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Parc naturel régional des Baronnies provençales
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Lavandes à Saint-Férréol-Trente-Pas
Géographie
Pays
Régions
Départements
Coordonnées
Superficie
220 km2
Population
31164
Administration
Création
Site web
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Le décret de classement[1] du Parc naturel régional (Pnr) des Baronnies provençales a été publié au Journal Officiel le 26 janvier 2014. Le Pnr le s’étend sur un massif entre Drôme et Hautes-Alpes. À cheval sur les Régions Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur, les Baronnies provençales sont reconnues au niveau national comme Parc naturel régional[2].

Présentation du Parc[modifier | modifier le code]

Chiffres clés[modifier | modifier le code]

La Charte du Parc [3][modifier | modifier le code]

La Charte présente le projet de développement durable pour le Pnr des Baronnies provençales. Valable pour 12 ans, elle est le fruit d'une large concertation avec les acteurs locaux et a été approuvée en 2012. Elle s'articule autour de 3 grands axes :

  • Valoriser les atouts naturels et humains des Baronnies provençales,
  • Développer une économie basée sur l'identité locale,
  • Concevoir un aménagement solidaire et durable.

Les Communes adhérentes au Parc [4][modifier | modifier le code]

Drôme

Arpavon, Arnayon, Aubres, Barret-de-Lioure, Beauvoisin, Bénivay-Ollon, Bésignan, Buis-les-Baronnies, Châteauneuf-de-Bordette, Cornillon-sur-l’Oule, Eygalayes, Eygaliers, La Charce, La Motte-Chalancon, La Roche-sur-le-Buis, La Rochette-du-Buis, Laborel, Lachau, Le Poët-en-Percip, Le Poët- Sigillat, Lemps, Les Pilles, Montauban-sur-l’Ouvèze, Montaulieu, Montbrun-les-Bains, Montferrand-la-Fare, Montguers, Montjoux, Montréal-les-Sources, Nyons, Pelonne, Pierrelongue, Propiac, Reilhanette, Rioms, Rochebrune, Roche-Saint-Secret-Béconne, Roussieux, Sahune, Saint-Auban-sur-l’Ouvèze, Sainte-Euphémie-sur- Ouvèze, Saint-Ferréol-Trente-Pas, Saint-Maurice-sur-Eygues, Saint-May, Taulignan, Valouse, Venterol, Verclause, Vesc, Villebois- les-Pins, Villeperdrix, Vinsobres.

Hautes-Alpes

Antonaves, Barret-sur-Méouge, Chabestan, Chanousse, Châteauneuf-de-Chabre, Eourres, Etoile-Saint-Cyrice, Eyguians, La Bâtie-Montsaléon, La Piarre, Lagrand, Laragne-Montéglin, Lazer, Le Bersac, L’Epine, Le Saix, Méreuil, Montclus, Montrond, Orpierre, Oze, Ribeyret, Ribiers, Rosans, Saint-Auban-d’Oze, Sainte-Colombe, Saint-Genis, Saint-Pierre-Avez, Saléon, Salérans, Savournon, Serres, Sigottier, Trescléoux

Les Villes-Portes du Parc[5][modifier | modifier le code]

Les villes portes, de par leur positionnement géographique, sont des points de passage importants pour accéder au Parc naturel régional des Baronnies provençales :

Patrimoine naturel[6][modifier | modifier le code]

Les climats méditerranéens et alpins des Baronnies provençales lui procure une faune et une flore exceptionnelle. Les versants sud (adret) accueillent des espèces méditerranéennes tandis que les espèces à affinité montagnarde voire alpine préfèrent s’établir sur les versants nord (ubac).Les Baronnies provençales se caractérisent par une mosaïque d’habitats naturels où les différentes espèces végétales et animales se reproduisent, se reposent, s’alimentent et/ou transitent… Cette richesse naturelle est également révélée par la présence de nombreux zonages tels que les Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique (ZNIEFF),Natura 2000Espaces Naturels Sensibles... recelant des espèces remarquables, rares et/ou protégées. Ces zones naturelles n’en sont pas moins "imbriquées" dans des zones cultivées et habitées et certaines d’entre elles nécessitent la présence d’une activité humaine pour conserver leur intérêt écologique (ex : fauche des prairies, pâturage sur des pelouses calcaires, etc.).

Les différents milieux naturels du Parc[modifier | modifier le code]

Milieux ouverts et semi-ouverts

Les Baronnies font partie d’un des réservoirs de plantes messicoles les plus importants de France.

