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Saint-Saëns (Seine-Maritime)

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Saint-Saëns
Saint-Saëns (Seine-Maritime)
Vue panoramique du bourg de Saint-Saëns.
Blason de Saint-Saëns
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes Communauté Bray-Eawy
Maire
Mandat
Karine Hunkeler
2020-2026
Code postal 76680
Code commune 76648
Démographie
Gentilé Saint-Saënnais
Population
municipale
2 317 hab. (2021 en évolution de −7,69 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 20″ nord, 1° 16′ 59″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 229 m
Superficie 25,5 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Saint-Saëns
(ville-centre)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neufchâtel-en-Bray
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Saëns
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Saint-Saëns
Liens
Site web http://www.saintsaens.fr

Saint-Saëns (/sɛ̃.sɑ̃s/) est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie. En 2021, elle comptait un peu plus de 2300 habitants.

Elle est labellisée « station verte ».

Géographie

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Saint-Saëns est située dans le pays de Bray, dans l'est du département normand de la Seine-Maritime, au bord de la Varenne et au pied de la forêt d'Eawy. Elle est située à vol d'oiseau à 30 km au nord-est de Rouen et à 32 km au sud-est de Dieppe. Par la route, son centre-ville est à 6 km de Bellencombre, à 12 km de Buchy, à 15 km de Neufchâtel-en-Bray, à 17 km de Tôtes, à 25 km de Londinières.

La commune est accessible par les autoroutes A 28 et à 4,5 km de l'A 29 par l'échangeur du Pucheuil (no 11), situé à 3,5 km et par le train par la gare de Montérolier-Buchy située à 8,5 km (depuis la fermeture de la ligne Montérolier-Buchy - Saint-Saëns en 1953, la commune n'a plus de gare).

L'ancienne gare, terminus de la ligne Montérolier-Buchy - Saint-Saëns photographiée au début du XXe siècle.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bouelles à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Saint-Saëns est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Saëns[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,2 %), forêts (35,9 %), prairies (15,2 %), zones urbanisées (4,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Nommée d'après Sidonius, moine de Jumièges, fondateur d'une abbaye éponyme en ce lieu vers 674[14]. La forme latine de ce prénom est Sidoine Ce lien renvoie vers une page d'homonymie, la forme populaire Saëns, provenant du gaélique[15] : Saen correspond à Jean en latin. Le lieu est attesté sous la forme latinisée Sancti Sidonii avant 830[16], Saint Saen en 1374 (Archives départementales de la Seine-Maritime, B — Ech., f. 108), Saint Saens en 1400 et 1402 (Arch. S.-M. tab. Rouen, reg. 9, f. 236)[17]. Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Saëns-la-Forêt[18].

Prononciation

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Si sa prononciation actuelle articule le s final ([sɛ̃.sɑ̃s], « sain sens »), sa prononciation traditionnelle jusque dans les années 1940-1950 l'omettait ([sɛ̃.sɑ̃], « sain san » comme le nombre 500)[19]. Sa prononciation ne se justifie pas d'un point de vue grammatical. Le -s, ancienne désinence du cas sujet masculin (issu de -us en latin) ne se prononce plus depuis le Moyen Âge, tout comme dans les prénoms Gilles, Georges, etc.

Préhistoire et Antiquité

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Les sites archéologiques du Pucheuil ont attesté une présence humaine durant le paléolithique moyen[20].

Le territoire de la commune était habitée durant l'âge de fer[21] puis l'époque gallo-romaine[22].

Le monastère supposé originel

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Autour de l'année 674, Sidoine de Jumièges fonde le monastère sur les terres actuelles de Saint-Saëns[23]. Le moine Sidoine (ou Sidonius, Sidoneus, Saen, Saëns) est dit de Jumièges car il provient de l'abbaye de Jumièges fondé par saint Philibert avec qui il était proche. L'année 674 est gardée comme référence mais rien n'est scientifiquement attesté. La date réelle de la fondation du monastère de Sidoine se situe entre le retour de son pèlerinage avec saint Ouen (674-675)[24] et la mort de ce dernier en 684. L'archevêque de Rouen saint Ouen faisant partie des soutiens la fondation du monastère, avec le roi Thierry III[25].

