Saint-Arnoult-en-Yvelines

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Saint-Arnoult-en-Yvelines
Saint-Arnoult-en-Yvelines
La mairie.
Blason de Saint-Arnoult-en-Yvelines
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CA Rambouillet Territoires
Maire
Mandat
Joëlle Jégat
2021-2026
Code postal 78730
Code commune 78537
Démographie
Gentilé Arnolphiens
Population
municipale
5 870 hab. (2021 en diminution de 3,55 % par rapport à 2015)
Densité 468 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 20″ nord, 1° 56′ 29″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 164 m
Superficie 12,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Arnoult-en-Yvelines
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rambouillet
Législatives 10e circonscription des Yvelines
Localisation
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Saint-Arnoult-en-Yvelines
Liens
Site web https://saintarnoultenyvelines.fr/

Saint-Arnoult-en-Yvelines est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France, à 14 km au sud-est de Rambouillet.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Vue aérienne de la commune de Saint-Arnoult-en-Yvelines.

Commune largement boisée, Saint-Arnoult-en-Yvelines est située dans le massif forestier de Rambouillet et dans la vallée de la Rémarde, affluent de l'Orge.

Le territoire est majoritairement rural (76 %), cette partie étant consacrée à la forêt (environ 40 % du territoire) et à l'agriculture.

L'habitat, constitué majoritairement de lotissements de pavillons individuels datant des années 1970 sur 1980, est concentré dans le bourg qui occupe le fond de la vallée de la Rémarde débordant sur le plateau vers le nord-est.

La ville est « ville porte » du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse.


Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal présente plusieurs points d'eau avec une multitude d'étangs surtout en vallée et dans la forêt, la ville est traversée d'ouest en est par la Rémarde. Ses crues sont très rares et la ville n'a sans doute jamais été inondée par la rivière elle-même car durant toute sa traversée les berges sont fortifiées. En revanche elle inonde souvent en amont de Saint-Arnoult car les barrages des moulins à eau sont moins fréquents et le fond de vallée y est marécageux (en dessous des Meurgers par exemple). La Rémarde se divise en deux bras dans le centre-ville pour former une « île » où se sont installés les premiers habitants au Moyen Âge, cette « île » est assez petite avec environ 600 m de long pour 50 m de large.

La Rabette, affluent de la Rémarde, suit la limite nord du territoire communal.

Le ruisseau de Pampelune prend sa source dans le bois Saint-Benoît et se jette dans la Rémarde non loin de la fondation Triolet-Aragon.

Hameaux de la commune[modifier | modifier le code]

  • Vers l'ouest, se trouve un hameau, Grands Meurgers, à la limite de la commune vers Sonchamp.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 650 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dourdan à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 654,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Vue aérienne du péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines.

Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune.

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Elle est desservie principalement par la route départementale RD 988 qui relie Limours à Ablis. La route départementale 936 la traverse également et permet de la relier à Rambouillet d'un côté, et Dourdan de l'autre. D'autres routes départementales permettent la communication avec les communes avoisinantes. Elle est traversée par l'autoroute A10 dans sa partie sud-est, et le péage de Saint-Arnoult est situé sur son territoire. L'échangeur autoroutier le plus proche se trouve à 6 km du village dans la commune voisine de Longvilliers. La commune se situe en voiture à 45 minutes du périphérique parisien.

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

Les gares SNCF les plus proches de la commune sont celles de Rambouillet et de Dourdan.

Elle est traversée dans sa partie sud-est par la LGV Atlantique le long de l'autoroute A10, à hauteur du péage de Saint-Arnoult.

Elle fut autrefois desservie par la ligne de chemin de fer Paris-Chartres par Gallardon qui la reliait à Chartres dès 1917 mais cette ligne ne fut jamais achevée vers Paris et fut finalement déclassée en 1953.

