Saint-Cyprien (Dordogne)

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Saint-Cyprien
Saint-Cyprien (Dordogne)
Le bourg de Saint-Cyprien.
Blason de Saint-Cyprien
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède
(siège)
Maire
Mandat
Christian Six
2020-2026
Code postal 24220
Code commune 24396
Démographie
Gentilé Cypriotes
Population
municipale
1 551 hab. (2021 en diminution de 2,82 % par rapport à 2015)
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 14″ nord, 1° 02′ 40″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 240 m
Superficie 21,50 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Cyprien
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Saint-Cyprien
Liens
Site web saintcyprien24.fr

Saint-Cyprien est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Chef-lieu du canton de Saint-Cyprien de 1790 à 2015, la commune est devenue à cette date le bureau centralisateur du canton de la Vallée Dordogne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Saint-Cyprien fait partie du Périgord noir et se situe en rive droite de la vallée de la Dordogne. Elle est implantée au flanc d'un coteau.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Les Eyzies, Meyrals, Castels et Bézenac, Berbiguières, Coux et Bigaroque-Mouzens et Campagne.

Saint-Cyprien est limitrophe de six autres communes. Au sud, son territoire communal est distant d'une centaine de mètres de celui de Marnac.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Cyprien est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6-7, date du Kimméridgien terminal au Tithonien, composée de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 807 - Le Bugue » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Saint-Cyprien.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 55 mètres et 240 mètres[5],[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 21,50 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 22,23 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Dordogne, le Moulant, le Moulinet et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 18 km de longueur totale[14],[Carte 1].

La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[15],[16]. Elle borde la commune au sud sur deux kilomètres, face à Berbiguières.

Son affluent de rive droite le Moulant arrose le sud-est du territoire communal sur près de deux kilomètres et demi, passant à l'est et au sud du bourg.

Affluent de rive gauche de la Vézère, le Moulinet prend sa source dans le nord de la commune, lui servant de limite territoriale sur trois kilomètres en direction du nord-ouest, face aux Eyzies.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Vézère-Corrèze ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Le SAGE « Vézère-Corrèze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[18]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

Au sud, environ 55 % du territoire dépend du SAGE Dordogne amont. Au nord, le bassin versant du Moulinet est rattaché au SAGE Vézère-Corrèze.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 874 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 11 km à vol d'oiseau[23], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Le pont ferroviaire du Garrit sur la Dordogne, entre Berbiguières (à gauche) et Saint-Cyprien (en rive opposée).

Natura 2000[modifier | modifier le code]

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Cyprien[27],[28]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[29].

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

Saint-Cyprien fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[30],[31], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[32].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Cyprien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[33],[34],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (47,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,4 %), prairies (21,1 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), zones urbanisées (7,3 %), terres arables (5,8 %), eaux continentales[Note 4] (0,8 %)[38]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Cyprien est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[39]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[40].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999, 2002, 2003 et 2008[41],[39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne amont » approuvé le , pour les crues de la Dordogne[42],[43].

Saint-Cyprien est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45],[46].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Cyprien.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[47]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[49]. 21,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[50].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1997, 2005, 2009, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 6] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[52].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du lieu se réfère à l'ermite Cyprien, fondateur sur place d'un monastère[53].

En occitan, la commune porte le nom de Sent Cíbran[54].

Histoire[modifier | modifier le code]

Petite ville née autour d'une abbaye de chanoines réguliers de Saint-Augustin, qui aurait été bâtie sur la tombe d'un ermite appelé Cyprien. Cet ermite se serait installé en l'an 620 dans les grottes de Fages qui surplombent l'actuel village. Il y aurait fondé un monastère. Les invasions barbares, à partir de 848, obligent les religieux à s’entourer de remparts, dont le clocher-donjon est un vestige.

En 1076, le monastère, rattaché à l’ordre des Augustins, devient si florissant que Bertrand de Got, archevêque de Bordeaux et futur pape Clément V, le place sous sa juridiction en tant que seigneur de Bigaroque, d'abord en franc-alleu, avant que l'archevêque Blaise Régnier de Gréelle en fasse hommage au roi. Pendant la guerre de Cent Ans, Saint-Cyprien a souffert de sa position avancée sur la frontière entre le duché de Guyenne et le royaume de France.

Le , l'archevêque de Bordeaux, François d'Escoubleau de Sourdis a aliéné ses droits sur Saint-Cyprien au profit de Jean-Jacques de Montesquiou de Saint-Colombe. Le , Henri d'Escoubleau de Sourdis a obtenu du Grand conseil d'être rétabli dans la propriété de Saint-Cyprien à condition de rembourser le propriétaire du lieu de la somme de 9 000 livres. Ce qui n'a pas été fait avant 1660 par manque de moyens. Le , les habitants de Saint-Cyprien ont permis à l'archevêque de Bordeaux de racheter ses droits sur Saint-Cyprien en lui offrant 4 900 livres[55].

