Star Trek

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Logo de la série télévisée Star Trek.

Star Trek[n 1] (à l'origine nommée sous son titre français, Patrouille du cosmos) est un univers de science-fiction, créé par Gene Roddenberry en 1966, qui regroupe sept séries télévisées qui comptabilisent 788 épisodes[réf. nécessaire][n 2] (soit plus de cinq cent quarante heures de programme), treize longs métrages[n 3], des centaines de romans, de bandes dessinées et des dizaines de jeux vidéo, ainsi qu'une fanfiction importante. Entre 2006 et 2019, la franchise de télévision était la propriété exclusive de la compagnie CBS, tandis que la franchise cinématographique était la propriété de la Viacom, maison-mère de Paramount Pictures. Depuis la fusion de ViacomCBS en 2019, la franchise Star Trek est de nouveau réunie au sein d'une même entité[1].

Dans l'univers Star Trek, l'humanité développe le voyage spatial à vitesse supraluminique, grâce à un moteur à distorsion, à la suite d'une période post-apocalyptique du milieu du XXIe siècle (voir le Jour du Premier Contact). Plus tard, l'homme s'unit à d'autres espèces intelligentes de la galaxie pour former la Fédération des planètes unies. À la suite d'une intervention extraterrestre, et grâce à la science, l'humanité surmonte largement ses nombreux vices et faiblesses terrestres, au XXIIIe siècle. Les histoires de Star Trek dépeignent souvent les aventures d'êtres humains et d'espèces extra-terrestres qui servent dans Starfleet, ainsi que les nombreux contacts de ceux-ci avec d'autres civilisations.

Les protagonistes, dont les idéaux sont parfois imparfaitement appliqués aux dilemmes présentés dans la série, sont essentiellement altruistes. Nombre de conflits et de dimensions politiques de Star Trek constituent des allégories de réalités culturelles contemporaines ; la série télévisée originale de Star Trek aborde les questions des années 1960, tout comme les séries dérivées ultérieures ont reflété des questions de leurs époques respectives. Les problèmes soulevés dans les différentes séries sont : la guerre et la paix, l'autoritarisme, l'impérialisme classique, la lutte des classes, l'eugénisme, la géopolitique, le racisme, les droits de l'homme, le sexisme, le féminisme et le rôle de la technologie[2].

Star Trek (1966-69) et dessins animés (1973).
Comics français Star Trek 1ère série (années 1970).

Histoire[modifier | modifier le code]

La Terre, berceau de l'humanité et siège de Starfleet.

L'univers Star Trek dépeint un futur optimiste, utopique, dans lequel l'humanité a éradiqué la maladie, l'injustice, le racisme, la pauvreté, l'intolérance et la guerre sur Terre, où la paix règne. Elle s'est également unie à d'autres espèces intelligentes de la galaxie. Les personnages explorent l'espace, à la recherche de nouveaux mondes et de nouvelles civilisations et s'aventurent « là où aucun homme, là où personne, n'est jamais allé ».

Emblème de Starfleet.

Bien que la première série n'ait pas rencontré un grand succès lors de sa diffusion, il est apparu que cet univers suscitait beaucoup d'enthousiasme chez un public particulier de fans, les Trekkies ou Trekkers scolarisés. Ces amateurs inconditionnels ont fait le succès des rediffusions et créé un marché pour les séries suivantes et autres films fondés sur le travail de Gene Roddenberry. Star Trek reste, au XXIe siècle, un des divertissements de science-fiction les plus populaires de la télévision.

Les histoires de Star Trek font partie intégrante de la culture américaine. À la suite d'une opération de lobbying des fans de la série, la NASA a accepté de nommer Enterprise le prototype de la navette spatiale.