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 03, Express 10, 23, 25, 26, 39.07, 39.07A, 39.07B et 39.30C du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 72,65 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 7,33 % d'espaces ouverts artificialisés et 20,02 % d'espaces construits artificialisés[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Arnoult-en-Yvelines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Arnoult-en-Yvelines, une unité urbaine monocommunale[11] de 5 870 habitants en 2021, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 23,3 % 296
Réseau routier et ferroviaire et espaces associés 3,5 % 45
Terres arables hors périmètres d'irrigation 12,9 % 164
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 7,0 % 89
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 3,0 % 38
Forêts de feuillus 50,2 % 638
Forêts de conifères 0,2 % 2
Source : Corine Land Cover[16]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Santus Ernulfus en 1177, Santus Arnulfus in Aquilina en 1251, Saint Arnoul en Yvelines en 1571[17], Saint Arnould[18].

Saint-Arnoult est un hagiotoponyme qui doit son nom à Arnoul des Yvelines qui y a été inhumé vers 535[17],[19].

Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée simplement Saint-Arnoult, porte provisoirement les noms de La Méjeanne et de Montagne-sur-Remarde[18].

C'est le que le conseil municipal décide d'ajouter le déterminant « en-Yvelines » au nom de la commune, décision qui entre en vigueur en 1922[18], bien avant la création du département des Yvelines[Note 3],[Note 4].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ce territoire était inclus à l'époque gauloise, comme la plus grande partie des Yvelines, dans le domaine de la tribu des Carnutes, dépendait du castrum d’Hibern (Rochefort) pendant l’occupation romaine.

Saint Arnoult, martyr entre Chartres et Paris aux environs de l'actuel Saint-Arnoult-en-Yvelines fêté localement le , y a été inhumé vers 535 et la sépulture est devenue par la suite un lieu de pèlerinage[17],[19].

Louis XII autorise la création d'un marché.

François 1er autorise Saint-Arnoult à s'entourer de remparts.

Henri IV lui donne le titre de ville le [20]. Le bourg fut pris d'assaut et abandonné au pillage pendant deux jours entiers.

Au XVIIIe siècle et jusqu'à la Révolution, le domaine de Saint-Arnoult appartient à la famille de Rohan-Rochefort.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Dourdan-Sud de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Yvelines, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Saint-Arnoult-en-Yvelines[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Rambouillet

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Arnoult-en-Yvelines était membre depuis 2007 de la communauté de communes Plaines et Forêts d'Yveline, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité devient une communauté d'agglomération en 2015 sous le nom de Rambouillet Territoires communauté d’agglomération Rambouillet Territoires (RTCA).

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec la petite communauté de communes Contrée d'Ablis-Porte des Yvelines et la communauté de communes des Étangs pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Rambouillet Territoires dont est désormais membre la commune.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans les Yvelines, la liste PS menée par le maire sortant Jean-Claude Husson obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 252 voix (53,77 %, 23 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant celle DVD menée par Christian Hillairet (1 334 voix, 46,22 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).

Lors de ce scrutin, 31,91 % des électeurs se sont abstenus[22].

Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans les Yvelines, la liste LR menée par Sylvain Guignard obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 945 voix (48,28 %, 22 conseillers municipaux élus dont trois communautaires), devançant de 22 voix celle DVG menée par le maire sortant Jean-Claude Husson (923 voix, 47,16 %, 7 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).

Une troisième liste DVC - LREM - MoDem - MRSL - Agir menée par François Chevallier arrive loin derrière, avec 89 voix (4,54 %, pas d'élus).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 56,69 % des électeurs se sont abstenus[23].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 René Guillard    
1947 1959 Georges Brouard    
1959 1963 André Langenard    
1963 1965 Marius Manson    
mars 1965 mars 1971 Roger Collet    
mars 1971 mars 1983 Jacques Farah Mod.  
mars 1983 octobre 2002[24]. Michel Dobremelle UDF-PR
puis DL
Ancien ingénieur au CEA
Conseiller général de Saint-Arnoult-en-Yvelines (1985 → 1998)
Démissionnaire
novembre 2002[25] septembre 2012[26] Françoise Poussineau[27] UMP Consultante senior RH
Mandat écourté par la désunion du conseil municipal[28]
septembre 2012[29],[30] juillet 2020[31] Jean-Claude Husson PS Consultant et formateur dans le domaine des risques professionnels
Ancien président de l’Union sportive de Saint-Arnoult (USSA)
juillet 2020[32] mai 2021[33] Sylvain Guignard LR Cadre commercial
Démissionnaire
mai 2021[34] En cours
(au 25 mai 2021)
Joëlle Jégat LR  

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune est ville porte du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse[35].