Le château des Fages et le prieuré sont incendiés par les armées calvinistes pendant les guerres de Religion, en 1568. En 1685, le monastère est reconstruit. Déclaré « bien national », il est vendu le à la commune pour la somme de 8 125 francs. En 1871, la Régie française des tabacs le transforme en entrepôt après avoir abattu le cloître et fait murer les portes de communication avec l’église qui était devenue « temple de la Raison consacré à l'Être suprême » en 1792.

La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792 – 1795), le nom de Cyprien-sur-Dordogne[5].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Saint-Cyprien est le chef-lieu du canton de Saint-Cyprien qui dépend du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[5].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[56]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée Dordogne, dont elle devient le bureau centralisateur.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 1994, Saint-Cyprien intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée de la Dordogne dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède dont elle est également le siège.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[57],[58].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1797 Joseph Prunis    
1797 1801 Guillaume Lanceplene    
1801 1810 Plassial    
1810 1819 Guillaume Lavergne Demarqueyssac    
1819 1820 Ludovic de Beaumont    
1820 1827 de Carbonnier de Marzac    
1827 1830 de Beaumont    
1830 1831 Beynac    
1831 1836 Careymat    
1836 1846 Eugène Lacroix    
1846 1848 Jean Huard    
1848 1849 Pierre Lasserre    
1849 1868 Pierre La Velle    
1868 1875 Anatole Lanceplene    
1875 1876 François Hodemon    
1876 1878 Jean Rantet    
1878 1884 (Antoine) Georges Escande Républicain Député, conseiller général (1871-1889)
1884 1890 Julien Gueyne    
1890 1903 Léon Pestillat Républicain Conseiller général (1901-1904)
1903 1919 Clément Chartroule    
1919 1929 Ernest Monset    
1929 1935 André Deboord    
1935 1941 Léon Delrieux    
1941 1941 Gabriel Delfour    
1941 1944 Joseph Costes   Président de la délégation spéciale
Nommé conseiller départemental en 1942
1944 1953 Maurice Janot Rad. Négociant
Conseiller général (1951-1957)
1953 1957 Jean Bru    
1957 1976 Jean Ladignac MRG Pharmacien
Conseiller général (1958-1976)
décédé en fonctions
1976 1989 Yvonne Ladignac MRG Pharmacienne
1989 1995 Aymar de Beaumont DVD  
1995 mars 2014 Pierre Mounet SE[59] Retraité agricole
mars 2014[60]
(réélu en mai 2020[61])
En cours Christian Six[62] SE Artisan

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[63].

Le , le bourg a fait son entrée parmi les Petites Cités de caractère de France pour une période de cinq ans[64].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Panneau de jumelage de Saint-Cyprien.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Une maison de santé pluridisciplinaire a ouvert en à Saint-Cyprien[65]. En , elle rassemble cinq médecins généralistes, deux cabinets d'infirmières, une diététicienne, trois kinésithérapeutes,un ostéopathe, deux psychologues et une sage-femme[66]. Un dentiste et un ophtalmologue devraient s'y installer en 2024[66].

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Saint-Cyprien relève[67] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Saint-Cyprien sont appelés les Cypriotes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[69].

En 2021, la commune comptait 1 551 habitants[Note 7], en diminution de 2,82 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3001 7462 0552 0652 3752 2872 3242 5352 426
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 4122 4152 3742 3642 4302 5712 2812 1342 064
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1172 1112 0642 0132 0561 8751 8371 8621 600
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 6171 6491 7631 7081 5931 5221 5621 5671 581
2017 2021 - - - - - - -
1 5611 551-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[70].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

En , Saint-Cyprien organise pour la première fois la Félibrée du Périgord, dont c'est la 99e édition[71].

Vie associative[modifier | modifier le code]

Vue du pont du Garrit depuis la rive droite de la Dordogne (côté Saint-Cyprien).

L'association du Pont du Garrit se mobilise pour préserver, réhabiliter et animer le patrimoine du Pont du Garrit, qui traverse la Dordogne, entre les communes de Berbiguières et de Saint-Cyprien, ainsi que son environnement. Elle est aidée par Georges Pernoud ou Francis Cabrel[réf. nécessaire].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[72], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 591 personnes, soit 37,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (136) a augmenté par rapport à 2010 (113) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 23,0 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 253 établissements[73], dont 156 au niveau des commerces, transports ou services, quarante-six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-cinq dans la construction, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et douze dans l'industrie[74].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, trois sociétés implantées à Saint-Cyprien se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016 :

  • dans l'agroalimentaire, Péchalou (fabrication de lait liquide et de produits frais), 25e avec 3 795 k€[75] ;
  • dans le commerce, la Société Bopredis (supermarché), 45e avec 14 182 k€[76] ;
  • dans le BTP, Cypriote travaux publics - V.R.D. (travaux de terrassement courants et travaux préparatoires), 45e avec 2 607 k€[77].

