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La vie de Sherlock Holmes

− − − − − − − − Biographie

− Sherlock Holmes

− Etat civile

− − Sherlock Holmes (1854 - ? )

− Lieu de naissance : non determiné

− Famille : Descendant de petits propriétaires terriens et petit-fils de la soeur du peintre français Vernet, Holmes ne présente à Watson qu'un frère, prénommé Mycroft, de sept ans son aîné. Il occupe une place très importante au gouvernement et tient résidence au Diogenes club à Londres. Le détective ne mentionne aucun autre membre de sa famille dans les aventures.

− Situation de famille : ni mariage, ni paternité indiqués dans les aventures.

− Décoration : la légion d'honneur, accordée en 1894 pour l'arrestation de Huret, l'assassin des boulevards à Paris.

− Adresse : Montague Street avant sa rencontre avec Watson puis 221b Baker Street dans ses années d'exercice, puis dans le Sussex durant sa retraite.

− − Biographie

− − Généralités : Avant l'activité de détective conseil :

− Sur son enfance et son adolescence, on ne sait pas beaucoup de chose. C'est pendant les deux années qu'il passe au collège (on ne sait pas lequel) que Sherlock Holmes prend conscience qu'il peut gagner sa vie grâce à ce qui n'est pour lui qu'un simple passe-temps : l'observation et la déduction. Le père de son seul ami du moment lui ouvre les yeux en lui lançant : "Je ne sais pas comment vous vous débrouillez, monsieur Holmes, mais j'ai l'impression que tous les détectives officiels ou officieux sont à côté de vous des enfants. C'est là votre carrière, monsieur !" Puis, pendant ses dernières années à l'université (on ne sait pas laquelle), on se met à parler de lui et de ses méthodes . Sa carrière commence ainsi.

− − Son activité de détective conseil :

− Il entame ses activités en 1878, à 24 ans. Sa collaboration avec Watson commence en 1881 ou en 1882 . Les enquêtes, d'abord rares , se multiplient et Holmes en avoue 500 d'importance en 1889 et un millier en tout en 1891 . De la fin des années 1880 jusqu'en avril 1891 , il se consacre au démantèlement de l'organisation criminelle du professeur Moriarty. Le 4 mai 1891, les deux hommes se livrent un duel au sommet des chutes de Reichenbach en Suisse. Moriarty y laisse la vie et Holmes choisit de disparaître officiellement.

− Il reprend du service en 1894 et jusqu'en 1901, il résout encore des centaines d'affaires . C'est à cette époque que Watson parvient à détourner Holmes de la drogue .Ses services rendus à la couronne britannique lui valent une audience privée avec la reine Victoria en 1895 mais il refuse le titre de chevalier en juin 1902 .

− − Après l'activité de détective conseil : Il prend sa retraite fin 1903 ou début 1904 ayant pratiqué sa profession pendant vingt-trois ans avec une pose de trois années qu'il passe à voyager pendant le Grand Hiatus (de 1891 à 1894).

− Il choisit de se retirer seul dans une ferme du Sussex oû il consacre son temps à l'apiculture. A la veille de la Première guerre mondiale, sa dernière affaire connue est l'arrestation de l'espion allemand Von Bork .

− − Son aspect physique :

− Ce que l'on remarque en premier chez Holmes, c'est sa grande taille et sa minceur. Il mesure 6 pieds, soit 1,80 m mais Watson estime qu'il paraît encore plus grand. Son visage est étroit. Son front est large. Ses cheveux sont noirs, ses sourcils sombres et épais. Son nez est fin et ressemble à celui d'un faucon. Ses lèvres sont minces et fermes. Ses yeux sont gris et particulièrement vifs et perçants, lui donnant un regard introspectif quand il réfléchit. Sa voix, haute et un peu stridente, a un débit rapide.

− − Sa tenue vestimentaire :

− Holmes a la propreté d'un chat et s'habille d'une certaine élégance, du genre strict. Mais il pratique, dans la vie courante, un débraillé qui ne plaît pas toujours au docteur Watson.

− Il porte habituellement un costume de tweed ou une redingote, de temps en temps un ulster.

− Dans l'intimité, il vit en robe de chambre. Il en possède plusieurs. L'une est pourpre, une autre est bleu, une troisième est gris souris.

− A la campagne, il porte un long manteau gris, un costume de tweed et une casquette de drap qui est, peut-être, une deerstalker.

− Holmes fume le cigare, la cigarette et, bien sûr, la pipe. Trois pipes particulières sont mentionnées. La première, le plus souvent, est "sa bonne vieille pipe noire" qu'il fume lors de ses méditations. Il la remplace parfois par une pipe de bruyère pourvu d'un tuyau en ambre. Quand il passe à l'analyse d'un problème, il fume plutôt une pipe en merisier.

