Saint-Servais (Finistère)

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Saint-Servais
Saint-Servais (Finistère)
Enclos paroissial.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Morlaix
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Landivisiau
Maire
Mandat
Bernard Michel
2020-2026
Code postal 29400
Code commune 29264
Démographie
Gentilé Saint-Servaisiens
Population
municipale
788 hab. (2021 en diminution de 1,38 % par rapport à 2015en diminution de 1,38 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 31′ nord, 4° 09′ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 116 m
Superficie 10,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Landivisiau
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.saint-servais-29.fr/

Saint-Servais [sɛ̃sɛʁvɛ] (en breton : Sant Servez) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Site et situation[modifier | modifier le code]

Carte de la commune de Saint-Servais (Finistère).

Saint-Servais est une commune du Léon située à l'ouest de Landivisiau et à l'est de Landerneau. Le finage communal (qui dessine approximativement un rectangle étiré dans le sens nord-sud) est formé pour l'essentiel d'un morceau du plateau du Léon dont l'altitude est aux environs de 100 mètres (le point culminant est à 116 mètres dans le nord du territoire communal, à l'intérieur du périmètre de la Base d'aéronautique navale de Landivisiau qui est pour partie située dans la commune), le bourg étant vers 80 mètres d'altitude ; plusieurs vallées encaissées limitent la commune, principalement celle de l'Élorn au sud (ce fleuve côtier coule vers 25 mètres d'altitude et sépare Saint-Servais de Pont-Christ, qui fait partie de la commune de La Roche-Maurice), mais aussi celle d'un de ses affluents de rive droite : le ruisseau de Brézal à l'ouest (qui sert de limite avec Plounéventer) ; les versants encaissés des deux vallées précitées sont restés boisés. Le petit fleuve côtier la Flèche a sa source à la limite nord de la commune, séparant Saint-Servais de Plougar.

Transports et habitat[modifier | modifier le code]

La commune est traversée à sa limite sud par l'ancienne route royale de Paris à Brest, devenue ensuite Route nationale 12, et désormais simple route départementale 712 depuis la construction de la voie express RN 12 qui traverse désormais la partie centrale de la commune, la coupant littéralement en deux sans que la commune ne soit directement desservie (si l'aire de repos dite de Saint-Servais est sur le territoire communal, les deux échangeurs permettant d'accéder à cette voie expresse sont l'un, à l'est, celui de la Croix des Maltotiers (Landivisiau-Ouest) et l'autre, à l'ouest, celui de Prat Lédan, est situé sur la commune de Plounéventer. Le bourg de Saint-Servais est desservi par la route départementale 32 allant de Landivisiau à Lesneven.

La partie nord du territoire communal est coupée en deux par l'emprise de la Base d'aéronautique navale de Landivisiau : plusieurs hameaux et fermes isolées (Coz Feunteun, Keroualar, Spern ar Bic, Kervilien, ..) dépendant de Saint-Servais ne sont reliés au bourg qu'en contournant la dite base, soit par l'ouest (en passant par le territoire des communes de Saint-Derrien et Plounéventer), soit par l'est (en passant par Bodilis).

La commune est restée essentiellement rurale, avec un paysage de bocage et un habitat dispersé en hameaux et fermes isolées ; des lotissements se sont toutefois créés ces dernières décennies au sud du bourg traditionnel (quartiers du Ménez et de Roc'h Glaz).

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 10,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 118 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 17 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1966 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. La température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[8], à 11,2 °C pour 1981-2010[9], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[10].

Statistiques 1981-2010 et records LANDIVISIAU (29) - alt : 109 m 48° 31′ 30″ N, 4° 08′ 48″ O
Records établis sur la période du 01-05-1966 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 4,1 3,7 5,1 5,7 8,6 10,9 12,9 12,9 11,3 9,3 6,5 4,5 8
Température moyenne (°C) 6,6 6,5 8,2 9,4 12,3 14,7 16,7 16,8 15,1 12,4 9,2 7,1 11,3
Température maximale moyenne (°C) 9,1 9,3 11,3 13 16 18,5 20,5 20,6 18,9 15,6 12 9,7 14,6
Record de froid (°C)
date du record
−9,1
13.01.1987
−6,9
28.02.18
−5,7
07.03.1971
−1,8
05.04.1975
−1
07.05.1979
3
04.06.1975
5,8
12.07.1972
6,3
01.08.1977
3,5
23.09.1979
−2,5
29.10.1997
−7,6
07.11.1980
−8,3
28.12.1970
−9,1
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
16,8
24.01.16
21,3
27.02.19
23,8
19.03.05
27
21.04.18
29,6
26.05.17
33
30.06.15
34,5
18.07.06
35,3
09.08.03
31,3
14.09.20
28,3
02.10.11
21,5
02.11.1982
19
02.12.1985
35,3
2003
Ensoleillement (h) 60,4 73,8 110,4 142,9 170,5 183,1 168,5 165,1 154,3 105 68,2 61,7 1 463,8
Précipitations (mm) 144,6 108,8 92,7 87 78,9 58,1 64,4 60,3 78,8 118,5 127,2 145,8 1 165,1
Source : « Fiche 29264001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Servais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,1 %), terres arables (29,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16 %), zones urbanisées (7,3 %), forêts (6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Saint Servais (Sainst Servaix en 1609, Saint Serves en 1640), en breton Sant Servez Kallag, doit son toponyme au saint éponyme Servais de Tongres[17], honoré également à Saint-Servais (Côtes-d'Armor) et, entre autres, à Maastricht.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Selon Arthur de la Borderie, les Occismiens auraient été battus sur la lande de Lan ar Boanniou par des "païens", peut-être par des Normands vers 919-921.

