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Liens
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« Del. ou delin. » veut dire en abrégé delineavit du latin « a dessiné ». « Sculp. » ou « Sc » de sculpsit veut dire « a sculpté »
ESCLAVAGE COLONIAL
[modifier | modifier le code]Généralités
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Évolution du nombre d’esclaves embarqués sur les navires négriers européens de 1500 à 1870. Charles Colignon, 2018. D’après The transatlantic Slave Trade Database.jpg
Amérindiens
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Révolte taïno à Borinquen (Porto Rico) en 1511.
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Colonisateurs espagnols attaquant un village amérindien, gravure de Théodore de Bry, fin du XVIe siècle.
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Noyade du conquistador Diego Salcedo pendant la révolte taïno de 1511 à Porto Rico.
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Caupolicán
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Caupolicán
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Illustration du massacre de Gnadenhütten en 1782.
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Le massacre de Cholula en 1519, lors de la conquête du Mexique par Hernan Cortès.
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Tuerie d'Indigènes Yuki dans la Round Valley, Californie.
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Massacre d'Amérindiens à Lancaster (Pennsylvanie) en 1763 par les Paxton Boys.
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Massacre de Wounded Knee, 1890, Dakota du Sud, États-Unis.
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Amérindien capturé et réduit en esclavage par des colons de Virginie au XVIIe siècle.
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Village taïno à Porto Rico.
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Reconstitution d'un village taïno à Cuba.
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Reconstitution d'un village taïno à Cuba.
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Reconstitution d'un village taïno à Cuba.
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KITLV - 36C351 - Bray, Th. - Petit - Arawak Indians Three women, one breast feeding. - Colour lithography - 1850.
Armateurs et capitaines
[modifier | modifier le code]https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Slave_traders
https://en.wikipedia.org/wiki/User:GerardM/Slave_traders
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Guillaume Grou, un des principaux armateurs négriers nantais.
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Jacques-François Bégouën, influent armateur négrier havrais.
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Stanislas Foäche, un des principaux armateurs négriers havrais.
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Martin-Pierre Foäche, armateur négrier havrais.
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Abraham Gradis, armateur négrier bordelais.
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Jacques Duval d'Epremesnil, armateur négrier havrais et directeur de la Compagnie des Indes.
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Dominique Deurbroucq, négociant et armateur négrier nantais, accompagné d'un esclave[1].
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Edward Colston, armateur négrier anglais.
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Samuel Bernard, richissime banquier et armateur négrier français.
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Pierre-Paul Nairac, plus grand armateur négrier de Bordeaux.
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Portrait de Pierre-Paul Nairac peint par Pierre Lacour.jpg
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Pierre-Jacques Meslé de Grandclos, armateur négrier de Saint-Malo.
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Portrait de Jean-Étienne Balguerie junior.
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Antoine Crozat, richissime banquier et armateur négrier français.
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Jan Pranger, négrier et administrateur colonial néerlandais du xviiie siècle, dans son bureau du fort de traite d'Elmina.
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Jacques Rasteau, armateur et négrier rochelais.
Ports négriers
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Vue du Port de La Rochelle, prise de la petite Rive, par Joseph Vernet (1762).
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Le port de La Rochelle en 1762.
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L'Entrepôt réel des denrées coloniales (dit Entrepôt Lainé), construit en 1824.
Achat - Capture
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Convoi d'esclaves en Afrique centrale.
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Le commerce des esclaves, gravure de John Raphaël Smith, d'après George Morland, 1791.
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Inspection d'un captif lors d'une vente d'esclaves entre acheteurs européens et marchands africains. Gravure de 1854.
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Un marché aux esclaves à Zanzibar.
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Razzia d'esclaves dans un village africain.
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Capture d'esclaves noirs par les marchands arabes.
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La Douleur et l'espoir du Soudan égyptien, 1913 ; illustration d'un raid d'esclave au Sud-Soudan au XIXe siècle.
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Incendie d'un village en Afrique et capture de ses habitants[2].
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Gravure des Établissements portugais et hollandais en Afrique, XVIIe siècle, musée royal de l'Afrique centrale, Terveuren, Belgique.
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The Slave Gang (relates to David Livingstone) by The London Missionary Society.
Embarquement
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Fer d'étampage à esclave, musée d'histoire de Nantes.
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Embarquement des captifs africains à bord des navires négriers européens.
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Deux navires négriers britanniques devant le fort de traite danois Christiansborg, vers 1800.
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Le fort de traite portugais d'Elmina, sur la Côte de l'Or, entre 1610 et 1624.
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Vue du fort de traite anglais de Cape Coast, gravure de Jacques-Nicolas Bellin parue en 1747.
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Plan de l'île de Gorée, gravé par François Baillieul l'Ainé, début du XVIIIe siècle.
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Scène de traite sur la côte d'Afrique, par Édouard Duncan, xixe siècle.
Traversée
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Nègres à fond de cale, par Johann Moritz Rugendas (1830).
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Scene in the Hold of the Blood-Stained Gloria (New York City, c1860).
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Captifs africains forcés de danser sur le pont du navire négrier afin de maintenir leur état de santé et optimiser leur vente[3].
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Sur le pont d'un navire négrier approchant la colonie de Jamaïque, en vue de rendre les captifs plus présentables pour la vente sur le marché aux esclaves, les marins du navire négrier les recouvrent d'un mélange de poudre à canon, de jus de citron et d'huile de palme, puis ils les polissent avec une brosse.
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Captifs africains tout juste libérés de leurs chaînes mais encore entassés dans les cales de l’Albanoz, un navire négrier espagnol capturé en 1846 lors d’une patrouille antiesclavagiste de la Royal Navy, au large de la côte ouest-africaine.
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Massacre des esclaves du navire Zong, jetés par-dessus bord pour économiser l'eau et empocher l'assurance (1781).
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Femme esclave fouettée par l'équipage d'un navire négrier sous le commandement du capitaine John Kimber, en 1792. Contrairement à l'équipage du Zong, Kimber a été jugé pour le meurtre de deux femmes esclaves.
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Révolte sur le navire négrier La Amistad.
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Révolte sur un bâtiment négrier.
Navires négriers
[modifier | modifier le code]https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Slave_ships
https://www.slavevoyages.org/voyage/database - https://www.slavevoyages.org/voyage/31959/variables
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La Marie Séraphique, navire négrier nantais du XVIIIe siècle.
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La Marie Séraphique, navire négrier nantais du XVIIIe siècle.
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La Marie Séraphique, navire négrier nantais du XVIIIe siècle.
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L'entrepont de La Marie Séraphique, navire négrier nantais.
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Le Saphir, navire négrier de La Rochelle, ex-voto de 1741.
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Schéma du Brookes, navire négrier britannique construit en 1781, dessiné en 1788 par Thomas Clarkson.