Milieux forestiers
Milieux rocheux
Milieux humides et cours d'eau

Le Pnr compte des prairies humides sur lesquelles on peut retrouver entre autres L'Epipactis des marais, l’Azuré de la Sanguisorbe, la Serratule à feuilles de chanvre d’eau Asteracée violette.

Une géologie à ciel ouvert [8][modifier | modifier le code]

Le Pnr des Baronnies provençales ne semble être que plis et replis, tantôt sinueux, tantôt géométriques. L'ensemble des montagnes paraît des plus désordonnés, comme un amoncellement de grandes plaques de calcaire, à première vue dépourvue de toute logique, ce qui rend l'orientation parfois compliquée. Le dépaysement senti dans ces paysages peut être intense : sur les pentes arides, noires, grises ou bleues des marnes, on croirait fouler un sol lunaire ou martien, un autre pays, un autre monde.La géologie marque et détermine fondamentalement le Pnr des Baronnies provençales, expliquant aussi bien ses formes d'agriculture, de culture et d'histoire. Elle constitue un aspect fondamental du territoire. Certains lieux sont des fenêtres sur des époques, des formes, inexistantes ou invisibles ailleurs.Le Parc possède deux sites de référence mondiale pour l'étude de deux périodes de transition ("stratotypes de limites") partout dans le monde :

  • les strates verticales du Serre de l'Ane (Drôme)[9]
  • les marnes du Mont Risou (Hautes-Alpes)

La géologie des Baronnies provençales compte aussi fossiles, ammonites, septarias, oolithes de grès... Mais ce qui fait patrimoine, à part certains types de "hauts-lieux" géologiques ou certains fossiles ou minéraux ponctuels, c'est l'ensemble : le tableau général d'un monde aquatique devenu solide, qui se laisse encore deviner.

La nuit dans les Baronnies provençales[modifier | modifier le code]

Fenêtres sur le ciel, le Pnr des Baronnies provençales possède l'un des ciels de France et d'Europe les mieux sauvegardés de la pollution lumineuse. La préservation et la valorisation de la qualité du ciel nocturne est l'une des mesures de la Charte du Pnr. Un site Internet sur la Nuit dans le Pnr des Baronnies provençales permet aux acteurs touristiques Haut-Alpins regroupés au sein de l'association «Provence des Montagnes», le Pays Sisteronais Buëch, le Comité Départemental du Tourisme des Hautes-Alpes, le centre d'initiatives pour valoriser l'agriculture et le milieu rural « CIVAM saveurs et senteurs en Drôme Provençale », ainsi que les acteurs économiques et associations de la filière « nuit » de valoriser leurs événements. Les acteurs touristiques et les Offices de Tourisme des Baronnies Drômoises, sont associés à cette démarche commune de promotion et de valorisation de la qualité du ciel.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Le bâti du Parc[modifier | modifier le code]

Riches en patrimoines du quotidien, souvent attachés à l'activité agricole ou à l'histoire médiévale du territoire, le Parc a des sites et des monuments ou des sites reconnus. Le poids de l'histoire médiévale dans ce territoire de montagne a abouti à la reconnaissance d'un certain nombre de sites perchés remarquables, comme le château de Cornillon-sur-l'Oule , le château et le vieux village d'Arzeliers[10] à Laragne-Montéglin, le vieux village de Béconne à la Roche-Saint-Secret-Béconne , l'église et le vieux village de St-Cyrice à Etoile-Saint-Cyrice , la château de La Roche-sur-le-Buis.D'autres sites, compte tenu de la densité des patrimoines remarquables qu'on y trouve, ont été reconnus comme “sites à fort caractère patrimonial”. Il s'agit notamment de villes et bourgs anciens, comme les vieilles villes de Serres et d'Orpierre dans les Hautes-Alpes, ou de Nyons, de Buis-les-Baronnies, de Taulignan ou du village de Sainte-Euphémie-sur-Ouvèze dans la Drôme. D'autres ont également été reconnus au regard de leur intérêt archéologique, comme le site de La Bâtie-Montsaléon (Hautes-Alpes, vestiges de Mons Seleucus, agglomération gallo-romaine à vocation religieuse) ou celui de l'abbaye de Clausonne[11] au Saix (Hautes-Alpes).Le Pnr regorge de patrimoines bâtis associés aux activités humaines, et notamment à l'agriculture. Dans ce territoire de montagne, les hommes n’ont eu de cesse d’aménager les pentes pour y retenir la terre ou y amener l’eau. Aujourd’hui, ces aménagements sont particulièrement intéressants pour protéger les terres des phénomènes de ravinement liés à la météo.

