Saint-Martin-de-Sanzay

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Saint-Martin-de-Sanzay
Saint-Martin-de-Sanzay
L’église Saint-Martin.
Blason de Saint-Martin-de-Sanzay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté de communes du Thouarsais
Maire
Mandat
Valérie Guidal
2020-2026
Code postal 79290
Code commune 79277
Démographie
Gentilé Saint-Martinois[1]
Population
municipale
1 053 hab. (2021 en diminution de 0,57 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 04′ 54″ nord, 0° 11′ 58″ ouest
Altitude Min. 32 m
Max. 73 m
Superficie 24,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Thouars
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val de Thouet
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.saint-martin-de-sanzay.fr

Saint-Martin-de-Sanzay est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est limitrophe du département de Maine-et-Loire dans les Pays de la Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Martin-de-Sanzay se situe au nord du département des Deux-Sèvres dans la région Nouvelle-acquitaine.

La commune est située à 6 km de Montreuil-Bellay, 12 km de Thouars, à 20 km de Saumur et à 50 km d'Angers.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est constitué principalement de deux grands ensembles de superficie voisine. À l'ouest, des alluvions du Thouet et en moindre mesure de l'Argenton, à l'est, des formations crétacées du Cénomanien. Les alluvions se subdivisent eux-mêmes en deux ensembles :

  • des alluvions fines et récentes constituées de sables fins et de limons d'un à trois mètres d'épaisseur distribuées à proximité des rivières. Ces secteurs qui occupent de grandes surfaces étaient depuis le Moyen Âge exploités en prairie naturelle ; depuis les années 1970, ils ont été labourés et convertis en maïs le plus souvent irrigués.
  • une basse terrasse sablo-graveleuse très légumières depuis les années 1980, mais qui fut autrefois occupée par la polycultures et quelques vignes.

Du nord au sud, de part et d'autre de la route D 938, le Cénomanien s'étale en un manteau composé de sables quartzeux et glauconieux et de sables argileux plus ou moins hydromorphes en fonction de la situation topographique. De nombreux bois taillis de un à une quinzaine d'hectares se partagent cet espace avec les labours.

Trois petites collines viennent rompre la platitude du relief : une au sud-est en limite de Brion-près-Thouet (entre les hameaux du Luc et Étambé), une plus au nord près du hameau de Mont et l'autre près de Clavière. La base de ces buttes est constituée de marne cénomanienne, tandis que leur sommet est recouvert d'un épandage de cailloutis fluviatile noyés dans de l'argile. Ces buttes qui présentent un potentiel viticole important portent un vignoble historique de grand qualité.

Une carrière de grès ferrugineux à ciment carbonaté, située près du village de Prailles, fut exploitée pour la production de pierre de taille servant au soutènement des monuments locaux. Une autre carrière de ballastières, ou graves grossières du Thouet, est aujourd'hui reconvertie en plan d'eau et lui a laissé son nom : l'étang de la Ballastière.

Hameaux[modifier | modifier le code]

L'habitat de la commune est très dispersé, et elle compte de nombreux hameaux.

  • Blanchard, partagé avec Sainte-Verge
  • Le Bourg de Saint-Martin, où se trouvent la mairie et l'église
  • La Brunetière, partagée avec Argenton-l'Église
  • La Charpenterie, partagée avec Montreuil-Bellay
  • Clavière
  • La Commanderie
  • La Genaire
  • La Giraudière
  • Lernay, partagée avec Antoigné. La partie propre à Saint-Martin-de-Sanzay se nomme Villevert
  • Le Luc
  • Mont
  • Passay, le plus peuplé
  • Prailles
  • Les Sables
  • Sanzay
  • Taizon, partagé avec Argenton-l'Église

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 578 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Loretz-d'Argenton à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-de-Sanzay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thouars, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,7 %), zones agricoles hétérogènes (24,9 %), prairies (12,4 %), forêts (4,4 %), zones urbanisées (3,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Martin-de-Sanzay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Thouet, l'Argenton et la Losse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 1999 et 2010[17],[15]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vallée du Thouet », approuvé le , dont le périmètre regroupe 22 communes[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martin-de-Sanzay.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. 46 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2004 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage du Puy Terrier, un ouvrage de classe A[Note 4] mis en service en 1982 sur le territoire des communes de Saint-Loup-Lamairé, Louin et Gourgé, sur le cours d’eau le Cébron, affluent du Thouet. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancienne paroisse communes des marches d'Anjou et des marches du duché de Thouars, située dans le périmètre du vignoble de Saumur et de l'Anjou, à la limite de la plaine de Thouars.