− (Notez que, contrairement à l'image largement répandu aujourd'hui, Sherlock Holmes ne fume jamais une pipe calebasse dans ses aventures)

− − Sa condition physique :

− Holmes prend rarement de l'exercice par amour de l'exercice et considère l'effort physique sans objet, comme un gaspillage d'énergie. Néanmoins, pour être efficace dans son travail, il entraîne toujours son corps en pratiquant plusieurs sports : le baritsu (art martial), la boxe anglaise, l'escrime, la canne, la pêche à la ligne, le golf, la nage en mer. C'est un bon coureur à pied, qui possède une force physique inimaginable. Il a des doigts très puissants et une poigne de fer qu'il utilise pour redresser le tisonnier tordu par le Dr Roylott . Watson estime que peu d'hommes sont capables d'un plus grand effort musculaire Enfin, tous ses sens sont très développés et il possède une extrême finesse de toucher.

− L'oisiveté épuise Sherlock Holmes, de son propre aveu, et il peut passer des journées entières au lit quand il n'a pas de travail. Holmes n'a rien d'un lève-tôt quand rien ne l'y oblige. Mais il peut passer une nuit blanche sur ses tubes à essais quand cela est nécessaire. Dès qu'une affaire se présente, il se lève à l'aube, et devient infatigable, passant des jours, voire une semaine sans repos.

− − Ses habitudes alimentaires :

− Son régime alimentaire pêche plutôt par un excès de frugalité que par une trop grande richesse et il va jusqu'à ne plus manger quand il travaille. "Ce que la digestion fait gagner à notre sang est autant de perdu pour notre cerveau, dit-il, Je suis un cerveau. Le reste de mon corps n'est que l'appendice de mon cerveau. Donc, c'est le cerveau que je dois servir d'abord" .

− − Ses problèmes de santé :

− Au printemps de 1887, sa santé se trouve ébranlée par un surmenage excessif et en 1897, sa constitution de fer commence à révéler quelques symptômes de lassitude sous le travail énorme qui l'accable. Il doit prendre du repos pour s'épargner une grave dépression nerveuse .

− Pendant sa retraite, il souffre de crise de rhumatisme ce qui ne l'empêche pas de nager fréquemment dans la mer.

− − Son amour du travail :

− La personnalité de Sherlock Holmes est double. Dans ses accès de travail, il déploie une énergie à toute épreuve, puis vient la réaction: pendant de longues journées, il reste étendu sur le canapé sans rien dire, sans remuer un muscle, depuis le matin jusqu'au soir.

− "Je ne me souviens pas d'avoir jamais été fatigué par le travail. En revanche, l'oisiveté m'épuise complètement. Cela passera si vous me laissez tranquille" . Pendant ces périodes, il s'adonne à la drogue (mais beaucoup moins que ne le dit la légende), alternant la cocaïne et la morphine puis au travail (études et recherches dans de nombreux domaines très éloignés du monde criminel : musique, histoire, archéologie, botanique, etc.).

− Son esprit ressemble à un moteur de course: il se détraque quand il n'exécute pas les exploits pour lesquels il est construit.

− "L'homme n'est rien, l'oeuvre c'est tout", dit-il citant Flaubert. "Le travail est le meilleur remède à la tristesse" , "le meilleur repos est un changement de travail" . Et tout ce travail, c'est seulement pour l'amour de l'art.

− − Son caractère :

− Comme tous les êtres humains, Holmes est complexe et souvent contradictoire, à la fois dans sa personnalité et dans ses attitudes. Il apparaît comme sans émotion et replié sur lui-même, scientifique jusqu'à l'insensibilité, comme un véritable automate, une machine à raisonner, radicalement inhumain, avec un masque d'Indien Peau-Rouge qui, tant de fois, le fait passer pour une machine insensible et non pour un être humain. Il place, au-dessus de tout, la précision et la concentration de la pensée.

− Watson fait constamment référence à son agitation et à son impatience, à sa nervosité et à son excitation, à son naturel curieux et avide, à sa manie de se ronger les ongles quand il est préoccupé, à l'importance qu'il porte à son orgueil, à sa réputation, au respect de lui-même et à un certain égoïsme.

− Il ne se range pas parmi les gens qui placent la modestie au nombre des vertus. Pour le logicien, les choses sont ce qu'elles sont, et se sous-estimer est, tout autant que se surestimer, une altération de la réalité. "Ce que l'on fait en ce monde importe peu. La question, c'est ce que vous pouvez faire croire que vous avez fait."

− Il est égotiste et didactique et on dit de lui qu'il est aussi sensible à la flatterie, quand il s'agit de son art, que n'importe quelle femme quand il s'agit de sa beauté. Une de ses plus grandes faiblesses c'est qu'il supporte mal les intelligences moins vives que la sienne et il peut être franchement méprisant pour ceux qui lui sont inférieurs mentalement, et pour ceux avec qui il n'est pas d'accord. Cette conduite ennuie particulièrement Watson très souvent.

