Saint-Étienne-du-Rouvray
Saint-Étienne-du-Rouvray | |||||
Église Saint-Étienne | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Joachim Moyse 2017-2020 |
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Code postal | 76800 | ||||
Code commune | 76575 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Stéphanais | ||||
Population municipale |
28 508 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1 562 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
525 638 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 22′ 43″ nord, 1° 06′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 3 m Max. 87 m |
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Superficie | 18,25 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Saint-Étienne-du-Rouvray Sotteville-lès-Rouen |
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Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
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Liens | |||||
Site web | ville-saintetiennedurouvray.fr | ||||
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Saint-Étienne-du-Rouvray est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
Situation
Située en bordure de la forêt de la Londe-Rouvray, la ville est en plein centre de la Métropole Rouen Normandie, à moins de 10 kilomètres du centre-ville de Rouen.
Communes limitrophes
Le Grand-Quevilly | Sotteville-lès-Rouen | Amfreville-la-Mi-Voie | ||
Petit-Couronne | N | Belbeuf | ||
O Saint-Étienne-du-Rouvray E | ||||
S | ||||
Oissel | Gouy |
Hydrographie
Située dans un méandre de la Seine, elle est bordée à l'est par celle-ci.
Voies de communication et transports
Saint-Étienne-du-Rouvray est à une heure et demie de Paris et à une heure et quart de Caen, par l'autoroute A13. La ville est un lieu de passage – et de halte – pour ceux qui venant du Nord de la France, traversent l'agglomération vers la Normandie ou la Bretagne, mais aussi Alençon et Le Mans via l'A28. Depuis juillet 2008, la ville est desservie par la rocade Sud, périphérique du grand Rouen. Elle offre deux accès supplémentaires par le sud au territoire communal, par la Vente Olivier et par le technopôle du Madrillet.
La ligne de chemin de fer Paris - Rouen - Le Havre passe par Saint-Étienne-du-Rouvray, mais elle ne marque pas l'arrêt en gare. La ligne TER Rouen-Elbeuf permet quant à elle un arrêt en gare de Saint-Étienne-du-Rouvray.
L'aéroport le plus proche est celui de Rouen Vallée de Seine, situé à Boos.
Saint-Étienne-du-Rouvray est desservie par le « métro de Rouen » depuis le prolongement vers le technopôle du Madrillet en 1997. La ligne Technopôle traverse la ville avec cinq stations à une fréquence d'une rame toutes les six minutes en heure de pointe. Le tramway permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes et Sotteville-lès-Rouen en quelques minutes.
Six lignes de bus ( Modèle:Correspondance/TCAR Modèle:Correspondance/TCAR, Modèle:Correspondance/TCAR, Modèle:Correspondance/TCAR et Modèle:Correspondance/TCAR dont une à haute fréquence Modèle:Correspondance/TCAR) s'articulent autour de la ligne de « métro » et offrent la possibilité de rejoindre des communes voisines non desservies par le tramway telle que Oissel.
Urbanisme
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctum Stephanum vers 1025, Sancti Stephani en 1032 et 1035[1], De Sancto Stephano au XIIIe siècle, Sanctus Stephanus en 1337, Saint-Etienne jouxte Rouvray en 1362 et en 1365, Saint Etienne de Rouvray entre 1605 et 1616[2], Saint Estienne du Rouvray en 1715, Saint Etienne du Rouvray en 1757[3].
Le nom de la commune vient de Étienne, un saint et premier diacre et de la forêt de Rouvray qui borde la ville, ce qui donna Saint-Étienne-du-Rouvray[4]. Rouvray dérive du mot rouvres qui, en vieux français, signifie chêne (Quercus Robur), du latin robora. Il désigne alors le territoire d'une chênaie (ou rouvraie).
Histoire
Du néolithique à la révolution industrielle
Le Saint-Étienne-du-Rouvray d'aujourd'hui est l'héritier d'une longue histoire. Des outils néolithiques (2 000 ans av. J.-C.) tout comme des traces d'habitat gallo-romain (200/300 ans apr. J.-C.) témoignent d'une occupation ancienne du site en bordure des zones anciennement inondables, aux alentours de l'actuelle avenue du Bic-Auber.
