Sagittaire (constellation)

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Sagittaire
Image illustrative de l'article Sagittaire (constellation)
Vue de la constellation.
Désignation
Nom latin Sagittarius
Génitif Sagittarii
Abréviation Sgr
Observation
(Époque J2000.0)
Ascension droite Entre 264° et 305°
Déclinaison Entre -45,5° et -12,03°
Taille observable 867 deg2 (15e)
Visibilité Entre 55° N et 90° S
Méridien 20 août, 21h00
Étoiles
Brillantes (m≤3,0) 7 (ε, σ, ζ, δ, λ, π, γ2)
À l’œil nu 195
Bayer / Flamsteed 67
Proches (d≤16 al) 2
La plus brillante ε Sgr (1,79)
La plus proche Ross 154 (9,68 al)
Objets
Objets de Messier 15 (M8, M17, M18, M20, M21, M22, M23, M24, M25, M28, M54, M55, M69, M70, M75)
Essaims météoritiques
Constellations limitrophes Aigle
Capricorne
Couronne australe
Écu de Sobieski
Microscope
Ophiuchus
Scorpion
Télescope

Le Sagittaire (ce terme signifie « l’Archer ») est une constellation du zodiaque traversée par le Soleil du 18 décembre au 18 janvier. La constellation se situe entre Ophiuchus à l'ouest et le Capricorne à l'est. Le Sagittaire était l’une des 48 constellations identifiées par Ptolémée.

Le Sagittaire désigne également un signe du zodiaque correspondant au secteur de 30° de l'écliptique traversé par le Soleil du 23 novembre au 21 décembre. C'est dans ce sens qu'il sert au repérage des déplacements planétaires, encore utilisé en astrologie.

Nomenclature, histoire et mythologie[modifier | modifier le code]

En Mésopotamie[modifier | modifier le code]

Au tout début, l’étoile PA.BÍL.SAG = Pabilsag apparaît dans des listes stellaires de Nippur à la fin du IIIe millénaire av. è. c[1].

Profil de Pabilsag, l'ancêtre mésopotamien du Sagittaire d'après un kudurru du XIIe siècle av. J.-C.

Pabilsag est, dans la mythologie, une manifestation de Ninurta, le dieu de la Guerre, celui qui fut, dans le mythe d’Anzû, le héraut désigné par le conseil des dieux pour combattre le monstrueux aigle léontocéphale[2], caractérisé sur la voûte céleste par la figure de TE8 = arû, ancêtre de la figure grecque d’Αετός, soit en latin Aquila, « l’Aigle ».

L'identité de cette étoile ne fait pas l’unanimité des chercheurs, mais il est fort probable qu’il s’agisse de θ Oph. Par la suite, c’est-à-dire au début du 1er millénaire è.c., le ciel est organisé en constellations, c’est-à-dire que les étoiles sont désormais nommées par leur situation dans les figures célestes, et comme cela est attesté dans les fameux éphémérides qui s’étalent de 652 av. é.c à 61 de notre ère, cette étoile est nommée MÚL KUR šá KIR4 šil PA, soit « la Brillante de la pointe de la Flèche de Pabilsag » (voir Alpha Scorpii)[3]. L’image de la figure à laquelle elle appartient, soit PA.BÍL.SAG (en abrégé : PA) = Pabilsag est déjà connue dès la Haute Antiquité par un archer-centaure ailé ithyphallique à deux visages.

En Grèce et à Rome[modifier | modifier le code]

L'Archer-centaure mésopotamien a été repris par les Grecs sous le nom de Τοξότης, l'« Archer » dont Pline l’Ancien accorde l’emprunt à Cléostrate de Ténédos, et qui est en tout cas attesté chez Euctémon[4], et dont l’image la plus connue correspond bien à celle de Pabilsag. Mais ils l’ont bien sûr adapté à leur propre imaginaire. Ainsi Ératosthène le voit comme Crotos, le fils d’Euphémé, à qui les Muses ont appris l’usage de l’arc qui lui permit de tirer sa nourriture des bêtes sauvages[5]. Mais pour d'autres auteurs, il représenterait le centaure Pholos[6], ou même à Chiron (lui-même associé à la constellation du Centaure), et il serait en train de viser le Scorpion avec son arc.

Sagittarius dans une édition des Aratea de Germanicus d’époque carolingienne (ca. 830-840).

