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Stosswihr

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Stosswihr
Stosswihr
Église protestante et mairie.
Blason de Stosswihr
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Colmar-Ribeauvillé
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Munster
Maire
Mandat
Daniel Thomen
2020-2026
Code postal 68140
Code commune 68329
Démographie
Population
municipale
1 328 hab. (2022 en évolution de −1,56 % par rapport à 2016)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 16″ nord, 7° 06′ 18″ est
Altitude Min. 417 m
Max. 1 363 m
Superficie 26,4 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Munster
(banlieue)
Aire d'attraction Colmar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wintzenheim
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Stosswihr
Géolocalisation sur la carte : France
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Stosswihr
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
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Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Stosswihr
Liens
Site web www.stosswihr68.frVoir et modifier les données sur Wikidata

Stosswihr [ ʃtɔsviʁ] est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Proche de Munster, elle fait partie du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Géographie

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Localisation et communes limitrophes

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Carte

La commune de Soultzeren se trouve dans le département du Haut-Rhin, dans la région Grand-Est[1]. Elle se trouve dans la Petite vallée, une des deux hautes vallées de la vallée de Munster. La commune se situe à 16,22 km par la route et 13,97 km à vol d’oiseau de Wintzenheim, bureau centralisateur du canton de Wintzenheim, et à 23,44 km par la route et 18,87 km à vol d’oiseau de Colmar, chef-lieu de l’arrondissement de Colmar-Ribeauvillé, dont elle dépend[1],[2],[3].

Les communes limitrophes sont Soultzeren au nord, Hohrod et Munster à l’est, Luttenbach, avec laquelle le contact ne se fait qu’au sommet du Reichackerkopf, Muhlbach, Breitenbach et Metzeral au sud. À l’ouest la limite communale suit la frontière avec les communes lorraines de La Bresse, Xonrupt-Longemer et Le Valtin[4]. Parmi celles-ci, la plus proche est Soultzeren, située à 1,21 km[5]. La deuxième commune la plus proche à vol d’oiseau est Hohrod avec 2,59 km[6]. Du fait du relief, les autres communes sont considérablement plus éloignées par la route, même si elles peuvent être proches à vol d’oiseau. Par exemple Muhlbach est à seulement 3,41 km à vol d’oiseau, mais près du double, 6,50 km, par la route[7].

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau la Petite Fecht, le ruisseau Altenbach[8], le ruisseau de la Schlucht[9] et le ruisseau de Soultzeren[10],[11],[Carte 1].

La Petite Fecht, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Fecht à Munster, après avoir traversé trois communes[12]. Les caractéristiques hydrologiques de la Petite Fecht sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 1,37 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 29,8 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 48,8 m3/s, atteint le même jour[13].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Stosswihr[Note 2].

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon la classification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[15]. Par ailleurs Météo-France publie en 2020 une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental[16] et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[17]. Elle est en outre dans la zone H1b au titre de la réglementation environnementale 2020 des constructions neuves[18],[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 322 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 10,6 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Munster à 3 km à vol d'oiseau[20], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 053,5 mm[21],[22]. La température maximale relevée sur cette station est de 38,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19 °C, atteinte le [Note 3].

Au , Stosswihr est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Munster[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant dix communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[24],[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[1]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (79,2 %), prairies (8,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,2 %), zones urbanisées (2,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de Stosswihr apparaît pour la première fois en 783 sous la forme de Stozzeswillars.

À la suite de la guerre de Trente Ans, Stosswihr, comme le reste de l'Alsace, passa sous domination française, suivant les clauses du traité de Westphalie en 1648.

Après 1870 et en vertu du traité de Francfort en 1871, le village fut à nouveau intégré dans l’Empire allemand. De 1914 à 1918, la Première Guerre mondiale allait, une fois de plus, les faire changer de nationalité. Dès les premiers jours, la commune fut transformée en champ de bataille.

En février 1915, les Allemands attaquèrent le front pour s’emparer du col de la Schlucht. Après 8 jours de combat et des pertes considérables[28],[29], les Allemands purent occuper la moitié de Stosswihr et le Reichackerkopf. L’offensive allemande sur la Schlucht était brisée, mais le front traversa le village en son milieu (dans les parages du Monument aux Morts actuel) jusqu’en 1918.

La commune a été décorée le de la croix de guerre 1914-1918[30].

Reconstruit à partir de 1920, le nouveau village eut à affronter une nouvelle guerre et une occupation de 1940 à 1945, mais sans trop de dommages cette fois-ci.

Le général de Brigade Henri Vogel est né à Stosswihr en 1914.A été très actif avec la 9 ème Division infanterie colonial en 1944/1945[31].

A la fin de l'occupation les forces françaises de l'intérieur (FFI) installèrent dans des baraquements provisoires (actuelle place de la salle des fêtes) les alsaciens de la vallée qui avaient soutenu les allemands lors de la guerre.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Stosswihr est membre de la communauté de communes de la Vallée de Munster[32], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Munster. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[33].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Colmar-Ribeauvillé, à la circonscription administrative de l'État du Haut-Rhin, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Grand Est[32].

