Saint-Mary-le-Plain

Saint-Mary-le-Plain | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Cantal |
Arrondissement | Saint-Flour |
Canton | Saint-Flour-1 |
Intercommunalité | Hautes Terres Communauté |
Maire Mandat |
Gabriel Testud 2014-2020 |
Code postal | 15500 |
Code commune | 15203 |
Démographie | |
Population municipale |
158 hab. (2016 ![]() |
Densité | 7,2 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 11′ 15″ nord, 3° 09′ 45″ est |
Altitude | Min. 640 m Max. 1 021 m |
Superficie | 21,8 km2 |
Localisation | |
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Saint-Mary-le-Plain est une commune française, située dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes. En auvergnat, on dit Sant Marc lo Plan[réf. nécessaire], (prononcer "San Mar lou Plo" )[1].
Sommaire
Géographie[modifier | modifier le code]
Le village est situé aux confins des monts du Cézallier et de la Margeride, à l'extrémité d'un plateau délimité à l'ouest par l'Arcueil et à l'est par le Cérou, affluent de l'Allagnonette.
Communes voisines[modifier | modifier le code]
![]() |
Charmensac | Bonnac | Massiac | ![]() |
Ferrières-Saint-Mary | N | La Chapelle-Laurent | ||
O Saint-Mary-le-Plain E | ||||
S | ||||
Rézentières | Vieillespesse | Saint-Poncy |
Histoire[modifier | modifier le code]
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[3]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[4].
En 2016, la commune comptait 158 habitants[Note 1], en augmentation de 3,27 % par rapport à 2011 (Cantal : -1,09 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Église Saint-Mary
L'église de Saint-Mary-le-Plain est sous l'invocation de Mary le confesseur. Jean-Baptiste de Ribier du Châtelet relève qu'il s'agissait autrefois d'un prieuré, et qu'elle fut fulminée en 1219 par le pape Honorius III. Le clocher fut réparé en 1773 par Augustin de Molene, chanoine de Saint-Flour[7].
Pierre Moulier relève des similitudes architecturales entre cette église et celle de La Chapelle-Laurent, l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, concluant que ce sont « deux églises jumelles, construites à la même époque par les mêmes artisans, cas assez rare pour être signalé[8] ».
- Tour d'Anval.
- Chêne de Sully, arbre remarquable répertorié par le Museum d'Histoire naturelle.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Henri Brunel, homme politique français né le 8 mars 1871 à Saint-Mary-le-Plain.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références[modifier | modifier le code]
- (nom relevé sur place en 2007)
- Liste des maires du Cantal, site de la préfecture du Cantal (consulté le 10 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- Jean-Baptiste de Ribier du Châtelet, Dictionnaire Statistique du Cantal, vol. 2, Aurillac, Veuve Picut, (lire en ligne), p. 185
- Pierre Moulier (ill. Pascale Moulier), Églises romanes de Haute-Auvergne : Région de Saint-Flour, t. 3, Éditions Créer, , 187 p. (ISBN 9782909797694, lire en ligne), p. 83-84