Elle est labellisée :

Jumelages[modifier | modifier le code]

La ville de Saint-Arnoult-en-Yvelines est jumelée avec les villes de :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

En 2021, la commune comptait 5 870 habitants[Note 5], en diminution de 3,55 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3651 4011 4721 4101 4201 5121 5631 5001 347
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3661 3741 2611 3261 3111 2491 2771 2201 167
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2021 2981 3561 1321 1781 1071 0061 0081 160
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 3841 5843 0164 4425 8115 6715 6875 6996 127
2014 2019 2021 - - - - - -
6 0775 8185 870------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,9 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 946 hommes pour 2 964 femmes, soit un taux de 50,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,7 
7,7 
75-89 ans
8,5 
19,4 
60-74 ans
21,0 
23,2 
45-59 ans
22,2 
15,0 
30-44 ans
16,9 
15,6 
15-29 ans
14,1 
18,5 
0-14 ans
16,5 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École maternelle Guhermont ;
  • École maternelle du Jeu-de-Paume ;
  • École élémentaire Camescasse ;
  • École élémentaire Guhermont ;
  • Collège Georges-Brassens ;
  • Crèche (les Lapins-Bleus), halte garderie (Trotte-Menu) et assistantes maternelles pour les plus petits.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Cinéma Le Cratère avec plus de 400 places assises et 200 places de parking.
  • Moulin de Villeneuve (Saint-Arnoult-en-Yvelines), visite de la maison d'Elsa Triolet et Aragon : Le printemps des poètes, la chasse aux œufs (avec spectacle pour enfants).
  • Festival Jazzatoutheure[45].
  • Festival de la chanson française Chansotone à la Maison Elsa Triolet et au Cratère.
  • Foire à la brocante organisée par l'association des commerçants ACASA le dernier samedi du mois de septembre.
  • Départ du Paris-Tours pendant quelques années jusqu'en 2008.
  • Centre de recherche et de création de la maison Elsa-Triolet-Louis-Aragon créé et présidé par Edmonde Charles-Roux jusqu'en 2016 et par Erik Orsenna depuis .
  • Printemps des Poètes[46] : la ville a le label « Ville en Poésie ». Elle participe chaque année au Printemps des poètes.

Sport[modifier | modifier le code]

Saint-Arnoult-en-Yvelines est une ville sportive. Elle a reçu le titre de la ville la plus sportive des Yvelines dans la catégorie des villes de 5 000 à 15 000 habitants en 2010[47].

Les installations[modifier | modifier le code]

Saint-Arnoult-en-Yvelines dispose d'une complexe sportif au 51 rue du Nuisement. On y retrouve un terrain de football synthétique, des courts de tennis dont deux couverts, d'une salle de musculation, d'un dojo, d'une salle de gymnastique, d'une salle de tennis de table, d'une salle omnisport, d'un mur d'escalade, d'un pas de tir à l'arc extérieur. Un skatepark est installé rue Jean-Moulin.

Clubs sportifs

L'Union sportive de Saint-Arnoult-en-Yvelines (USSA) a été créée en 1954[48]. L'USSA est un club omnisports proposant 19 activités sportives et rassemblant 1950 adhérents.

Le Saint Arnoult Football Club 78 est le club de football de la ville[49]. Il a été créé en 2010. Les effectifs sont issus de la section football de l'USSA.

Les Amis de l'hameçon est le club de pêche de la ville.

L'Amicale des boulistes est le club de pétanque de la ville[50].