Un hameau appelé Sancti Stephani et dépendant de l'abbaye de Saint-Wandrille est signalé au IXe siècle dans une charte royale. Marques de l'arrivée puis de l'implantation des Vikings tout au long de la Seine, des toponymes d'origine scandinave (la Haie Brout, les Longs Boëls, le Fossé Roger) se rencontrent encore dans certains quartiers. Le bourg se développe ensuite le long de la route reliant Rouen à Paris. Aux XVe et XVIe siècles, la paroisse compte cinq cents habitants. La population cultive les terres arables en bord du fleuve et pratique l'élevage sur les terres incultes, forêts, landes et taillis. L'église Saint-Étienne, rue de Paris, construite au XVIe siècle, dépendait de l'évêché de Lisieux.
À la Révolution, en 1790, Saint-Étienne-du-Rouvray se constitue en commune avec administration politique. Le bourg commence à prendre son caractère urbain et industriel à partir du milieu du XIXe siècle, avec l'arrivée du chemin de fer et les débuts de la révolution industrielle.
De la ville industrielle à la conscience ouvrière
En 1843, l'arrivée du chemin de fer ouvre la voie au développement de la commune. Les premiers trains à vapeur de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest relient Paris à Rouen. L'arrivée du train favorise l'implantation d'entreprises et le bourg rural devient peu à peu une cité industrielle. En 1865, la Société cotonnière s'implante à Saint-Étienne-du-Rouvray. Elle est alors la plus grosse entreprise de Normandie qui emploiera jusqu'à 2 000 personnes. La ville commence à changer avec l'implantation de nouveaux quartiers construits pour les ouvriers, comme la Cité Neuve, de nouvelles rues…
Au début du XXe siècle, l'ouverture des ateliers ferroviaires de Quatre-Mares (1913), l'arrivée de la Fonderie Lorraine en 1916 et des Papeteries de la Chapelle (1928) viennent renforcer le caractère industriel de la ville. Dans le même temps, les premières grèves et grands mouvements de revendication forgent la conscience ouvrière. 1911 est ainsi marquée par une importante grève des salariés de la Cotonnière qui réclament la journée de 10 heures. Les solidarités s'organisent comme en témoigne la création de l'Émancipation par les ouvriers de la Cotonnière, en 1893. Cette société coopérative obtient des prix bas pour les denrées de première nécessité, mais offre également un secours aux malades et colis aux grévistes.
Après la Première Guerre mondiale, et la révolution bolchevique d'octobre 1917, la conscience ouvrière trouve également une expression politique. En 1923, trois ans après le congrès de Tours qui voit se séparer la majorité communiste (SFIC) de la minorité socialiste (SFIO), Saint-Étienne-du-Rouvray est l'une des premières villes de France à devenir communiste. En 1935, alors que la Société cotonnière ferme, dans un contexte de profonde récession, la commune et de nombreux Stéphanais adhèrent au Front populaire.
Histoire récente
Le , aux alentours de 9 h 25, deux individus font irruption dans l'église de la ville par une porte située à l'arrière de l'édifice. Ils prennent six personnes en otage, un prêtre, trois religieuses et un couple de fidèles. Les assaillants sont équipés d'armes blanches, dont des couteaux, et de fausses bombes. La police, prévenue par une religieuse qui a réussi à s'échapper, ne peut entrer, les otages étant obligés de faire barrage. La BRI tue les assaillants, sur le parvis de l'église. Le prêtre de l'église, Jacques Hamel, est égorgé. Le mari du couple de paroissiens est quant à lui gravement blessé à la gorge. Daech revendique l'attaque le jour-même. Une veillée de prière est organisée le 30 juillet à Saint-Etienne-du-Rouvray pour rendre hommage aux victimes[5].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
Depuis le redécoupage cantonal de 2014, la commune fait partie des cantons de Saint-Étienne-du-Rouvray et Sotteville-lès-Rouen. Auparavant et depuis 1982, elle faisait partie des cantons de Saint-Étienne-du-Rouvray et Sotteville-lès-Rouen-Est.
