this incident have come from the White Helmets or the Syrian Observatory for Human Rights based in London which have been discredited long ago.”
https://www.un.org/press/en/2017/sc12777.doc.htm
VLADIMIR SAFRONKOV (Russian Federation)
He said all falsified reports had come from the “white helmets” or the Syrian Observatory for Human Rights in London, both of which had been discredited.
à relire[modifier | modifier le code]
https://consortiumnews.com/2017/04/12/trump-withholds-syria-sarin-evidence/
https://www.mintpressnews.com/mit-scientist-disputes-evidence-of-syria-chemical-weapons-attack/226847/
texte de Postol
http://www.les-crises.fr/la-maison-blanche-a-publie-un-rapport-de-renseignement-manifestement-faux-trompeur-et-amateur-par-theodore-postol/
https://fr.scribd.com/document/344995943/Report-by-White-House-Alleging-Proof-of-Syria-as-the-Perpetrator-of-the-Nerve-Agent-Attack-in-Khan-Shaykhun-on-April-4-2017#from_embed
L'analyse de Robert Parry recoupe celle du géopolitologue Alexandre Del Valle, qui affirme que l’événement de Khan Cheikhoun s'est produit « la veille d'une réunion très importante à Bruxelles » qui risquait de donner une forme de réhabilitation au régime syrien. D'après lui, l'attaque chimique a permis à ceux qui n'approuvaient pas « la nouvelle doctrine de l'administration américaine » de s'appuyer sur « une récupération émotionnelle et médiatique », et « de saisir ce prétexte pour diaboliser un peu plus la Russie et tous ceux qui ne mettent pas comme condition préalable le départ de Assad. » Alexandre Del Valle ne voit pas d'intérêt pour le régime syrien d'utiliser des armes chimiques, « sauf s’il était suicidaire ».
(1) http://www.theamericanconservative.com/articles/did-assad-order-the-syrian-gas-attack/
(2) https://www.libertarianinstitute.org/scotthortonshow/4617-philip-giraldi-says-ic-military-doubt-assad-gas-narrative/
D'après Philip Giraldi (en), ancien officier du renseignement militaire américain, il est possible pour les rebelles d'organiser eux-mêmes une attaque chimique et de monter une opération sous faux drapeaux, et il affirme qu'Al-Nosra et Daesh ont déjà réalisé ce genre d'opération, l'attaque chimique de la Ghouta en 2013 étant par exemple, selon lui, une opération sous faux drapeaux. Pour Philip Giraldi, il est possible que Bachar al-Assad soit le responsable du massacre, mais l'administration américaine a décidé d'affecter cette responsabilité à Assad avant qu'il ne soit possible d'avoir des certitudes sur les faits[1]. Philip Giraldi déclare que ses propres sources dans l'armée et le renseignement américain sont stupéfaites du récit proposé par le gouvernement et les médias américains : pour ses sources, rendre responsable la Russie ou le régime syrien est une « imposture »[2].
Critique et analyse de la version syrienne[modifier | modifier le code]
Hasan Haj Ali, commandant du groupe rebelle de l'armée libre d'Idlib, a déclaré que les combattants rebelles n'avaient pas la capacité de produire des agents neurotoxiques. Le rapport du renseignement français valide cette déclaration, et affirme donc que la théorie d'une attaque par l'opposition n'est pas crédible, précisant de plus que l'opposition n'a pas les capacités aériennes requises. Le rapport affirme aussi que la théorie d'une manipulation par l'opposition n'est pas vraisemblable, citant « l'afflux massif dans un temps très limité vers les hôpitaux en Syrie et en Turquie et le téléchargement simultané et massif de vidéos présentant des symptômes de l'utilisation d'agents neurotoxiques »[3].
