Saint-Julien-les-Villas

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Saint-Julien-les-Villas
Saint-Julien-les-Villas
Église Saint-Julien-de-Brioude
Blason de Saint-Julien-les-Villas
Blason
Saint-Julien-les-Villas
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Troyes
Intercommunalité Troyes Champagne Métropole
Maire
Mandat
Jean-Michel Viart
2020-2026
Code postal 10800
Code commune 10343
Démographie
Gentilé Sancéens
Population
municipale
6 745 hab. (2021 en diminution de 1,3 % par rapport à 2015)
Densité 1 282 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 16′ 20″ nord, 4° 05′ 54″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 118 m
Superficie 5,26 km2
Unité urbaine Troyes
(banlieue)
Aire d'attraction Troyes
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Troyes-4
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Julien-les-Villas est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est dans l'agglomération troyenne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Julien-les-Villas
Troyes Saint-Parres-aux-Tertres
Saint-Julien-les-Villas Rouilly-Saint-Loup
Rosières-près-Troyes Bréviandes

Saint-Julien-les-Villas est une ville de l'agglomération troyenne située au sud de Troyes. Ses habitants se nomment Sancéens (Sancéennes), d'après l'ancien nom, Sancey, qui fut repris sous la Révolution.

Topographie[modifier | modifier le code]

L'adjonction de Villa a été autorisée par le décret du . Il s'appelait jadis Sancey, puis Saint-Julien-Sancey ; il fallait attendre de le XVIIe pour que la communauté ne soit plus qualifiée que par Saint-Julien[1].

Carte de 1811.

Sur un cadastre de 1827 apparaissait les écarts suivants : le Bas-du-Pont, la Borde, Breviande-Saint-Julien, la Burie, le Clos, les Cours, Cronsels (pour partie sur le territoire de la commune), le Déversoire, Gentilly, la Maison-Rousset, la Moline, Ormoy, la Pointe-de-la-Papeterie, la Renouillère, Rousset, le Petit-Saint-Julien, le Temple, les Trévois, les Vannes-Tranchines, Verdun.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Pouange », sur la commune de Saint-Pouange à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 707,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Statistiques 1991-2020 et records ST-POUANGE (10) - alt : 122m, lat : 48°14'19"N, lon : 4°02'59"E
Records établis sur la période du 01-01-1972 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 0,5 2,3 4,4 8,2 11,4 13,4 13,2 9,8 7,2 3,6 1,4 6,3
Température moyenne (°C) 3,7 4,5 7,6 10,4 14,4 17,9 20,2 20 16 12,1 7,2 4,4 11,5
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,5 12,9 16,5 20,6 24,3 27 26,8 22,3 16,9 10,8 7,4 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−21
09.01.1985
−18,7
26.02.1986
−14,8
01.03.05
−7,7
09.04.1973
−2
01.05.1984
0,7
05.06.1991
4
17.07.1980
2
28.08.1974
−0,5
21.09.1978
−5,1
20.10.1972
−11,3
24.11.1998
−17,8
31.12.1985
−21
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,6
05.01.1999
21,9
27.02.19
24,5
16.03.12
29,5
20.04.18
34,5
28.05.17
38,4
26.06.19
42,2
24.07.19
41
08.08.03
36,3
14.09.20
29,6
01.10.1985
23,8
08.11.15
18,7
16.12.1989
42,2
2019
Précipitations (mm) 57,6 50,8 49,6 53,6 67,4 57,8 55,7 58,3 55,1 69,5 64,1 68 707,5
Source : « Fiche 10360001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
6,9
0,6
57,6
 
 
 
8,5
0,5
50,8
 
 
 
12,9
2,3
49,6
 
 
 
16,5
4,4
53,6
 
 
 
20,6
8,2
67,4
 
 
 
24,3
11,4
57,8
 
 
 
27
13,4
55,7
 
 
 
26,8
13,2
58,3
 
 
 
22,3
9,8
55,1
 
 
 
16,9
7,2
69,5
 
 
 
10,8
3,6
64,1
 
 
 
7,4
1,4
68
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Julien-les-Villas est une commune urbaine[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Troyes, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[12] et 136 438 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (61,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (58,1 %), terres arables (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), forêts (5,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

La seigneurie Saint-Julien, à droite l'église.

La seigneurie de Sancey était au comte de Champagne qui l'a donné lors de sa création au chapitre Saint-Etienne de Troyes en 1157[18]. Les templiers de la commanderie de Troyes avaient une maison seigneuriale qui se situait à côté de l'église mais sur l'autre rive de la Seine[19] et qui correspondait à cette seigneurie[20]. Elle avait une cour fermée, un pigeonnier sur 34 arpents de terre. Il y avait aussi des moulins qui profitaient du déversoir Saint-Julien sur le cours de la Seine. Ces moulins furent ruinés par la guerre de Cent Ans[21]. Jean Le Ber, Le Bé, papetier troyen louait à perpétuité le moulin au commandeur Jacques Sarpe. Il obtint aussi le droit de relever le barrage à aiguilles sur la Seine du bailly Jean de Soissons, en effet le déversoir avait aussi une grande importance pour le régulation de la Seine pour Troyes et l'aval. En 1480 il y avait ainsi sept moulins, deux à papier, un à foulon, deux à blé et un dernier à foulon, le plus proche de l'église. Les sept enfants de Roline Le Bé fille de Jean et de son époux Nicolas Ludot. En 1602, les moulins à papier passaient l'un à Jean Gouault et l'autre à Guillaume Journée des mains des héritiers Nivelle. Le , les moulins ruinés ne trouvant pas de locataires, ils sont vendus pour leurs matériaux ; ils ne seront plus relevés que pour la période de 1690 à 1706 par André Fariat. La maison du Temple de Sancey et le fief s'y rattachant furent dévolus aux hospitaliers en 1313 et demeurèrent un membre de la commanderie de Troyes[22]. En 1507 dans la succession de Nicolas Ludot est cité deux moulins à papier le moulin Le Lombard, deux moulins à blé, un moulin à écorces et un à fouler le drap.