Politique environnementale
Finances locales
Jumelages
Population et société
Démographie
Le premier recensement fait au XIXe siècle remonte en 1812, Saint-Étienne avait alors 1,328 habitants. En 1857, sa population était de 1,345 habitants. En 1822 : 1,491 habitants ; en 1828 : 1,390 ; en 1836 : 1,494 avec 414 ménages ; en 1841 : 1,482 avec 370 ménages ; en 1846 : 1,585 avec 424 ménages ; en 1856 : 1,580 avec 443 ménages ; en 1861 : 1,633 avec 461 ménages.
C'est à partir de 1863 que commença, par la suite de la construction de la grande usine de la Société Cotonnière, le mouvement ascendant de la population de Saint-Étienne. Au recensement de 1866, on constatait à Saint-Étienne 2,157 habitants, répartis en 565 ménages. En 1872 : 2,153 habitants avec 681 ménages et 614 maisons. Ce recensement qui fut des plus complets portait également sur le nombre des animaux domestiques. Il révélait l'existence à Saint-Étienne de 147 chevaux, 263 vaches, 1 âne, 164 moutons, 32 porcs, 19 chèvres, 130 chiens, 1284 poules, 176 pigeons et 62 canards.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[6],[Note 1].
En 2021, la commune comptait 28 508 habitants[Note 2], en augmentation de 0,14 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Saint-Étienne-du-Rouvray est la troisième ville de l'agglomération rouennaise en termes de population. Une ville tout à la fois forte de sa jeunesse avec près d'un habitant sur trois âgé de moins de 19 ans, mais également riche de l'expérience de sa population : les plus de 60 ans représentent un habitant sur cinq.
Enseignement
Les écoles de Saint-Etienne-du-Rouvray dépendent de l'académie de Rouen. Plusieurs écoles, de la maternelle au lycée sont disponibles aux enfants de la commune[9] :
- INSA de Rouen
- Technopôle du Madrillet
- Lycée Pôle Bâtiment Édouard-Le Corbusier[10]
- Collège Paul-Éluard[11]
- Collège Louise-Michel[12]
- Collège Pablo-Picasso[13]
- Collège Robespierre[14]
- École primaire Paul-Langevin[15]
Santé
Médias
Cultes
Sports
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Emplois
Entreprises et commerces
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Étienne
- Église Sainte-Thérèse
- Forêt de La Londe-Rouvray
- Mosquée Yahya
- La maison des forêts
- Centre culturel « Le Rive Gauche »
- Rond-point des Vaches
Héraldique
Les armes de la commune de Saint-Étienne-du-Rouvray se blasonnent ainsi : |
Personnalités liées à la commune
- Jean-Baptiste Rondeaux, né le 1er septembre 1775 à Rouen et mort le 13 novembre 1864 à Saint-Étienne-du-Rouvray. Négociant à Rouen. Maire de Rouen en 1792, conseiller général, député, membre de la chambre de commerce. Grand-oncle d'André Gide.
- Émile Masqueray, né le à Rouen et mort le à Saint-Étienne-du-Rouvray, 129 rue Gambetta, anthropologue, ethnologue, linguiste et écrivain français.
- Frédéric-Charles, prince de Prusse, né le à Wannsee et mort le à Saint-Étienne-du-Rouvray, membre de la Maison Royale de Prusse, cousin issu de germains (mais par sa mère neveu) du Kaiser Guillaume II, cavalier et pilote de guerre allemand mort de ses blessures.
- Arthur Join-Lambert, historien, conseiller municipal de Saint-Étienne-du-Rouvray en 1865.
- Marcel Brout, député communiste, puis collaborateur, mort à Saint-Étienne-du-Rouvray en 1957.
- L'abbé Jacques Hamel, né en 1930 à Darnétal, prêtre auxiliaire de la paroisse Saint-Étienne, assassiné lors de l'attentat de l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, le 26 juillet 2016 à 85 ans.
Pour approfondir
Bibliographie
- Bibliothèque Elsa Triolet, Saint-Étienne-du-Rouvray, Bibliothèque Elsa Triolet : 1949 1987 : trente-huit ans d'une association au service des Stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1987, 30 p.
- Centre socioculturel Georges Déziré, Regards sur l’église Saint-Étienne, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2002.
- Yves-Marie Deniel, Un jour en 1936, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.
- Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Rouen, A. Lestringant, 1892, 391 p.
- Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Paris, Office d’édition et de diffusion du livre d’histoire, coll. « Monographie des villes et villages de France » (no 1350), (ISBN 2-84126-078-X)
- Olivier Gosse, On appelle ça de l'humanité : mémoire du quartier Hartmann des années 1940 à 2008, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2009.
- Georgette Gosselin, Les débuts du chemin de fer, 89 lithographies de Daumier, 14e festival culturel, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1976.
- Georgette Gosselin, Lutes d’hier et d’aujourd’hui, 1843-1996 : les communistes de Saint Étienne du Rouvray, Ed. de la section de Saint-Étienne-du-Rouvray du Parti communiste français, 1996
- Groupe Archives Quatre-Mares, Les Ateliers de Quatre-Mares : huit décennies au service de la réparation des locomotives, Paris, La Vie du rail & des transports, , 311 p. (ISBN 2-902808-63-1)
- Groupe Histoire & Patrimoine, Saint-Étienne-du-Rouvray au temps du Front Populaire, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.
- Groupe Histoire & Patrimoine, 1866, en avant la musique, 140 ans de pratiques musicales à Saint-Étienne-du-Rouvray, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2007
- Groupe Histoire & Patrimoine, 160 ans de commerce et d'artisanat stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2010
- Atelier Histoire & Patrimoine, Vivre, survivre, résister : Saint-Étienne-du-Rouvray pendant la Seconde Guerre mondiale, Lyon, Médiris, 2015
- Guy Pessiot, Les communes de l'agglomération de Rouen, vol. 2 : De Maromme à Ymare, Rouen, Ed. des Falaises, , 261-512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9)
- Guy Pessiot, Histoire de l'agglomération rouennaise : La rive gauche : La Bouille, Grand-Couronne, Grand-Quevilly, Moulineaux, Oissel, Petit-Couronne, Petit-Quevilly, Saint-Étienne-du-Rouvray, Sotteville-lès-Rouen, Rouen, Éd. du P'tit Normand, , 287 p. (ISBN 2-906258-21-0)
- Nathalie Ponsard, Lectures ouvrières à Saint-Étienne-du-Rouvray, des années trente aux années quatre-vingt dix : lecture, culture, mémoire, Paris, L'Harmattan, coll. « Logiques historiques », , 341 p. (ISBN 978-2-296-02592-9)
- Claude Soloy, Saint-Étienne-du-Rouvray de la Préhistoire à 1945, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1971.
- Saint-Étienne-du-Rouvray (préf. de Michel Grandpierre), Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1980, 65 p.
- Saint-Étienne-du-Rouvray, PTC, coll. « Guides de ville », , 79 p. (ISBN 2-35038-006-8)
- Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986, 24e festival culturel : 1936, le Front Populaire, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986.
- Saint-Étienne-du-Rouvray : Citoyen de demain, Paris, Ed. Franciade, , 60 p. (ISBN 2-908151-02-2)
- Saint-Étienne-du-Rouvray : Citoyen de demain, Paris, Ed. Franciade, 1996, 64 p.
- Saint-Étienne-du-Rouvray : d'hier à aujourd'hui, Alan Sutton, coll. « Regards croisés », , 128 p. (ISBN 978-2813806406, OCLC 847574139)
- 1906-1986, Saint-Étienne-du-Rouvray : une ville, un espace, une histoire, un travail de la classe de 3e3 du collège Pablo Picasso, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986, 39 p.
- 1959/1999 : Saint-Étienne-du-Rouvray, 40 ans, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1999, 29 p.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Adigard des Gautries Jean. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. Page 157.
- Archives de Seine-Maritime II B 441.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 900.
- Histoire de la ville de Saint-Étienne-du-Rouvray Site officiel de la mairie de Saint-Étienne-du-Rouvray
- Aurélien Deligne, « Musulmans et catholiques réunis pour une veillée à Saint-Etienne-du-Rouvray », sur https://france3-regions.francetvinfo.fr/, (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- liste des écoles de la commune
- Lycée Le Corbusier
- Collège Paul Eluard
- Collège Louise Michel
- Collège Pablo Picasso
- Collège Robespierre
- école Paul Langevin
- GASO - Banque du blason - 76575