Pour le général Dominique Trinquand, « si c'est du sarin, c'est forcément l'armée syrienne, l'opposition n'est pas capable de le fabriquer, à moins que des stocks de l'armée syrienne aient été utilisée par une partie adverse », mais cette dernière hypothèse est très peu crédible selon lui, car si l'armement chimique avait été dérobé à l'armée syrienne, la « meilleure défense » de l'armée syrienne aurait été de déclarer le vol de munitions, or, selon le général, « elle ne l'a jamais fait »[4].
Selon Alain Juillet, ex-directeur du Renseignement de la DGSE, la prudence est de mise, car la vérité sur cette affaire ne peut être obtenue sans une « étude sérieuse faite par des gens neutres ». Et il déclare : « nous savons que les anciens d'Al Qaïda et Daech aujourd'hui, se sont emparés d'entrepôts chimiques. Tout le monde le sait, et il y a eu des utilisations, par le régime, mais aussi par Daech, contre le régime. Ces gens sont parfaitement capables de gazer un quartier, avec pour simple but de convaincre l'opinion international qu'ils ont été attaqués. Faire sauter une bombe chimique dans un quartier, c'est possible pour n’importe qui détenant la bombe et l'explosif. »[5].
présidentielles 2017, Asselineau[modifier | modifier le code]
François Asselineau a de grandes ambitions pour ces élections, il se targue de « relever le niveau du débat de cette présidentielle qui a sombré dans l'abysse » selon lui[6], et déclare: « si je suis candidat c’est pour être élu, ce n’est pas pour faire de la figuration »[7]. Il assure qu'il va être « la grosse surprise » du premier tour[8], une promesse[9] qui ne fait pas preuve de réalisme selon Jacques Cheminade[10]. Le résultat final est un « camouflet »[9].
complotisme[modifier | modifier le code]
Le Monde estime que l'analyse de François Asselineau sur la taille des régions de France, « calquée sur celle des Etats américains », paraît "un peu complotiste" et que François Asselineau croît à un grand complot des grands médias pour le faire passer pour un complotiste. Libération qualifie François Asselineau de complotiste(2), « le site officiel du mouvement regorge[ant] de longues analyses se voulant factuelles, mais menant irrésistiblement vers une lecture conspirationniste de l’histoire, dont les ficelles remonteraient jusqu’aux services américains. » D'après France tv info, François Asselineau «défend des théories complotistes». Pour Radio France internationale, il est « amateur de thèses complotistes ». Selon France 24, il est « adepte des théories du complot », avis partagé par France Soir. D'après Rtl, il a « une vision souvent complotiste des choses ». Pour Challenges, le projet de François Asselineau est "teinté de complotisme", et il soutient des «thèses aux relents complotistes», expression utilisée aussi par Le Point. Selon Europe 1, « la rhétorique de François Asselineau n’a rien à envier à certains conspirationnistes ». Selon le Huffingtonpost, c'est la «rhétorique conspirationniste » de François Asselineau « qui en fait une personnalité politique à part». Pour Les Echos, François Asselineau est «un poil conspirationniste».
Le Monde estime que François Asselineau croît à un grand complot des grands médias pour le faire passer pour un complotiste[11], et juge son analyse sur la taille des régions de France "un peu complotiste"[12]. Libération qualifie François Asselineau de complotiste[13], « le site officiel du mouvement regorge[ant] de longues analyses se voulant factuelles, mais menant irrésistiblement vers une lecture conspirationniste de l’histoire, dont les ficelles remonteraient jusqu’aux services américains. »[14] Selon France 24, il est « adepte des théories du complot »[15], «amateur de thèses complotistes» pour Radio France internationale[16], avis partagés par France Soir[17], Rtl[18], et Europe 1[19]. Pour Challenges, le projet de François Asselineau est "teinté de complotisme", et il soutient des «thèses aux relents complotistes»[20], expression utilisée aussi par Le Point[21]. Selon le Huffingtonpost, c'est la «rhétorique conspirationniste » de François Asselineau « qui en fait une personnalité politique à part»[22]. Pour Les Echos, François Asselineau est « anti-américain, anti-médias, et un poil conspirationniste»[23].
http://www.lemonde.fr/m-moyen-format/article/2017/03/09/francois-asselineau-une-voix-dans-la-campagne_5092212_4497271.html
http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/04/04/debat-presidentiel-qui-sont-les-six-petits-candidats_5105815_4854003.html
Le Monde estime que l'analyse de François Asselineau sur la taille des régions de France, « calquée sur celle des Etats américains », paraît "un peu complotiste" et que François Asselineau croît à un grand complot des grands médias pour le faire passer pour un complotiste.