− Bien qu'il laisse le crédit de ses affaires à la police, il s'irrite d'un manque de reconnaissance. Il se garde toujours la possibilité d'agir seul car l'aide qu'il trouve à l'extérieur est toujours ou insignifiante, ou réticente. Il s'intéresse à une affaire pour aider les fins de la Justice et le travail de la police.

− S'il se tient à l'écart de la police officielle, c'est d'abord parce qu'elle le tient à l'écart. Il n'a nul désir de marquer des points à ses dépens. Mais il aime bien taquiner les détectives officiels en leur donnant des indices tout en négligeant d'expliquer leur signification. Il s'amuse. En réalité, il ne souhaite pas leur masquer l'évidence. Ses yeux étincellent de malice quand il fait miroiter la preuve dans la tragédie de Birlstone, par exemple .

− S'il est dur avec les autres, il ne s'épargne pas lui-même. Il se fait des reproches quand il est trop lent à résoudre le problème.

− Des autres, il aime les attentions, l'admiration et les applaudissements . Sa nature froide, qui ne se préoccupe pas de gloriole aux yeux du vulgaire, est touchée par les louanges d'un ami. Il aime impressionner ses clients par l'étalage de ses facultés et surprendre ceux qui l'entourent. Comme un artiste, il est en représentation.

− Il y a en lui une certaine veine artistique qui l'attire sur la scène. "L'inculpation brutale, la main au collet, que peut-on faire d'un pareil dénouement? Mais la subtile déduction, le piège malin, l'habile prévision des événements à venir, le triomphe vengeur des théories les plus hardies, tout cela n'est-il pas la fierté et la justification du travail de notre vie?" Il avoue souvent être incapable de se refuser une note dramatique.

− Il a parfois tendance à faire sa propre justice et assouvir une vengeance personnelle . Une ou deux fois, avoue-t-il, dans sa carrière, il a senti qu'il avait commis plus de mal véritable en découvrant le criminel qu'il n'en avait fait, lui, par son crime. Il pardonne les vengeances personnelles des autres et avoue qu'il se sent directement responsable de la mort du docteur Roylott . Il n'hésite pas à utiliser des méthodes illégales pour une cause juste à ses yeux et souvent il imagine qu'il pourrait être un criminel très efficace s'il utilisait ses talents contre la loi, ce sur quoi Scotland Yard est bien d'accord .

− Comme tous les grands artistes, indique Watson, il est fréquemment impressionné par l'ambiance extérieure et il reconnaît avec humour qu'il croit au Genius Loci mais sans doute seulement entre deux affaires car quand il est en enquête, il peut s'élever au-dessus de telles influences et possède au plus haut degré la faculté très remarquable de se libérer l'esprit à volonté.

− Il prête peu d'attention à sa sécurité quand son esprit est absorbé par une enquête (bien qu'il affirme qu'il est stupide plus que courageux de refuser de croire au danger quand il vous menace de près) et il est très contrarié par tout ce qui vient distraire son attention. "Une intense concentration mentale a le pouvoir étrange d'anéantir le passé", dit-il, et pour cela il ne souhaite pas que deux affaires se chevauchent.

− Professionnellement, Holmes est le seul en Europe à posséder ces dons et cette expérience. Pour cette raison, il refuse l'ordinaire. Il est la dernière cour d'appel. Quand on lui dit que ses critères pour choisir une affaire sont discutables, il répond que le rang de son client lui importe moins que l'intérêt de son affaire. "L'homme qui a la passion de l'art pour l'art tire souvent ses plaisirs les plus délicats de manifestations mineures ou soi-disant inférieures" "On n'est jamais assez instruit, Watson. L'instruction s'acquiert tout au long d'une série de leçons et la dernière est la plus grande."

− Il refuse d'agir si son client ne lui dit pas tout ce que confirme Watson : "Quelques problèmes relatifs à des secrets de famille sèmeraient, s'ils étaient révélés, l'effroi et la consternation dans de hautes sphères de la société" " La discrétion et le sentiment élevé de ses devoirs professionnels qui ont toujours animé mon ami président à notre choix : aucun abus de confiance ne sera commis."

− Absolument dépourvu de cruauté, il est néanmoins endurci à force de vivre dans le sensationnel. Holmes se décrit lui-même comme n'ayant jamais été un individu très sociable. A part Watson, il déclare ne pas avoir d'amis et n'encourage pas les visiteurs. Il montre une réticence à nouer de nouvelles amitiés et préfère vivre dans la solitude et l'isolement.

− Il fait preuve d'insouciance et d'une veine mi-cynique, mi-humoristique mais la dureté n'est pas dans sa nature nous dit Watson qui souligne sa gentillesse et cette sorte de gaieté sinistre qui caractérise ses meilleurs moments.