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La Concorde, navire négrier de 200 tonneaux appartenant à l'armateur nantais René Montaudouin.
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Les Deux Sœurs, navire négrier français en rade du Havre en 1783.
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La frégate Southwell, navire négrier de Bristol. Elle effectua deux voyages de traite, en 1746 et 1748. Lors du premier voyage, elle livre 629 esclaves africains à la colonie de Jamaïque, lors du second 284 à celle de Virginie[4].
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Maquette d'un navire négrier de la Compagnie néerlandaise des Indes occidentales.
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Maquette du Whydah Gally, navire négrier londonien.
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Naufrage du Créole, navire négrier américain, au large de Madère en 1842.
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Le Beeckestijn (nl), navire négrier de la Compagnie néerlandaise des Indes occidentales, dans le port d'Amsterdam vers 1735.
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Le Ceres (en), navire anglais ayant effectué plusieurs expéditions de traite négrière depuis le port de Liverpool entre 1801 et 1806.
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Le navire négrier américain La Amistad à New York, le 26 août 1839.
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Capture du Emanuela en 1860 avec 800 captifs à bord.
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Navires négriers néerlandais et anglais à Saint-Eustache, colonie néerlandaise aux Antilles, 1763.
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Le Jesus of Lübeck (en), caraque allemande acquise par la couronne anglaise et qui a effectué quatre expéditions de traite entre 1562 et 1568, depuis le port de Plymouth, sous le commandement de John Hawkins.
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La navire négrier La Bonne Amitié, construit à Honfleur et propriété des La Coudrais. Lors de son voyage de traite de 1786 à 1788, il embarque 424 captifs dans l'estuaire de Sierra Leone, et en vend 318 aux Cayes, dans la colonie de Saint-Domingue, faisant apparaître un taux de mortalité de 25%[5].
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Navire négrier britannique, vers 1780, par William Jackson.
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Vue des navires négriers Les trois frères et de la corvette Le cerf volant appartenant à Messieurs Rasteau, armateurs à La Rochelle.
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Navire négrier L'Amitié appartenant à MM. Rasteau. En 1787, il déporte 227 esclaves africains de Sénégambie à Port-au-Prince (Saint-Domingue), dont 21 meurt durant la traversée de l'Atlantique[8].
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Coupe d'un navire négrier, par Léon Morel-Fatio, 1862.
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Le Fredensborg II, navire négrier danois-norvégien qui effectue plusieurs voyages de traite entre la Côte-de-l'Or danoise et les Antilles à la fin du xviiie siècle[9].
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Le négrier portugais Diligenté capturé par le sloop H.M. Pearl avec 600 esclaves à bord. Peinture d'Henry Samuel Hawker, lieutenant de la Royal Navy britannique, au moment de la prise du navire se livrant au commerce illégal d'esclaves.
Débarquement
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Débarquement en 1619 des premiers captifs africains dans la colonie de Virginie.
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Nouveaux noirs
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Premier débarquement des premiers captifs africains à Jamestown (colonie de Virginie) en 1619, par Howard Pyle.
Vente
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Vente d'esclaves à la Nouvelle-Amsterdam (actuelle New York) en 1655, par Howard Pyle.
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Vente d'esclaves à la Nouvelle-Amsterdam (actuelle New York) en 1655, par Howard Pyle.
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Un marché d'esclaves à Rio de Janeiro au Brésil, en 1824.
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Ventes d'esclaves noirs à Richmond, Virginie (États-Unis), 1861.
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Vente d'esclaves noirs à Richmond en Virginie (États-Unis), 1962.
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Vente aux enchères d'esclaves noirs dans l'État de Virginie (États-Unis), le .
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Vente aux enchères d'esclaves noirs dans l'État de Virginie (États-Unis), le .
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Vente aux enchères d'esclaves noirs dans le sud des États-Unis, 1866.
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Bureau de vente aux enchères d'esclaves noirs, à Atlanta en Géorgie (États-Unis), 1864.
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Bureau de vente aux enchères d'esclaves noirs, à Atlanta en Géorgie (États-Unis), 1864.
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Vente d'esclaves à la Martinique, vers 1826, par Julien Léopold Boilly.
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Vente de captifs africains à bord de La Marie Séraphique en 1773, dans la baie du Cap-Français, principal port de la colonie de Saint-Domingue.
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Marché aux esclaves à Pernambouc au Brésil, 1824.
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Vente de 96 esclaves à Charleston en Caroline du Sud (États-Unis), le .
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Vente de domaines, de tableaux et d'esclaves dans la Rotonde à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane, 1842[10]. St. Louis Hotel
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Vente d'esclaves noirs en 1861 à Saint-Louis, par Thomas Satterwhite Noble.
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Vente d'esclaves amérindiens et noirs aux États-Unis, XIXe siècle.
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Séparation d'une famille d'esclaves après avoir été saisie et vendue pour rembourser les dettes de leur maître, vers 1825.
Esclavagistes - planteurs - négriers -
[modifier | modifier le code]https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:18th-century_portrait_paintings_with_black_slaves
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Pierre-Victor Malouët, riche propriétaire de plantations esclavagistes dans la colonie de Saint-Domingue.
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Le roi du Danemark Christian VI accompagné d'un esclave noir[11].
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Portrait du financier et planteur germano-danois Heinrich Carl Schimmelmann accompagné d'un jeune esclave noir, vers 1773, par Lorens Lönberg.
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Louis-Armand-Constantin de Rohan, prince de Montbazon (1732 - 1794).
TRAVAIL - PLANTATION
[modifier | modifier le code]Autres
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Esclaves africains récoltant l'or pour les colons espagnols à Hispaniola.
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Esclaves coupant la canne à sucre dans une plantation coloniale.
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Esclaves coupant la canne à sucre dans une plantation coloniale.
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Esclaves coupant la canne à sucre dans une plantation coloniale.
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Fabrique du tabac par les esclaves, 1724. New York Public Library.
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Travail des esclaves dans le moulin à sucre, 1681, par César de Rochefort.
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Croquis d'un moulin à sucre en 1667 aux Antilles.
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Habitation sucrière en Guadeloupe au milieu du XIXe siècle.
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Habitation sucrière en Guadeloupe au milieu du XIXe siècle.
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Habitation sucrerie aux Antilles, 1667.
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Esclaves de la Guadeloupe charroyant du fumier.
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Esclaves broyant la canne à sucre dans un moulin à bestiaux en Martinique (1835).
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Esclaves raffinant le sucre à la Martinique en 1835.
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Esclaves au travail dans une plantation de café à La Réunion, vers 1800.
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Représentation d'une habitation esclavagiste à La Réunion, gravure extraite de Les Marrons de Louis Timagène Houat, 1844.
