Saint-Rémy (Dordogne)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Rémy
Saint-Rémy (Dordogne)
La mairie de Saint-Rémy.
Blason de Saint-Rémy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson
Maire
Mandat
Éric Frétillère
2020-2026
Code postal 24700
Code commune 24494
Démographie
Gentilé Saint-Rémois
Population
municipale
502 hab. (2021 en augmentation de 0,6 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 56′ 45″ nord, 0° 11′ 11″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 111 m
Superficie 22,26 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montpon-Ménestérol
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Montaigne et Gurson
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Rémy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Rémy
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Rémy
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Rémy

Saint-Rémy (nom officiel), appelée localement Saint-Rémy-sur-Lidoire, est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, la commune de Saint-Rémy se situe dans le Landais.

Le bourg de Saint-Rémy, traversé par la route départementale (RD) 33, se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au sud de Montpon-Ménestérol et douze kilomètres au nord de Sainte-Foy-la-Grande.

Le territoire communal est également desservi par la RD 11, et surtout par l'axe principal nord-sud, la RD 708.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Saint-Rémy et des communes avoisinantes.

Saint-Rémy est limitrophe de six autres communes.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Rémy est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e7-g1-S, se compose de molasse du Fronsadais supérieur à faciès sableux dominant (Priabonien supérieur à Rupélien basal continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Saint-Rémy.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 33 mètres[5] à l'extrême sud-ouest, là où la Lidoire quitte la commune et sert de limite entre celles de Saint-Martin-de-Gurson et Saint-Méard-de-Gurçon, et 111 mètres[5] tout au nord, en limite de Montpon-Ménestérol, à l'ouest du lieu-dit la Picherie[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Landais, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[9]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 22,26 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 22,52 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Lidoire, le Tord, la Bidonne et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Lidoire, d'une longueur totale de 49,46 km, prend sa source dans la commune de Bosset et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Castillon-la-Bataille et Lamothe-Montravel, face à Mouliets-et-Villemartin[16],[17]. Elle arrose la commune au sud sur quatre kilomètres et demi, dont quatre kilomètres en trois tronçons lui servent de limite naturelle, face à Saint-Méard-de-Gurçon.

Le Tord, d'une longueur totale de 11,5 km, prend sa source dans la commune de Saint-Géraud-de-Corps et se jette dans la Lidoire en rive droite, en limite de Saint-Géraud-de-Corps et de Saint-Rémy, face à Saint-Méard-de-Gurçon[18],[19]. Il borde le territoire communal au sud-est sur près de six kilomètres et demi, face à Saint-Géraud-de-Corps.

Autre affluent de rive droite de la Lidoire, la Bidonne prend sa source dans l'est de la commune dont elle traverse le territoire sur sept kilomètres, dont près de deux marquent la limite territoriale au sud-ouest, face à Saint-Martin-de-Gurson.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est également l'EPIDOR[21]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

La quasi-intégralité du territoire communal dépend du SAGE Dordogne Atlantique. Seules deux petites zone au nord-est, en limite de Saint-Martial-d'Artenset et Saint-Sauveur-Lalande concernent le bassin versant du ruisseau de Boutouyre, affluent de l'Isle et sont donc rattachées au SAGE Isle - Dronne.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[23]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[24].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 848 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt à 11 km à vol d'oiseau[26], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,4 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Rémy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[30],[31],[32].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpon-Ménestérol, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,1 %), prairies (25,6 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), terres arables (5,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %), zones urbanisées (2,5 %)[35]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Rémy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].

Saint-Rémy est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[38]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[39],[40].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Rémy.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[41]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[42]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[43].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1992, 1997, 2005, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[36].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée dans le bourg de Saint-Rémy.

Bien que l'appellation officielle de la commune soit « Saint-Rémy »[44], elle est appelée localement « Saint-Rémy-sur-Lidoire ».

