Utilisateur:Mathieugp/Brouillons/Notes diverses concernant le Siège de Québec de 1759

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Barques à fond plat[modifier | modifier le code]

(MacLeod, p. 64-65)

Bombardements de ville[modifier | modifier le code]

(MacLeod, p. 113-121, 125-134)

Raids amphibies à l'ouest de Québec[modifier | modifier le code]

(MacLeod, p. 79-80-81)

  • 5 août, Escadre de Charles Holmes (comprenant 14 barques à fonds plats) passent devant Québec dans la nuit.
  • 6 août, un détachement d'infanterie régulière, légère et des fusiliers marins qui sont sur la rive sud sont embarqués dans les navires de l'escadre
  • 8 août, à 6h00, échec du débarquement de Pointe-aux-Trembles (Neuville) trois batteries flottantes françaises détruites par
  • 10 août, à 7h30, débarquement à Saint-Antoine
  • 13 août, incendie de toutes les maisons de la paroisse de Sainte-Croix.
  • 14 août, incendie de Saint-Nicolas
  • 19 août, au lever du soleil, débarquement à Portneuf. Les soldats marchent jusqu'à Deschambault pour détruire un magasin du roi entreposant des armes, des munitions et des effets personnels des officiers français de Québec. Ils tuent aussi cents têtes de bétail et des moutons.
  • 26 août, l'escadre de Holmes et le détachement de soldats sont de retour au camp de la Pointe-Lévy.

Ravitaillements[modifier | modifier le code]

(MacLeod, p. 143-151 et 157-165)

  • Les provisions de vivres entreposés à Québec commencent à manquer à la fin juillet. Pour éviter la flotte commandée par Holmes, le munitionnaire Cadet fait transporter sept cents barils de farine et de lard salé sur le Chemin du Roy. Les 271 chariots du convoi qui partent le 24 juillet de Batiscan sont conduits par des femmes, des enfants et des vieillards sous escorte. Le ravitaillement arrive à destination le 1er août[1].
  • Une deuxième convoi livré par voie terrestre part le 10 août et arrive le 18 août.
  • Le dernier ravitaillement de provisions en provenance des entrepôts de Batiscan arrivent à Québec en deux convois transportés par bateaux les 23 et 24 août. Les réserves de vivres suffisent pour tenir jusqu'à la mi-septembre[2].
  • La récolte de blé de 1759 est excellente dans Montréal, mais tous les hommes sont au front et il n'y a pratiquement plus que des enfants, des femmes et de vieillards pour la récolte. Le gouverneur de Montréal dépêche un détachement de 600 miliciens stationnés à La Prairie pour aider aux moissons[3]. Lévis ajoute 300 miliciens et 100 réguliers de ses troupes à ce nombre et exhorte la population des villes à soutenir l'effort de guerre. Le 18 août, Vaudeuil ordonne d'omettre de bluter la farine pour accélérer la production et éviter toute perte[4].
  • Le 28 août, Montcalm fait réduire les rations de pain (un quart de moins aux soldats et milices et moitié moins aux civils. Les vivres arrivées le 23 août durent cinq jours de plus en conséquence[5].
  • Le 29, un senau qui transporte du blé et de la farine de Montréal arrive à destination, à 60 kilomètres de Québec. Cadet fait transborder la marchandise dans des bateaux de rivière qui partent immédiatement. Les bateaux sont attaqués par la marine britannnique le 31 et l'équipage est forcé d'échouer sur le rivage et de décharger les provisions. L'escadre de Holmes qui est posté au large de Pointe-aux-Trembles empêche le convoi d'avancer. Cependant, dès les premiers jours de septembre, les vaisseaux britanniques soient redéployés et Cadet a la voie libre jusqu'à Cap-Rouge (à 10 km de Québec). Les bateaux arrivent à Cap-Rouge le 7 septembre. D'autres bateaux arrivent le 9[6].

Dévastation des campagnes[modifier | modifier le code]

(MacLeod, p. 78)

  • Citations de l'aumônier Gibson, Wolfe, Murray

Armée de Wolfe[modifier | modifier le code]

(MacLeod, p. 87-88)

Le harcellement constant des Canadiens et des Amérindiens à la lisières des bois forcent les soldats à vivre dans des cantonnements fortifiés qui deviennent facilement insalubres parce qu'ils sont mal aérés. Le milieu devient propice à la propagation des microbes. Les soldats de Wolfe souffrent de dysenterie et de typhus.

À la fin d'août, la maladie, les blessures et les morts au combat ont réduits les quelque 9000 soldats de Wolfe au nombre de 75000. Sur ce total, seulement 6000 sont valides.

Armée de Montcalm[modifier | modifier le code]

(MacLeod, p. 102)

  • 5 bataillons des troupes de terre (La Sarre, Languedoc, Béarn, Guyenne, et Royal-Rousillon)
  • Le régiment La Reine, deux bataillons du Régiment du Berry sont à la frontière du Lac Champlain

Armée de Vaudreuil[modifier | modifier le code]

(MacLeod, p. 102-108)

  • Troupes de la marine
  • Milice de Montréal, Trois-Rivières, Québec
  • Amérindiens (Mohawks de Kahnawake et Akwasasne, Mohwaks, Algonquins et Nipissings de Kanesatake, Onontagués d'Oswegatchie, Abénaquis d'Odanak et de Bécancour et les Hurons (Wendake) de Lorette.)

Joseph-Michel Cadet, munitionnaire[modifier | modifier le code]

(MacLeod, p. 95-100)

Versailles décide de ne pas escorter les ravitaillements destinés au Canada en 1759. Cadet loue une escorte armée à ses propres frais pour ravitailler son pays.

  1. p. 145
  2. p. 146
  3. p. 150
  4. p. 150
  5. p. 158
  6. p. 161