Masevaux

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Masevaux
Masevaux
Une rue piétonne.
Blason de Masevaux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Haut-Rhin
Arrondissement Thann-Guebwiller
Intercommunalité C.C. de la Vallée de la Doller et du Soultzbach
Code postal 68290
Code commune 68201
Démographie
Population 3 343 hab. (2013)
Densité 144 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 46′ 28″ nord, 6° 59′ 47″ est
Altitude Min. 392 m
Max. 1 104 m
Superficie 23,21 km2
Élections
Départementales Masevaux
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Masevaux-Niederbruck
Localisation
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Masevaux

Masevaux est une ancienne commune française située dans le département du Haut-Rhin, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace et est devenue, le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Masevaux-Niederbruck.

Ses habitants sont appelés les Masopolitains.

Géographie[modifier | modifier le code]

Masevaux, avec ses 3 278 habitants, est le chef-lieu d'un canton qui compte 11 054 habitants. Avec les communes de Bourbach-le-Bas et Guewenheim, du canton de Thann, il est le pôle d'une unité urbaine de 12 793 habitants.

Situé en zone de montagne, à 23 km de Belfort, 16 km de Thann et 30 km de Mulhouse, Masevaux est ouverte à tous les grands axes routiers (D 83) et autoroutiers (A 36).

C'est une des 188 communes[1] du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Doller à Masevaux.
  • la Doller (rivière de 1re catégorie) et de nombreux ruisseaux (le Bourbach, le Sickertbach, l'Alfeld, l'Isenbach, le Seebach, le Soultzbach, Lachtelweiherbachechle, le Houppachbaechle pour en nommer quelques-uns).
  • le lac Bleu[2].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[3].

  • Le Baerenkopf (1 074 m), le Sudel (915 m), le Heidenkopf (653 m), l'Eichbourg (651 m).

Écarts et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Houppach, Stoecken

Quartiers[modifier | modifier le code]

Walliser, Quartier Mason, Libelulles

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Màsmìnschter en alsacien, Masmünster[4] en allemand.
  • Valus Masonis (823), Masonis monasterium/Mason-Mostier (870), Masunval/Masunual (1175), Masemunster (1333), Maszmünster (1338), Massevaux (1793).
  • La dénomination française de Masevaux était Massevaux jusqu'en 1920.

Histoire[modifier | modifier le code]

Hommage de l'école primaire de Masevaux à (Jean)-Henry Poulet, administrateur français du village entre sa libération lors de la première guerre mondiale et l'armistice.

Masevaux est probablement dérivé de Mason, petit-fils du duc d'Alsace Etichon, qui habitait le château de Ringelstein aujourd'hui en ruines ; son fils unique âgé de huit ans s'étant noyé dans la Doller, il fonda en 720, près de la chapelle voisine de Saint Jean[Lequel ?], où lui était apparu un cerf portant une croix entre les perches, une abbaye de dames nobles sous la règle de saint Benoît et en l'honneur de son parent saint Léger. Les biens de 25 villages furent affectés à l'entretien de 18 chanoinesses, de 6 chanoines et de 13 chapelains. L'église actuelle conserve un sarcophage avec une inscription latine disant : « Ci-gît enterré le fils du roi Mason, fondateur de ce couvent. L'anniversaire de ce fils se célébrait le et en même temps l'on distribuait du pain et des fèves. »

Le « combat du Champ-des-Fourches », entre Masevaux et Rougemont, oppose le , durant la guerre franco-allemande de 1870, une colonne prussienne au bataillon de mobiles de la Haute-Saône renforcé de volontaires locaux[5].

Pendant la Première Guerre mondiale, Masevaux fait partie des premiers villages alsaciens conquis par l'armée française.


Le monastère une dépendance des comtes de Ferrette[modifier | modifier le code]

L'advocatie du monastère appartenait aux comtes de Ferrette ; ceux-ci exerçaient la juridiction au nom du chapitre, qui se vit peu à peu frustré de ses droits et fut obligé en 1241 de consentir à une transaction, qui mit entre les mains de la famille de Ferrette les tiers des revenus de la justice. Les archiducs, héritiers des comtes de Ferrette, achevèrent cette usurpation et ne laissèrent à l'abbaye que le patronage et la perception des dîmes, tandis que la seigneurie devint la propriété de Rodolphe, fils d'Albert, et fut engagée plus tard à une famille noble qui prit le nom de Massevaux.

Après l'extinction de cette famille, en 1572, l'investiture en fut donnée aux seigneurs de Bollwiller, puis aux comtes de Fugger[10], leurs héritiers. Dépossédés par les Suédois, les Fuggers furent rétablis par le traité de Munster et vendirent leurs droits, en 1680 au maréchal de camp Conrad de Rosen, avec le consentement de Louis XIV, qui convertit l'engagement en fief. Le même Conrad de Rosen vendit la seigneurie (1684) à son gendre Nicolas-Frédéric de Rothenbourg ; celui-ci eut pour successeur son fils, Conrad-Alexandre, qui fut ambassadeur de France près les cours d'Espagne et de Prusse, et mourut en 1735, après avoir acquis la seigneurie de Rougemont[Lequel ?] ; il laissa cet héritage à sa sœur, mariée à Nicolas-Joseph, comte de Vaudrey et baron de Saint-Rémy, dont la fille, Jeanne-Octavie, épousa le marquis de Rosen et lui apporta ces domaines en dot.