− Il est remarquable par sa courtoisie et il est passé maître dans l'art de mettre les plus humbles à leur aise et possède presque un pouvoir hypnotique qui lui permet d'apaiser quand il le veut. "Je pense que chacun d'entre nous recèle une petite étincelle d'immortalité", remarque-t-il.

− "La vie est pleine de fantaisie, Watson", dit-il et quoiqu'il se défende de rire souvent, il rit, sourit, plaisante fréquemment.

− Holmes a ses habitudes, des habitudes strictes et rigoureuses. Au début de leur association, Watson les considère comme normales et faciles à vivre mais rapidement il les requalifie d'excentriques et d'anormales, présentant Holmes comme un des hommes les moins ordonnés qui aurait jeté hors de ses gonds n'importe quel compagnon d'existence.

− Il a une vie de bohême. Il s'entraîne au tir au revolver dans son salon. Il a horreur de détruire des documents. Il range ses cigares dans un seau à charbon, son tabac au fond d'une babouche persane et sa correspondance en attente de réponse sous la lame perforatrice d'une couteau à cran d'arrêt fiché en plein milieu de la tablette de la cheminée.

− Son incroyable manque de soins, sa prédilection pour la musique à des heures que tout un chacun réserve au sommeil, son entraînement au revolver en chambre, ses expériences scientifiques aussi étranges que malodorantes, l'ambiance de violence et de danger qui l'entoure font de lui le pire des locataires de Londres. Mais sans ses dossiers, ses analyses chimiques, son désordre habituel, il n'est pas à l'aise.

− L'amour de la nature ne fait pas partie de ses dons innombrables. Il n'éprouve pas le moindre attrait pour la campagne ni pour la mer, jusqu'à sa retraite. Retiré dans le Sussex, il s'adonne entièrement à cette vie apaisante de la nature à laquelle il dit avoir si fréquemment aspiré pendant les nombreuses années passées dans les ténèbres londoniennes.

− Son esprit lucide, froid, admirablement équilibré répugne à toute émotion en général et à celle de l'amour en particulier. Il apparaît sans sentiment, saturnien et peu démonstratif. Ses émotions se sont émoussées à force de vivre dans le sensationnel. "L'émotivité contrarie le raisonnement clair et le jugement sain." affirme-t-il . "J'utilise ma tête, pas mon coeur."

− − Ses rapports avec les femmes :

− C'est dans son attitude face aux femmes et à l'amour qu'il est particulièrement remarquable. "L'amour est tout d'émotion et l'émotivité s'oppose toujours à cette froide et véridique raison que je place au-dessus de tout. Je ne me marierai jamais de peur que mes jugements n'en soient faussés."

− Il n'aime pas le sexe faible. Il en a une véritable aversion, dit-il à Watson . Lorsqu'il parle des choses du coeur, c'est toujours pour les assaisonner d'une pointe de raillerie ou d'un petit rire ironique. Il accepte l'hospitalité d'un ami de Watson dès qu'il apprend qu'il est célibataire . "On ne peut jamais faire totalement confiance aux femmes ; pas même aux meilleures d'entre elles."

− Ceci dit, quand il le veut, il use de manières très doucereuses avec les femmes et il les met rapidement en confiance . Dans ses rapports ordinaires avec elles, il met beaucoup de gentillesse et de courtoisie. Il n'a nulle confiance dans le sexe faible, mais il est toujours un adversaire chevaleresque. "Le coeur et l'esprit d'une femme sont des énigmes insolubles pour un mâle", dit-il . "Leurs actions les plus banales peuvent se rapporter à quelque chose de très grave, mais leur comportement extraordinaire dépend parfois d'une épingle à cheveux ou d'un fer à friser." .

− "J'ai trop d'expérience pour ne pas savoir que l'intuition d'une femme peut s'avérer beaucoup plus valable que les conclusions d'un raisonneur qui procède par analyse", dit-il en 1889 . "J'apprécie beaucoup l'instinct féminin", ajoute-t-il en 1907 . Mais dans les deux cas, il s'adresse à des femmes en deuil ou dans la peine qu'il souhaite ménager...

− Il a l'habitude d'ironiser sur la rouerie féminine jusqu'au jour oû il est battu par Irene Adler . Il reste insensible aux charmes de Mary Morstan et, en dépit de sa prévenance envers Violet Hunter, à la déception de Watson, il cesse de lui témoigner le moindre intérêt dès qu'elle n'est plus le pivot de l'un de ses problèmes .

− Malgré tout, sa logeuse, Mrs Hudson, l'aime bien et il séduit à merveille la servante de Charles Auguste Milverton déguisé en plombier .