Plusieurs épisodes de la première série se fondent sur une confrontation entre une puissance supérieure, généralement une race extraterrestre avancée (possédant souvent de formidables pouvoirs mentaux), avec une technologie de pointe, et un être humain ayant acquis, dans des circonstances particulières, des pouvoirs inhabituels, parfois avec un dieu. Souvent, le but de la puissance en question est d'asservir (ou de détruire) le vaisseau et son équipage, mais tous deux sont sauvés par le capitaine James T. Kirk (James R. Kirk dans le premier épisode de la série, Où l'homme dépasse l'homme), qui est interprété par l'acteur William Shatner. Un cas exceptionnel est l'épisode fameux des Tribbles qui, avec humour, fait entrevoir une autre série de thèmes possibles sur les divers points de vue des espèces ou sur l'environnement. Parfois le scénario est inversé, et les entités « supérieures » « moralisent » les humains (Arena, Les Arbitres du cosmos, L'Impasse). Certains épisodes font appel à des scénaristes réputés (par exemple Robert Bloch sur trois épisodes, dont celui concernant Jack l'Éventreur).

Il n'y a pas d'histoire se prolongeant tout le long de la série originale (contrairement à la série dérivée Deep Space Nine, ou, dans une moindre mesure, Voyager), chaque épisode formant une structure close, séparée des autres, le seul élément de continuité étant la distribution et certains ennemis récurrents comme les Klingons. Tous les épisodes sont au format 52 minutes, sauf l'épisode La Ménagerie, en 2 x 52 minutes, en raison de la réutilisation du premier pilote The Cage, qui fait référence à un couple (équipage, vaisseau) plus ancien.

Drapeau de la Fédération des planètes unies.

La société utopique, la Fédération des planètes unies (FPU), dépeinte dans Star Trek, se fonde sur une « économie de l'abondance », autorisant un progrès des sciences et des technologies. Cette abondance permet, aussi, à chacun, de satisfaire presque tous ses besoins et désirs. Le travail et le commerce ne sont pas nécessaires, l'argent n'existe plus. Les émotions négatives, comme l'avarice ou la jalousie, y sont quasiment inexistantes.

Roddenberry était partisan d'une politique égalitaire et a fréquemment utilisé les épisodes pour présenter sa vision d'une société utopique, basée sur ces principes. La série originale, par exemple, possède un membre d'équipage féminin afro-américain : Nyota Uhura, rôle interprété par l'actrice Nichelle Nichols, une des premières femmes afro-américaines à tenir un rôle principal à la télévision américaine. Il fait également intervenir un personnage originaire de Russie — Pavel Chekov, interprété par Walter Koenig — et ce en pleine guerre froide entre les États-Unis et l'Union soviétique. Un autre personnage récurrent est quant à lui né aux États-Unis, mais a clairement des racines familiales provenant du Japon - Hikaru Sulu, interprété par George Takei. Le premier officier vulcain M. Spock, joué par Leonard Nimoy, n'a pas eu, tout d'abord, les faveurs des cadres de la chaîne sous le prétexte que son aspect vaguement satanique pouvait s'avérer trop inquiétant pour le public, mais M. Spock est devenu l'un des personnages les plus populaires de la série originale.

Pour illustrer cette vision idéaliste, le premier pilote de la série, The Cage, a été refusé parce que le commandant en second de l'Enterprise était joué par une femme (Majel Barrett, alias l'infirmière Christine Chapel dans Star Trek puis Lwaxana Troi dans Star Trek : La Nouvelle Génération), ce que la Paramount a jugé « irréaliste ».

De même, pour faire accepter à la Paramount l'actrice noire Nichelle Nichols, qui était pourtant une artiste reconnue en Angleterre, Roddenberry a dû recourir à un chantage devenu classique : « She stays or I leave! » (« Elle reste ou je pars ! »). En outre, le baiser échangé entre celle-ci et le capitaine Kirk, dans l'épisode 3-10 (La Descendance), met alors en œuvre un contrôle mental comme prétexte pour briser ce tabou du premier baiser interracial de la télévision américaine[3],[4],[5]. L'épisode fut diffusé le , alors que la sortie nationale du film Devine qui vient dîner ? datait déjà cependant du . Un courrier impressionnant fut à l'époque adressé à la Paramount qui craint même, un moment, une fin de diffusion dans les États du Sud. Lors d'une rencontre particulière entre Nichelle Nichols et Martin Luther King, ce dernier dissuada l'actrice de quitter la série, arguant qu'elle représentait une icône importante pour les mouvements noir et féminin. Son personnage a été recruté uniquement pour ses capacités, et sur aucun autre critère à bord de l'Enterprise[6]. En pleine guerre froide, la série présente également le Russe Pavel Chekov et l'Américain James T. Kirk travaillant sereinement avec le Japonais Hikaru Sulu[7].