Sur le plan électoral, elle dépendait jusqu'en 2020 du canton de Wintzenheim pour l'élection des conseillers départementaux au sein du conseil départemental du Haut-Rhin. Depuis le , elle dépend du même canton pour l'élection des conseillers d'Alsace au sein de la collectivité européenne d'Alsace[34].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Le conseil municipal de Stosswihr, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[35], pour un mandat de six ans renouvelable[36]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de quinze[37]. Les quinze conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 34,72 %. Tous sont issus de la liste menée par Daniel Thomen (Stosswihr ensemble), unique candidat pour cette élection[38],[39].

Les deux sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes de la Vallée de Munster vont à la liste de Daniel Thomen[39].

Tête de liste Suffrages Pourcentage inscrits Pourcentage exprimés Siège(s) CM Siège(s) CC
Daniel Thomen[39] 322 27,95 % 100 % 15 2

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 décembre 2016 Louis Schermesser   Vice-président de la CC de la Vallée de Munster
Décédé en fonction
mars 2017 mai 2020 Michel Klinger   Retraité
mai 2020 En cours
(au 19 janvier 2021)
Daniel Thomen SE Ancien cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Finances communales

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En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[40] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 324 000 , soit 925  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 120 000 , soit 991  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 274 000 , soit 194  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 392 000 , soit 277  par habitant ;
  • endettement : 691 000 , soit 487  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 5,27 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,72 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 63,05 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

L'année 2003 a été marquée par le jumelage avec la municipalité allemande de Gutach, après 40 années d'échanges, notamment avec les pompiers, et d'amitié entre les habitants[41].

Équipements et services publics

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Enseignement

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Un enseignement sommaire est assuré à l’école de Soultzeren pour les protestants par l’un des pasteurs adjoint de la paroisse de Munster jusqu’au XVIIIe siècle. À la même époque, les enfants catholiques, moins nombreux, disposent d’une classe dans le village. Une classe protestante n’est créée dans le village même qu’en 1775, afin de diminuer le trajet des élèves et d’en réduire le nombre à Soultzeren. Les deux classes confessionnelles sont conservées après la réforme de l’enseignement de 1833. Au total, la commune compte à cette date deux cents élèves, mais la majorité ne va à l’école qu’en hiver, leurs parents les faisant travailler le reste de l’année. Les protestant créent une école de fille en 1858 pour séparer les élèves par sexe, puis une maternelle en 1862. L’école catholique, implantée dans le hameau d’Ampfersbach, reste mixte. Il existe également à partir du milieu du XIXe siècle une petite classe privée à l’usine Graff pour les jeunes ouvriers[42].

Pour l’année scolaire 2022-2023, l’école compte cent neuf élèves répartis en cinq classes, dont trente-neuf élèves de niveau pré-élémentaire et soixante-dix de niveau élémentaire[43]. Pour l’enseignement secondaire, les établissements les plus proches sont le collège Frédéric Hartmann et le lycée Frédéric Kirschleger, tous deux situés à Munster.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

En 2022, la commune comptait 1 328 habitants[Note 7], en évolution de −1,56 % par rapport à 2016 (Haut-Rhin : +0,66 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9849321 0801 1611 4341 5491 5241 6141 552
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 5361 6981 8011 8271 8101 8071 8091 7951 856
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9071 8571 7867131 3891 4741 4891 4241 516
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 3771 3121 3061 2641 2761 3051 3891 4071 341
2018 2022 - - - - - - -
1 3561 328-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

L’église catholique est le siège de la paroisse de Stosswihr-Ampfersbach. Celle-ci fait partie de la communauté de paroisses de la Vallée de Munster, rattachée à la zone pastorale Vignobles et vallées de l’archidiocèse de Strasbourg. Elle est placée sous le patronage d’Hildegarde de Bingen et regroupe, outre celle de Stosswihr-Ampfersbach, les paroisses de Gunsbach-Griesbach, Metzeral-Sondernach, Mittlach, Muhlbach-Breitenbach, Munster, Soultzbach-les-Bains, Walbach, Wasserbourg, Wihr-au-Val et Zimmerbach. La messe est dite par roulement dans les différentes églises de la communauté[48].

Le temple protestant est le siège de la paroisse protestante de Stosswihr, regroupée avec la paroisse de Soultzeren dans la section « Petite vallée » du consistoire des protestants de la Vallée de Munster. D’obédience luthérienne, celui-ci est rattaché à l’Union des Églises protestantes d’Alsace et de Lorraine. Le culte a lieu en alternance dans l’une ou l’autre des deux paroisses de la section[49].