Saint-Servais fut érigée en trève de Plounéventer en 1587, et faisait partie de l'archidiaconé de Kemenet-Ily relevant de l'évêché de Léon.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Révolution française[modifier | modifier le code]

En 1792, en réponse à une enquête, la municipalité de Saint-Servais répond que le nombre de personnes « qui ont besoin d'assistance » est de 116 (sur 726 habitants)[18].

En mars 1793, Kernilis fit partie, avec Guissény, Plounéventer, Ploudaniel, Plouguerneau et Kerlouan, des communes condamnées à payer en tout 40 600 livres de dédommagement pour s'être rebellée contre le gouvernement républicain[19] (Saint-Servais eut à payer 250 livres[20]).

En 1799, il n'y a plus que 46 marchands de toiles à Saint-Thégonnec (mais c'est encore la commune où ils sont les plus nombreux), 26 à Guiclan, 23 à Plouvorn, 16 à Bodilis, 10 à Landivisiau, 4 à Saint-Servais, etc.[18].

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Servais en 1853 :

« Saint-Servais ; commune formée de l'anc. trève de Plounéventer ; aujourd'hui succursale. — […] Princip. vill. : Ꝃvisien, Ꝃoualar, Mezcouez, le Guern, Lezlem, Penhoat, Ꝃivin. — Superf. tot. : 1 029 hect., dont […] ter. lab. 526, prés et pât. 89, bois 48, landes et incultes 264, sup. des prop. bât. 7 ; cont. non imp 45. Const. div. 130 ; moulins : 5 (de Penvern, de Ꝃivin, de Lezlem, à eau). ☞ La route de Brest à Paris traverse cette commune de l'est à l'ouest. — Le pont de Ꝃivin, station connue de nivellement, est à 55 m. 28 c. au-dessus du niveau de la mer. — Géologie : çà et là granite amphibolique. — On parle le breton[21]. »

L'ossuaire de Saint-Servais servit un temps d'école vers le milieu du XIXe siècle[18]. En 1887 la commune de Saint-Servais fut dans l'obligation de construire une école publique de filles afin de respecter la loi du sur les constructions d'office qui oblige les communes dépourvues d'école publique à en construire une[22].

Le pourcentage de conscrits illettrés à Saint-Servais entre 1858 et 1867 est de 41 %[23].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Belle Époque[modifier | modifier le code]

Le dernier décollement de chef connu en Bretagne fut celui du peintre Yan' Dargent réalisé selon sa volonté dans le cimetière de Saint-Servais en 1907 :

« La tombe fut ouverte, le cercueil descellé et, sur le vœu du fils du défunt, M. le recteur de la paroisse prit avec respect la tête du mort, la sépara sans grande difficulté du tronc, et la remit dans une petite châsse en zinc près du chef de sa mère. C'était le matin. Dans l'après-midi, toute la paroisse, fière de son peintre, assista à la funèbre cérémonie. Les écoles eurent congé, les autorités portèrent les glorieux restes jusqu'à la chapelle[24]. »

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Saint-Servais (Finistère)

Le monument aux morts de Saint-Servais porte les noms de 30 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux deux au moins (Yves Diverrez et Isidore Rolland) sont morts à Thessalonique (Grèce) en 1916 dans le cadre de l'expédition de Salonique ; un au moins (Jean Couloigner) est mort en Belgique en 1917 ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français[25].

La tombe du sergent Yves Morry[Note 6], mort au combat en 1915 dans la Somme a été retrouvée en 2019 par sa petite-fille au cimetière anglais de Thiepval[26].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Saint-Servais porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Jean Abgrall[Note 7], mort au Liban, alors mandat français[25].

Le barde autonomiste Auguste Bocher, originaire de Saint-Servais, aurait aussi été assassiné, ainsi que son frère, à Duault par des résistants du maquis de Callac[27], mais ce fait est nié par certains, qui accusent de faux résistants d'être les auteurs de ce meurtre[Note 8].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1977 Jean Joseph    
1977 1989 Isidore Mazurié DVG  
1989 2001 Bernadette Brenaut    
2001 2014 Laurent Mazurié    
2014 En cours Bernard Michel DVD Employé
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Monuments[modifier | modifier le code]

Le calvaire.