En 1789, le village dépendait de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection et du bailliage de Troyes.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

De gueules aux trois roses d’argent, au chef du même chargé d’une fasce ondée d’azur.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1896 1897 Maurice Chadenet
1897 1902 Auguste Terrenoire
1902 1927 Henry Parmentier
1927 1945 Gustave Brunotte
1945 1965 Fernand Ganne
1965 1989 André Grimont
1989 2000 Francis Mielle DVD Conseiller général du canton de Troyes-7 (1998-2000)
décédé en fonctions
2000 2001 François Gilet
2001 2005 France Mielle DVD Conseillère générale du canton de Troyes-7 (2000-2004)
2005 2008 Michel Tournemeule    
2008 mars 2014 Daniel Picara[23] DVD  
mars 2014 En cours Jean-Michel Viart
Réélu pour le mandat 2020-2026 [24]
SE Ingénieur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 6 745 habitants[Note 4], en diminution de 1,3 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
267288307325410471503506552
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
5756186067188279751 1731 2831 281
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3261 3191 4311 5342 1442 8133 0502 9843 229
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
4 3795 1835 9265 8096 0276 4206 7006 7826 904
2018 2021 - - - - - - -
6 8016 745-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,4 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 279 hommes pour 3 522 femmes, soit un taux de 51,79 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,7 
7,7 
75-89 ans
11,2 
17,4 
60-74 ans
19,8 
21,4 
45-59 ans
20,8 
16,5 
30-44 ans
16,7 
18,0 
15-29 ans
15,3 
18,2 
0-14 ans
14,5 
Pyramide des âges du département de l'Aube en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
7,2 
75-89 ans
10,1 
17,3 
60-74 ans
18,2 
19,5 
45-59 ans
19 
17,8 
30-44 ans
17,4 
18,2 
15-29 ans
16 
19,3 
0-14 ans
17,2 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Julien-de-Brioude du XVIe siècle, inscrit au titre des monuments historiques en 1981[31] ;
  • Centre de magasins d'usine Marques Avenue ;
  • La Maison du patrimoine.
  • Rare orgue liturgique de Didier Poirot, Mirecourt (Vosges) seul exemplaire restant. Beau buffet polychrome. L'atelier Poirot construisait des serinettes, orgues de salon à cylindres, orgues pour salles de bals, orgues portatives et orgues d'églises (catalogue de 1869).
  • Château des Cours, il est difficile de dire si c'était une seigneurie mais il était la propriété de Nicolas Rémond, seigneur de la Renouillère en 1690 puis à son fils Georges. D'après Grosley il était l'œuvre de Louis Maillet. Anne Thierriat le donnait à Jean-Joseph, comte de Lespinasse en 1779, charge à lui de payer les dettes de Madame.
  • Le Petit-Château : bâti en 1760 pour Jacques Cazin de la Vasserie, qui était lieutenant général du bailliage de Troyes. Il fut acquis par Garnier de Montreuil, conseiller au bailliage et au présidial de Troyes en 1769, puis à M. Le Blant en 1825.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Dominique Pagnier, poète et écrivain, né à Saint-Julien-les-Villas, le .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Arch. départ. Aube, E 410.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Saint-Julien-les-Villas et Saint-Pouange », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Pouange », sur la commune de Saint-Pouange - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Pouange », sur la commune de Saint-Pouange - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Troyes », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Camuzat, Promptuarium sacrarum antiquitatum Tricassinae dioecesis, f° 331 v°., lire en ligne sur Gallica
    « pischariam cursum aquæ Sequanæ sicut habebam, à villa Senceij usque ad molendinum S. Quintini. ». Première mention en 1121 (Sanceium) puis 1157 (villa Sancei), cf. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1, p. 508
  19. 48° 16′ 34″ N, 4° 06′ 07″ E
  20. Auguste Pétel, « Les templiers à Sancey aujourd'hui Saint-Julien (Aube) », Revue de Champagne et de Brie, 2e série, t. 13,‎ , lire en ligne sur Gallica
  21. Archives départementales de l'Aube, G3451.
  22. Auguste Pétel, Les hospitaliers seigneurs de Sancey aujourd'hui Saint-Julien (Aube), Troyes, Paul Bage, (lire en ligne)
  23. Site officiel de la préfecture de l‘Aube
  24. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21598181
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Julien-les-Villas (10343) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
  31. « Église », notice no PA00078218, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Liens externes[modifier | modifier le code]

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