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Esclaves se rendant au travail à Bourbon. Gravure de 1850 pour illustrer Paul et Virginie de Henri Bernardin de Saint-Pierre.
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Esclaves au travail dans une plantation sucrière de la colonie britannique de Saint-Christophe en 1795.
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Sainte-Croix.
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Cutting Sugar Cane in Trinidad, 1836.
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Esclaves se rendant au travail au Suriname, par Pierre Jacques Benoit, 1831.
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Une plantation à La Réunion, entre 1850 et 1860. Gravure d’après Gustave Doré. Collection du Musée Léon-Dierx.
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Creusement des sillons pour la canne à sucre dans une plantation coloniale d'Antigua au XIXe siècle.
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Antigua, 1823.
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Antigua, 1823.
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Antigua, 1823.
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Antigua, 1823.
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Chargement de fûts de rhum.
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Antigua, 1823.
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Antigua, 1823.
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Plan de l'habitation du Héleu, en Guadeloupe, XVIIIe siècle
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Esclaves récoltant la canne à Cuba en 1874 (l'esclavage n'y sera aboli qu'en 1886).
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Plantation sucrière à Cuba en 1853, montrant les cases d'esclaves à gauche, la maison des maîtres au centre, et la sucrerie à droite.
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Esclaves travaillant dans une sucrerie à Cuba, 1853.
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La plantation Roehampton et ses cases d'esclaves, colonie de Jamaïque, 1825.
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Rose Hall, St. James'. plantation en Jamaïque
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Trinity Estate, St. Mary's plantation en Jamaïque
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Vue idéalisée d'esclaves coupant la canne à sucre dans une plantation de la colonie de Jamaïque, 1824.
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Creusement des sillons pour la canne à sucre dans une plantation coloniale de Jamaïque au XIXe siècle.
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Vue idéalisée d'une « habitation » sucrière antillaise au XVIIIe siècle.
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Représentation type d'une « habitation » sucrière aux Antilles en 1762. On distingue en haut à droite la grand-case (1, maison des maîtres), surplombant la rue cases-nègres (2, habitations des esclaves), les champs de canne à sucre (5, « jardin ») et les installations sucrières (6 à 12). À noter que dans cette représentation idéalisée des plantations, le travail forcé des esclaves n'est pas montré.
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Représentation idéalisée d'une plantation sucrière aux Antilles au XVIIIe siècle, par Paolo Fumagalli, 1830.
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Esclaves travaillant dans un moulin à sucre au Brésil en 1821.
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Suriname
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Suriname, canne à suce
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Suriname
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Vue de la plantation de café Leeverpoel au Suriname dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.
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Récolte de la canne à sucre aux Antilles.
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Récolte de la canne à sucre dans l'ile de Cuba, 1873.
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Esclaves coupant la canne.
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Plantation Marienburg Suriname
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Une plantation de cacao aux antilles vers 1840, par Alexandre Soldé.
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Planteur espagnol de Porto Rico avec son esclave domestique, vers 1808.
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Vue de l'habitation du sieur de Préfontaine, située à Cayenne, en Guyane, 1763. Ce plan réalisé par Nicolas Chalmandrier montre l'habitation modèle proposée par Jean de Brûletout, chevalier de Préfontaine. Les éléments figurant sur le plan sont soit nommés sur le plan lui-même, soit indiqués par des lettres, identifiées dans la légende à gauche, par exemple la chapelle, l'entrepôt, la cuisine, l'hôpital et la sucrerie. Le village d'esclaves, assez important, (les cazes des nègres), avec ses maisons rectangulaires, se trouve dans le coin supérieur droit ; à l'extrême droite du village se trouve un petit bâtiment, l'Économat.[13]
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Esclaves broyant du café en Guyane néerlandaise (Suriname) en 1858.
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montre l'intérieur d'une usine de canne à sucre dans une plantation sucrière. Ces usines étaient appelées Sukrumiré au Suriname (d'après le moulin à sucre anglais). La scène montre le broyage des roseaux. Au premier plan à droite, un « officier blanc », le superviseur européen. Lithographie en couleurs représentant le travail dans une usine de canne à sucre 1850
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Esclaves cultivant et récoltant le coton dans les Antilles, 1751.
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Esclave enchaînée agenouillée sur le sol dans une plantation, vers 1825.
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Le commandeur d'une plantation colonial oblige une esclave à retourner au travail, c. 1825.
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Broyage de la canne à sucre dans un moulin à traction bovine dans la plaine du Cul-de-Sac (Haïti) à Galette-Chambon, 1974.
États-Unis
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Esclaves dans une plantation de tabac aux États-Unis, 1821.
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Plantation esclavagiste près de Fredericksburg en Virginie, vers 1798.
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Plantation esclavagiste près de Fredericksburg en Virginie, vers 1798.
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Esclaves travaillant dans un atelier de production de tabac, colonie de Virginie, 1670.
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Récolte de la canne, 1861.
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Esclaves récoltant la canne, 1861.
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Plantation de canne à sucre en Louisiane en 1875.
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Slaves picking cotton while watched by a white overseer on horseback, picture taken about 1850 in the southern United States
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sugar plantation in Louisiane 1893
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Louisiane
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ArabiRefineryPlantationHouseB.jpg Louisiane
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San Francisco Plantation House, Louisiane
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Clotilda Plantation House Louisiane
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Louisiane
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Nottoway Plantation, Louisiane.
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Esclaves récoltant le coton dans un plantation de la vallée du Mississippi, 1857.
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Esclaves travaillant dans une plantation de coton aux États-Unis, 1833.
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Vue d'une plantation de coton aux États-Unis, 1874.
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Esclaves récoltant le coton aux États-Unis, 1840.
Brésil
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Casa grande de engenho, Brésil.
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Fazenda de café dans la vallée du Paraíba au Brésil.
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Carte de Pernambouc et Itamaraca montrant les esclaves travaillant dans une exploitation sucrière de la colonie néerlandaise de Nouvelle-Hollande, 1643.
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Esclaves dans une plantation de café au Brésil, vers 1882, quelques années avant son abolition en 1888.
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Esclaves brésiliens faisant sécher du café, en présence du fils de leur maître et sa nounou, vers 1870.
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Esclaves brésiliens dans une plantation de café vers 1882.
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Esclaves cherchant l'or à Minas Gerais, 1880.
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Case d'esclaves au Brésil.
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Esclaves récoltant le café au Brésil, 1835.
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préparation racine de manioc
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Moulin à sucre au Brésil
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Lavage du minnerai d'or
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Esclaves défrichant d'une forêt au Brésil vers 1820.
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Ilustração do Livro de Gilberto Freyre Casa-Grande e Senzala. Brésil
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Une partie de la colonie suisse de Cantagallo[14]. Voyage Pittoresque et Historique au Brésil Vol. 2 1835. voir Nova Friburgo.
