Tertium comparationis

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Le terme latin tertium comparationis (« la troisième [partie] de la comparaison ») connait deux utilisations distinctes dans les études modernes^[1] :

en rhétorique, il sert à l'analyse des comparaisons et des métaphores en faisant référence à ce qui est partagé entre les objets comparés, à leur dénominateur commun.
en linguistique contrastive, où la notion apparemment évidente a fait l'objet de nombreux débats quant à sa nature, sa classification et même à sa validité^[2].

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ (en) Lei Zhu, « On the origin of the term tertium comparationis », Language & History, vol. 60, n^o 1,‎ 2 janvier 2017, p. 35–52 (DOI 10.1080/17597536.2017.1293373).
↑ Jan Pekelder, « Le tertium comparationis en linguistique contrastive : Problèmes et méthodes », Linguistica Pragensia, vol. 20, n^o 1,‎ 1^er janvier 2010 (DOI 10.2478/v10017-010-0002-6).

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[1] (en) Lei Zhu, « On the origin of the term tertium comparationis », Language & History, vol. 60, n^o 1,‎ 2 janvier 2017, p. 35–52 (DOI 10.1080/17597536.2017.1293373).

[2] Jan Pekelder, « Le tertium comparationis en linguistique contrastive : Problèmes et méthodes », Linguistica Pragensia, vol. 20, n^o 1,‎ 1^er janvier 2010 (DOI 10.2478/v10017-010-0002-6).

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