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Saint-Pierre-le-Moûtier

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Saint-Pierre-le-Moûtier
Saint-Pierre-le-Moûtier
Marché derrière l'église Saint-Pierre.
Blason de Saint-Pierre-le-Moûtier
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Nevers
Intercommunalité Communauté de communes du Nivernais bourbonnais
(siège)
Maire
Mandat
Pierre Billard
2020-2026
Code postal 58240
Code commune 58264
Démographie
Gentilé Saint-Pierrois, Saint-Pierroises
Population
municipale
1 832 hab. (2021 en évolution de −6,24 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 47′ 30″ nord, 3° 07′ 08″ est
Altitude Min. 188 m
Max. 264 m
Superficie 47,67 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nevers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pierre-le-Moûtier
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Pierre-le-Moûtier
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Saint-Pierre-le-Moûtier
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Saint-Pierre-le-Moûtier
Liens
Site web www.mairie-stpierrelemoutier.fr

Saint-Pierre-le-Moûtier est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont les Saint-Pierrois.

Géographie

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Située entre la Loire et Allier, la commune possède une riche et puissante histoire, mais qui est un peu oubliée aujourd'hui du fait de son isolement routier « relatif » et du manque d'infrastructures touristiques. Saint-Pierre-le-Moûtier est à proximité de Magny-Cours et son circuit automobile qui a accueilli le Grand Prix de France de Formule 1 de 1991 à 2008.

Le sol de Saint-Pierre-le-Moûtier est un sol de type argilo-calcaires principalement, mais aussi de plusieurs types, comme : la glaise par exemple qui provient des communes alentour.

Hydrographie

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  • Le Beaumont ;
  • L'étang Dumas ;
  • Le Lichen ;
  • Le Pont Aubert ;
  • Le ruisseau de Cougny.

Villages, hameaux, lieux-dits, écarts

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  • Hameau de Civière ;
  • Hameau de la Croix d'Or ;
  • Hameau de Marcigny.

Communes limitrophes

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Rose des vents Langeron Saint-Parize-le-Châtel Rose des vents
N Azy-le-Vif
O    Saint-Pierre-le-Moûtier    E
S
Livry Chantenay-Saint-Imbert

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 817 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lurcy-Lévis Sa », sur la commune de Lurcy-Lévis à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 717,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −13,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Saint-Pierre-le-Moûtier est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nevers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (64 %), forêts (14,7 %), terres arables (13,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), zones urbanisées (3,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le le bailliage de Saint-Pierre rendit une sentence, contraignant les habitants de la terre de Poussery au finage de Montaron à assurer le guet et garde au château de Poussery, comme le demande le seigneur des lieux : Gaucher de Courvol. Ce bailliage rendit au fils de ce dernier : Philibert de Courvol, une autre sentence le , l'autorisant à faire passer le ruisseau des Ruaux, dans son pré de Chaulgy[13].

La ville est prise d'assaut[14], puis libérée par Jeanne d'Arc le .

Elle appartenait, sous l'ancien régime, à la province du Bourbonnais.

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta provisoirement les noms de Brutus-la-Vallée, de Brutus-le-Magnanime et de Brutus-le-Moutier[15].

Les Hospitaliers

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La chapelle de Bout, emplacement d'une ancienne commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[Note 3].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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En 1483 et jusqu'à sa mort survenue dans sa seigneurie de Challeau en Gâtinais, paroisse de Dormelles le jour des rois 1489, à l'âge de 65 ans : Guérin Le Groing, chevalier, seigneur de la Motte au Groing, de Bré, d'Esternay et de Chassain.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? ? Émile Chomet Rad. Agriculteur-éleveur
Sénateur de la Nièvre (1920 → 1924)
Conseiller général du canton de Saint-Pierre-le-Moûtier (1901 → 1940)
? ? Louis Bouiller Rad. Conseiller général du canton de Saint-Pierre-le-Moûtier (1945 → 1970)
? ? Guy Journiac DVD Docteur en médecine
Conseiller général du canton de Saint-Pierre-le-Moûtier (1976 → 1994)
Les données manquantes sont à compléter.
François Clostre   Retraité
En cours
(au 29 mai 2020)
Pierre Billard DVD Cadre bancaire
Les données manquantes sont à compléter.