Le village comptait 1 389 habitants en 2006[50]. Peu d'industrie, mais un artisanat développé et une agriculture vivace, le village dispose du plus important cheptel bovin de la vallée. Son authenticité attire de nombreux touristes. Ces derniers, en fins gourmets, s'intéressent également aux spécialités et traditions locales et naturellement au munster, le fromage est fabriqué dans les marcairies et fermes de la vallée.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église catholique.
L'église protestante.
  • Moulin à huile de noix[51],[52],
  • Chapelle saint Joseph[53],
  • Chapelle de Schweinsbach[54],
  • Chapelle de la Vierge, puis de la Croix[55],
  • Église protestante[56],[57],
  • Église catholique[58] et son orgue de 1927[59],
  • Monument aux morts[60] et cimetière militaire français[61],
  • Cascades du Stolz Ablass[62],
  • Cirque du Frankental[63].
  • Grotte Dagobert[64].
  • Ambulance alpine du Gaschney[65].
  • Site de l’Altenberg : ancien hôtel construit à la fin XIXe siècle en contrebas du col de la Schlucht, reconverti en sanatorium entre les deux guerres, puis en établissement de soins et de repos à partir de 1950, fermé en 2011[66].

Héraldique

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Blason de Stosswihr

Les armes de Stosswihr se blasonnent ainsi :
« D'argent à la pelle d'azur posée en pal au manche brisé de même, la pointe haute. »[67]

Bibliographie

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  • Aristide Quillet, La grande guerre vécue, racontée, illustrée par les Combattants, en 2 tomes, 1922.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 560 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/09/1976 au 01/04/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Munster comprend une ville-centre et neuf communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique de Stosswihr » sur Géoportail (consulté le 15 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Stosswihr ».
  2. « Distance entre Stosswihr et Wintzenheim », sur fr.distance.to auteur=Stephan Georg (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Stosswihr et Colmar », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Carte IGN de Soultzeren » sur Géoportail (consulté le 10 octobre 2025).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Soultzeren et Stosswihr », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. Stephan Georg, « Distance entre Stosswihr et Munster », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. Stephan Georg, « Distance entre Stosswihr et Muhlbach-près-Munster », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. Sandre, « le ruisseau Altenbach »
  9. Sandre, « le ruisseau de la Schlucht »
  10. Sandre, « le ruisseau de Soultzeren »
  11. « Fiche communale de Stosswihr », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  12. Sandre, « la Petite Fecht »
  13. « Station hydrométrique La Petite Fecht à Stosswihr [Village] », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  15. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen », La Météorologie, no 116,‎ (DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  16. « Le climat en France hexagonale et Corse. », sur meteofrance.com (consulté le ).
  17. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  18. « Réglementation environnementale RE2020 », sur ecologie.gouv.fr, (consulté le ).
  19. « Répartition des départements par zone climatique » [PDF], sur ecologie.gouv.fr (consulté le )
  20. « Orthodromie entre Stosswihr et Munster », sur fr.distance.to (consulté le ).
  21. « Station Météo-France « Munster_sapc », sur la commune de Munster - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur object.files.data.gouv.fr/meteofrance/ (consulté le ).
  22. « Station Météo-France « Munster_sapc », sur la commune de Munster - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  23. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. « Unité urbaine 2020 de Munster », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. Les Vosges déc.1914 - mars 1915
  29. Vestiges 1914-1918. « La guerre des tranchées en Haute Alsace »
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  31. Donatella Cozzi, « Corps en réseau », Revue des sciences sociales, no 51,‎ , p. 34–43 (ISSN 1623-6572 et 2107-0385, DOI 10.4000/revss.3369, lire en ligne, consulté le )
  32. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Stosswihr », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  47. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  48. « CP de la vallée de Munster », sur alsace.catholique.fr (consulté le ).
  49. « Petite Vallée », sur protestants-vallee-munster.org (consulté le ).
  50. Source INSEE 2006
  51. Tout sur... Le réseau force hydraulique, PNRBV, septembre 2008
  52. Notice no IA68003166, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Moulin à huile.
  53. Notice no IA68003160, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Chapelle Saint-Joseph.
  54. L’histoire de l’église
  55. Notice no IA68001026, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Chapelle de la Vierge, puis de la Croix
  56. Notice no IA68001023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Eglise protestante
  57. Stosswihr, paroisse luthérienne
  58. Notice no IA68001024, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Eglise paroissiale Marie-Auxiliatrice
  59. Notice no IM68012108, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue église paroissiale Marie-Auxiliatrice
  60. Notice no IA68001135, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Monument aux morts de la Guerre 1914-18 et de la Guerre 1939-45 (F)
  61. Notice no IA68001149, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la CultureCimetière militaire français
  62. Massif du Hohneck : La grande cascade du Stolz'ablass
  63. Le plus beau et sauvage cirque glaciaire des Hautes-Vosges
  64. Cavités souterraines
  65. « L’ambulance alpine 2/75 ou 306 du Gaschney », notice no PA68000074, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  66. « L’Altenberg trouve (enfin) preneur » dans L’Alsace du 2 sept. 2017. Consulté le 21 juin 2018.
  67. Archives Départementales du Haut-Rhin