À la mort du moins Saëns, un 14 novembre vers l'année 695, le monastère est sous la directive de l'abbaye de Saint-Wandrille[23]. Les lieux seront ensuite pillés puis conquis par les vikings qui deviendront alors les normands sur le IXe siècle.

Plaque apposée sur la façade avant de l'ancienne mairie, rue de 31 Août 1944. Il y est écrit : en souvenir de Lambert de Saint-Saëns compagnon de Guillaume le Conquérant Hastings 1066
Plaque apposée sur la façade avant de l'ancienne mairie, rue de 31-Août-1944.
Le château fort
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Sous Richard II duc de Normandie, vers 1040, les terres de Saint-Saëns sont détenues par Richard vicomte de Rouen (époux d'une nièce de la duchesse Gunnor)[26]. Son fils, Lambert de Saint-Saëns, érige le château sur l'actuel lieu-dit le Catelier. Sous Guillaume le Bâtard, Lambert de Saint-Saëns aurait participé à la conquête de l'Angleterre et la bataille d'Hastings. Sur l'ancienne mairie de Saint-Saëns, une plaque est toujours apposée énonçant ce fait.

Le château fort a été en place pour deux ou trois siècles. En 1400, la colline du Catelier est une forêt de chênes[27]. Depuis la Révolution française, il n'en reste qu'une butte, indice d'une motte castrale.

L'âge d'or saint-saënnais

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La commune a vécu de l'industrie de la tannerie entre le XIIIe et le XIXe siècle[28]. Au XXe siècle, quelques bâtiments rappellent encore cette activité disparue[29].

Époque contemporaine

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En 2009, la ville reçoit la Marianne d'or du civisme pour avoir eu le pourcentage de votants le plus élevé pour les régionales[Lesquelles ?] (les élections régionales ont, a priori, eu lieu en 2010).

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune fait partie depuis 1826 de l'arrondissement de Dieppe du département de Seine-Maritime (dénommé jusqu'en 1955 Seine-Inférieure). Pour l'élection des députés, elle dépend de la douzième circonscription de la Seine-Maritime.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Saint-Saëns[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Neufchâtel-en-Bray

Intercommunalité

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La commune faisait partie depuis fin 1993 de la communauté de communes de Saint-Saëns-Porte de Bray.

Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , le préfet a approuvé en un schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la fusion de la communauté de communes de Saint-Saëns-Porte de Brayavec la communauté de communes du Pays Neufchâtelois et huit communes issues de la communauté de communes du Bosc d'Eawy[30].

En conséquence, la communauté Bray-Eawy, dont est désormais membre la commune, est créé au .

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1787 1790 Étienne-Robert Bosquier    
1790 1791 Charles Russel    
1791 1792 Nicolas Jean-Baptiste Planchon    
1792 1794 François Hubert[Note 4]    
1794 1795 François Lecoffre    
1795 1795[Note 5] Charles-François Dumesnil    
1795 1795[Note 6] Charles Parfait de Cacqueray de Monval    
1795 1795 M. Jarry    
1795 1800 Félix-Georges Frigot    
1800 1808 Charles-Jacques Concedieu    
1808 1815 Adrien-Aimé Varengue    
1815 1817 Pierre-Louis Alexandre
Le Vaillant de La Boissière
   