Saint-Pierre-le-Moûtier fait partie de la communauté de communes du Nivernais Bourbonnais.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

En 2021, la commune comptait 1 832 habitants[Note 4], en évolution de −6,24 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0001 9801 7651 9282 1102 2562 3192 4832 406
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 8832 9893 4203 1533 1733 0803 1073 1392 937
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7922 7662 6022 4082 2062 1852 1642 0312 037
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 2002 2272 2502 2612 0912 0291 9971 9872 010
2015 2020 2021 - - - - - -
1 9541 8401 832------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Il reste quelques usines en activité notamment dans le secteur de l'automobile, de la métallurgie et du textile. La ville s'appuie désormais sur la proximité de Magny-Cours et les services à la personne et le développement agro-touristique.

L'accès à Nevers et Moulins reste facilité par quelques trains TER et autocars. Saint-Pierre-le-Moûtier ayant perdu ses trains Grandes Lignes, les voyageurs doivent changer à Nevers ou Moulins pour rejoindre Paris ou encore Clermont-Ferrand. La mise à 2 × 2 voies de la RN 7 (prochaine A77) rapprochera la ville des grandes agglomérations à proximité, telles que Nevers ou Moulins.

Culture locale et patrimoine

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Statue de Jeanne d'Arc, souscription publique en 1902, après déplacement et rénovation en 2017. « À Jeanne-d'Arc, libératrice de Saint-Pierre-le-Moûtier en 1429 »

Lieux et monuments

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Depuis le centre-ville, une promenade s’impose au gré de chaque ruelle pour admirer cette ancienne ville fortifiée et son riche patrimoine historique :

  • Hôtel de ville, ancien présidial ;
  • Porte gothique flamboyante de la maison du lieutenant criminel (XVe siècle) ;
  • Plusieurs hôtels et maisons (XVe siècle) ;
  • Six tours médiévales de l’ancienne place forte, notamment Berthelot, Aligros et Maumy (XIVe, XVIIe siècle) ;
  • Statue de Jeanne d'Arc par Lucienne Signoret-Ledieu (1858-1904), commandée à l'artiste par la ville pour célébrer l'anniversaire de la libération de la ville par la sainte ;
  • Le moulin des Éventées : moulin à vent réhabilité en 2006 par la communauté de communes du Nivernais Bourbonnais ;
  • Les nombreux châteaux privés aux alentours de la commune : Fontallier, Marcigny, etc.
  • Église de Saint-Pierre-le-Moûtier, autrefois prieuré rattaché à l'abbaye Saint-Martin d'Autun : édifice d'origine romane, remanié à l'époque gothique. Tympan sculpté du portail nord, dernier portail polychrome de Bourgogne[22] ; chapiteaux du XIIe siècle ; pietà en pierre polychrome du XVIe siècle. Ouverte du lundi au samedi. Saint-Pierre-le-Moûtier est ville étape sur l’itinéraire des pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle ;
  • Porte de l’ancien prieuré bénédictin (1640) ;
  • Cloître de l’ancien couvent des ursulines (1647).

Saint-Pierre-le-Moûtier est jumelé avec la commune de Rengsdorf en Rhénanie-Palatinat, Allemagne[23].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
« De gueules, à l'église d'argent et à la clef double de même posée en face en pointe, au chef cousu d'azur, chargé de trois fleurs de lys d'or. »

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La commanderie de Bou, Saint-Jean de Boucq, dite aussi de Bout. 46° 46′ 00″ N, 3° 06′ 46″ E. Faisait partie des membres de la commanderie de Jussy-le-Chaudrier au XVIIe siècle[16].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Pierre-le-Moûtier et Lurcy-Lévis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lurcy-Lévis Sa », sur la commune de Lurcy-Lévis - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lurcy-Lévis Sa », sur la commune de Lurcy-Lévis - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Pierre-le-Moûtier ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nevers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Baudiau 1965, p. 572.
  14. Martin 1990, p. 146.
  15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Pierre-le-Moûtier », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  16. Émile de Toulgoët-Tréanna, « Les commanderies de Malte en Berry », Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, vol. XXXI,‎ 1907-1908, p. 133-134, lire en ligne sur Gallica.
  17. Abbé Jacques-François Baudiau, op.cit, t.II,p. 152.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. ROLLIER-HANSELMANN, Juliette. Saint-Pierre-le-Moutier (Nièvre): le dernier portail polychrome de Bourgogne?. Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre, 2008, no 12.
  23. Centre France, « Des projets pour le comité de jumelage », sur lejdc.fr, (consulté le ).

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • Abbé Jacques-François Baudiau, Le Morvand, vol. 3, t. 1, Nevers, Guénégaud, , 3e éd.
  • Albéric Gonat, Notice historique sur Saint-Pierre le Moutier, édition Lorisse, réédition 2004 (ISBN 2877605531).
  • Nicolas Martin, La France fortifiée : Châteaux, villes et places fortes, Paris, Nathan, (ISBN 2-09-284371-0).

Liens externes

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