Économie[modifier | modifier le code]

  • Commune résidentielle.
  • Zones d'activités (PME).
  • Autoroute : le péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines est le plus important d'Europe. Bien que se trouvant dans la commune de Saint-Arnoult, son accès routier se fait via la commune voisine de Longvilliers. Il se trouve sur un tronçon de l'autoroute A10 qui s'est rendu célèbre par l'épisode des « naufragés de la route » survenu le lorsqu'une tempête de neige subite a bloqué pendant de longues heures des milliers d'automobilistes[51].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

façade de l'église Saint-Nicolas de Saint-Arnoult-en-Yvelines montrant un portail de style roman surmonté d'une haute verrière
Église Saint-Nicolas.
  • Église Saint-Nicolas : construction de style roman du XIIe siècle, reconstruite en partie au XVe siècle.
  • Maison Elsa-Triolet-Aragon (ancien moulin de Villeneuve). Louis Aragon et Elsa Triolet sont inhumés dans le parc[52].
  • Château de l'Aleu : fin XIXe siècle.
  • Fontaine du Bon-Saint-Arnoult : XIXe siècle.
  • Le moulin neuf, construction du XIIe siècle, est le siège de la société historique et archéologique de Saint-Arnoult-en-Yvelines et héberge un musée des arts et traditions populaires. Il a été cédé par Mme Lebon le à la commune afin d'y créer un centre culturel. Il est devenu le musée historique de la ville et héberge des objets historiques de la ville, comme les trois coqs de la mairie.
  • Colombier : du XVe siècle, d'un diamètre de 6 m, comporte 500 boulins, il est accolé à l'office de tourisme l'Orangerie.
  • Mairie : façade centrale (à dater), une aile de chaque côté construites en 1843. Le corps central fut refait et rehaussé en 1867. en 1911, la mairie a été entièrement refaite, il y a un campanile et une horloge. Le campanile disparaît peut-être à la suite d'une intempérie. La tempête du a emporté l'une des cheminées. La mairie portait un coq (au total, elle en a porté trois) mais n'en porte plus car l'un d'eux avait été emporté par une tempête et retrouvé 2 km plus loin, un autre a été fusillé pendant la Première Guerre mondiale et le dernier a été fusillé pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • Tannerie : au 30 rue Basse, on peut encore voir la cheminée tronquée pour des raisons de sécurité.
  • Médiathèque Les yeux d'Elsa[53].
  • Bibliothèque Jules-Poupine[54].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre François Laslier, homme politique né le à Saint-Arnoult-en-Yvelines (Yvelines) et décédé le à Paris.
  • Jean-Joseph Hubert (Saint-Arnoult-en-Yvelines, — au large de Cadiz, [réf. nécessaire]) était un officier de la marine française. Il commandait l'Indomptable pendant la bataille de Trafalgar.
  • Jean-Charles Adolphe Alphand (1817 - 1891), ingénieur des ponts et chaussées, a créé le parc de l'Aleu à Saint-Arnoult-en-Yvelines.
  • Jules Poupinel (1823-1891), Jules Poupinel est un brillant avocat. Conseiller général en 1874 et en 1880, il est maire de Saint-Arnoult de 1878 à 1881, puis de 1888 à 1891. Propriétaire du château du Mesnil, il meurt en 1891 à son domicile parisien de la rue Murillo. Initialement accroché au mur de la mairie, en face de l'ancienne salle des mariages, le tableau a pris place dans la bibliothèque, en reconnaissance du legs fait au profit de la commune, connu sous le nom de « legs Poupinel », qui a permis la création de la première bibliothèque municipale.
  • Gaston Poupinel (1858 -1930), savant, docteur en médecine, Inventeur de l’étuve sèche dite « le poupinel », maire de Saint-Arnoult, conseiller d’arrondissement. Il est décédé le .
  • Jean-François Hue (1751-1823), peintre, né à Saint-Arnoult-en-Yvelines.
  • Elsa Triolet (1896-1970) et Louis Aragon (1897-1982), tous les deux inhumés dans leur propriété au Moulin de Villeneuve à Saint-Arnoult-en-Yvelines.
  • Paul-Lou Sulitzer (1946), né au château de l'Aleu, écrivain.
  • Jean-François Hue (1751-1823), peintre, élève de Joseph Vernet, né à Saint-Arnoult-en-Yvelines[55]).
  • Jacqueline Thome-Patenôtre conseillère générale du canton de Saint-Arnoult-en-Yvelines de 1967 à 1979.
  • Bernard Campan (1958), ex-Inconnu, comédien.
  • Edmonde Charles-Roux, amie d'Elsa Triolet et de Louis Aragon, a créé et présidé l'association du centre de recherche et de création Elsa-Triolet-Louis-Aragon jusqu'en 2016.
  • Erik Orsenna préside le centre de recherche et de création Elsa-Triolet-Louis-Aragon depuis 2016. Son nom de famille est Arnoult, comme la ville.
  • Georges Briffaut inhumé dans le cimetière de Saint-Arnoult-en-Yvelines.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Saint-Arnoult-en-Yvelines