− La seule intimité qu'il se permet est celle qu'il partage avec Watson. "J'étais plus proche de lui que n'importe qui au monde, et cependant je savais qu'un abîme nous séparait", écrit le docteur . Une seule fois, le masque de Holmes tombe complètement et pour la première fois de sa vie, le docteur sent battre le grand coeur digne du grand cerveau. C'est lors de l'aventure des Trois Garrideb quand Holmes s'inquiète pour Watson qui vient d'être blessé.

− Finalement, laissons le dernier mot sur ce sujet à Holmes qui déclare, au printemps 1897, qu'il n'a jamais aimé .

− − Ses passions :

− L'art en général et surtout la musique avec, en particulier, les motets de Lassus, la chimie, le Moyen Age et, en particulier, les éditions anciennes (imprimées en caractères gothiques, par exemple), certains manuscrits anglais (early English Charters), des oeuvres dramatiques médiévales (Miracle Plays), la poterie médiévale, le cornique (le dialecte celte de Cornouailles), le bouddhisme de Ceylan (Hinayana, la forme la plus ancestrale du bouddhisme qui s'oppose à celui pratiqué en Chine et au Népal), les abeilles, les violons de Stradivarius, les prototypes de navires de guerre, etc.

− − Holmes et la Musique :

− De tous les arts, Sherlock Holmes préfère la musique.Et il ne s'agit pas d'une simple distraction.Il l'utilise pour réfléchir lors d'une enquête : "La musique allemande... est davantage à mon goût que la musique française ou italienne, elle est introspective et j'ai grand besoin de m'introspecter..." .

− Il se déplace volontiers pour aller entendre un artiste : la violoniste Norman-Néruda, les frères de Reszké ou une oeuvre qui lui plaît de Wagner, de Chopin...

− Sherlock Holmes est un violoniste. Dès le premier chapitre de ses aventures, dans Une Etude en rouge (mars 1881), il en prévient Watson, avant de partager un appartement avec lui :

− (Holmes) - Faites-vous entrer le violon dans la catégorie des bruits fâcheux ? demanda-t-il avec anxiété.

− (Watson) - Cela dépend de l'exécutant, répondis-je. Un morceau bien exécuté est un régal divin, mais s'il l'est mal !...

− Dès leur installation, Watson, découvrant mieux son nouveau colocataire, s'attache à en définir les connaissances. Sur douze références caractéristiques, allant de la littérature au droit, en passant par la philosophie ou la boxe, il inscrit en dixième position: "Joue bien du violon." Puis, plus loin, il développe une seule de ces douze connaissances : le violon.

− "J'ai déjà fait allusion à son talent de violoniste. Talent remarquable, mais excentrique comme tous ses autres talents. Qu'il pût jouer des morceaux, même des morceaux compliqués, je le savais ; car, sur ma prière, il m'avait fait entendre des lieder de Mendelssohn et quelques autres chefs-d'oeuvre que j'aimais. Mais livré à lui-même, il faisait rarement de la musique. Pendant toute la soirée, renversé dans son fauteuil, les yeux clos, il grattait négligemment l'instrument posé sur ses genoux. Les accords qu'il en tirait ainsi, sonores ou mélancoliques, fantastiques ou gais, reflétaient avec clarté les pensées qui l'obsédaient. Stimulaient-ils son esprit? Jouait-il seulement par caprice, par fantaisie? Je ne saurais le dire. Je me serais révolté contre ces soli exaspérants si, d'ordinaire, pour me dédommager un peu de l'épreuve à laquelle il avait mis ma patience, il n'avait ensuite exécuté avec brio une série de mes airs favoris."

− Le Holmes mélomane est également décrit par Watson : Mon ami était un mélomane enthousiaste ; il exécutait passablement, et il composait des oeuvres qui n'étaient pas dépourvues de mérite. Tout l'après-midi, il resta assis sur son fauteuil d'orchestre ; visiblement, il jouissait du bonheur le plus parfait ; ses longs doigts minces battaient de temps en temps la mesure ; un sourire s'étalait sur son visage ; ses yeux exprimaient de la langueur et toute la poésie du rêve... Qu'ils étaient donc différents des yeux de Holmes le limier, de Holmes l'implacable, l'astucieux, de Holmes le champion des policiers! Son singulier caractère lui permettait cette dualité. J'ai souvent pensé que sa minutie et sa pénétration représentaient une sorte de réaction de défense contre l'humeur qui le portait vers la poésie et la contemplation. L'équilibre de sa nature le faisait passer d'une langueur extrême à l'énergie la plus dévorante. Je savais bien qu'il n'était jamais si réellement formidable que certains soirs oû il venait de passer des heures dans son fauteuil parmi les improvisations ou ses éditions en gothique. (...) Quand je le vis ce soir-là s'envelopper de musique à Saint-James's Hall, je sentis que de multiples désagréments se préparaient pour ceux qu'il s'était donné pour mission de pourchasser.