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Senzalas. Brésil
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Esclaves lavant les diamants dans le Minas Gerais au Brésil. Lithographie des naturalistes allemands Johann Baptist von Spix et Carl Friedrich Philipp von Martius, 1823.
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Esclaves lavant les diamants au Brésil en 1815.
Vie des esclaves
[modifier | modifier le code]-
Case en feuilles de latanier, domaine de Café Grillé, La Réunion.
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Exemple de case en Martinique.
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Case à esclave de la Plantation Laura (États-Unis).
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Vestige d'une case d'esclaves dans la plantation Whitney en Louisiane.
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Quartier des esclaves de la plantation Smith, Port Royal (Caroline du Sud).
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Cases des esclaves dans une habitation de Martinique en 1826, par Jules Boilly.
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Rue Cases-Nègres à la Martinique vers 1950.
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A Cudgelling Match between English and French Negroes in the Island of Dominica (BM 1877,0811.209).
-
Habitação de Negros. Rugendas.
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House-on-mibiri-creek-st-clair-l.
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Slave Hut (again) Destrehan.
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Esclaves noirs à la Martinique, par Le Masurier, 1775.
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Théodore Bray - Slave houses on a plantation de Guyane néerlandaise (Suriname) 1840-1860.
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Suriname : 1840-1860 : Afin de favoriser les naissances, une esclave enceinte et une accouchée récemment reçoivent leur allocation hebdomadaire. Il n’y avait pas d’augmentation naturelle normale parmi les esclaves. Il y avait beaucoup plus d’hommes que de femmes, et ce n’était pas vraiment attirant pour les femmes d’avoir un enfant. Il leur suffisait simplement de continuer à travailler et l'enfant deviendrait la propriété du planteur. En outre, le taux de mortalité infantile était élevé. Lithographie en couleurs représentant le paiement d'allocations hebdomadaires aux esclaves enceintes et récemment accouchées
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Funérailles d'un esclave dans une plantation du Suriname
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KITLV - 36C348 - Bray, Th. - Petit - Visit of the director to the slave hospital - Colour lithography - 1850.tif Suriname
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Quartier des esclaves dans une plantation de coton américaine. Gravure de 1880. Musée de la Compagnie des Indes à Lorient.
-
Combats et jeux de Nègres, 1788[15]. stick-licking, un art martial aux origines africaine
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Nègres de St. Domingue se battant au bâton, vers 1797. Durant leur temps de repos, la nuit ou le dimanche, les esclaves s'adonnent à des danses de combat (calinda), héritées de traditions ouest-africaines. Cette pratique leur sera utile lors des affrontements armés de la révolution[16].
Châtiments
[modifier | modifier le code]-
Châtiments infligés aux esclaves noirs révoltés en Guyane néerlandaise. Gravure de 1796, par William Blake.
-
L'ordre règne à la Jamaïque, caricature d'Honoré Daumier (1866).
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Le châtiment des quatre piquets (1843), scène de sévices corporels infligés à des esclaves dans les colonies, peinture de Marcel Verdier (1817-1856) postdaté 1849 par l'artiste. Il fut refusé par le jury du Salon du Louvre de 1843[17].
-
Tract dénonçant l'horreur de l'esclavage aux États-Unis, par Walter George Mason, 1853.
-
Le président de la république du Paraguay punissant un mulâtre par le fouet.
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Esclaves mis aux ceps au Brésil, par Jean-Baptiste Debret.
-
Punition par le fouet d'un esclave au Brésil, avant 1830, par Jean-Baptiste Debret.
-
Châtiments domestiques au Brésil, par Rugendas.
-
Supplice des trois piquets infligé à une esclave, place Bertin à Saint-Pierre (Martinique), vers 1835.
-
Châtiment d'un esclave, gravure réalisée d'après une esquisse de Jacques Arago, 1839.
-
Châtiment d'un esclave, gravure réalisée d'après une esquisse de Jacques Arago, 1839.
-
Entrave de cou pour esclave marron
-
Entrave de cou pour esclave marron au Musée d'histoire de Nantes
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Entrave de cou au Musée d'histoire de Nantes
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Detail of Wilson Chinn photograph "VBM", 1863
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Wilson Chinn.
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États-Unis
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Châtiment d'esclave à Cuba, 1868.
Résistances - révoltes
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Vue des Habitations de Cap-Français, incendiées par les esclaves révoltés en août 1791.
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Combats entre soldats français et insurgés de Saint-Domingue pendant la révolution haïtienne (1791-1802).
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Révolte des noirs à Saint-Domingue, par Émile Thomas, gravure du XIXe siècle.
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Esclaves de Saint-Domingue se révoltant contre leurs maîtres.
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expédition leclerc
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Châtiments infligés aux esclaves noirs révoltés en Guyane néerlandaise. Gravure de 1796, par William Blake.
-
Esclave en fuite au Suriname.
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Zumbi dos Palmares, chef du guerre du quilombo de Palmares, au Brésil.
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Chasseur d'esclaves au Brésil, par Rugendas.
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Révolte d'esclaves au Prêcheur le 22 mai 1848, entraînant l'application dès le lendemain de l'abolition de l'esclavage dans la colonie de Martinique.
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Émancipation des nègres. Révolte d'esclaves au Prêcheur en Martinique le 9 mai 1848. Lithographie de F. Lesmert.
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La révolte des nègres, estampe parue dans Deux prix de vertu d'Edouard de Lalaing, éditions Alfred Mame et Fils, Tours, 1898.
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Une esclave fugitive et son enfant.
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Esclaves marrons à La Réunion, illustration dessinée par Fauchery pour le livre Les Marrons de Louis Timagène Houat.
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Esclaves marrons à La Réunion, illustration dessinée par Fauchery pour le livre Les Marrons de Louis Timagène Houat.
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Maroons preparing to ambush a convoy - Jamaica
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Great Dismal Swamp-Fugitive Slaves
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Slave Hunt, Dismal Swamp, Virginia by Thomas Moran
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Great Dismal Swamp Maroon 1856
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Leonard Parkinson, Maroon Leader, Jamaica, 1796.
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Duperly (1833) Destruction of the Roehampton Estate January 1832 during the Baptist War, Jamaica Grande révolte des esclaves de 1831
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Débarquement des troupes napoléoniennes à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe, lors de l'expédition Richepance de 1802, chargée de rétablir l'esclavage sur l'île.
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Groupe d'esclaves insurgés forçant les soldats européens du Lieutenant Brady à battre en retraite, dans la colonie britannique de Démérara, en 1923.
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Croquis d'un drapeau pris aux rebelles contre l'esclavage à la Barbade, après le soulèvement connu sous le nom de Rébellion de Bussa. Barbade
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La révolte des esclaves de la Côte des Allemands, près de la Nouvelle-Orléans (États-Unis), en 1811.