Les armes de Saint-Arnoult-en-Yvelines se blasonnent ainsi :

De gueules aux six besants d'or.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Sous l'Ancien Régime, le nom de Pays d'Yveline est donné à une subdivision du Gouvernement général de l'Île-de-France. Carte Le Gouvernement de l'Isle de France, par Damien de Templeux, 1663[1].
  4. Le nom de Pays d'Yveline apparaît également dans plusieurs ouvrages de l'époque comme le Dictionnaire universel de la France ancienne & moderne, publié en 1726.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

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  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  55. (Peintre de la Marine

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • GRC GRC, Histoire de Saint Arnoult, Imprimerie de Pierre Amelot, , 79 p.
  • Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328).
  • Jules Poupinel, Catalogue de la Bibliothèque Populaire de Saint Arnoult, Imprimerie de E Aubert, , 71 p.
  • Michel Apel-Muller, Elsa Triolet et Aragon au moulin de Villeneuve : Saint-Arnoult-en-Yvelines, Castelet, , 32 p. (ISBN 978-2-908555-78-3)
  • Marie-Josèphe Houssinot et Jean-Claude Houssinot, L'Histoire de Saint Arnoult à travers les noms de ses rues, éditions de la Tour Gile, , 261 p. (ISBN 978-2-87802-349-7)
  • Marie-Josèphe Houssinot et Jean-Claude Houssinot, La Vie à Saint Arnoult 1900-2000. Un siècle d’images. à travers les noms de ses rues, éditions de la Tour Gile, , 206 p. (ISBN 978-2-87802-386-2)
  • Marie-Josèphe Houssinot et Jean-Claude Houssinot, Saint Arnoult, son histoire, son culte, ses légendes, ses homonymes et ses mystères..., éditions de la Tour Gile, , 385 p. (ISBN 978-2-87802-400-5)
  • Patrick Rieder, L'Histoire de la ligne nouvelle Paris-Chartres par Gallardon et Saint-Arnoult-en-Yvelines, éditions de la Tour Gile, , 273 p. (ISBN 978-2-87802-410-4)
  • Marie-Josèphe Houssinot et Jean-Claude Houssinot, La Ville de Saint-Arnoult-en-Yvelines, "un paysage retrouvé", éditions de la Tour Gile, , 369 p. (ISBN 978-2-87802-433-3)
  • Fritsch/Garapin-Boir, Canton de Saint Arnoult, Lieux Dits, coll. « Images du patrimoine », , 69 p. (ISBN 978-2-905913-10-4)
  • Marie-Josèphe Houssinot et Jean-Claude Houssinot, Histoire des femmes qui ont marqué Saint-Arnoult-en-Yvelines des origines à nos jours, éditions de la Tour Gile, , 322 p. (ISBN 978-2-87802-448-7)
  • Jeu de l'oie de Saint-Arnoult-en-Yvelines. Ce jeu publié en 2015 par la société historique respecte scrupuleusement les règles du jeu de l'oie. Un jeu de carte comportant des questions sur la ville y est également associé.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]