Péchalou, laiterie artisanale bio, est implantée à Saint-Cyprien où elle emploie seize personnes en 2014[78].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Place de la liberté.
  • Château de Fages, XVe et XVIe siècles, non ouvert au public, dont la chapelle et les ruines du château sont inscrits au titre des monuments historiques en 1933, alors que le pavillon Renaissance est classé monument historique en 1965[79].
  • Château de Saint-Cyprien, XVIIIe et XXe siècles, inscrit en 1949, et son parc inscrit en 2002[80].
  • Le bâtiment de l'ancienne justice de paix : devenu un lieu artistique avec des expositions d’arts durant l’été.
  • Les quartiers hauts de Montmartre : point de vue sur la vallée de la Dordogne.
  • De nombreuses maisons des XVIe et XVIIe siècles en contrebas de l'abbaye.
  • La truffière de Péchalifour.
  • Domaine de la voie blanche : vignoble.
  • Pont du Garrit de style Eiffel, symbolique du patrimoine industriel du XIXe siècle, a été construit pour remplacer le bac[81] entre 1892 et 1894, par les ateliers Hachette et Driout de Saint-Dizier, une des plus grandes fonderies européennes. À l'époque, il permettait à un chemin vicinal d'une seule voie de relier l'activité industrielle de cimenterie ainsi que la production de tabac de la commune de Berbiguières au village de Saint-Cyprien, situé sur la rive opposée de la Dordogne. Le pont à une longueur de 176,3 m. En , les Allemands voulaient utiliser le pont pour remonter vers la Normandie. Les résistants voulaient gêner ce repli. Une stèle à leur mémoire a été inaugurée à l'issue de la reconstitution en 2014. Ce pont en métal est un symbole du combat de maquisards dans la région. En 1991, la circulation y est interdite pour les véhicules[81]. En 2019, compte tenu de son mauvais état, la traversée est également interdite aux cyclistes et aux piétons[81]. Des travaux vont y être effectués début 2024 pour permettre une réouverture aux vélos et piétons en mars ou [81].

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Plaque de la rue Joseph-Prunis à Saint-Cyprien.
  • Bertrand de Got (1264-1314), archevêque de Bordeaux, futur pape Clément V, place le monastère de Saint-Cyprien sous sa juridiction.
  • Christophe de Beaumont du Repaire (1703-1781), prélat français dont le cœur repose dans une chapelle de Saint-Cyprien.
  • Joseph Prunis (1742-1816), clerc et homme politique, fut maire de Saint-Cyprien et y est décédé[89]
  • Joseph Marie Pigeon, avocat et homme politique sous le Consulat et le Premier Empire, député de la Dordogne, né à Saint-Cyprien.
  • Louis de Carbonnier de Marzac (1810-1875), homme politique français, né à Saint-Cyprien.
  • (Antoine) Georges Escande (1847-1928), homme politique français, conseiller général du canton de Saint-Cyprien, il devient maire de Saint-Cyprien de 1878 à 1884.
  • Arthur Cobalet (1855-1901), chanteur d'opéra, né à Saint-Cyprien.
  • André Jouanel (1873-1960), avoué, premier adjoint à la mairie de Sarlat, président fondateur des amis du vieux Bergerac[90], archiviste municipal de Bergerac, mainteneur du Bournat. En 1902 il rachète le château de Grignols et le sauve d’une ruine certaine en le restaurant entièrement[91].
  • Pierre Boissel (1872-1939), médecin à Saint-Cyprien et poète occitan, il exerçait autrefois son activité dans les communes du canton. Ses poèmes écrits en patois périgordin ont été édités dans le recueil : Lou Ser ol Contou (« Le soir devant la cheminée »)[92].
  • Alberte Sadouillet-Perrin (1899-1999), historienne et écrivain local. A publié Mémoires d’une centenaire en Périgord sarladais[93] et Saint-Cyprien, sa plaine et ses coteaux.
  • Joséphine Baker (1906-1975) était la marraine de Saint-Cyprien Athletic club » (SCAC) rugby
  • Élie Marty (1930-2003), homme politique français, né à Saint-Cyprien.
  • Jean-Pierre Bouchard (1955-), psychologue, criminologue et acteur, a suivi le premier cycle d’études secondaires au collège d’enseignement général de Saint-Cyprien. Il a été licencié au « Saint-Cyprien Athletic club » (SCAC) rugby ainsi qu'aux clubs de handball et de cyclisme de Saint-Cyprien.

Héraldique et devise[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Cyprien Blason
Parti de gueules à la croix pattée d'or et d'azur à saint Cyprien debout mitré, tenant de sa dextre une crosse contournée, le tout d'argent.
Détails
Blason officiel présent sur le site internet de la commune.

Devise[modifier | modifier le code]

La devise de Saint-Cyprien est : Quid sucitabit telum qui signifie littéralement « qui osera tirer un trait » et que l'on peut traduire par « qui osera me défier »[94].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[51].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
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  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Carte géologique de Saint-Cyprien » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
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  4. « Notice associée à la feuille no 807 - Le Bugue de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
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  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
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  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
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  15. « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'Ambès » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2022)..
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