Au XXe siècle[modifier | modifier le code]

Masevaux a été libérée le par le général de Lattre de Tassigny. Avant d'évacuer la ville, les Allemands font sauter les deux ponts sur la Doller, ce qui provoque l'incendie de l'hôpital[11].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Masevaux

Les armes de Masevaux se blasonnent ainsi :
« De gueules à la ville d'argent fortifiée et maçonnée de sable. »[12]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2014[modifier | modifier le code]

En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[13] :

  • total des produits de fonctionnement : 2 938 000 , soit 870  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 2 429 000 , soit 719  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 1 160 000 , soit 343  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 1 110 000 , soit 320  par habitant.
  • endettement : 3 498 000 , soit 1 035  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 10,97 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,17 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 65,52 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,60 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 16,85 %.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs à partir de 1892
Mandat Identité Parti Qualité
Depuis 2008 Laurent Lerch UDI Conseiller général depuis 2011
1983 - 2008 Paul Kachler
1971 - 1983 Antoine Weiss
1966 - 1971 Charles Roth
1960 - 1966 Émile Wioland
1959 - 1960 Charles Walliser
1953 - 1959 Paul Brunstein
1945 - 1953 Joseph Ast
1945 - 1945 Charles Ast
1944 - 1945 Charles Haenning
1943 - 1944 Albert Studer
1942 - 1943 Karl Weltz
1935 - 1942 Bernard Hincky
1929 - 1935 Martin Jobin
1921 - 1929 Jules Ast
1920 - 1921 Xavier Rusterholtz
1915 - 1920 Jules Hincky
1913 - 1915 Henri Ansel
1892 - 1913 Eugène Boehm

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[15],[Note 1].

En 2013, la commune comptait 3 343 habitants, en augmentation de 2,7 % par rapport à 2008 (Haut-Rhin : 1,52 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0972 1812 2142 8593 0533 3563 2443 2903 155
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
2 9153 2303 5703 3153 3073 2993 3733 5123 603
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 9873 6763 6573 4263 3293 1033 0052 9333 114
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2013
3 3263 3853 6013 3283 2673 3293 2383 3003 343
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La ville de Masevaux a un collège public d'enseignement secondaire, le collège Alexandre Gérard. Et un lycée d'enseignement professionnel Lycée Joseph Vogt.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin[18],[19]. On y trouvait les orgues les plus importantes d'Alsace, détruites par un incendie en 1966. Les grandes orgues Kern[20] ont été construites en 1975 en remplacement des orgues historiques Callinet détruites. La sonnerie de l'église comporte actuellement 5 cloches et est l'une des plus belles d'Alsace. Quatre cloches de 1969 coulées par Schilling (Heidelberg), un bourdon Lab2 de 5 070 kg, Do3, Mib3, Lab3 ainsi qu'une cloche plus ancienne Fa3 en provenance d'Oranie (Algérie) [21],[22];
  • Temple de protestants[23] et son orgue d'Heinrich Koulen de 1894[24] ;
  • Les monuments commémoratifs[25],[26];
  • Bâtiment du cercle Saint-Martin (route Joffre). Haut lieu théâtral avec le spectacle du Jeu de la Passion du Christ[27], donné en langue allemande, tous les ans, les 5 dimanches précédant Pâques ;
La Place des Alliés.
  • Théâtre de la Grange Burcklé[28] ;
  • Bains municipaux[29] ;
  • Cours du Chapitre et abbaye[30],[31] ;
  • Fortification d'agglomération[32] ;
  • Château du Schimmel ;
  • Statue de sainte Odile[33] ;
  • Maison de Noël[34] ;
  • Moulin[35] ;
  • Halle aux blés[36] ;
  • Place Gayardon (références aux anciens seigneurs) ;
  • Les Fontaines :
    • La Fontaine de la placette du 60e Anniversaire[37],
    • La Fontaine de la place des Alliés[38],[39],[40],
    • La Fontaine aux Dauphins[41],
    • La fontaine située au croisement de la rue du Maréchal-Foch et de la rue Houppach[42],[43],
    • La fontaine rue de la couronne, rue du moulin[44].