En occitan, la commune porte le nom de Sent Remedi[45].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Saint-Rémy, orthographiée Saint Remy dans un premier temps, a fait partie du canton de Saint Meard de Gurson qui dépendait du district de Mussidan jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Villefranche-de-Loupchapt — devenu ensuite le canton de Villefranche-de-Lonchat — dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[46]. La commune est alors rattachée au canton du Pays de Montaigne et Gurson.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 2001, Saint-Rémy intègre dès sa création la communauté de communes du Gursonnais. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Montaigne Montravel et Gurson.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1971[49] juillet 2020 Pierre Guérault SE[50] Agriculteur
juillet 2020 En cours Éric Frétillère DVD[51] Agriculteur, conseiller départemental depuis 2021

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

À la rentrée scolaire 2023, les communes de Saint-Rémy et de Saint-Martin-de-Gurson font partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[52]. Du cours élémentaire 1re année jusqu'au cours moyen 2e année, les élèves sont scolarisés à Saint-Rémy, à l'école élémentaire Joséphine-Baker, et les classes de maternelle et de cours préparatoire sont assurées à Saint-Martin-de-Gurson[52].

Justice[modifier | modifier le code]

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Rémy relève[53] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Saint-Rémy se nomment les Saint-Rémois[54].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[56].

En 2021, la commune comptait 502 habitants[Note 6], en augmentation de 0,6 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
596451553619707625630636681
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
617616662607615642597564547
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
555582583487508461511494438
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
386359355338358353420427423
2015 2020 2021 - - - - - -
499504502------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 238 personnes, soit 47,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-deux) a fortement augmenté par rapport à 2010 (dix-huit) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,4 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte cinquante-trois établissements[59], dont vingt-huit au niveau des commerces, transports ou services, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[60].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Rémy[61].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Rémy Blason
Écartelé au 1) d’or aux trois pals de gueules, au 2) d’or aux deux vaches de gueules colletées et clarinées d’azur, passant l’une sur l’autre, au 3) d’azur au chevron accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d’une coquille le tout d’argent, au 4) d’azur aux trois serres d’aigle d’argent posées en barre ; au Lambel de sable, brochant en chef sur le tout chargé dans chacun de ses trois pendants de cinq coquilles d’argent ordonnées 1.1.3.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Origine des noms de lieux dans le canton de Villefranche-de-Lonchat, association Histoire et mémoire du canton de Villefranche-de-Lonchat, La Nef-Chastrusse, 2002.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Rémy » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Saint-Rémy » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Rémy », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
  4. « Notice associée à la feuille no 805 - Sainte-Foy-la-Grande de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  5. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Rémy », sur le site de l'Insee (consulté le )
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  15. « Fiche communale de Saint-Rémy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
  16. « Confluence Lidoire-Dordogne au nord de la Gayne » sur Géoportail (consulté le 16 octobre 2022)..
  17. Sandre, « la Lidoire »
  18. « Confluence Tord-Lidoire au sud du lieu-dit les Sables » sur Géoportail (consulté le 16 octobre 2022)..
  19. Sandre, « le Tord »
  20. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  21. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  22. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  23. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  24. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  25. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  26. « Orthodromie entre Saint-Rémy et Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  27. « Station Météo-France « Port Ste Foy » (commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  28. « Station Météo-France « Port Ste Foy » (commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  29. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  30. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  32. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  36. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Rémy », sur Géorisques (consulté le )
  37. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  38. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  39. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le )
  40. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le )
  41. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  42. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  43. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  44. Code officiel géographique de Saint-Rémy sur le site de l'Insee, consulté le 31 août 2014.
  45. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Remedi sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  46. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
  47. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
  48. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
  49. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 30 août 2014.
  50. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 31.
  51. https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-24-11-1.pdf
  52. a et b Monique Devezis, « La rentrée scolaire s'est bien passée », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20.
  53. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  54. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 23 novembre 2016.
  55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  56. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  58. Dossier complet - Commune de Saint-Rémy (24494) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.
  59. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  60. Dossier complet - Commune de Saint-Rémy (24494) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 26 janvier 2019.
  61. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 210.