Par arrêté préfectoral du effectif au , Brion-près-Thouet s'est associée à Saint-Martin-de-Sanzay. Brion-près-Thouet est redevenue indépendante le (arrêté préfectoral du )[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du canton du Val de Thouet, de la communauté de communes du Thouarsais depuis le , et de l'arrondissement de Bressuire.

Photographie de la façade de la mairie.
La mairie en 2011.
Liste des maires depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
1959 1971 Joseph Dufournet    
1971 1995 Jean-Louis Noël   Chef d'entreprise
1995 2001 Paul Girardeau   Agriculteur
2001 2008 Jean-Marie Fouchereau    
2008 2014 André Passelande[25]    
2014 2020 Gérard Boulord - Directeur d'agence chez Lariviere (vente de matériaux pour toiture)
2020 En cours Valérie Guidal DVG Cadre de santé en milieu hospitalier

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 1 053 habitants[Note 5], en diminution de 0,57 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8691 2031 1431 1291 2231 2411 2151 2211 220
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2381 2471 2901 2101 1691 1591 1551 1601 226
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2001 2821 1851 0891 0931 1021 0731 009977
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9919561 3661 5208348709121 0001 082
2021 - - - - - - - -
1 053--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune comptait 1 035 habitants en 2014, soit une progression de 24 % en vingt-quatre ans.

Nota : les pics des recensements 1975 et 1982 correspondent à la période du au où la commune de Brion-près-Thouet avait été rattachée : 487 habitants au recensement de 1975 et 625 habitants au recensement de 1982[30]. Le graphique ci-dessous montre l'évolution démographique sur la même période, mais en ne prenant pour ces deux années que la partie correspondant à Saint-Martin[31].

Évolution de la population de Saint-Martin

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Viticulture[modifier | modifier le code]

La proximité du terroir de la commune avec l'Anjou la fait bénéficier de plusieurs appellations d'origine contrôlée[32]. Elle fait partie de l'aire géographique du Saumur, pour les vins mousseux blancs et rosés, et de celle de l'Anjou, pour les vins blancs et rouges, gamay, vins mousseux blancs et rosés, cabernet d'Anjou, rosé d'Anjou et « Anjou Villages ».

Elle fait également partie de l'aire de proximité immédiate du Saumur, pour les vins tranquilles blancs et rouges, les Saumur « Puy-Notre-Dame » et Cabernet de Saumur, et de celle de l'Anjou, pour les « Anjou-Coteaux de la Loire », « Coteaux de Saumur, « Anjou Villages Brissac » et « Coteaux de l'Aubance ».

Tourisme[modifier | modifier le code]

Le site de l'étang de la Ballastière contient un village vacances de quinze maisons, ainsi qu'une aire d'accueil pour les camping-cars.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'étang de la Ballastière
  • L'église Saint-Martin de Saint-Martin-de-Sanzay du(XIIe siècle). L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1910[33].
  • Le château du Bois de Sanzay (XVe et XVIIe siècles)
  • Le château de la Coste (XVIe et XIXe siècles)
  • La chapelle du chateau de Passay (XVe siècles)
  • Le pont de Taizon (XIIIe siècle)
  • La commanderie hospitalière de Prailles (XIIe siècle)[34]
  • Les restes de la voie romaine Angers-Poitiers
  • Le gué de Saint-Martin (époque gallo-romaine)
  • Le belvédère du Puy de Mont

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D’or au lion de gueules chargé en cœur d’une croisettes de malte d’argent[36].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Réunion du 24 novembre 2015 du conseil municipal de la commune de Saint-Martin-de-Sanzay »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur saint-martin-de-sanzay.fr (consulté le ), p. 4.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Martin-de-Sanzay et Loretz-d'Argenton », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bouille-loretz » (commune de Loretz-d'Argenton) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bouille-loretz » (commune de Loretz-d'Argenton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Thouars », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Martin-de-Sanzay », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « PPRI Vallée du Thouet », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. Code officiel géographique - Fiche de la commune de Saint-Martin-de-Sanzay sur le site de l'Insee, consulté le 30 novembre 2010.
  25. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Données Insee relatives à la commune de Brion-près-Thouet, [lire en ligne].
  31. Source pour la population de Saint-Martin en 1975 et 1982 : Dossier local DL_COM79277 de l'Insee.
  32. Décret no 0238 du 14 octobre 2009, texte no 41.
  33. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00101355
  34. Société de statistique, sciences, lettres et arts du département des Deux-Sèvres, Niort, Mémoires de la Société de statistique, sciences, lettres et arts du département des Deux-Sèvres, Niort, , 812 p. (lire en ligne), p. 128.
  35. Joseph Vaesen et Étienne Charavay, Lettres de Louis XI, tome XI, p.126, 199, et 219, Librairie Renouard, Paris 1909
  36. Les armoiries de la commune sur le site officiel de la commune.