Les Latins ont traduit Τοξότης par Sagittarius à partir des Aratea, c’est-à-dire les versions latines des Φαινόμενα d’Aratos, à commencer par celles de Ciceron, mais ont utilisé divers synonymes comme Sagittipolens, Sagittiger ou Arcitenens, plus rarement Sagitta" ou Belliter[7].

Chez les Arabes[modifier | modifier le code]

Il faut distinguer le ciel arabe traditionnel, ayant pour base les manāzil al-qamar ou « stations lunaires », et le ciel gréco-arabe, soit celui qui a été emprunté par les astronomes aux Grec dès le début du IXe siècle.

La majeure partie de l’espace de Sagittarius est occupée, dans le ciel arabe traditionnel, par une grande scène animalière nommée النعايم al-Naᶜā’im, « les Autruches », qui correspond à la XXe des manāzil al-qamar ou « stations lunaires »[8], et qui se répartit en deux groupes. L'un est الواردة النعايم al-Naᶜā’im al-Wārida, « les Autruches qui descendent boire » au Fleuve, en arabe ألنهر al-Nahar, qui est un des noms de la Voie lactée, tandis que l'autre est النعايم الصادرة al-Naᶜā’im al-Ṣādira, « les Autruches qui reviennent de boire ». Ces deux groupes sont articulés de part et d’autre de راحي النعايم Rāᶜī al-Naᶜā’im, « le Berger des Autruches ». À côté de cela, deux groupes annexes, الأدحي al-Udḥī, « le Nid » ‒ c’est-à-dire le lieu où l’autruche couve ses œufs ‒, situé dans le Turban du Sagittaire et, surplombant cette scène, الظليمان al-Ẓalīmān, « les Deux Autruches mâles », qui appartiennent à l’espace de l’Aigle dans le ciel gréco-arabe[9]. Ces figures arabes sont à l’origine de plusieurs noms d’étoiles diffusés dans les catalogues contemporains. Notons que la XXIe des manāzil al-qamar ou « stations lunaires » est البلدة al-Balda, soit « le Lieu vide [d'étoiles].

La figure de القوس al-Qaws d'après une copie du traité de ᶜAbd al-Raḥmān al-Ṣūfī, 1606, St-Pétersbourg.
La figure arabe de النعايم al-Naᶜā’im, « les Autruches », groupe situé de part et d'autre de la Voie lactée.



Quand les astronomes arabes ont repris le formage du ciel opéré par les Grecs, Τοξότης, l'« Archer », ils l’ont nommé الرامي al-Rāmī, « le Tireur à l’arc ». Mais ils connaissaient déjà, venu directement de Mésopotamie par l‘araméen Qešta, « l’Arc », القوس al-Qaws, qui était le nom du 9e signe du zodiaque, attesté dans l’horoscope de fondation de la ville de Baghdad en 762, ainsi que nous rapporte l’érudit persan al-Bīrūnī[10]. Ces deux noms sont ainsi utilisés pour la figure du Sagittaire, ce qui se retrouve dans des noms d’étoiles empruntés aux Arabes.

en Europe[modifier | modifier le code]

La figure de Sagittarius dans l’Atlas astronomique dit « d'Al Sufi », XIVe siècle, Italie du nord.


Au Moyen Âge, les clercs latins connaissaient le nom Sagittarius par les encyclopédies et les quelques manuscrits des Aratea, c’est-à-dire les versions latines des Φαινόμενα d’Aratos, à leur disposition, mais ils connurent dès l’an mil le nom arabe de cette figure. Nous lisons ainsi, chez Gérard de Crémone (ca. 1175) : Stellatio Sagittarius & est Arcus[11], qui reprend tel quel Isḥāq b. Ḥunayn qui écrit : كوكب الرامي... وهو القوس kawkab al-Rāmī… wa huwwa al-Qaws[12]. À son époque, on ne lit pas encore le nom grec dans le texte, ce qui n’adviendra qu’à la Renaissance. Et l’on trouve par exemple, dans l’Uranometria de Johann Bayer (1603), une liste de noms connus dans les différentes langues, selon l’usage de l’époque : non seulement Τοξότης, mais encore notamment Elkusu, vel Elkausu, qui sont des transcription de l’arabe القوس al-Qaws, « l’Arc », soit le nom de cette figure dans le ciel arabe traditionnel[13]. Ces noms figurent encore dans plusieurs catalogues jusqu’à ce que la nomenclature approuvée en 1930 par l’Union astronomique internationale (UAI) ne chasse définitivement les appellations autres que Libra, à l’exception du grec Τοξότης.