Le vaisseau spatial Enterprise du capitaine Kirk, chargé d'une mission d'exploration interstellaire de cinq ans (réplique située dans la ville de Vulcan, Alberta, Canada).

Presque dix années se sont écoulées entre la fin de la première série et le premier film de cinéma. Dans l'intervalle, de nombreux romans ont été publiés par des auteurs multiples. L'univers de Star Trek a survécu à une longue traversée audiovisuelle du désert, grâce à l'écriture. Il s'est également enrichi par le partage et le travail collectif. Sauvée une première fois par ses fans, maintenue et développée par une collectivité informelle d'auteurs, l'utopie de Star Trek se trouve autant dans sa naissance que dans son contenu.

En 1987, une nouvelle série est lancée, Star Trek : La Nouvelle Génération (Star Trek: The Next Generation ou ST : TNG), comportant un nouvel équipage. Contrairement à la série originelle, ST : TNG décrit un univers dans lequel la plupart des races rencontrées sont équivalentes, d'un point de vue technologique, et un nombre important d'épisodes n'est plus basé sur le concept de « premier contact », mais sur de nouveaux arguments, tels que les paradoxes du voyage temporel, ainsi que les univers parallèles.

La Directive Première (Prime Directive), qui contraint la Fédération à ne pas interférer dans l'évolution des espèces moins évoluées, prend plus d'importance dans cette série. Elle est l'occasion de cas de conscience, lorsque des espèces menacées de destruction ne devraient pas être assistées par respect de cette directive. Mais, souvent, l'existence de cette directive devient un prétexte pour la contourner... Avec le décès de Roddenberry, en 1991, la technologie perd son cachet optimiste et prend un visage oppressif.

Enfin, cette série connaît des liens historiques forts entre les épisodes, avec des objets ou des personnages qui apparaissent au cours de plusieurs épisodes (et même provenant de saisons précédentes), donnant à la série une cohérence plus forte. Des personnages de la série originelle font aussi leur apparition.

Roddenberry continua à être crédité en tant que producteur exécutif de ST : TNG, même lorsque son influence diminua, alors que la série progressait. Avec l'arrivée du producteur Rick Berman,(elle a lentement pris une nature plus basée sur les masques, en intégrant de plus en plus des scènes d'animation et des discours cryptés pour certaines audiences. Ceci est devenu plus apparent dans la majeure partie de la série suivante.)[pas clair]

Star Trek à l'écran[modifier | modifier le code]

Séries télévisées[modifier | modifier le code]

En , Alex Kurtzman responsable de la franchise a signé avec CBS Television Studios un contrat de cinq ans pour développer plusieurs séries de l'univers Star Trek[8],[9] :

En , le CEO de ViacomCBS annonce deux nouvelles séries Star Trek en plus de Discovery, Picard, Section 31, Prodigy et Lower Decks[10].

En , CBS ALL ACCESS commande officiellement une nouvelle série Star Trek nommée Strange New World pour 2022[11].

Séries en « prise de vues réelles »[modifier | modifier le code]

terminés ou annulés[modifier | modifier le code]
en cours de diffusion[modifier | modifier le code]
Cette récente série télévisée se déroule une dizaine d'années avant la série originale et introduit de nouveaux personnages qui ne sont pas liés au film de 2016, Star Trek : Sans limites. La série est diffusée depuis le sur le service vidéo à la demande CBS All Access. Elle est également diffusée sur Netflix dans 188 pays (dont la France), les droits de télédiffusion ont été attribués à Bell Media au Canada.
en cours développement ou de production[modifier | modifier le code]
  • Star Trek : Section 31[14] - Une série dérivée de Discovery, Basé sur la Section 31.
  • Star Trek : Starfleet Academy[15] -

Séries d'animation[modifier | modifier le code]

Web-séries[modifier | modifier le code]

Plusieurs séries amateurs ont également été produites depuis, comme Star Trek : New Voyages (en) (2004-2016, connu comme Star Trek Phase II de 2008 à 2015), dans laquelle des artisans de la franchise font des apparitions[20] ou Star Trek Continues (en) (2013-2017).