Activités économiques[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'agriculture dans le Pnr des Baronnies provençales est très diversifiée et reconnue au niveau national (6 Appellations d’Origine Contrôlée et 4 Indications Géographiques Protégées sur l’ensemble du territoire). Développer de nouveaux circuits courts d'échange et de commercialisation, et des" produits faits en Baronnies"][13] permettra de rendre la qualité accessible. L’agriculture valorise 60 000 ha du territoire et occupe jusqu’à 20% des actifs au coeur du Parc. La forêt, qui couvre à elle seule 61% des Baronnies Provençales, est en grande partie délaissée notamment du fait de la déprise agricole. Le Parc soutient les projets de préservation du patrimoine forestier et de valorisation de certains éléments caractéristiques comme les truffières naturelles. Aujourd’hui sous valorisés, les produits de la forêt constituent une opportunité de développement d’emplois locaux adaptés à la gestion durable des forêts. Le paysage des Baronnies Provençales est certes très riche, mais il a tendance à se refermer pour partie suite à une diminution de la présence des troupeaux. Cela entraîne une perte de biodiversité notamment dans les espaces intermédiaires entre les cultures et la forêt. Le sylvo-pastoralisme est un des modes d'entretien des espaces boisés du territoire.Aujourd'hui le nombre d'ovins sur le territoire des Baronnies Provençales est de 47 000. Par ailleurs il y a aussi 5000 chèvres et 900 vaches. En plus de la production alimentaire, tous ces animaux participent à l'entretien des espaces, à la prévention contre les incendies et empêchent la forêt d'avancer.Le territoire du Parc comprend une mosaïque de cultures agricoles correspondant à une agriculture de massif, diversifiée et de qualité avec des filières emblématiques[14] :

15 % des exploitations du territoire sont déjà certifiées en agriculture biologique. Il pourrait y en avoir 30% en 2024.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Le tourisme représente une grand majorité de l'économie des Baronnies provençales. Conformément à sa Charte, le Pnr a choisi de s'appuier sur son réseau d'Offices de Tourisme du territoire et des villes-portes, en tant que "relais du Parc naturel régional des Baronnies provençales " pour assurer la promotion. Ces lieux ont pour vocation d'être vitrines du territoire où sont mis en valeur les patrimoines, paysages et terroirs. Les principales filières touristiques dans le Parc :

  • le tourisme lié aux plantes locales[18] et au bien-être
  • les activités de pleine nature
  • le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés
  • Un important réseau d'hébergements (chambres d'hôtes, gîtes, hôtellerie de plein air...)
  • Le tourisme lié à l'agriculture locale (oenotourisme, marchés provençaux...)
Sports de nature

Le Pnr, avec sa topographie variée de moyenne montagne, son climat méditerranéen, la richesse de ses patrimoines naturels et culturels, est un terrain idéal pour la pratique des activités sportives en lien avec la Nature.

  • l'escalade : 1 500 voies équipées et deux sites de renommée internationale (Orpierre et Buis-les-Baronnies[19])
  • la randonnée (pédestre[20], équestre[21], VTT et cyclo[22])
  • le vol libre : nombreuses aires de décollage pour les parapentistes[23] (le site de Laragne-Chabre est connu mondialement pour ses courants thermiques exceptionnels)

Nouvelles énergies[modifier | modifier le code]

Depuis plusieurs années, de nombreux projets de développement d'énergies renouvelables se mettent en place dans le Pnr. Grâce à certains programmes, notamment régionaux, et en partenariat avec différentes structures travaillant sur ces thématiques (Syndicats d’énergie et d’électricité, CEDER, Communes forestières, etc.) le Parc a accompagne les communes dans la transition énergétique. En 2015, le Parc est reconnu par le Ministère du Développement durable et de l'Énergie comme l'un des 212 territoires à énergie positive (TEPOS). Le Ministère a proposé au Pnr un projet ciblé : un contrat local de transition énergétique inter-régional.

Centrale Villageoise Photovoltaïque][24]

Le but est d'implanter des panneaux photovoltaïques sur différentes toitures d’un même village (Rosans) en prenant en compte l’évolution patrimoniale et paysagère globale. L’intérêt majeur du projet réside dans la mobilisation de la population qui permet d’associer dans une même société de gestion, des citoyens producteurs et consommateurs d’énergie, des associations, des collectivités locales, des entreprises, etc. Ces personnes participent ainsi à la production d‘une énergie renouvelable locale alors même qu’elles ne pourraient peut être pas le faire sur leur propre toiture (car locataire de leur logement, toiture mal orientée, manque de moyens financiers, etc.). Dans l’optique de réaliser un projet exemplaire qui puisse être généralisé sur d’autres communes rurales, plusieurs études ont été réalisées pouvant servir de base à d’autres projets.