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Théodore BRAY - Trois Nègres marrons, au Suriname.
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1791
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1791
Abolitions
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L’abolition de l’esclavage par la Convention, le 16 pluviôse an II (4 février 1794), par Nicolas-André Monsiau.
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Navire négrier poursuivi, jetant ses nègres à la mer. Gravure du XIXe siècle.
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Bâtiment négrier fuyant les croiseurs et jetant ses esclaves à la mer, par Léon Morel-Fatio, 1844.
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Marins d'un navire négrier jetant les captifs africains à la mer sur ordre du capitaine Pedro Blanco (en), avant d'être contrôlés par un croiseur français.
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Estampe représentant l'abolition de l'esclavage dans les colonies françaises en 1794.
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Gravure célébrant les associations antiesclavagistes, après l'abolition de l'esclavage dans l'empire britannique, av. 1858.
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Discours de Chaumette lors de la fête de l'abolition le dans Notre-Dame, devenue Temple de la Raison[18]. En présence de Jean-Baptiste Belley et Lucidor Corbin.
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Sarda-Garriga mettant en application le décret d'abolition de l'esclavage à La Réunion. Dans ce tableau, le commissaire de la République tient d’une main le texte officiel libérant les esclaves immédiatement et de l’autre main il montre les instruments de travail, invitant les nouveaux affranchis à continuer leur travail[20].
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Frontispice du Voyage à l'Isle de France de Bernardin de Saint-Pierre, 1773.
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Toi enfin sera heureux, gravure de la Citoyenne Rollet, d'après Fougea, vers 1794.
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Droit de visite, dessin de François-Auguste Biard, gravé par Alexis Perrassin en 1846 (Musée d'Aquitaine, Bordeaux).
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Arrivée des troupes nordistes dans une plantation esclavagiste du Sud des États-Unis, 1863.
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Plantation d’un arbre de la liberté en Martinique en 1848 afin de célébrer l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises.
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Arrivée au bayou de Chickasaw en 1863 des esclaves libérés de la plantation de Jefferson Davis.
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Pères Trinitaires rachetant aux Turcs des esclaves chrétiens, 1637.
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Pères Trinitaires rachetant aux Turcs des esclaves chrétiens, 1637.
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Obligation d'indemnisation de 1876 pour les anciens propriétaires d'esclaves de Porto Rico.
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Des affranchis s'inscrivant pour voter en 1870 lors de la première élection municipale organisée à Richmond, en Virginie, après la fin de la guerre de Sécession.
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Proclamation de l'abolition de l'esclavage dans la colonie de Jamaïque, le 1er août 1838, depuis la maison du Gouverneur à Spanish Town.
Classes sociales
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Portrait de Madame Ailhaud, vers 1760. A gauche l'esclave, au centre la propriétaire, et à droite la « mulâtresse ».
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Une famille et ses servantes esclaves au Brésil, vers 1860.
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Le dîner, un couple blanc brésilien se fait servir par leur esclaves, par Jean-Baptiste Debret.
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Dame brésilienne se faisant transporter en chaise à porteurs par ses esclaves (région de São Paulo, vers 1860).
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Autoportrait de Charlotte Martner, en compagnie de son mari et d'une hôte, ainsi que d'esclaves domestiques, dans une salle à manger à Fort-de-France, début du XIXe siècle.
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Différents costumes des Porteñas (dames de Buenos Aires) en 1827, accompagnées de leur esclave.
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Charles Calvert and his Slave
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Cecil Calvert, 2nd Baron Baltimore, by Gerard Soest (1670).
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Un planteur et sa femme en tournée dans la plantation, Brésil, 1816.
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Brésil, 1816.
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Portrait de la famille de Choiseul à la Martinique, accompagnée d'une nourrice esclave, vers 1775.
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Michel Garnier Le hamac, par Michel Garnier, 1801-180--- , île Maurice
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Élégant se faisant serrer son corset par son valet de chambre, par Charles Philippon, c. 1824.
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Jeune femme européenne perçant l'oreille de son esclave noir, vers 1735.
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Un homme et une femme accompagnés d'un jeune esclave noir, dans la colonie portugaise de Goa, 1725.
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Portrait de Pierre Grégoire de Roulhac, un seigneur du Limousin, peint en 1757 par le peintre suisse Négrini. Celui-ci témoigne de l’engouement des élites pour les produits exotiques au XVIIIe siècle. Vêtu d’habits de soie et de brocart, le seigneur de Roulhac exhibe ici son goût pour le mobilier en acajou, un bois exotique importé de Cuba. Il possède également un service en porcelaine de Chine, posé sur un plateau laqué de la même provenance. Assis à table, ce seigneur déguste une boisson très à la mode : du chocolat chaud… En témoigne la chocolatière en argent présente au deuxième plan à gauche. Naturellement amère, la boisson doit être agrémentée de sucre, dont il n’hésite pas à donner un morceau à ses chiens. Ce geste provocant ostentatoire rappelle que les élites, consommatrices de produits coloniaux coloniales, s’émeuvent peu du système esclavagiste mis en place pour produire ces denrées exotiques.
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Mlle Desgots, de Saint Domingue, avec son nègre Laurent, par Carmontelle, 1766.
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Mme de Pompadour habillée en sultane, peinture de Charles André van Loo, 1747.
Colonies
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Vue de Paramaribo en 1794.
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Saint-Eustache et le commerce des esclaves sur des navires hollandais et anglais
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Vue de la montagne de Corcovado
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Attaque portugaise d'une habitation sucrière hollandaise du Brésil défendue pas ses esclaves, 1651.
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Dessin du scientifique norvégien Carl Lumholtz de 1888 représentant un massacre dans le Queensland, en Australie.
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Canne à sucre - Java - colonie néerlandaise dans les Indes orientales néerlandaises (actuelle Indonésie).
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Canne à sucre - Java - colonie néerlandaise dans les Indes orientales néerlandaises (actuelle Indonésie).
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Un superviseur européen debout avec un groupe de travailleurs indiens assis par terre. l'usine sucrière de Tjomal dans la période ca. 1900-1919. à Java, dans les Indes orientales néerlandaises. (actuelle Indonésie).
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sucrerie Java dans les Indes orientales néerlandaises (actuelle Indonésie).
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sucrerie Java dans les Indes orientales néerlandaises (actuelle Indonésie).
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Cultures tropicales : canne à sucre. Indonésie (anciennement Indes néerlandaises), Sumatra, Minangkabau. Les Indonésiens transforment la canne à sucre à l'aide d'un moulin alimenté par un buffle. 1911.
Engagisme
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Engagés indiens à la Martinique.
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Campement d'engagés indiens avant leur départ pour les habitations en Guadeloupe, 1858.
