Saint-Laurent-d'Arce

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Saint-Laurent-d'Arce
Saint-Laurent-d'Arce
Portail au nord de l'église Saint-Laurent.
Blason de Saint-Laurent-d'Arce
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Cubzaguais
Maire
Mandat
Jean-Pierre Suberville
2020-2026
Code postal 33240
Code commune 33425
Démographie
Gentilé Saint-Laurentais
Population
municipale
1 526 hab. (2021 en augmentation de 6,94 % par rapport à 2015)
Densité 189 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 08″ nord, 0° 28′ 08″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 46 m
Superficie 8,07 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Gironde
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.saintlaurentdarce.fr//

Saint-Laurent-d'Arce est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et de son unité urbaine. Elle faisait auparavant partie de l'unité urbaine de Saint-André-de-Cubzac absorbée par celle de Bordeaux selon la délimitation de 2020.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Saint-Laurent-d'Arce
Tauriac Cézac
Prignac-et-Marcamps Saint-Laurent-d'Arce Peujard
Saint-Gervais Virsac

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le Moron.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 909 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gervais à 2 km à vol d'oiseau[4], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent-d'Arce est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[11] et 1 008 509 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38 %), cultures permanentes (20,4 %), forêts (16 %), zones urbanisées (11,9 %), prairies (10,5 %), eaux continentales[Note 3] (3,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Laurent-d'Arce est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Moron. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[19],[17].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[20]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Laurent-d'Arce.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 603 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 603 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune doit son nom à saint Laurent, martyr du IIIe siècle, et au mot latin arx qui signifie « citadelle »[23].

En gascon, le nom de la commune est Sent Laurenç d'Arce.

Ses habitants sont appelés les Saint-Laurentais[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

La découverte de racloirs datant du Moustérien (entre 70 000 et 35 000 avant Jésus-Christ) indique que le site de la commune est occupé dès le Paléolithique moyen[23].

À l’époque gallo-romaine, une citadelle est implantée, pour protéger la voie romaine qui relie Burdigala (Bordeaux) à Santonum (Saintes)[23].

Au XVIIIe siècle, des carrières souterraines sont ouvertes pour l’extraction de la pierre de Bourg. Ainsi, la commune participe à la construction de la ville de Bordeaux ainsi que celle de ponts. Ultérieurement, de l'entre-deux-guerres jusqu'aux années 1950, les carrières de pierre, devenues inutilisées, sont transformées en champignonnières, pour la production de champignons de Paris[23].

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Au XIe siècle, une église paroissiale est bâtie, puis, au XIIe siècle, une chapelle dédiée à sainte Quitterie est construite par les Templiers au lieu-dit Magrigne. La paroisse se trouve sur un des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle[23]. Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple la commanderie passa aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

La chapelle est de style roman et n'a aucune fenêtre latérale à cause des bâtiments qui s'élevaient sur ses côtés. La nef unique est soutenue par de larges contreforts plats et bâtie avec de très belles pierres, elle est couverte d'un berceau brisé sans doubleau. Le chevet est plat et percé d'un élégant triplet aux ouvertures étroites et hautes. Léo Drouyn indique qu'un « cordon horizontal divise l'extérieur en deux étages, et les flancs nord et sud sont surmontés d'une corniche supportant des modillons semblables à ceux de la chapelle de la Magdeleine à Saint Émilion ». La porte du XIIIe siècle est surmontée d'une longue lancette et le pignon se termine par un clocher-arcade géminé. On retrouve des traces de peintures du XIIIe siècle ; Léo Drouyn conclut qu'elle doit être une des dernières ornées de peintures de cette époque.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement de Blaye depuis 2006[25].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 2001 Michel Carrique    
mars 2001 2020 Jacques Bastide UMP-LR  
2020 En cours Jean-Pierre Suberville    
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 1 526 habitants[Note 4], en augmentation de 6,94 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
858719734787856835794859775
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
877882874849818827829881886
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
922855813700666711656597625
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
7037828771 0201 1401 0571 2601 2891 370
2017 2021 - - - - - - -
1 4491 526-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Laurent[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Laurent est située au centre du village. Elle fut construite au XIe-XIIe siècle, puis dotée d'un puissant clocher barlong. Léo Drouyn indique : « Au XVIe siècle, on a rebâti l'église presque entière et on l'a fortifiée de manière à en faire une sorte de citadelle capable de résister longtemps à une troupe de gens armés. » Son portail construit en avant-corps, dont les voussures en arc brisé retombent sur des chapiteaux de feuillage correspond à la deuxième campagne de travaux, située au XIIIe siècle, et contemporaine de l'édification du clocher; il remplace probablement le premier portail roman[31]. Au fond de l'avant-corps, la porte est ornée au XVIe siècle de motifs du gothique flamboyant. La nef s'accompagne d'un bas côté voûté en étoile dont les clefs sont bordées d'un cordage. Jusque vers 1880, elle était entourée d'un vaste cimetière. L'église est inscrite à l'Inventaire des Monuments historiques par arrêté du [32].

La chapelle Sainte-Quitterie de Magrigne[modifier | modifier le code]

Chapelle Sainte-Quitterie.

L'église Sainte-Quitterie est une chapelle des Templiers a été bâtie au XIIe siècle et elle est dédiée à sainte Quitterie. La chapelle était un sanctuaire au XIIIe siècle, attribué aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Abandonnée, envahie par les herbes folles, les animaux de la ferme, elle fut restaurée et rendue au culte en 1895. Un pèlerinage est organisé chaque année pour la fête de la Pentecôte. La chapelle est classée Monument historique par arrêté du .

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Jean Raphaël Chagneau (1900-1983) Instituteur Résistant : Commandant Chagneau Adjoint de Pierre Georges - Colonel Fabien

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Laurent-d'Arce Blason
Taillé abaissé à senestre, au premier d'azur à l'église du lieu, faillie à senestre, au trait et maçonnée de sable, senestrée en chef d'une croisette de Malte de sable, surmontés de l'inscription « SAINT LAURENT D'ARCE » en lettres de sable ordonnées en arc de cercle, au second d'or au champignon accosté à dextre d'un autre plus petit et à la grappe de raisin feuillée, les deux meubles au trait de sable et rangés en bande[33].
Détails
Officiel, présent sur le site internet de la commune[34]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • ARHAL, Magrigne, témoignage d’histoire, édition ARHAL, 1998
  • Claude Bardeau, Saint-Laurent d’Arx, 2002
  • ARHAL, Saint-Laurent d’Arce par ses cartes postales, édition ARHAL, 2008
  • Christophe Meynard, Phred, Le Cubzaguais, un siècle en 100 photos, éd. ARHAL, 2015

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Laurent-d'Arce et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Laurent-d'Arce », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Laurent-d'Arce », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. a b c d et e Saint-Laurent-d’Arce sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 26 décembre 2014.
  24. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
  25. Arrêté préfectoral du 22 mars 2006, p. 48.
  26. Annuaire des villes jumelées
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Michelle Gaborit, notice Saint-Laurent d'Arce - église Saint-Laurent, in Léo Drouyn et la Haute-Gironde, Les albums de dessin, vol. 12, Éditions de l'Entre-deux-Mers, 2005, (ISBN 2-913568-33-5), p. 82
  32. « Eglise », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  33. Saint-Laurent-d'Arce sur Armorial de France.
  34. Saint-Laurent-d'Arce, histoire.