Utilisateur:Nanton

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Relecture Article sur les Système d'exploitation pour carte à puce[modifier | modifier le code]

Résumé introductif[modifier | modifier le code]

Les systèmes d'exploitation pour carte à puce ont été développés afin de rendre ces cartes intelligentes c'est à dire pouvant gérer et exécuter une ou plusieurs applications.

L’architecture matérielle est assez proche de ce que l’on trouve dans la micro informatique

  • Mémoire de travail volatile des applications et du système : RAM
  • Mémoire morte non réinscriptible contenant le système d’exploitation: ROM
  • Mémoire morte réinscriptible, permettant de sauvegarder des données même si la carte n’est plus alimentée: EEPROM
  • Microprocesseur, parfois assorti d’un processeur dédié à la cryptographie.

Les possibilités matérielles des cartes étant limité en mémoires et en puissance de calcul, les systèmes d’exploitation de ces équipements se doivent d'être les plus légers possibles afin d'être embarqué dans la mémoire des cartes.

Malgré ces limites matériels, les systèmes d'exploitation des cartes à puces sont à même de pourvoir gérer la mémoire, les fichiers (par le biais de système de fichiers spécifiques par ex: SCSF SmartCard File System), l'exécution d'applications, la communication interne et externe de la cartes (selon les types de cartes avec ou sans contact) et une gestion de la sécurisation des données par le biais d'algorithmes cryptographiques.

D'un système mono-applicatif où le système d'exploitation et l'applicatif ne font qu'un (1981), aux cartes à puces les plus récentes pouvant gérer plusieurs applications sur une même carte, les architectures ont évolués et se classifie selon trois modèles:

  • Systèmes fermé: généralement propriétaire et étroitement lié au matériel
  • Les machines virtuelles: basé sur des systèmes Java Card Virtual Machine et MultOS ou l'environnement d'exécution est sécurisé et authentifié (MultOS).
  • Le système Hyperviseur CAMILLE.

Grâce à cette nouvelle technologie logiciel embarquée au sein des cartes à puces, les marchés se développe rapidement avec par exemple des évolutions de + de 63% pour les systèmes Java Card, ce qui montre l’intérêt de ces systèmes d’exploitation pour les industriels.


Remarques sur l'article[modifier | modifier le code]

L’article est intéressant et permet une bonne compréhension du sujet posé, mais quelques points serait selon moi à améliorer :

  • La présentation de la norme sans ISO/EIC 7816 sans explications et/ou mise en avant des sous parties afférentes aux systèmes d’exploitation.
  • La non explication de certains schémas relativement complexe ou finalement on se perd.
  • Manques d’exemple d’applications utilisant les nouvelles fonctionnalités offertes par ces OS. (ex : multitâche.)

Structure[modifier | modifier le code]

La première information intéressante sur les OS apparait au milieu du document, laissant en premier toute l’architecture hardware ce qui peut décourager un lecteur paresseux. Est-ce qu’il n’aurait pas été préférable de déplacer l’environnement matériel et les normes à la fin de la description technologique afin d’introduire directement ce qu’est un OS de carte à puce ?

Je n’ai pas bien compris l’intérêt du chapitre fonctionnalités : Elles se retrouvent en fait dans le chapitre « spécificités ».

Pour le reste rien n’a signaler, les chapitres restants s’enchainant correctement allant du général vers le détail.

Forme[modifier | modifier le code]

  • La présentation en tableau de la norme ISO est appréciable vu le nombre de composantes.
  • Dans environnement matériel, faire apparaitre tout les acronymes du schéma dans le texte, ne pas laisser deviner par le lecteur. Par exemple faire apparaitre l’entité MPU.
  • Faires des sous puces pour faciliter la compréhension des différentes zones mémoires (RAM, ROM...)
  • "Une grande interopérabilité, avec la notion de machine virtuelle et la définition d'un grand nombre de primitives standardisées en rapport avec des standards de l'industrie comme les interfaces sans contacts." : pas clair ce passage. Interopérabilité grâce au machine virtuelle oui, mais que viennent faire les interfaces sans contacts la dedans.


Fond[modifier | modifier le code]

Les Différente technologies sont annoncées et présentés correctement.


Critiques

  • Les réf 14,15 et 16 pointent vers des ouvrages de références non accessibles par lien : est-ce normal ?
  • Un lien vers une définition de CPU aurait été apprécié
  • Une description du schéma dans le chapitre "fonctionnalités" : sans explication on ne sait pas forcement ou re-situer les blocs de programmes dans la carte.
  • Vous parler de PC DOS qui renvoi vers MS DOS, il serait plus judicieux de parler du DOS dans son ensemble générique (l’article existe sur des versions gratuites de DOS) plutôt que de cité un OS commercial.
  • Les normes ISO présentées semblent plus correspondre à des spécifications des cartes de l’implémentation d’un système d’exploitation.
  • Il manque un titre au schéma dans spécificité de même que l’explication de certains termes (CLK, RST, GND, VCC, VPP)
  • Le COS est contenu dans la ROM de la carte à puce, on peut aussi trouver le terme de mask3. Il fournit une API complète afin de communiquer vers les zones mémoire mais également et surtout vers l'extérieur. : Expliciter le terme de Mask aurait été judicieux
  • Dans la partie historique , je n’ai pas compris les termes de zones et couches qui n’ont aucunes définitions.
  • Les systèmes fermés : peut être plus judicieux de mettre système propriétaire, surtout que vous parlez de SOSSE qui est une gratuit et ouvert ??
  • Les machines virtuelles : expliquer le concept de machines virtuelle applicative dans le cas d’une carte a puce aurait été judicieux, trop tendance à faire la comparaison avec une machine virtuelle style PC émulé (ex virtualbox). Elle apparait furtivement dans multOS.
  • Exo-noyau : expliciter un peu plus la notion de noyau dans un OS avant de parle d’exo-noyau.
  • Dans la partie cryptographie : les liens RSA et DSA n’ont pas de lien hypertexte vers leurs définitions.
  • HISTORIQUE: Il manque une référence sur la découverte de l’architecture de SPOM par Michel UGON. Référence 17 à 20 Que se passe-t-il âpres 2003 ? Rien d’autre comme évolution ?
  • Systèmes fermés :

Réf 20 : la page annoncé n’est pas consultable en ligne, il faut acheter le livre ? Réf 33 36 38 39 40 : ne sont pas correctement formaté

  • Manque de référence sur certains chiffres de marché des cartes à puces.