− Le violoniste Sherlock Holmes aime entendre la musique de chambre. Dans Une étude en rouge : "Il faudra faire vite. Je veux aller au concert de Hallé, cet après midi, pour entendre Norman Neruda... (...) Ses attaques et son coup d'archet sont magnifiques. Quelle est donc la petite chose de Chopin qu'elle joue si admirablement ? Tra la la lira lira lay." Citons aussi Les Huguenots de Meyerbeer dans Le chien des Baskerville et Tristan et Yseult de Wagner dans L'aventure du cercle rouge.

− − Ses enquêtes, racontées par Watson :

− Même si Watson se plaint de l'indifférence de Holmes envers ses écrits, en vérité le détective s'y intéresse les qualifiant de "superficiels" et accusant Watson d'embellir la réalité et de leur donner une note romantique. Il dit au docteur qu'il ne peut pas le féliciter pour ses récits. "Vos historiettes ont un effet totalement artificiel puisque vous gardez pour vous quelques facteurs qui ne sont jamais communiqués au lecteur".

− "La détection est, ou devrait être, une science exacte ; elle devrait donc être constamment traitée avec froideur et sans émotion", dit-il , accusant Watson de sacrifier au goût du public plutôt que de se confiner dans les faits et les chiffres. . "Il est possible que vous ayez fait fausse route en essayant de mettre de la couleur et de la vie dans tous vos récits au lieu de vous borner à rendre compte de la marche austère du raisonnement de la cause à l'effet ce qui est, après tout, le plus remarquable dans ces affaires."

− Il reproche à son biographe ses mauvaises habitudes de raconter les histoires en commençant par la fin . "Vous avez la détestable habitude de considérer toute chose du point de vue du conteur et non du point de vue du chercheur scientifique. Ainsi, vous avez détruit ce qui aurait pu être une suite instructive et même classique de démonstrations. Vous négligez la finesse et la délicatesse de mes déductions pour insister sur des détails dont le caractère sensationnel excite peut-être la curiosité du lecteur mais ne l'éduque sûrement pas!" "De ce qui aurait pu être un cycle de conférences, vous avez fait une série de contes..."

− "Mes erreurs, aussi, ajoute-t-il, sont beaucoup plus fréquentes que ne le croiraient vos lecteurs". Il se plaint aussi que Watson ait vanté à l'excès ses méthodes scientifiques .

− Alors, pourquoi n'écrit-il pas lui-même ses mémoires? Watson le lui demande et il finit par prendre la plume .

− "En choisissant quelques affaires typiques qui illustrent les remarquables qualités mentales de mon ami Sherlock Holmes, écrit Watson, j'ai autant que possible accordé la préséance à celles qui, moins sensationnelles peut-être, offraient à ses talents le meilleur champ de manoeuvres."

− En dépit de son goût à dédaigner la notoriété , il acquiert une renommée considérable grâce aux écrits de Watson. Renommée qui rejaillit également sur Watson.

− Un chroniqueur, admet Holmes, est toujours utile. Il invite donc Watson à l'accompagner dans ses investigations dans le but de trouver de la matière pour ses futurs récits. Aucun n'est d'ailleurs écrit sans l'accord de Holmes et il va même jusqu'à suggérer certains cas dont il aimerait voir le récit rendu public .

− Cependant Holmes interdit la publication de toutes ses affaires, à l'exception de celle du chien des Baskerville, de son retour en 1894 jusqu'à 1903, juste avant qu'il ne se retire de la scène. Et même après cette date, il n'est pas très disposé de les voir publiés . Tant qu'il exerce, la publicité faite autour de ses succès revêt pour lui une valeur pratique. Mais dès qu'il se retire définitivement et qu'il se consacre à la science et à l'apiculture, il prend sa renommée en grippe et il somme Watson de ne pas contrarier son désir de silence.

− Entre 1887 et 1904, pas plus de quarante de ses affaires sont publiées couvrant une période de dix-sept ans. Au cours des vingt années séparant 1908 et 1927, à peine vingt cas sont relatés dont seize de la main de Watson

− − Ses revenus :

− Holmes travaille d'abord pour l'amour de l'art plus que pour son profit. "Mes frais professionnels sont établis d'après un barème fixe. Je ne les modifie pas, sauf quand j'en tiens quittes certains clients." A Helen Stoner qui avoue ne pas avoir d'argent dans l'immédiat, il précise : "Quant à mes honoraires, mon métier lui-même comporte toutes sortes de récompenses. S'il entre dans vos intentions de me défrayer des dépenses que je pourrais avoir à supporter, alors vous me réglerez quand cela vous sera plus facile, voilà tout!"

− Quelques cas lui rapportent néanmoins beaucoup d'argent. Une récompense de £1.000 est offerte pour la restitution du diadème de béryls et pour celle de l'escarboucle bleue de la comtesse de Morcar (BLUE). Il reçoit la même somme en remboursement de ses frais du roi de Bohême .