(1)https://oeilsurlefront.liberation.fr/actualites/2017/03/10/qui-est-francois-asselineau-candidat-inattendu-a-la-presidentielle_1554446
Libération qualifie François Asselineau de complotiste(2), « le site officiel du mouvement regorge[ant] de longues analyses se voulant factuelles, mais menant irrésistiblement vers une lecture conspirationniste de l’histoire, dont les ficelles remonteraient jusqu’aux services américains. »
son discours étant « marqué par ses tendances complotistes ».
D'après France tv info, François Asselineau «défend des théories complotistes».
http://www.rfi.fr/france/20170310-france-francois-asselineau-candidat-surprise-presidentielle
Pour Radio France internationale, François Asselineau est « amateur de thèses complotistes ».
http://www.france24.com/fr/20170310-france-presidentielle-2017-francois-asselineau-souverainiste-complotiste-candidat-election
Selon France 24, il est « adepte des théories du complot », avis partagé par France Soir
http://www.francesoir.fr/politique-france/qui-est-francois-asselineau-le-candidat-conspirationniste-lelection-presidentielle
http://www.rtl.fr/actu/politique/presidentielle-2017-pourquoi-francois-asselineau-veut-renationaliser-tf1-7787716920
D'après Rtl, il a « une vision souvent complotiste des choses ».
https://www.challenges.fr/election-presidentielle-2017/qui-est-francois-asselineau-le-candidat-inattendu-a-la-presidentielle_459585
Pour Challenges, le projet de François Asselineau est "teinté de complotisme", et il soutient des «thèses aux relents complotistes», expression utilisée aussi par Le Point.
http://www.lepoint.fr/politique/asselineau-se-pose-en-defenseur-de-l-independance-nationale-13-03-2017-2111586_20.php
http://www.europe1.fr/politique/qui-est-francois-asselineau-linconnu-de-la-presidentielle-2999417
Selon Europe 1, « la rhétorique de François Asselineau n’a rien à envier à certains conspirationnistes ».
http://www.huffingtonpost.fr/2017/03/10/avec-francois-asselineau-les-conspirationnistes-ont-leur-candid/
Selon le Huffingtonpost, c'est la «rhétorique conspirationniste » de François Asselineau « qui en fait une personnalité politique à part».
Pour Les Echos, François Asselineau est un poil conspirationniste
militants sur le terrain[modifier | modifier le code]
Lors de la campagne pour les présidentielles de 2017, François Asselineau obtient «à la surprise général» les 500 parrainages nécessaires pour valider sa candidature[24]. Selon France Info, François Asselineau possède un «réseau de militants surmotivés»[25], qui est parti très tôt en campagne, allant de préférence vers les maires sans étiquette politique des petites communes[26]. François Asselineau déclare qu'il a rencontré lui-même 108 maires et que ses 200 démarcheurs en ont vus des milliers[27]. Plusieurs maires témoignent que des militants de l'UPR sont venus physiquement à leur rencontre, et même plusieurs fois, tandis que personne représentant d'autres candidats ne venait[28],[29]. Selon Le Dauphiné, les militants de l'UPR sont «d’un prosélytisme à écœurer une armada de témoins de Jéhovah»[30]. La motivation des militants a joué en leur faveur et ces maires ont accordé leur parrainage même lorsqu'ils n'étaient pas favorables à une sortie de l'Union européenne, n'avaient pas l'intention de voter pour François Asselineau et pensaient qu'il n'avait aucune chance[31],[26].