Cinéma[modifier | modifier le code]

Films fondés sur la série originale[modifier | modifier le code]

Film fondé sur la série originale et Star Trek : La Nouvelle Génération[modifier | modifier le code]

Films fondés sur Star Trek : La Nouvelle Génération[modifier | modifier le code]

Films fondés sur l'univers de Star Trek, se déroulant dans un univers parallèle[modifier | modifier le code]

Ce onzième long-métrage, reboot et relancement de la franchise est sorti le  ; il met en vedette Chris Pine, dans le rôle du jeune James T. Kirk, et Zachary Quinto, dans le rôle d'un jeune Spock. Leonard Nimoy accepta de participer au film et de reprendre son rôle de Spock. Grâce à son scénario utilisant le voyage temporel, le film est à la fois un nouveau départ et une suite de la franchise. Le retour dans le passé du Spock incarné par Leonard Nimoy permet en effet de créer une nouvelle temporalité, une sorte de monde parallèle, sans remettre en cause les évènements racontés dans les précédents films et séries.

Jeux vidéo[modifier | modifier le code]

Plusieurs jeux vidéo, notamment des MMORPG, sont en lien avec Star Trek, l'univers de fiction créé par Gene Roddenberry dans les années 1960.

Ligne temporelle des films et séries[modifier | modifier le code]

Voici la chronologie « en-univers Star Trek » des séries télévisées et des films. Elle permet de situer, dans le temps, les événements s'y déroulant. On peut voir que les événements de la série Enterprise se déroulent un siècle avant la série Star Trek et que les autres séries (TNG, DS9, VOY et Picard) se déroulent environ un siècle après.

Littérature romanesque[modifier | modifier le code]

L'univers Star Trek est aussi une série de romans, s'inscrivant dans tous les univers des différentes séries.

À la suite du succès éditorial de la série Star Trek : New Frontier par l'écrivain Peter David (qui présente les aventures de l'USS Excalibur, un équipage original jamais apparu dans une série ou un film Star Trek), d'autres romans se basant sur l'univers Trek en général, sans s'appuyer sur une série en particulier, ont été publiés.

William Shatner, le fameux capitaine Kirk de la première série, a lui-même écrit plusieurs romans Star Trek, dont une série qui se poursuit d'un roman à l'autre. Faisant suite au film Generation, le dernier film à mettre en scène le capitaine Kirk et le premier avec le nouveau capitaine Jean-Luc Picard, cette série de romans s'amorce avec le titre Les Cendres d'Eden et se termine avec Les Préservateurs.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le titre original peut se traduire littéralement par : « Le sentier des étoiles ».
  2. À la date du 18 avril 2019, après la diffusion du dernier épisode de la saison 2 de Star Trek : Discovery.
  3. À la date du 22 juillet 2016, après la sortie de Star Trek : Sans limites.

