Septième ciel

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Le terme Septième ciel désigne notamment :

Astronomie ancienne[modifier | modifier le code]

Outre la voûte céleste composée d'étoiles dont l'organisation semblait fixe, les astronomes babyloniens avaient vite remarqué six autres corps dont le mouvement n'y était pas asservi, et parfois même rétrograde : le Soleil, la Lune, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne. Afin d'expliquer leurs mouvements, ils avaient associé à chacune un « ciel ». Cette vision des choses fut reprise par Ptolémée et perdura jusqu'à Nicolas Copernic.

Religion[modifier | modifier le code]

  • Dans la mystique juive et chrétienne, le septième ciel est appelé Araboth et est dirigé par l'archange Cassiel.
  • Le Coran fait allusion à plusieurs reprises à sept cieux. Sourate 2 verset 29 : « […] Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux ».

Cinéma[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Musique[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

Sexologie[modifier | modifier le code]

  • Septième ciel est une expression pour parler de l'orgasme.

Médical[modifier | modifier le code]

  • Le septième ciel est aussi une drogue rendant très agressif, et surnommée drogue qui rend cannibale[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « 7ème Ciel (2013) », sur www.unifrance.org (consulté le )
  2. « Guillaume Foirest », sur IMDb (consulté le )
  3. AFP, « "Septième ciel", la nouvelle drogue de synthèse qui vous transforme en... cannibale », Midi libre,‎ (lire en ligne, consulté le ).