- (en-US) « Did Assad Order the Syrian Gas Attack? », The American Conservative, (lire en ligne, consulté le )
- (en-US) Scott Horton, « 4/6/17 Philip Giraldi says IC-Military Doubt Assad Gas Narrative | The Libertarian Institute », The Libertarian Institute, (lire en ligne, consulté le )
- (en-GB) « Syria chemical 'attack': What we know », BBC News, (lire en ligne, consulté le )
- Dominique Trinquand : Si c’est du sarin c’est forcément l’armée syrienne. (lire en ligne)
- « Attaque en Syrie : les doutes d'Alain Juillet », France Inter, (lire en ligne, consulté le )
- Marc de Boni, « François Asselineau, candidat pourfendeur de l'Europe et de l'impérialisme américain », Le Figaro, (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
- BFMTV, « Qui est François Asselineau? », sur BFMTV (consulté le )
- « Qui est François Asselineau, l'invité surprise de la présidentielle ? », lesechos.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Très faible score pour la première participation de François Asselineau », sur Le Huffington Post (consulté le )
- Le Point, magazine, « Présidentielle : Cheminade décide de voter blanc au second tour », Le Point, (lire en ligne, consulté le )
- Service politique, « Arthaud, Asselineau, Cheminade, Lassalle... : qui sont les six « petits » candidats ? », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
- Guillemette Faure, « François Asselineau, une voix dans la campagne », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
- « François Asselineau, candidat à la présidentielle, enarque anti-UE et complotiste », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Qui est François Asselineau, candidat inattendu à la présidentielle ? - Œil sur le front », Liberation, (lire en ligne, consulté le )
- « François Asselineau, le souverainiste invité surprise de l’élection présidentielle - France 24 », France 24, (lire en ligne, consulté le )
- « France: François Asselineau, candidat surprise à la présidentielle », RFI, (lire en ligne, consulté le )
- « Qui est François Asselineau, le candidat conspirationniste à l'élection présidentielle qui a eu ses 500 parrainages? », FranceSoir, (lire en ligne, consulté le )
- « Pourquoi François Asselineau veut renationaliser TF1 », RTL.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Qui est François Asselineau, l'inconnu de la présidentielle ? », Europe 1, (lire en ligne, consulté le )
- « Qui est François Asselineau, le candidat inattendu à la présidentielle? », Challenges, (lire en ligne, consulté le )
- Le Point, magazine, « Asselineau se pose en défenseur de l'indépendance nationale », Le Point, (lire en ligne, consulté le )
- « Avec Asselineau, les conspirationnistes ont leur candidat à la présidentielle », sur Le Huffington Post (consulté le )
- « François Asselineau, le candidat anti-européen et anti-américain », start.lesechos.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Rencontre avec François Asselineau, le candidat surprise de l'UPR à la présidentielle », Marianne, (lire en ligne, consulté le )
- « Enarque, eurosceptique, complotiste : cinq choses à savoir sur François Asselineau, qui a obtenu ses 500 signatures », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le )
- « Présidentielle : mais qu'est-ce qui pousse les élus à parrainer François Asselineau ? », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le )
- Diane Malosse, « Asselineau : "Quand je serai élu, personne ne m'aura vu venir !" », Le Point, (lire en ligne, consulté le )
- « Frexit, CIA, Wikipédia... 10 choses à savoir sur Asselineau, le candidat surprise à la présidentielle », L'Obs, (lire en ligne, consulté le )
- « Avec Asselineau, les conspirationnistes ont leur candidat à la présidentielle », sur Le Huffington Post (consulté le )
- « Un ovni dans le triste ciel présidentiel », Le Dauphiné, (lire en ligne, consulté le )
- RMC, « Comment François Asselineau a réussi à obtenir ses 500 parrainages », sur RMC (consulté le )