Torpilleur no 7
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| Torpilleur nº 7 | |
| Type | Torpilleur |
|---|---|
| Histoire | |
| A servi dans | .svg){kind=small} Marine nationale
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| Chantier naval | Arsenal de Brest |
| Commandé | 12 juillet 1875 |
| Statut | Rayé de la liste de la Flotte en tant que bâtiment de combat le |
| Équipage | |
| Équipage | 10 hommes |
| Caractéristiques techniques | |
| Longueur | 14,76 m ht / 14,60 m fl |
| Maître-bau | 2,78 m fl / 2,80 m max |
| Tirant d'eau | 0,77 m AV / 1,32 m AR |
| Déplacement | 22,49 t |
| Propulsion | 1 chaudière Belleville type loco + 1 machine compound + 1 centrale BP |
| Puissance | 105 ch |
| Vitesse | 14 nœuds |
| Caractéristiques militaires | |
| Armement | 1 hampe porte-torpilles |
| Carrière | |
| Port d'attache | Brest |
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Le torpilleur nº 7 fait partie des sept torpilleurs du programme de 1876 de la marine française.
Carrière[modifier | modifier le code]
Il reste, pendant presque toute sa carrière, hissé sur slip à Brest. De 1888 à 1894, il devient le bâtiment de servitude Compagnon. Puis il est « école de chauffe » à l'école des Mécaniciens, jusqu'en 1909, date de sa condamnation définitive[1].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Henri Le Masson, Histoire du torpilleur en France, 1872–1940, Paris 7e, académie de Marine, , 377 p.