Chapelle-pèlerinage Notre-Dame de Houppach[modifier | modifier le code]

Édifiée à la fin du XVIIe siècle[45] par le fils d'un médecin de Louis XIV, devenu ermite sous le nom de Frère Augustin, elle contenait une statue de Vierge noire. Ce premier édifice fut détruit à la Révolution, reconstruit provisoirement, puis sous une forme plus pérenne, et béni en 1807. En 1869, la chapelle fut abattue pour laisser place à un nouveau monument, lequel, en raison de la guerre de 1870-71, ne put être terminé qu'en 1875. La Vierge noire fut détruite en 1880 par un simple d'esprit qui la jeta au feu, puis remplacée par une nouvelle statue issue des Ateliers de Munich. La chapelle bénéficia d'une nouvelle rénovation entre 1985 et 1989. Elle est toujours un lieu de pèlerinage[46],[47].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

  • Sanatorium construit par l'architecte strasbourgeois Gustave Oberthür en 1924, devenu une maison de repos[49].
  • L'hôtel du Schimmel. ("Luftkurhotel Schimmel" ), Centre Médical "Le Schimmel" géré par l'UGECAM (Union pour la gestion des établissements des caisses d'Assurance maladie d'Alsace.)[50].
  • Erhard Pâtissier Glacier (PME de 330 salariés dont le siège est à Masevaux)[51]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
  2. Le lac bleu
  3. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  4. Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin - Georges Stoffel (1868)
  5. Le combat du Champ-des-Fourches
  6. Notice no PM68001429, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche de l'église catholique Saint-Martin
  7. Notice no IM68006524, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche réalisée par Georges Kotelat en 1628 pour l'église abbatiale Saint-Léger
  8. « hôtel de ville », notice no IA68003298, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  9. « Hôtel de ville inscrit par arrêté du 24 mai 1937 », notice no PA00085514, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  10. « Vestiges de l'ancienne cour noble Capplerhof (ancienne tannerie Chagué) », notice no PA00085510, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  11. Pierre Schlund, Souvenirs de guerre d'un Alsacien, Éditions Mille et une vies, 2011, (ISBN 978-2-923692-18-0)
  12. Archives Départementales du Haut-Rhin
  13. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  14. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  18. « Eglise catholique Saint-Martin », notice no PA00085511, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  19. « église paroissiale Saint-Martin », notice no IA68003294, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  20. Inventaire de l'orgue
  21. Biographie de Cloches. Les grandes sonneries de cloches de France : la sonnerie de l'église Saint-Martin de Masevaux dans le Haut-Rhin comporte 5 cloches. Quatre cloches de 1969 coulées par Schilling (Heidelberg) un bourdon Lab2, Do3, Mib3, Lab3 ainsi qu'une cloche plus ancienne Fa3 en provenance d'Oranie (Algérie)
  22. Cloches d'Oranie : Aïn Fekan « Jeanne d'Arc » à Masevaux (68)
  23. « temple de protestants », notice no IA68003295, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. Église protestante : Inventaire de l'orgue
  25. Les mutations de Masevaux au fil du temps
  26. Monument aux Mort, Plaque commémorative du 2e régiment de Dragons sur la façade de la Mairie, Plaque commémorative de la 1re Armée Française sur la façade de l'église, Plaque commémorative 1939-1945 façade de l'église, Plaque commémorative 1939-1945
  27. « Jeu de la Passion MASEVAUX », sur passion-masevaux.fr (consulté le ).
  28. Spectacles de la Grange
  29. Maison du patrimoine Un lieu au service de l’histoire locale
  30. « Ancienne abbaye », notice no PA00085509, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. « abbaye de bénédictines Saint-Léger », notice no IA68003296, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. « fortification d'agglomération », notice no IA68003301, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. Notice no PM68000739, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture chapelle de la Bienheureuse Vierge Marie, dite grotte de Sainte-Odile
  34. L’Espace Claude Rich devient la Maison de Noël le temps des fêtes
  35. « moulin abbatial cité au XVe siècle », notice no IA68003323, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. « Ancienne halle aux blés portant la date 1831 », notice no IA68003321, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. La Fontaine de la placette du 60e Anniversaire
  38. « Fontaine », notice no PA00085512, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. Notice no IM68006540, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture fontaine monumentale, fontaine C
  40. La Fontaine de la place des Alliés
  41. La Fontaine aux Dauphins
  42. « Fontaine située au croisement de la rue du Maréchal-Foch et de la rue Houppach », notice no PA00085513, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. Notice no IM68006542, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture fontaine monumentale, fontaine K
  44. Notice no IM68006541, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture fontaine monumentale, fontaine E
  45. Source : informations sur place.
  46. « Chapelle de-la-Vierge-Douloureuse », notice no IA68003327, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  47. « Chapelle Bienheureuse-Vierge-Marie (chapelle de pèlerinage) », notice no IA68003324, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  48. « Tombeau de Edouard Beugniot (réf Palissy IM68002607) », sur Base Palissy, (consulté le ).
  49. « sanatorium construit par l'architecte strasbourgeois [[Gustave Oberthür]] en 1924, puis maison de repos », notice no IA68003329, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  50. L'évolution du Schimmel depuis le début du XXe siècle
  51. Erhard, pâtissier-glacier incontournable, Le-Périscope.info, 28 novembre 2016