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Sam Stone, « CBS-Viacom Merger Will Reunite the Star Trek Franchise », sur Cbr.com, (consulté le ).
  2. « Présente dans la structure même de Star Trek, l'ambiguïté entre une vision utopiste de la nature humaine et le besoin de traiter les réalités politiques contemporaines n'est jamais vraiment résolu. Toute tentative d'intervenir de façon positive dans les situations rencontrées par l'Enterprise (Star Trek) Ce lien renvoie vers une page d'homonymie renvoie à des parallèles, avec des problèmes actuels (le racisme, la Guerre Froide, la guerre du Vietnam), qui minent les prétentions utopiques de la série. » David Buxton, De « Bonanza » à « Miami Vice ». Formes et idéologie dans les séries télévisées, Éditions de l'Espace Européen 1991, p. 66, (ISBN 2-7388-0127-7).
  3. (en) « Shattered TV Taboos: How Bea Arthur and Others Broke Barriers »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur TVGuide.com, (consulté le ).
  4. (en) « After 40 Years, Star Trek 'Won't Die' », sur Space.com (consulté le ).
  5. (en) Christian Höhne Sparborth, « Nichols Talks First Inter-Racial Kiss », sur TrekToday, (consulté le ).
  6. DVD édition spéciale de Star Trek VI, interview personnelle de Nichelle Nichols.
  7. « Building Star Trek - L'histoire secrète d'une série à succès »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), arte.tv.
  8. (en-US) Lesley Goldberg, « Alex Kurtzman Inks $25M Overall Deal Extension With CBS TV Studios, Will Expand 'Star Trek' TV Franchise », sur The Hollywood Reporter, (consulté le )
  9. (en) Joe Otterson, « Alex Kurtzman Sets Five-Year CBS TV Studios Pact, Will Oversee Expanded ‘Star Trek’ Universe », sur Variety, (consulté le ).
  10. a et b (en) « Star Trek : New Movie, Two New Series, and More Confirmed in the Works », sur Star Trek (consulté le ).
  11. AlloCine, « Star Trek: Strange New Worlds » (consulté le )
  12. (en-US) Matt Patches, « Patrick Stewart’s Picard to return in new Star Trek series », sur Polygon, (consulté le )
  13. « Star Trek : une série sur la jeunesse de Spock commandée », sur allocine, (consulté le ).
  14. a et b (en-US) « CBS Files Trademarks for 'Star Trek : Section 31' and 'Star Trek : Prodigy' », sur Escapist Magazine, (consulté le ).
  15. a et b (en-US) Lesley Goldberg, « 'Star Trek': Second Animated Series, More 'Short Treks' Coming to CBS All Access (Exclusive) », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ).
  16. (en) Nellie Andreeva et Nellie Andreeva, « ‘Star Trek : Lower Decks’ Animated Series From ‘Rick and Morty’ EP & Secret Hideout Ordered By CBS All Access », sur Deadline, (consulté le )
  17. (en) « New Trek Animated Series Announced », sur www.startrek.com, (consulté le ).
  18. (en) Joe Otterson, « ‘Star Trek’ Animated Kids Show in the Works at Nickelodeon », sur Variety, (consulté le )
  19. (en) Will Thorne, « Animated ‘Star Trek’ Series Greenlit at Nickelodeon », sur Variety, (consulté le )
  20. Star Trek : New Voyages sur imdb.com.
  21. Erwan Lafleuriel, « Star Trek 4 annulé ? », sur IGN France, (consulté le )
  22. (en) Scott Mendelson, « Paramount Has Canceled 'Star Trek 4,' And Disney's 'Star Wars' Is To Blame », sur Forbes (consulté le )
  23. « Star Trek 4 annulé ? Sa réalisatrice quitte le film pour le préquel de Game of Thrones », sur Premiere.fr, (consulté le )
  24. Clément Cusseau, « Star Trek : le quatrième film a trouvé son réalisateur, Chris Pine de retour », sur AlloCiné, (consulté le )
  25. (en-US) Justin Kroll, « Quentin Tarantino and J.J. Abrams Team on ‘Star Trek’ Pitch », sur Variety, (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Star Trek.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Fabrice Defferrard, Le droit selon Star Trek, Coll. Libre Droit, Éditions Mare & Martin, 2015.
  • Richard Hanley, La Métaphysique de Star Trek, Bayard Culture, , (ISBN 2-2271-3762-2)
  • Lawrence M. Krauss, La Physique de Star Trek, Bayard, coll. « Essais », 1998, (ISBN 978-2-2271-3751-6) (Ouvrage réputé sur la science de Star Trek mais dont la traduction, à cause des termes techniques spécifiques à l'univers de Star Trek, rend la compréhension difficile.)
  • Gene Roddenberry, Star Trek, J'ai Lu, 1980. (Voir l'« avant-propos de l'auteur » et les notes de bas de page).
  • William Shatner, Chris Kreski, Star Trek : Les Mémoires, Lefrancq, 1993
  • (en) Jeremy Berlin (interviewer) et Andrew Fazekas (interviewé), « ‘Star Trek’ Is Right About Almost Everything : The epic series—celebrating its 50th anniversary this year—bases its science fiction on scientific fact. », National Geographic Magazine,‎ (lire en ligne)
  • Jean-Pierre Avedon, 100 ans et plus de cinéma fantastique et de science-fiction (Star Trek, une odyssée de l'espace, p.905 et s.), éditions Rouge Profond, 2013 (ISBN978-2-915083-56-9)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]