Utilisateur:Alcide talon/Bakaçable4

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La situation au début du conflit[modifier | modifier le code]

Les acteurs[modifier | modifier le code]

  • côté britannique
    • TRE
    • Group 80 (RAF)
    • Group 100 (RAF)
  • côté américain
    • Rad Lab
    • Unités de GE
  • côté allemand
    • structure de recherche : "Deutsche Versuchsanstalt fuer Lufftahrt" (DVL)
    • KGr 100
  • côté japonais
  • côté russe (?)

Les grandes étapes[modifier | modifier le code]

Guerre électronique dans les airs[modifier | modifier le code]

La Bataille d'Angleterre[modifier | modifier le code]

Bombardements du Reich[modifier | modifier le code]

L'apparition d'unités spécialisées[modifier | modifier le code]

Guerre électronique sur mer[modifier | modifier le code]

Mise en œuvre[modifier | modifier le code]

  • Détection
  • Attaques

Opérations en Méditerranée[modifier | modifier le code]

  • Bataille du cap Matapan
  • Opération Torch
  • Husky, Anzio et Anvil

Bataille de l'Atlantique (1939-1945)[modifier | modifier le code]

  • Détection
  • Attaques
  • Parades

Guerre électronique sur terre[modifier | modifier le code]

En Afrique[modifier | modifier le code]

Jour J[modifier | modifier le code]

  • Déception
  • Leurrages

Autres utilisations[modifier | modifier le code]

  • Fantassin
  • Blindés
  • Artillerie

Opérations dans le Pacifique[modifier | modifier le code]

  • Détection US JPN
    • Ferret
  • Attaques US JPN
  • Parades US JPN

Les matériels[modifier | modifier le code]

Radars[modifier | modifier le code]

  • Avance initiale allemande
  • Rattrapage allié

Détecteurs[modifier | modifier le code]

  • Bonnes idées
  • Fausses bonnes idées

Les techniques[modifier | modifier le code]

Si les matériels adaptés sont indispensables, leur mise en œuvre est aussi importante dans le contexte d'une guerre électronique.

Deux exemples suffiront à le montrer.

  1. En 1939, le dirigeable allemand « Graf Zeppelin » s'approche des côtes anglaises pour détecter les émissions radars anglaises. Les anglais n'arrêtent pas leurs radars, ce qui serait un signe que le dirigeable a été repéré. Les allemands estimeront alors que les émissions captées de la « Chain Home » montrent qu'elle n'est, comme ils le pensent, qu'une série de balises pour la marine.
  2. En 1943, la mise en œuvre de radars centimétriques embarqués ne se traduit pas par l'arrêt de l'utilisation des radars métriques. Les allemands mettront plusieurs semaines avant de commencer à rechercher les traces d'un nouveau type de radar allié.

Détection[modifier | modifier le code]

  • mise en œuvre
  • un exemple allié
  • un exemple Axe
  • Enseignements de l'opération "Post-mortem"
Cette opération est conduite à partir de juin 1945. Elle vise, pour les Alliés, à déterminer comment fonctionnait le système de défense aérienne nazie et d'apprécier l'incidence des mesures de guerre électronique utilisées[1].
Le secteur utilisé est celui du Danemark, où les installations nazies étaient restées relativement opérationnelles. Les opérateurs seront extraits de leurs camps de prisonniers et priés de reprendre leur poste[1].
Au cours d'une série d'exercices, mettant en jeu jusqu'à 200 appareils alliés, tous les aspects de l'offensive seront étudiés par des officiers surveillant les techniques mises en oeuvre par les allemands[1].
Ces exercices permettront de montrer que les brouilleurs « Mandrel » se sont révélés moins efficaces qu'estimé et que le brouillage par « windows » ne permettait pas à la défense de distinguer les diversions de l'attaque principale. Ces exercices ont aussi permis de mettre en évidence les difficultés de la centralisation des données recueillies[1].

Brouillage[modifier | modifier le code]

  • Actions allemandes pendant la Bataille d'Angleterre
  • Düppel, chaff et windows
  • Actions Alliées pendant l'opération Pointblank.
  • Actions américaines pendant les bombardements sur le Japon

Leurrage[modifier | modifier le code]

  • Caruso
  • Mandrel
  • Corona
  • Thétis et Aphrodite

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

(Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.)

  • Ouvrages en français
  • Réginald V. Jones, "La guerre ultra-secrète (1939-1945), un savant britannique face à Hitler", 1978, Londres, Hamish Hamilton Ltd, traduction française 1980, Plon, (ISBN 2-259-00535-7) Note : Le professeur Jones était à la tête de la section scientifique du Renseignement de la RAF. Sur le sujet, cet ouvrage est incontournable.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Jean Cuny, "La chasse de nuit allemande 1939-1945", 1980, E.P.A.
  • Ouvrages en anglais
  • (en) Alfred Price, "Instruments of darkness, the history of electronic warfare, 1939-1945", 1967, Londres, William Kimber & Co, éditions révisées en 1977 et 2005, Greenhill Books, (ISBN 1-85367-616-0) Note : Centré sur la guerre aérienne. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Guy Hartcup, Challenge of War: Scientific and Engineering Contributions to World War Two Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Guy Hartcup, The Effect of Science on the Second World War
  • (en) Louis Brown, "Technical and military imperatives, a radar history of world war II", 1999, New York, Taylor & Francis, (ISBN 978-0-7503-0659-1) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Price, op. cit., pages 253-254.