1817 1830 Charles-Louis Roynard    
1830 1837 Jacques Bernard Julie Dumesnil-Havé    
1837 1840 Michel de Saint-Albin   Député
1840 1843 Jacques Bernard Julie Dumesnil-Havé    
1844 1870 Antoine-Onésime Havé    
1870 1886 Louis-François Dillard[31]    
1886 1890 François de Guignard de Saint-Priest d'Almazan    
1890 1896 Éléonor Fache-Havé    
1896 1898 Adalbert Forestier   Tanneur
1898 1907 Alphonse Havé    
1907 1920 Emmanuel Brion[31]   Exploitant forestier
1920 1921 Georges Biard    
1921 1925 Félix Frigot    
1926 1929 Joseph Thomas    
1929 1934 Louis Sergent    
1934 1944 Paul Hartout   Conseiller général de Saint-Saëns (1943 → 1945)
1944 1945 André Tassel    
1945 1945 Jacques Steeg    
15 octobre 1945 30 octobre 1947 Simone Vallès[32]   Résistante
1947 1959 Ernest Leroy[31]    
1959 1989 François de Laboulaye[31]    
mars 1989 mars 2001 Alain Le Vern PS Enseignant
Député de Seine-Maritime (12e circ.) (1988 → 2002)
Président du Conseil régional de Haute-Normandie (1998 → 2013)
Président de la CC du Pays Neufchâtelois (1993 → 2006)
mars 2001 avril 2005 Éric Ruault PS Enseignant
Démissionnaire pour cause de cumul de mandats
avril 2005 mai 2020[33] Jacky Hucher[34] PS Président de la CC du Saint-Saëns-Porte de Bray (2014 → 2016)
mai 2020[35] En cours
(au 29 mai 2020)
Karine Hunkeler SE Médecin généraliste

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 2 317 habitants[Note 7], en évolution de −7,69 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3242 5082 3452 2392 3302 4032 4882 5402 716
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6332 5682 4882 3932 4752 4412 3942 3992 420
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3352 3062 2562 1892 1922 1422 1692 4222 390
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 4792 4632 4262 3392 1382 5532 5282 5242 534
2017 2021 - - - - - - -
2 3912 317-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Saint-Saëns comprend quatre établissements scolaires : l'école élémentaire privée Sainte-Marie, l'école élémentaire publique La Varenne, l'école maternelle publique Les Petits Tanneurs et enfin le collège Guillaume-le-Conquérant.

Commerces, artisans et producteurs

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Saint-Saëns possède un centre bourg animé de divers commerces, ainsi que des artisans (savonnerie...) et des producteurs (légumes, fromage...).

Confronté au non remplacement des médecins partant à la retraite et au risque de faire partie d'un désert médical, la municipalité et la communauté Bray-Eawy élaborent en 2017 un projet de maison médicale sur un terrain de 700 m2, à proximité du Leader price[39].

Autres équipements

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La ville de Saint-Saëns possède notamment un golf et un cinéma.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Saint-Saëns.
Le gué, rue des Tanneurs.
  • Château du Vaudichon.
  • Église Saint-Saëns due à Lucien Lefort.
  • Fontaine Dillard construite par Lucien Lefort également.
  • Château du Quesnay, propriété en son temps du général Alexis Hély d'Oissel (1859-1937), puis de sa descendance Lefebvre de Laboulay.
  • Monument aux morts (1922).

Personnalités liées à la commune

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Patrimoine naturel

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Site classé

Héraldique

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Armes de Saint-Saëns

Les armes de Saint-Saëns se blasonnent ainsi :
D'argent à six tourteaux de gueules ordonnés 3, 2 et 1