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Portrait d'un immigrant chinois, vers 1860, par Antoine Louis Roussin (Musée Léon Dierx, La Réunion).
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Une plantation à La Réunion, entre 1850 et 1860, d’après Gustave Doré.
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Coupeurs de canne en Jamaïque, en 1891.
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Engagés javanais coupant la canne dans la Plantation Marienbourg, en Guyane néerlandaise (actuel Suriname), vers 1930.
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Travailleurs japonais au Queensland, Australie, 1896.
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Travailleurs chinois en Louisiane (États-Unis)
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Travailleurs chinois en Louisiane (États-Unis)
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Travailleurs chinois en Louisiane (États-Unis)
Autres
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L'ordre règne à la Jamaïque, caricature d'Honoré Daumier (1866).
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guerillas avec les Amérindiens au Brésil
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Embarquement d’esclaves dans des galères du port de Gênes. Alessandro Magnasco. 1667-1749.
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L'ordre règne à la Jamaïque, caricature d'Honoré Daumier (1866).
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Supplice des esclaves suspendus à des crochets selon l’usage musulman, gravure de Reinier Nooms extraite de la Description de l’Afrique d’Olfert Dapper, 1686.
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Arrivée de commerçants Portugais accompagnés de leurs esclaves africains, byōbu réalisé vers 1600, par Kanō Naizen.
Lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]Iconographie coloniale et raciste
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Personnes grimées en noir sur un char des fêtes de la Mi-Carême à Nantes en 1920.
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« Village noir » lors de l'exposition internationale de Nantes en 1904.
Héritages
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The Dance in Place Congo par E.W. Kemble, 1886.
Australie et Océanie
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Des Australiens autochtones enchaînés en captivité. Captured Aboriginal tribesmen as prisoners.
Traite britannique
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Sir Nicholas Crisp, fondateur en 1618 de la Guinea Company, une compagnie maritime impliquée dans traite négrière.
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Sir Robert Clayton (1629–1707), maire de Londres et membre du conseil d'administration de la Royal Africa Company.
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Portrait de Robert Milligan (en) (1746–1809), négociant écossais installé comme armateur négrier à Londres.
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Le siège de la Compagnie de la mer du Sud, en charge de l'asiento, dans le quartier de la City, 1754.
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Maquette du Whydah Gally, navire négrier londonien du début du xviiie siècle.
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Les quais des Indes occidentales (West India Docks) en 1810. Ils furent construits à la demande des planteurs, négociants et armateurs négriers[22].
Images Haïti
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Couverture de l'ouvrage Saint-Domingue, ou Histoire de ses révolutions, 1791-1804. [23]
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La Bataille de Saint-Domingue, huile sur toile de Janvier Suchodolski, 1845, Musée de l'Armée polonaise, Varsovie.
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Combat et prise de la Crête-à-Pierrot (par Auguste Raffet, 1839).
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Exécution d'officiers français capturés par les insurgés lors de l'expédition de Saint-Domingue[24].
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Exécutions d'insurgés par noyade lors de l'expédition de Saint-Domingue[24].
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Repression des esclaves insurgés de Saint-Domingue en 1802-1803 par les troupes françaises de l'expédition Leclerc.
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Expédition de Saint-Domingue (1801-1803).
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Henri Christophe[24]
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Le Serment des ancêtres, tableau symbolisant l'alliance en novembre 1802, entre les mulâtre d'Alexandre Pétion et les noirs de Jean-Jacques Dessalines.
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La capitale Port-au-Prince dans les années 1870.
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Bataille de la Ravine-à-Couleuvres le 23 février 1802.
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Incendie de la Plaine du Cap et massacre de colons blancs par les esclaves noirs révoltés en 1791 (dans France militaire, 1833[24]).
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Vue des plantations de Cap-Français, incendiées par les esclaves révoltés en août 1791.
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11 juillet 1825 : le baron de Mackau remet au président haïtien Jean-Pierre Boyer l'ordonnance de Charles X exigeant le paiement de 150 millions de francs or en échange de la reconnaissance de l'indépendance d'Haïti.
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Débarquement en 1802 de la flotte française à Saint-Domingue (future Haïti) lors de l'expédition contre les noirs révoltés.
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Le jeune Ogé arrivant au Cap le 12 octobre 1790 et déployant l'étendard de la liberté.
Commune de Paris
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Queue devant la boucherie durant le siège de Paris en 1870, par Clément-Auguste Andrieux.
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Fort d'Aubervilliers : Batterie dirigée sur Paris pendant l'insurrection
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Batterie prussienne devant Paris.
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Bombardement de Paris par l'artillerie allemande lors du siège de Paris en 1870-1871.
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Gardes nationaux dans les tranchées de la guerre franco-allemande de 1870, d'après Alphonse de Neuville.
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Soldat de la Garde nationale en 1870.
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Soulèvement du 22 janvier 1871 à l'Hôtel de Ville de Paris.
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Entrée triomphale des troupes allemandes dans Paris le 1er mars 1871, après la signature de l'armistice de janvier.
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Parade de l'armée prussienne sur les Champs Élysée in Paris, le 1er mars 1871, après la signature de l'armistice de janvier.
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Les troupes envoyées par Adolphe Thiers s'emparant des canons de Montmartre, achetés par les Parisiens. Ceux-ci seront ensuite repris par les Gardes nationaux lors du soulèvement du 18 mars 1871, point de départ de la Commune de Paris.
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Arrivée devant la mairie du 18e arrondissement des canons repris à l'armée par les gardes nationaux lors du soulèvement du 18 mars 1871. Gravure de J. Gaildrau.
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Les canons des Parisiens sur la butte Montmartre, le 18 mars 1871.
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Les ouvriers traînent les canons de la Garde nationale jusqu'aux positions sur les barricades pendant la Commune de Paris
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Barricades de la Commune, avril 71. Coin de la place Hotel de Ville & de la rue de Rivoli.
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Construction d'une barricade sous la Commune, place Blanche, 9ème arrondissement, le 19 mars 1871.
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Barricade du passage Raoul, Boulevard Richard-Lenoir.18 mars 1871.
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Barricades place de la Concorde, près du Ministère de la Marine.
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Barricade du Faubourg Saint-Antoine, angle de la rue Charonne.18 mars 1871
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Album de photographies et d'articles de journaux sur la guerre Franco prussienne et la Commune de Paris, 1870-1871 (073). Parc d'Artillerie des Buttes-Chaumont, 18 mars 1871 (Anonyme).
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« La Sainte Famille » : Thiers, Favre et Philippe d'Orléans, comte de Paris et prétendant au trône, fuyant à Versailles, caricature de Charles de Frondat, 1871.
