Saint-Igny-de-Vers

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Saint-Igny-de-Vers
Saint-Igny-de-Vers
Église Saint-Jean-Baptiste et monument aux morts, sur la place centrale du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Villefranche-sur-Saône
Intercommunalité Communauté de communes Saône Beaujolais
Maire
Mandat
Alain Morin
2020-2026
Code postal 69790
Code commune 69209
Démographie
Gentilé Saint-Ignons
Population
municipale
568 hab. (2021 en diminution de 4,38 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 14′ 29″ nord, 4° 26′ 12″ est
Altitude Min. 407 m
Max. 943 m
Superficie 27,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Thizy-les-Bourgs
Localisation
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Liens
Site web https://www.saintignydevers.fr/

Saint-Igny-de-Vers [sɛ̃t‿iɲi də vɛʁ] est une commune française, située dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Saint-Igny-de-Vers fait partie du Beaujolais, dans le nord du département du Rhône[1]. À l'ouest, son territoire est limitrophe du département de Saône-et-Loire et de la région Bourgogne-Franche-Comté.

La densité démographique est faible, à l'image de celle de l'ensemble du canton, et l'habitat très dispersé. Le village était autrefois réputé pour sa production d'échelles et de bennes[1]. L'économie est aujourd'hui tournée vers la polyculture, à dominante d'élevage, et la sylviculture[2], qui occupe près de la moitié (1247 hectares) du territoire de la commune[1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

On a compté à Saint-Igny-de-Vers jusqu'à 81 hameaux, portant les noms suivants[3] : les Agresles, Ajoux, les Alloings, la Bachasse, les Barres, En Bèche, Bel-Air, la Bénethuilière, le Bessay, les Bessères, Chez Blanchons, les Bois, les Bourbes, la Brette, le Brossard, la Brosse, les Bruyères, les Canots, Champ-Joint, les Charmes, le Charne, Chenevières, les Clachères, la Combe, les Côtes, Croix-de-Mont, le Crot-au-Loup, Églives, la Fabrique, la Forêt, les Gachots, le Galiot, la Garenne, les Gays, le Gazot, les Ghètes, les Gobiers, la Grande-Cheminée, la Guillotière, l'Haye du Pont, les Hayes, l'Horme, les Jaunets, Mémont, les Merles, les Michels, Mont, Montgelus, les Moussières, les Noires, la Noue, le Paquies, les Parois, le Patoz, les Perdus, les Pins, le Plat, le Pont-du-Gas, la Rêve, la Rivière, la Roche, le Rochon, le Rousset, le Royat, le Sauzay, les Sertines, les Sots, le Souchon, le Taluf, Terre-Noire, le Thillet, la Tourrelle, les Trives, la Tuilerie, Vaudemont, la Vendenesse, le Vernay, Vers, le Ververin, Vibus, Ville-de-Vers.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 012 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Monsols », sur la commune de Deux-Grosnes à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 145,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Igny-de-Vers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,9 %), prairies (42,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Semtiniacus au XIe siècle[16]. On trouve dans le cartulaire de Cluny la forme Santiniacum. La forme française Saintigny est devenue « Saint-Igny » par fausse étymologie.

Ce toponyme d'origine gauloise ou gallo-romane pourrait signifier « domaine de Santinus »[2],[17] ou plutôt « de Sentinius », anthroponyme lui-même dérivé du gaulois sentu, « chemin »[17],[18], suivi du suffixe -acum d'origine gauloise qui marque la propriété. C'est un homonyme de Sinzenich (de) (Allemagne), forme germanisée qui vient également d'un ancien Sentiniacum.

Une conjecture plaisante, mais sans fondement, préfère y voir l'évocation des « saints feux » (en latin sancti igni) que les habitants allumaient pour la Saint-Jean, fête du patron du pays[1].

Le déterminant complémentaire -Vers est celui d'un de ses nombreux hameaux, dont l'étymologie est obscure : peut-être vers ou verrats (sangliers)[2], ou bien le versant, désignant précisément le bon versant, celui qui est exposé au soleil[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, le territoire de Saint-Igny-de-Vers s'étendait pour partie en Beaujolais, pour partie en Mâconnais, d'où une situation d'une grande complexité administrative. La justice de la partie beaujolaise dépendait de la châtellenie de Chevagny-le-Lombard, à Aigueperse, alors que la partie mâconnaise relevait de la juridiction du château de Vers, qui s'étendait sur les paroisses des Feuillées et de Saint-Clément. De plus, en 1288, Louis de Beaujeu avait fait don aux chanoines d'Aigueperse de la partie de la paroisse qui lui revenait[2] : jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, cette partie releva comme le chapitre d'Aigueperse du diocèse d'Autun, l'autre appartenant au diocèse de Mâcon[19].

Pendant la Révolution, Saint-Igny-de-Vers fut rebaptisée Vers-la-Montagne. En 1801, elle devint momentanément le chef-lieu d'un canton qui regroupait autour d'elle Aigueperse, Azolette, Propières et Saint-Bonnet-des-Bruyères. En 1868, une partie du territoire de la commune en fut détachée pour former celle de Saint-Clément-de-Vers[2].