Etudes de production et consommations d'énergies du territoire et émissions de gaz à effet de serre

Réalisée comme préalable à toute réflexion d’une politique énergétique des Baronnies provençales, le Parc a porté en 2011 la réalisation d’un bilan de la consommation et de la production d’énergies et des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle de son territoire. Les résultats de l’étude confirment une forte dépendance du territoire aux produits pétroliers alors que la production d’énergies renouvelables est limitée (16,5% de la consommation). La part du résidentiel et des transports constituent les secteurs les plus énergivores. Ils constituent aussi les domaines où la marge d’amélioration est la plus importante : le déplacement en voiture individuelle est le moyen de déplacement le plus utilisé (57%) et la part des logements construits avant 1974 et chauffant au fioul est prépondérante.

Le bois des Baronnies provençales

Plusieurs communes ont bénéficié de l’accompagnement des techniciens du Parc dans la définition et le calibrage de réseau de chaleur fonctionnant au bois déchiqueté.Par le biais d’appels à projet groupés et avec le soutien des communes forestières, les communes de Barret-sur-Méouge et Rosans ont pu réaliser une étude de faisabilité quant à la création de ces infrastructures de chauffage. Depuis, d’autres communes ont sollicité l’aide du futur Parc dans la définition de leurs projets comme Buis-les-Baronnies et Eourres.

Galerie photographique[modifier | modifier le code]


Liens externes[modifier | modifier le code]


Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Journal Officiel de la République française[1].
  2. Baptiste Camilleri, « Ségolène Royal dit "oui" au parc ! », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 3.
  3. Charte du Parc naturel régional des Baronnies provençales[2].
  4. Journal Officiel de la République française[3].
  5. Journal Officiel de la République française[4].
  6. Gilbert Cochet, Les Baronnies provençales : guide du patrimoine naturel de la Région Rhône-Alpes, , 64 p. (ISSN 1151-9355).
  7. Thierry Vezon et Rozen Morvan, Vautours : en Baronnies provençales, Hesse, , 105 p. (ISBN 978-2-35706-003-6).
  8. Christian Montenat, Baronnies provençales : Mont Ventoux et montagne de Lure, Omniscience, , 205 p. (ISBN 978-2-916097-49-7).
  9. Correspondant(e) Local(e), « Le Serre de l'Âne, un site d'exception », La Tribune,‎ , p. 11.
  10. Correspondant(e) Local(e), « Une nouvelle jeunesse pour le Château d'Arzeliers », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 11.
  11. Correspondant(e) Local(e), « La ministre de l'écologie intéressée par l'Abbaye de Clausonne », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 13.
  12. Correspondant(e) Local(e), « Futur Parc naturel régional des Baronnies provençales : des murs en pierres sèches reconstruits », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 14.
  13. Jean-Bernard Gache., « Des ambassadeurs pour les Baronnies provençales », Alpes & Midi,‎ , p. 04.
  14. Agnès Braisaz, « Baronnies : une convention pour songer à l'avenir », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 12.
  15. Anne-Laure Pham, « L'olive noire de Nyons, une perle née dans la pierre », L'Express,‎ .
  16. Correspondant(e) Local(e), « Les producteurs de lavande inquiets », {{Article}} : paramètre « périodique » manquant,‎ , p. 07.
  17. V. O., « La pomme des Alpes a fait sa star », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 04.
  18. « Venez redécouvrir le Tilleul », La Tribune,‎ , p. 44.
  19. Alain Bosmans, « Une voie de fer à l'assaut des Baronnies », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 6.
  20. Fabien Roux, « Les beautés des Baronnies par les sentiers », La Tribune Libéré,‎ , p. 11.
  21. Correspondant(e) Local(e), « Un programme très varié pour les Equit'days », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 12.
  22. Alain Bosmans, « 1100 cyclos à l'assaut des Baronnies », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 14.
  23. Correspondant(e) Local(e), « Parapente championnat de France », La Tribune,‎ .
  24. Correspondant(e) Local(e), « Les fondateurs de la centrale villageoise présentent le projet au public », Le Dauphiné Libéré,‎ , p. 11.

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