Saint-Priest-Taurion

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Saint-Priest-Taurion
Saint-Priest-Taurion
Mairie de Saint-Priest-Taurion
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Claudette Rossander
2020-2026
Code postal 87480
Code commune 87178
Démographie
Population
municipale
2 889 hab. (2021 en augmentation de 0,66 % par rapport à 2015)
Densité 107 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 15″ nord, 1° 24′ 03″ est
Altitude Min. 223 m
Max. 428 m
Superficie 27 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Priest-Taurion
(ville isolée)
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Léonard-de-Noblat
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Priest-Taurion
Liens
Site web https://saintpriesttaurion.fr/

Saint-Priest-Taurion est une commune française située à 9 km de l'entrée de Limoges dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Houliérois ou Houliéroises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se situe à 9 km à l’Est de l’entrée de Limoges.

Situation de la commune de Saint-Priest-Taurion en Haute-Vienne.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

C'est à Saint-Priest-Taurion que le Taurion se jette dans la Vienne en rive droite.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 011 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Limoges à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 018,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Priest-Taurion est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Priest-Taurion, une unité urbaine monocommunale[12] de 2 881 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), prairies (17,6 %), zones urbanisées (9,7 %), terres arables (5,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), eaux continentales[Note 3] (2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Priest-Taurion est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, et le risque industriel et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Priest-Taurion.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. 25,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut : Primagaz (activités soumises à autorisation pour le stockage de gaz de pétrole liquéfié). Le plan de prévention des risques technologiques (PPRT) du site a été approuvé le [22],[18],[23],[24].

La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de Vassivière, des ouvrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Priest-Taurion est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan, la commune est appelée Sent Préch.

Histoire[modifier | modifier le code]

On a coutume de dire que Saint-Priest-Taurion a une histoire de 1000 ans. La découverte dans son sous-sol de vestiges de l'époque gallo-romain laisse envisager un peuplement datant de bien au-delà du haut Moyen Âge. Le premier nom de la commune fut Sanctus Praejectus Les Olières ou Las Olieras en occitan (Sanctus Praejectus était saint Priest, évêque de Clermont-Ferrand, mort en 674).

L’appellation des Olières a deux origines. Le nom Olier désignant aussi bien le potier que le marchand ou fabricant d'huile. L'argile du Taurion et de la Vienne aurait été utilisée pour fabriquer vases et récipients. Après l'ordonnance de Villers-Cotterets, Sanctus Praejectus est remplacé par Saint Priest et les Olières disparut progressivement.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1848 1860 A. de la Salvanie    
1860 1871 Etienne Moreau    
1871 1881 Adrien Brousseaud   avocat
1881 1884 Teisserenc de Bort   Sénateur de la Haute-Vienne
1884 1896 G. de Saint-Vinox    
1896 1900 Elie Alphonsant    
1900 1907 André Delage    
1907 1912 Jean Defournoux    
1912 1926 Léonard Faure    
1926 1935 Jules Faure    
1935 1942 André Mérigaud    
1942 1944 Henri Fournier    
1944 1945 Marcel Malignier    
1945 1945 Léopold Crespy    
1945 1947 Pierre Pénicaud    
1947 1959 Amédée Broussillon[28] (1880-1960) SFIO Peintre céramiste puis rédacteur et chef de bureau
1959 1972 Pierre Pénicaud    
1972 mars 1977 Paul Puiffe (1919-2011)    
mars 1977 mai 2020 Bernard Dupin (1946- ) PS-DVG puis
LREM[réf. souhaitée]
Professeur de mathématiques retraité
Président de la CC Élan Limousin Avenir Nature[29] (2017 → 2020)
6e vice-président de la CC Élan Limousin Avenir Nature (2020 → )
mai 2020 En cours
(au 2 juin 2020)
Claudette Rossander[30] (1950- ) PCF Retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 2 889 habitants[Note 6], en augmentation de 0,66 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1427918431 0921 1351 1551 0861 1201 211
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2171 1701 1431 1971 2921 3461 4321 4481 458
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5201 5651 5381 4981 5131 5051 4851 6011 641
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 6561 6871 6902 2662 5062 6132 6752 6932 853
2018 2021 - - - - - - -
2 8862 889-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Priest de Saint-Priest-Taurion.
  • Sites gallo-romains : plusieurs sépultures ont été découvertes dans la terre des Martines en 1895. Parmi elles, une urne cinéraire en pierre en renfermait une autre haute de 35 cm ayant une ouverture de 20 cm dans laquelle se trouvait une urne en verre de couleur verte. En , près de la Martinerie, des ouvriers ont mis au jour deux urnes cinéraires et un souterrain-refuge constitué de plusieurs galeries et d'une salle de 4 m2 où l'on ne peut pénétrer qu'en rampant. C'est près de la Martinerie que passait la grande voie romaine traversant la France de l'est à l'ouest en passant par Limoges. Une voie secondaire venant d'Ahun la rejoignait à Saint-Priest et traversait le Taurion près de son confluent avec la Vienne.
  • Château de Salvanet, XVIIIe siècle.
  • Gare des Bardys.
  • Château et domaine de Bort. La terre de Bort en Saint-Priest est un démembrement de la seigneurie du Mazeau qui appartenait à la famille d'Aubusson et qui a été transmise par le mariage de souveraine d'Aubusson à Guillaume Daniel. Leur dernier fils Jacques Daniel en est le maître dès 1481. Par la suite le repaire passe à Simon des Coutures, avocat, juge au siège présidial de Limoges, puis à son fils et à sa petite fille Anne-Françoise des Coutures qui épouse en 1674 Pierre de Maldent, subdélégué de l'Intendance de Limoges, trésorier général. Léonard Muret (1713-1796), bourgeois et marchand de Limoges, achète la seigneurie de Bort et une charge de secrétaire du roi, et la transmet à ses descendants Léonard Muret de Bort, puis Pierre-Edmond Teisserenc de Bort, puis à la Famille de Sèze qui possède le domaine aujourd'hui. Un château néo-renaissance avec plusieurs tours a été construit à la fin du XIXe siècle[35]. Le domaine forestier s'étend sur 750 ha et comporte les premiers douglas introduits en France.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Priest de Clermont

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Priest-Taurion et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Saint-Priest-Taurion », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Priest-Taurion », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Plans de prévention des risques technologiques autour de sites d'installations classées situées dans lz Haute-Vienne », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  24. « Sites classés Seveso seuil haut dans la Haute-Vienne », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. Article R214-112 du code de l’environnement
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  28. Notice BROUSSILLON Amédée (BROUSSILLON Étienne, Amédée) par Justinien Raymond, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 14 avril 2020
  29. La rédaction, « Collectivité - Installation d’« Elan Limousin, Avenir Nature » à Ambazac », sur lepopulaire.fr, (consulté le ).
  30. « Claudette Rossander devient Madame le maire », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne)
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Domaine de Bort », sur facebook.com, (consulté le ).