− Il reçoit £12.000 du duc d'Holdernesse qui sont plus pour acheter le silence de Holmes que pour rétribuer ses services . A l'exception de cette affaire, Watson ne le vit jamais demander une forte récompense pour ses services inestimables.

− "Il était si détaché de ce monde (ou si capricieux) qu'il refusait souvent d'aider le riche et le puissant quand l'affaire n'éveillait pas sa sympathie. En revanche, il lui arrivait de consacrer des semaines d'application intense aux intérêts d'un client modeste dont le cas présentait des traits étranges ou dramatiques qui excitaient son imagination et défiaient son ingéniosité."

− Les services rendus à la couronne scandinave et à la République française lui procure, en 1891, dit-il, de quoi terminer son existence le plus paisiblement du monde .

− Il y a aussi les petits cadeaux. Le roi de Bohême lui offre une tabatière en vieil or avec une grosse améthyste au centre du couvercle et la famille régnante de Hollande une bague avec un magnifique brillant . Quant à la reine Victoria, elle lui offre personnellement une émeraude montée en épingle de cravate.

− − Ses connaissances :

− Holmes est un homme cultivé contrairement à ce que laisse penser la liste de ses connaissances faite par Watson au début d'Une étude en rouge :

− En littérature : nulles.

− En philosophie : nulles.

− En astronomie : nulles.

− En politique : faibles.

− En botanique : spéciales. Est calé sur la belladone, l'opium, tous les poisons en général. Ne connaît rien au jardinage.

− En géologie : pratiques, mais restreintes. Distingue au premier coup d'œil les différentes espèces de terrains. Après s'être promené à pied dans Londres, m'a montré des éclaboussures sur son pantalon et, d'après leur couleur et leur consistance, a déterminé dans quel quartier il les avait essuyées. En chimie : approfondies.

− En anatomie : exactes, mais sans système.

− En littérature à sensation : immenses. Semble posséder tous les détails de chaque crime horrible commis au cours du siècle.

− Joue bien du violon.

− Est adroit à la canne, à la boxe, à l'escrime.

− A une bonne connaissance des lois anglaises.

− − Jugement repris plus tard dans l'aventure des Cinq pépins d'orange: "En philosophie, en astronomie et en politique, je vous avais noté zéro... En botanique, irrégulier. En géologie, solide pour déceler l'origine des taches de boue dans un rayon de quatre-vingts kilomètres autour de Londres. En chimie, excentrique. En anatomie, manque de méthode. En littérature à sensations et en histoire criminelle, unique. Joueur de violon. Boxeur. Escrimeur à l'épée. Homme de loi. Et s'intoxiquant à la cocaïne et au tabac."

− Ses études sont présentées comme décousues et excentriques et on dit qu'il amasse une foule de connaissances rares . Mais qu'en dit Holmes, lui-même: "La largeur des vues est l'une des qualités essentielles de notre profession. L'effet réciproque des idées et l'usage oblique de la culture présentent fréquemment un intérêt extraordinaire." "Je suis, sur le plan lectures, un omnivore qui retient d'étranges détails avec une mémoire tenace. Un détective doit tout connaître."

− "Le logicien idéal, une fois qu'il lui a été montré un simple fait sous tous ses angles, devrait en déduire non seulement tout l'enchaînement des événements qui l'ont enfanté mais encore tous les effets qu'il enfantera lui-même." Pour porter un tel art, cependant, à son plus haut degré de perfection, il est nécessaire que le logicien soit capable d'utiliser tous les faits connus. Ce qui implique de sa part des connaissances très étendues, si étendues même que, malgré cette époque de libre éducation et d'encyclopédies, rares sont ceux qui les possèdent ! Mais je ne crois pas impossible qu'un homme parvienne à acquérir la somme de connaissances indispensables à son travail; en tout cas, je me suis efforcé, moi, de l'acquérir !

− On dit qu'il a la passion des connaissances exactes et précises. "Je possède une ample réserve de connaissances hors du commun, sans système scientifique, mais très utiles pour les nécessités de mon travail. Mon esprit ressemble à une chambre de débarras bourrée de paquets de toutes sortes et bien rangés. Il y en a tellement que je peux très bien ne pas toujours me rappeler leur détail."

− L'une des caractéristiques de sa nature fière et indépendante est que, tout en enregistrant dans son cerveau très rapidement et avec précision une information nouvelle, il témoigne rarement de la gratitude à celui qui la lui communique.

− "On doit garder sa petite mansarde intellectuelle garnie de tout ce qui doit vraisemblablement servir et que le reste on peut le conserver dans sa bibliothèque oû on peut les trouver quand on en a besoin."