Ces armes reprises par la ville de Saint Saëns étaient celles de la famille de Limoges, possesseurs du fief de Saint Saëns et du manoir du Quesnay. Gabriel de Limoges, Grand Maître des Eaux et Forêts en Normandie, fit ouvrir l'Allée des Limousins en forêt d'Eawy.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Claude Fournier (préf. Alain Le Vern), Saint-Saëns, Darnétal, Éditions Petit à Petit, , 89 p. (ISBN 2-84949-034-2)
  • André Lejeune, Notes sur Saint-Saëns, Luneray, Bertout, , 524 p. (ISBN 2-86743-368-1)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Saëns comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. François Hubert était surnommé Gouville.
  5. Charles-François Dumesnil a été maire pendant 4 mois.
  6. Charles Parfait de Cacqueray de Monval a été maire pendant 1 mois.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Saint-Saëns et Bouelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Saint-Saëns », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Saëns ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 933.
  15. (la) M. Legris, « Vie de Saint Saens abbé au diocèse de Rouen vii e siècle », Analecta Bollandiana, vol. 10,‎ , p. 406–440 (ISSN 0003-2468 et 2507-0290, DOI 10.1484/J.ABOL.4.00312, lire en ligne, consulté le )
  16. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 144.
  17. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 933.
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Doit-on prononcer le "s" final de Saint-Saëns ?
  20. Anne Ropars, Cyrille Billard, Anne Delagnes et Hervé Halbout, « Chapitre 2. Le site du Pucheuil à Saint‑Saëns (Seine‑Maritime) », dans Paléolithique moyen en pays de Caux (Haute-Normandie) : Le Pucheuil, Étoutteville : deux gisements de plein air en milieu lœssique, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, coll. « Documents d’archéologie française », , 27‑148 (ISBN 978-2-7351-2605-7, lire en ligne)
  21. abbé Cochet, « L'ARCHÉOLOGIE DANS LA SEINE-INFÉRIEURE RAPPORT SUR LES OPÉRATIONS ARCHÉOLOGIQUES ACCOMPLIES DANS LA SEINE-INFÉRIEURE Du 1er Juillet 1868 au 30 Juin 1869 », Revue archéologique, vol. 21,‎ , p. 73–86 (ISSN 0035-0737, lire en ligne, consulté le )
  22. « Bulletin de la Commission des antiquités de la Seine-Maritime », sur Gallica, (consulté le ).
  23. a et b Potin de La Mairie, Supplément aux recherches historiques sur la ville de Gournay-en-Bray, Folloppe, , 534 p.
  24. Franck Thénard-Duvivier, Images sculptées au seuil des cathédrales: Les portails de Rouen, Lyon et Avignon (XIIIe – XIVe siècle), Publication Univ Rouen Havre, (ISBN 978-2-87775-523-8, lire en ligne)
  25. André Lejeune, Notes sur Saint-Saëns, Luneray, Bertout, , 524 p.
  26. Jean-Michel Bouvris, « Contribution à une étude de l'institution vicomtale en Normandie au XIe siècle. L'exemple de la partie orientale du duché : les vicomtes de Rouen, de Fécamp et de Lillebonne », Annales de Normandie, vol. 33, no 3,‎ , p. 302–304 (lire en ligne, consulté le )
  27. Société nationale des antiquaires de France, Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France, C. Klincksieck., (lire en ligne)
  28. Balade à Saint-Saëns
  29. http://www.saintsaens-portedebray-tourisme.com
  30. « La Seine-Maritime adopte sa nouvelle carte des intercommunalités et dit « oui » au futur pôle métropolitain de l’estuaire de la Seine », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. a b c et d Des rues du village portent le nom de ces maires.
  32. Stéphanie Petit, « Qui était Simone Vallès, première femme maire de Saint-Saëns ? : Jacques et Simone Vallès... Il ne s'agit pas uniquement du nom de la bibliothèque municipale ou celui d'une rue. Le couple a fortement marqué Saint-Saëns », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Stéphanie Petit, « Municipales 2020 : A Saint-Saëns, 8 nouveaux candidats composent la liste de Jacky Hucher : Jacky Hucher, maire de Saint-Saëns, accueille huit nouveaux candidats sur sa liste en vue des élections municipales. Précisions », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Réélu pour le manadt 2014-2020 : Romain Savary, « Le maire sortant Jacky Hucher réélu avec 73,6 % : Lors du premier tour des Municipales, les Saint-Saënnais ont envoyé un message fort à ceux qui proposaient une alternance à la politique de Jacky Hucher. Ils n'en veulent pas », Le Réveil,‎ (lire en ligne).
  35. Stéphanie Petit, « Karine Hunkeler devient la deuxième femme maire de Saint-Saëns : Karine Hunkeler a été élue maire de Saint-Saëns. L'élue souhaite lancer l'audit financier comme elle l'avait annoncé lors de la campagne électorale », Le Réveil,‎ « Sans surprise, c’est Karine Hunkeler, tête de liste de 2020 vous appartient qui a été élue. Elle a remporté 15 voix sur les 19 ».
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Anaïs Grammatico, « Réunion entre élus et médecins : un terrain a été identifié pour la maison médicale », Le Réveil, édition Bresle - Oise - Somme, no 3492,‎ , p. 4.
  40. « Le manoir du Quesnay et ses abords », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).