Saint-Omer-en-Chaussée

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Saint-Omer-en-Chaussée
Saint-Omer-en-Chaussée
La gare.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
André Solewyn
2020-2026
Code postal 60860
Code commune 60590
Démographie
Gentilé Audomarois, Audomaroises
Population
municipale
1 244 hab. (2021 en diminution de 1,97 % par rapport à 2015)
Densité 120 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 57″ nord, 2° 00′ 11″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 177 m
Superficie 10,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Saint-Omer-en-Chaussée

Saint-Omer-en-Chaussée est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Saint-Omer-en-Chaussée est un bourg situé à 15 km au nord-ouest de Beauvais, situé dans une vallée du Plateau picard, baignée par les eaux du Petit Thérain, affluent du Thérain.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Omer-en-Chaussée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), forêts (15 %), prairies (14,2 %), zones urbanisées (5,3 %), eaux continentales[Note 3] (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville est desservie par la RD 901, qui correspond à l'ancienne route nationale 1. Sur le plan des transports ferroviaires, la commune est desservie par la gare de Saint-Omer-en-Chaussée sur la relation de Beauvais au Tréport par Abancourt. Entre 1876 et 1939, existaient également des trains de voyageurs pour Amiens grâce à la ligne de Saint-Omer-en-Chaussée à Vers.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 614, 616, 6103, 6104, 6150 et 6152 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

En raison des risques de crues du petit Thérain, Saint-Omer-en-Chaussée est concernée par un projet de plan de prévention des risques (PPR) inondation prescrit le [14]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancti Audomari juxta Milliacum (vers 1096) ; Sanctus Othmarus (1136) ; de Sancto Othmaro (1143) ; apud sanctum Odomarum (1146) ; Sanctus Audomarus (1147) ; Sancto Otmero (1151) ; de Sancto Audomaro (vers 1151) ; Sanctus Odmerus (1154) ; Sanctus Homerus (1155) ; Sus Othmerus (1158) ; Sanctus Audemarus (1160) ; de Sancto Othmero (vers 1160) ; Girardus de Sancto Aumaro (1161) ; Saint Omer (1249) ; Robertus de sancto Audomaro (1268) ; Sanctum Omerum (1314) ; Sainct Omer (1373) ; Sainct Omer en la cauchie (1499) ; Saint Aumer (vers 1570) ; S. Audmer (XVIIe) ; Omer en chaussée (1794) ; Saint-Omer-en-Chaussée (1795)[15].

Saint-Omer est un hagiotoponyme faisant référence à Audomar de Thérouanne, évêque de Thérouanne en 637.

Saint-Omer et une localité établie sur le tracé des anciennes voies romaines[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

La rue de la Gare, avant la Première Guerre mondiale.

Au Moyen Âge, il y avait sur le territoire de Saint-Omer plusieurs forges, attestées encore par le nom d'un hameau, le Hameau-des-Forges.

Aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle, les chasse-marées, ancien nom des mareyeurs, transportaient le poisson, qui venait des ports de la Manche pour ravitailler Paris, en passant par Saint-Omer.

Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Saint-Omer-en-Chaussée dépendait du doyenné de Montagne, de l'archidiaconé de Bray et du diocèse de Beauvais[17]. En 1789, Saint-Omer dépendait administrativement et juridiquement du grenier à sel de Beauvais, de l'Élection de Beauvais, du bailliage de Clermont (prétendu par Beauvais), de la Coutume de Clermont et d'Amiens, de l'intendance de Paris, du Parlement de Paris, et du Gouvernement d'Île-de-France.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Gustave Mathiotte Rad. Conseiller général de Marseille-en-Beauvaisis (1913 → 1931)
1929 1944 François Bénard[18] DVD puis
UNR puis UDR puis UC
Minotier, propriétaire du Moulin des Forges,
Député de l'Oise (1956 → 1978)
Conseiller d'arrondissement (1928 → 1931)
Conseiller général de Marseille-en-Beauvaisis (1931 → 1940 et 1945 → 1978)
Président du Conseil général de l'Oise (1949 → 1973)
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1995[19] mai 2020[20],[21] Gérard Devambez    
mai 2020[22],[23] En cours
(au 22 juillet 2020)
André Solewyn   Policier municipal

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 1 244 habitants[Note 4], en diminution de 1,97 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
456420461496532535576580561
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
522516516506508480403481471
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
488501470455468453485476495
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5716608849661 0921 0561 2961 3211 294
2018 2021 - - - - - - -
1 2401 244-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 683 hommes pour 557 femmes, soit un taux de 55,08 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,5 
5,9 
75-89 ans
8,1 
17,0 
60-74 ans
19,7 
27,5 
45-59 ans
20,3 
22,0 
30-44 ans
18,9 
12,9 
15-29 ans
14,4 
14,2 
0-14 ans
18,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

Le bâtiment principal de l'ancienne laiterie Maggi au début du XXe siècle.