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25 mars 1871, arrivée d'un bataillon de gardes nationaux de Belleville devant la mairie du 2e arrondissement - Gravure de Frédéric Lix pour Le Monde illusté du 1er avril 1871
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Célébration de la Commune le 28 mars
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Proclamation des résultats des élections le à l'Hôtel de Ville, où s'installe le Conseil de la Commune. Gravure d'Auguste Lamy.
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Hôtel de Ville
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La salle du Trône de l'Hôtel de Ville - Gravure d'Alfred Darjou pour L'Illustration du 15 avril 1871.
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Une séance à l'Hôtel de Ville.
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La guillotine brûlée devant la statue de Voltaire, le 11 avril 1871.
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Une séance du Club des femmes dans l'église Saint-Germain-l'Auxerois, par Frédéric Lix.
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Un réunion du club de l'église Saint-¨Nicolas-des-Champs (3e arrond.) - Gravure de S. Melton pour L'Illustration du 20 avril 1871.
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3 avril : les Fédérés sont repoussés dans la plaine de Nanterre par des tirs d'artillerie du Mont-Valérien - Gravure d'après Albert Robida
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Fédérés repoussés dans la plaine de Nanterre par des tirs d'artillerie du Mont-Valérien le .
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Souvenir de la Commune - Défense de la Porte Maillot par les insurgés.
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Manifestation de sept mille ouvriers londoniens le dimanche 16 avril 1871, entre Clerkenwell Green et Hyde Park, en soutien à la Commune de Paris. Gravure d'Edwin Buckman pour The Graphic (1871).
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1 : manifestation pacifiste de francs-maçons [26]. Gravure de F. Moller.
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: manifestation pacifiste de francs-maçons sur les fortifications pour demander l'arrêt des bombardements sur Paris et l'ouverture de négociations[27].
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Renversement par les Communards de la colonne Vendôme portant la statue de l'empereur Napoléon Ier, le 16 mai 1871.
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Colonne Vendôme à terre, Bruno Braquehais, mai 1871.
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La colonne aussitôt après sa chute, par Auguste Lançon.
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20 mai : les fédérés installent une batterie d'artillerie au sommet de l'Arc-de-Triomphe - Gravure de A. Provost.
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Batterie avancée de l'armée de Versailles au pont de Neuilly, vers le 5 avril 1871.
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Retour des blessés fédérés à la porte de Montrouge - Gravure pour L'Illustration du 15 avril 1871.
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Bivouac de soldats versaillais aux Tuileries.
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Prise d'une barricade par les Versaillais, par Daniel Vierge, 1871.
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21 mai : les Versaillais pénètrent dans Paris par le bastion du Point-du-Jour à la porte de Saint-Cloud.
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Gustave Boulanger - La tour Saint-Jacques, reprise par les troupes versaillaises - P395 - Musée Carnavalet.jpg
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L'armée des Versaillais s'emparant de la place de la Concorde lors de l'écrasement de la Commune de Paris en mai 1871.
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Combats dans la rue Rivoli.jpg
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Paris Commune rue de Rivoli.
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Soldats de l'Armée de Versailles attaquant une barricade dans la rue de Rivoli le .
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Commune de Paris 24 mai incendie de l'Hôtel de Ville.jpg
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Commune de Paris 24 mai incendie de l'Hôtel de Ville.jpg
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L'Hôtel de Ville incendié le par les communards pour ralentir la progression des troupes versaillaises pendant la Semaine sanglante. Peinture de Gustave Boulanger.
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Panorama des incendies de Paris par la Commune. Nuits des 23, 24 et 25 mai 1871, par Isidore Deroy.
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La Villette cernée par les troupes versaillaises, mai 1871, par Gustave Boulanger.
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25 mai : Combats sur la barricade de la rue Saint-Antoine, munie de canons, elle résista deux jours durant - Gravure de Charles Fichot pour Lillustration du 10 juin 1871
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Exécution des otages à la prison de la Roquette.
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Derniers combats au Père-Lachaise le 27 mai.
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Exécution des Fédérés le 27 mai, dessin d'Henri-Alfred Darjou.
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Exécution de communards par une troupe de soldats versaillais, attribué à Félix Philippoteaux.
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Exécution par les Versaillais de Jean-Baptiste Millière le 26 mai, sur les marches du Panthéon, gravure d'après Henri de Montaut.
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Souvenirs de la Commune. - Insurgés de Belleville gardés par des soldats Versaillais dans le parc des Buttes-Chaumont. -,
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L'arrestation de Louise Michel le , par Jules Girardet.
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Message du Comité de salut public le , demandant aux soldats de l'Armée de Versailles de ne pas tirer sur le peuple de Paris.
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Exécution d'Eugène Varlin le .
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28 mai : les Versaillais inspectent les mains des communards capturés pour y déceler des traces de poudre - Gravure parue dans L'Univers illustré du 16 septembre 1871 - Musée Carnavalet.
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La chasse aux flambeaux dans les catacombes LIX Frédéric Théodore Le Voleur illustré 28 Juillet 1871.jpg
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LES JOURNÉES DE MAI - Le dernier refuge - Épisode de l’insurrection aux carrières d'Amériques (Le Monde Illustré 26 août 1871)
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Exécution dans le jardin du Lluxembourg, 1871. Conservée au musée Carnavalet. Scène réelle s'étant produite le 4 juin 1871
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Exécution en masse des communards capturés dans les cours de la caserne Lobau près de l'Hôtel de Ville - Gravure de Frédéric Lix pour L'Illustration du 10 juin 1871.
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Cadavres de communards fusillés, déposés dans une salle des ambulances de la Presse, rue Oudinot, 3 juin 1871, par Henri-Alfred Darjou.
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Avenue de la Grande-Armée bombardée par le mont Valérien, .
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La foule tentant d'empêcher l'arrestation de Paschal Grousset en juin 1871, par Frédéric Lix.
-
Commune prisoners being marched to Versailles, par Daniel Urrabieta Vierge.
-
Des prisonniers libérés sous caution au camp de Satory.
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Jules Girardet Louise Michel à Satory ; elle y est présentée haranguant des communards.
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Auguste Lançon - Les prisonniers de la Commune à Versailles - Les caves des Grandes Ecuries
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Gravure d'après Auguste Nadeau, prisonniers enfermés dans les caves de l'Orangerie du château de Versailles.
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Les prisonniers dangereux entassés dans l'aile droite de l'Orangerie du château de Versailles, par Henri-Alfred Darjou.
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Interrogatoire des prisonniers communards à Versailles, 24 juin 1871, par Henri-Alfred Darjou.
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2 septembre 1871, lecture du verdict de condamnation par le 3ème Conseil de Guerre.
-
Insurgés prisonniers sur le pont du navire La Marne en rade de Brest.
-
Les étrangers viennent visiter les ruines de Paris après la Commune. Gravure de Gaston Marichal d'après une composition de Daniel Vierge, publiée dans Le Monde illustré, 24 juin 1871, p. 397.