− La plupart des succès de Holmes sont dûs à sa connaissance de l'histoire du crime. Ses connaissances en littérature à sensation sont immenses. Il semble connaître tous les détails de toutes les horreurs commises pendant ce siècle. "Tout se reproduit et la chose la plus pratique qu'un détective puisse faire dans sa vie serait de s'enfermer pendant trois mois et de lire douze heures par jour les annales du crime" . "Il n'y a rien de nouveau . La vieille roue tourne. Le même rayon reparaît. Tout a déjà été fait, tout sera encore fait."

− Pour compléter sa science du crime, il entretient des contacts avec le milieu , affirmant que personne d'autre que lui ne connaît mieux le monde du crime londonien et s'attache à suivre dans le détail les affaires criminelles du Continent .

− − Ses échecs :

− Ses erreurs se produisent, dit-il, plus souvent que ne le penseraient les lecteurs . Sa longue carrière a, naturellement, connu des échecs, si l'on en croit Watson , ou des affaires partiellement résolues. "Vous m'avez déjà vu manquer mon but, reconnaît-il à Watson . J'ai été battu quatre fois: trois fois par des hommes, une fois par une femme.", ajoute-t-il en 1887 .

− "J'avais tellement l'habitude de ses succès, dit Watson en 1888, que l'hypothèse d'un échec ne m'effleurait même pas" . Néanmoins, l'affaire de la deuxième tache et celle de la Figure jaune sont deux échecs que Watson choisit de raconter . Il échoue aussi face à Irene Adler . Enfin, Holmes se reproche souvent sa lenteur d'esprit. Il se trompe presque dans l'affaire de Abbey Grange et suspecte un innocent du vol des plans du Bruce-Partington. Il est en défaut dans l'affaire de Baskerville (au début), dans ses premières recherches de Lady Frances Carfax, dans le début de Flamme d'argent, dans le vol de la perle des Borgia . Il commence parfois par des suppositions fausses avant de se rendre sur place , il tombe dans le piège lors du meurtre d'Eduardo Lucas , etc.

− Holmes peut fort bien avoir été victime du raffinement excessif de sa logique et pencher un peu trop à préférer une explication bizarre alors qu'une autre, plus banale, se trouve à sa portée . Holmes le reconnaît lui-même, l'esprit agile qu'il possède a un inconvénient: il peut toujours concevoir des explications diverses qui rendraient cette certitude tout à fait illusoire. Il se peut après tout qu'un homme qui ait quelques connaissances particulières et des facultés non moins particulières incline à chercher.

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Sauvegarde d'Atria avant suppression[modifier | modifier le code]

Les Éditions Atria sont une maison d'édition indépendante dont le siège social se situe à Douai dans le Nord. Créées en 2005 sous la houlette de Laurence Crombêke, elles ont pour objectif d'éditer et de diffuser une littérature qui éveille le sentiment, développe la pensée et la volonté, une littérature qui met en vie, secoue les êtres et les transforme. Le verbe diffusé est vivant, libre, volontaire, authentique, simple, concret et utile à tous. Enfin, une littérature destinée à tous : l'enfant et l'adolescent, l'homme de la maturité et les plus âgés, parce qu'à chaque âge, ses interrogations et ses transformations.

Deux collections se sont imposées au fil du temps :

Les Editions Atria, regroupant les témoignages et la littérature générale (émotion, aventure, comédie, policier, réflexion, théâtre) et Les Mondes d'Atria, pour la science-fiction, l'anticipation, la fantasy, le fantastique; en résumé, les mondes de l'Imaginaire.

Ouvrages édités[modifier | modifier le code]

Les Editions Atria

Les Mondes d'Atria

Notes et références[modifier | modifier le code]

Pourquoi Atria ?

À celles et ceux qui se demandent "Pourquoi Atria" ? ATRIA ou À TROIS rappelle la nécessité d'une relation et d'un dialogue simple, ouvert, authentique et essentiel entre les trois interlocuteurs que sont l'auteur, l'éditeur et le lecteur. ATRIA évoque également l'atrium romain, l'âtre, la cheminée, le foyer, la famille... d'idées, la famille que forment celles et ceux qui partagent une même vision de la vie. L'atrium avait aussi cette particularité de n'avoir pas de toit : il était donc loisible d'y contempler le ciel et de nuit, les étoiles... ... d'où son pluriel ATRIA qui désigne une étoile double, située au sein d'une petite constellation de l'hémisphère nord, celle du Triangle, dont les trois étoiles principales dessinent précisément un triangle allongé. L'étoile située au 'sommet' – en sa pointe la plus allongée – est justement ATRIA. Les problématiques littéraires qui dessinent les fondements et les orientations des Éditions ATRIA sont pareillement celles qui nous mettent tout à la fois les pieds sur terre, enracinés dans le lointain passé, et la tête dans les étoiles, projetée dans l'avenir proche ou lointain.

Depuis le mois de février 2012, les éditions Atria passent en diffusion/distribution nationale grâce au diffuseur CED et au distributeur Daudin

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