Saint-Omer accueille plusieurs entreprises, Ventmeca (ventilateurs industriels) et Marisol (cloisons et faux plafonds) ainsi que Frantschach Coating (transformation et impression de papiers et cartons) qui constituent l'essentiel de son tissu économique, avec le Centre du Belloy, centre de rééducation fonctionnelle et de réadaptation professionnelle qui emploie environ 200 personnes.

La ville est également connue pour l'ancienne laiterie Maggi, créée en 1899 et qui a fermé en 1971. Cette entreprise était considérée comme une laiterie modèle, et fournissait un lait de qualité supérieure, garanti par une fermeture des bouteilles en verre ou en porcelaine par cachets. Dans cette démarche de recherche qualitative, elle était également une des rares laiteries équipées à cette époque d'un laboratoire. Elle concurrençait la société Charles Gervais, solidement implantée dans la région.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de Monceaux, construit de 1763 à 1773 (propriété privée, classée monument historique).
  • Église Saint-Omer du XVIe siècle en grès et cailloux. Un sarcophage découvert par un laboureur est exposé face à l'église.
  • Compte tenu de la présence du Petit Thérain, de nombreux moulins ont été exploités à Saint-Omer-en-Chaussée, dont le moulin des Forges, ancienne minoterie hydraulique construit pour François Grévin-Debise au XVIIIe siècle et modifié au 3e quart du XIXe siècle[30], actuellement occupé par un restaurant.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Marc Henri, baron de Segonzac, né à Saint-Omer en 1851, agronome et écrivain.

Sport[modifier | modifier le code]

La commune est le siège d'un club de rugby à XIII fauteuil « les Grizlzys »[31], qui est pressenti pour rejoindre le championnat de France.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Omer-en-Chaussée et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Saint-Omer-en-Chaussée », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. [PDF] Informations sur les risques naturels et technologiques majeurs de la Commune de Saint-Omer-en-Chaussée.
  15. Émile Lambert, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 523.
  16. Jean Ganiage, Le Beauvaisis au XVIIIe siècle : la campagne, vol. 121, Édition de l'Ined, coll. « Travaux et documents », , p. 13.
  17. Robert Lemaire, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire démographique et démographique - Département de l'Oise, École des hautes études en sciences sociales, Paris, 1976[réf. non conforme].
  18. « François, Claude, Eléonor Bénard (1903-1978) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  19. « Saint-Omer : Les travaux à l'ancienne laiterie débuteront en mars », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3273,‎ , p. 17.
  20. « Hommage à Gérard Devambez : le localo technique porte le nom du maire : Gérard Devambez ne sollicitera pas de nouveau mandat. Pour saluer son engagement, le conseil municipal a choisi de donner son nom au local technique municipal », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3572,‎ , p. 15.
  21. Sylvie Godin, « André Solewyn, l'adjoint, entre en lice : Le premier adjoint de Saint-Omer-en-Chausséz conduira une liste aux municipales « dans la continuité » du travail accompli par le maire Gérard Devmbez », Le Bonhomme picard, édition Breteuil - Crèvecœur, no 3585,‎ , p. 27.
  22. Sylvie Godin, « Saint-Omer-en-Chaussée : André Solewyn, nouveau maire », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Adjoint au maire dans la dernière mandature, il succède à Gérard Devambez qui ne s’était pas représenté aux élections de mars dernier ».
  23. Kevin Héliès, « Portrait d'élu : être maire, c'est en premier lieu aider les gens : Ancien adjoint de Gérard Devambez, André Solewyn lui succède à la tête de la mairie. Âgé de 56 ans, il entame son tout premier mandat en tant que maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3612,‎ , p. 11 « Ancien conseiller et adjoint sous les précédentes mandatures, c'est son premier mandat d'édile pour ce policier municipal de 56 ans ».
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Omer-en-Chaussée (60590) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. Plus d'informations sur le Moulin des Forges
  31. Hervé Girette, « St Omer, c'est le Nord ! », Planète XIII, no 15,‎ , p. 30-32 (ISSN 2647-8323).