Durant la Seconde Guerre mondiale, la commune fut le théâtre, du 19 au 22 , de la tragédie de Vers : après un accrochage avec le maquis, une compagnie de la Wehrmacht pilla et incendia le hameau de Vers, tuant deux prisonniers pris dans la population[20].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Igny-de-Vers Blason
D'or au sanglier de sable, défendu d'argent, soutenu de deux ondes alésées d'azur et surmonté de trois sapins de sinople rangés en chef.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 En cours Alain Morin DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2009[22].

En 2021, la commune comptait 568 habitants[Note 2], en diminution de 4,38 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2601 5941 5452 8812 8352 6192 5582 5582 683
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 4712 4432 3501 9591 8821 7491 7631 6871 714
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7381 5761 5251 2681 1851 1431 033932884
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2009 2014
828759729598503553592595600
2019 2021 - - - - - - -
566568-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (40,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 48,0 % la même année, alors qu'il est de 21,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 290 hommes pour 287 femmes, soit un taux de 50,26 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,08 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
5,0 
15,8 
75-89 ans
18,2 
28,3 
60-74 ans
28,0 
19,8 
45-59 ans
19,7 
15,7 
30-44 ans
10,8 
8,0 
15-29 ans
8,5 
11,7 
0-14 ans
9,7 
Pyramide des âges du département du Rhône en 2020 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
6,1 
75-89 ans
8,2 
13 
60-74 ans
14,3 
18,4 
45-59 ans
17,8 
20,3 
30-44 ans
19,5 
21,8 
15-29 ans
20,9 
19,8 
0-14 ans
17,6 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chapelle Notre-Dame-de-Vers.

Sur la place centrale du village, en face du monument aux morts, se trouve l'église Saint-Jean-Baptiste : reconstruite vers 1848, elle garde cependant des traces de constructions antérieures dont les plus anciennes (baptistère) pourraient remonter au XIIe siècle[2]. La façade de l'église est décorée d'un bestiaire médiéval unique dans la région, bien qu'un peu abîmé par le temps et datant du XIIe siècle. Les collines boisées environnantes abritent quelques ruines et des promenades aménagées longent la rivière du Sornin. La commune dispose par ailleurs du plan d'eau de la Vendenesse[1], de terrains de football et de tennis et d'une salle des fêtes.

La chapelle Notre-Dame-de-Vers, dans le hameau du même nom, a été bâtie au XIIe siècle par les moines du mont Saint-Rigaud[19]. Elle attirait de nombreux pèlerins qui attendaient peut-être de leurs prières la destruction des vers nuisibles aux cultures, ou la guérison de leurs enfants fatigués par les parasites homonymes. Déclaré bien national en 1793, le bâtiment a été rendu au culte en 1874 après d'importantes réparations[1], poursuivies jusqu'en 1879. Sauvée des flammes lors de l'incendie du hameau en 1944[19], la chapelle se singularise par sa toiture recouverte de tuiles polychromes et son intérieur entièrement peint et décoré à la main, dans un style 1900[1], qui a fait l'objet d'un programme de restauration de 1993 à 1997[19].

Vers dans la littérature[modifier | modifier le code]

Dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[27], les lignes 73 Vers Pré-en-Paille ou Trinquetaille et 74 Vers Venouze ou vers Venizy peuvent donner lieu à plusieurs interprétations.

Dans la ligne 74, il semble normal de privilégier la lecture de Vers comme une préposition.

En revanche, en l'absence de ponctuation et de répétition de vers avant Trinquetaille, il faut probablement lire la ligne 73 comme une succession de trois noms de villages : Vers, Pré-en-Paille, Trinquetaille.

Vers peut alors faire référence à quatre lieux au choix :

Manifestations sportives[modifier | modifier le code]

Saint-Igny-de-Vers est le berceau de l'autocross français : chaque année la commune accueille, fin mai ou début juin, une manche du championnat de France ainsi que, à la fin de l'été et depuis 2007, une manche du championnat d'Europe[1],[28]. En France, seulement deux étapes européennes existent : une à Saint-Igny et une à Saint-Georges-de-Montaigu (Vendée).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h Saint-Igny-de-Vers sur le site de l'Office de tourisme du Haut-Beaujolais.
  2. a b c d e et f André Pelletier, « Canton de Monsols » in Grande encyclopédie de Lyon et des communes du Rhône, t. 4 : Arrondissement de Villefranche, Horvath, 1982 (ISBN 9782717102314), p. 389, en ligne sur http://membres.lycos.fr/dumoulinhome.
  3. Liste des hameaux de la commune sur le site de la Société généalogique du Lyonnais et du Beaujolais.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Saint-Igny-de-Vers et Deux-Grosnes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Monsols », sur la commune de Deux-Grosnes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Monsols », sur la commune de Deux-Grosnes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 604b.
  17. a b et c Mario Rossi, Les Noms de lieux du Brionnais-Charolais : témoins de l'histoire du peuplement et du paysage, Publibook, , 579 p. (ISBN 978-2-7483-5072-2, lire en ligne), p. 499.
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit..
  19. a b c et d Site http://www.chapelle-de-vers.com.
  20. Dossier de la tragédie sur http://www.chapelle-de-vers.com.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Igny-de-Vers (69209) », (consulté le ).
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Rhône (69) », (consulté le ).
  27. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
  28. Présentation de l'épreuve sur le site de la FFSA.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]