La commune abrite deux monuments historiques :

  • la stèle antique à rainures et croix de Kroaz Téo, datant de la période antique et classée par arrêté du [30].

Musée[modifier | modifier le code]

  • Le musée Yan' Dargent[31].

Événements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Naissances[modifier | modifier le code]

  • Yan' Dargent, peintre et illustrateur, né le , mort à Paris le , et enterré à Saint-Servais.

Décès[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
699722509698774768762793787
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
779732723746738739750748723
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
743736747679663637581572534
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
501470426568505553637772781
2021 - - - - - - - -
788--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Yves Morry, né le à Saint-Servais (Finistère)
  7. Jean Pierre Abgrall, né le à Saint-Servais, soldat au 24e régiment mixte colonial, tué le à Beyrouth
  8. Auguste Bocher aurait été assassiné par des « résistants » de la dernière heure, qui auraient profité de la guerre pour assouvir une vengeance personnelle à l'encontre du régisseur du marquis de Kerouartz à Saint-Servais, à la suite d'une histoire de braconnage. Le jour de l'enterrement, ces personnages étaient ivres et ont sommairement assassiné le frère du barde, allant même jusqu'à danser sur son cadavre
  9. Jean Boderiou, né le à Saint-Servais, mort le à Saint-Servais
  10. Nicolas Abhervé Guéguen, né le à Leslem Bras en Saint-Servais, mort le à Leslem Bras
  11. Yves Le Bras, né le à Bodilis, mort le à Keranguéven en Saint-Servais
  12. Jean Kerdilès, né le 12 messidor an VIII à Plougourvest, mort le à Keranguéven en Saint-Servais
  13. Jean Marie Boderiou, né le [12 fructidor an V] à Saint-Servais, mort le à Saint-Servais
  14. François Marie Abhervé Guéguen, né le à Leslem Bras, mort le à Leslem Bras
  15. Yves Marie Kerdoncuff, né le à Kerantraon en Lanneuffret, mort le à Gamer Bras en Saint-Servais
  16. Alain Boderiou, né le à Leslem Bian en Saint-Servais, mort le à Saint-Servais
  17. Jacques Kerdoncuff, né le à Kerantraon en Lanneuffret, mort le à Saint-Servais
  18. Ollivier Kerdilès, né le à Saint-Servais, mort le à Keranguéven en Saint-Servais
  19. Jean Louis Kerdoncuff, né le à Kerantraon en Lanneuffret, décédé le à Gamer Bras en Saint-Servais.
  20. Olivier Le Gall, né le à Plounéventer, décédé le à Méchou en Landivisiau.
  21. Jean Louis Kerdilès, né le à Saint-Servais, mort le à Keranguéven en Saint-Servais

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le ).
  7. « Fiche du Poste 29264001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  9. « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  10. « Station météorologique de Landivisiau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Bernard Tanguy, Dictionnaire des noms de communes, trêves et paroisses du Finistère, Chasse Marée-Ar Men, 1990, p. 205.
  18. a b et c Jean Rohou, Fils de ploucs, t. 1, Rennes, éditions Ouest-France, , 537 p. (ISBN 2-7373-3452-7).
  19. Charles-Laurent Marie, "Histoire de la Bretagne républicaine depuis 1789 jusqu'à nos jours", 1875, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57656266/f151.image.r=Ploun%C3%A9venter.langFR
  20. Prosper Levot, "Histoire de la ville et du port de Brest pendant la Terreur", consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96132324/f88.image.r=guiss%C3%A9ny?rk=3326196;4
  21. Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, par Ogée, nouvelle édition revue et augmentée par MM. A. Marteville et P. Varin, Tome II, page 873, Rennes, 1853.
  22. Journal La Lanterne, n° du 6 septembre 1887, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7504517v/f3.image.r=Tr%C3%A9babu?rk=1008588;4
  23. Jean Rohou, Fils de ploucs : Ar yez, ar skol. La langue, l'école, t. 2, Rennes, éditions Ouest-France, , 603 p. (ISBN 978-2-7373-3908-0).
  24. La semaine religieuse de Quimper et de Léon, 1907.
  25. a et b http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=22878
  26. Journal Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, numéro du 2 juillet 2019.
  27. http://francoisemorvan.com/travaux/miliciens-contre-maquisards-ou-la-resistance-trahie/complements/
  28. http://www.archives-finistere.fr/sites/default/files/maires_saint-servais.pdf
  29. Notice no PA00090438, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Notice no PA00090439, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. http://yan.dargent.free.fr Musée Yan' Dargent
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.