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Rassemblement au Père Lachaise en 1883 en mémoire des victimes de la Commune, par Ilia Répine.
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Fort de l'île Madame, insurgés prisonniers en instance de déportation.
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Insurgés prisonniers sur le pont du navire La Marne en rade de Brest en vue de leur déportation en Nouvelle-Calédonie.
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Exilés communards à Londres, juin 1872.
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La lutte entre les troupes régulières et les Fédérés, à l'ouest de Paris.
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Le fort d'Issy détruit par les bombardements versaillais.
-
Séance de club pendant la Commune by Jules Worms.
Autres communes
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Prise de l'hôtel de ville de Lyon le 4 septembre 1870 et proclamation de la République, point de départ de la Commune de Lyon.
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Attaque de l'armée contre les insurgés retranchés autour de la mairie de La Guillotière, les 30 avril et 1er mai 1871, dernier épisode de la Commune de Lyon.
-
Attaque de l'armée contre les insurgés retranchés autour de la mairie de La Guillotière, les 30 avril et 1er mai 1871, dernier épisode de la Commune de Lyon.
-
Civils et mineurs de fonds tués par l'infanterie lors de la fusillade du Brûlé à La Ricamarie, le 16 juin 1869.
-
Prise de l'hôtel de ville par les Stéphanois le , point de départ de l'éphémère Commune de Saint-Étienne.
-
L'armée bombardant les insurgés marseillais depuis Notre-Dame-de-la-Garde, surnommée « Notre-Dame-de-la-Bombarde », les 4 et , dernier épisode de la Commune de Marseille.
-
Le rabbin Vidal venant voir Gaston Crémieux le jour de son exécution au Pharo, le .
Conflit israélo-palestinien
[modifier | modifier le code]Cartes
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Carte des territoires palestiniens en 2010.
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Palestine map pre 1967 and post-Oslo-en.
-
Zones peuplées par les juifs en 1947.
-
Zones peuplées par les juifs en 1947.
Mur de séparation - Apartheid
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Miradors et mur de séparation israélien autour du village palestinien de Kalandia.
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Soldat israélien face à des Palestiniens attendant au check-point d'Hawara en Cisjordanie occupée.
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La rue Al-Shuhada, ancienne rue commerçante désormais surnommée la « rue de l'apartheid »[28].
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Israeli soldiers cross the border near Erez with a Achzarit - Soldats passant par le passage d'Erez pendant la guerre de l'épée de fer
Camps de réfugiés
[modifier | modifier le code]-
Le camp de réfugiés de Jabaliya (bande de Gaza) en 1950.
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Vue aérienne du camp de déplacés d'Al-Mawasi le . An aerial view of Al-Mawasi area where displaced Palestinians live in tents, January 2025, Gaza Strip.
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Destruction causée par les bombardements israéliens du camp de Jabaliya, le .
Destructions
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Destruction causée par les bombardements israéliens du camp de Jabaliya, le .
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Vue aérienne de Rafah le .
Autre
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Des hommes palestiniens dans la ville de Ramle vus derrière une clôture de barbelés, avant d'être expulsés par les forces israéliennes (juillet 1948).
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Colons israéliens armés dans le village palestinien d'Iraq Burin.
-
Avion de l'US Air Force transportant des munitions pour Israël le .
Communes
[modifier | modifier le code]- https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Du_Niger_au_Golfe_de_Guin%C3%A9e_par_le_pays_de_Kong_et_le_Mossi
- https://fr.wikisource.org/wiki/Voyages_et_d%C3%A9couvertes_au_centre_de_l%E2%80%99Afrique/01
-
Prise de l'hôtel de ville de Lyon le 4 septembre 1870 et proclamation de la République, point de départ de la Commune de Lyon.
-
Attaque de l'armée contre les insurgés retranchés autour de la mairie de La Guillotière, les 30 avril et 1er mai 1871, dernier épisode de la Commune de Lyon.
-
Attaque de l'armée contre les insurgés retranchés autour de la mairie de La Guillotière, les 30 avril et 1er mai 1871, dernier épisode de la Commune de Lyon.
-
Civils et mineurs de fonds tués par l'infanterie lors de la fusillade du Brûlé à La Ricamarie, le 16 juin 1869.
-
Prise de l'hôtel de ville par les Stéphanois le , point de départ de l'éphémère Commune de Saint-Étienne.
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L'armée bombardant les insurgés marseillais depuis Notre-Dame-de-la-Garde, surnommée « Notre-Dame-de-la-Bombarde », les 4 et , dernier épisode de la Commune de Marseille.
-
Le rabbin Vidal venant voir Gaston Crémieux le jour de son exécution au Pharo, le .
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ « Les portraits des Deurbroucq » [archive], sur Château des ducs de Bretagne | Musée d’histoire de Nantes (consulté le )
- ↑ (en) « Burning of a Village in Africa, and Capture of its Inhabitants », Wesleyan Juvenile Offering, vol. XVI, , p. 12, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Bernard Michon, « La Marie-Séraphique, navire de traite nantais au XVIIIe siècle », sur ehne.fr, (consulté le )
- ↑ (en) Port Cities Bristol, « The Southwell Frigate », sur discoveringbristol.org.uk (consulté le )
- ↑ (en) Trans-Atlantic Slave Trade - Database, « Voyage 31959, Bonne Amitié (1787) », sur slavevoyages.org (consulté le )
- ↑ Collectif, Mémoire d'un port : La Rochelle et l'Atlantique XVIe XIXe siècle, La Rochelle, Musée du Nouveau Monde,
- ↑ « Voyage Information », sur www.slavevoyages.org (consulté le )
- ↑ « Voyage 32398, Amitié (1787) », sur www.slavevoyages.org (consulté le )
- ↑ « Slave Voyages », sur www.slavevoyages.org (consulté le )
- ↑ (en) « New Orleans, Slave Market of the South » [archive du ], sur The Historic New Orleans Collection (consulté le )
- ↑ (da) « Undtagelsen 1760 », sur Information, (consulté le )
- ↑ Guy Saupin, « La gestion des plantations antillaises durant les guerres révolutionnaires : l’alternative des États-Unis et de l’Europe du Nord. L’exemple de l’habitation Maré à Saint-Domingue », dans La mer, la guerre et les affaires : Enjeux et réalités maritimes de la Révolution française, Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », (ISBN 978-2-7535-8897-4, lire en ligne), p. 271–292
- ↑ Emilie d’Orgeix et Céline Frémaux, « La petite maison dans les abattis ou l’art de rédiger aux bois par Jean Antoine de Brûletout, chevalier de Préfontaine dans son habitation de la France équinoxiale (1754-1763) », In Situ. Revue des patrimoines, no 21, (ISSN 1630-7305, DOI 10.4000/insitu.10338, lire en ligne, consulté le )
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