Le Sagittaire dans l'Uranographia de Johannes Hevelius, 1690.
La figure de Sagittarius dans l’Urania's Mirror, Londres, 1824.

Bibliographie /Nomenclature[modifier | modifier le code]

  • Hermann Hunger, Astral science in Mesopotamia, Leiden / Boston (Mass.) / Köln : Brill, 1999, , 303 p. (ISBN 90-04-10127-6).
  • Paul Kunitzsch, Untersuchungen zur Sternnomenklatur der Araber, Wiesbaden : O. Harrassowitz, 1961 p., , 125.
  • Roland Laffitte, Le ciel des Arabes. Apport de l’uranographie arabe, Geuthner, , 296 p. (ISBN 978-2-7053-3865-7).
  • André Le Bœuffle, Les Noms latins d'astres et de constellations, Paris: Les Belles lettres, , 292+cartes (ISBN 978-2-251-32882-9, ISSN 1151-826X).
  • Otto Neugebauer & Richard A. Parker, Egyptian astronomical texts... 3. Decans, planets, constellations and zodiacs, 2 vol., Providence, R. I. : Brown university press / London : L. Humphries, 1969.
  • Sun Xiachun Sun & Jacob Kistemarker =, The Chinese Sky During the Han, Leiden Köln : Brill, , 240 p..

Présentation[modifier | modifier le code]

Constellation du Sagittaire.
Visibilité nocturne de la constellation.

Situation de la constellation[modifier | modifier le code]

Le Sagittaire est à la croisée de plusieurs alignements.

Il appartient à un immense alignement qui fait le tour du globe, et qui est un axe de repérage majeur de la voûte céleste. Partant de l'arc et la tête (σ Sgr) du Sagittaire, il remonte vers le nord par la tête du Capricorne (β Cap), le long de l'axe du Verseau, pour atteindre la diagonale du Grand carré de Pégase. De là il passe le long de la diagonale d'Andromède, puis par Algol, Capella, Castor et Pollux, Alphard (Hydre, l'extrémité des Voiles puis Acrux et Alpha Centauri, Shaula (λ Scorpii), et enfin reboucle sur le Sagittaire.

Il appartient à un autre grand alignement qui part d'Arcturus du Bouvier, passe par la Tête du serpent et le bas du Serpentaire, passe par Kaus Borealis (λ Sgr) et le « cou » du Sagittaire, Nunki (σ Sgr), et se prolonge vers Fomalhaut du Poisson austral, puis remonte vers Cetus.

Quand le Scorpion est visible, le Sagittaire se repère facilement, par sa forme. Il se situe dans l'axe des deux « yeux du chat » de la queue du Scorpion.

Forme de la constellation[modifier | modifier le code]

Astérisme de la théière.

La constellation est facilement reconnaissable par un astérisme en forme de théière[14]. L'étoile la plus brillante de la constellation est Kaus Australis (ε Sgr), à la base sud de l'arc du Sagittaire. À 10° plus au nord-est se détache Nunki (σ Sgr), qui marque son cou. Ces deux étoiles forment la diagonale d'un quadrilatère, que viennent compléter Kaus Medius (δ Sgr) au nord-ouest, et Ascella (ζ Sgr) au sud-est. Ce quadrilatère marque le corps de la théière. Derrière l'arête est σ - ζ, une étoile plus faible - τ Sgr - marque l'arrondi de l'anse. De l'autre côté, γ forme le point du bec ; et au-dessus du côté nord, λ Sgr marque le point du couvercle.

L’arc du Sagittaire est formé de Kaus Borealis (λ), Kaus Medius (δ) et Kaus Australis (ε) (Kaus signifiant arc en arabe).

La Voie lactée est la plus dense à l’endroit où elle traverse le Sagittaire ; c’est aussi là que se trouve son centre. Par conséquent, le Sagittaire contient un bon nombre d’étoiles brillantes, d’amas stellaires, et de nébuleuses. Charles Messier y a catalogué 15 objets stellaires dans son Catalogue des Nébuleuses et des Amas d'Étoiles.

Étoiles principales[modifier | modifier le code]

Kaus Australis (ε Sgr)[modifier | modifier le code]

Kaus Australis (ε Sgr), l’étoile la plus brillante de la constellation, atteint la magnitude apparente 1,79 (36e du ciel). Distante de 145 années-lumière, c’est une géante bleue, plusieurs centaines de fois plus lumineuse que le Soleil.

C’est une étoile double : son compagnon est de magnitude très faible.

Autres étoiles[modifier | modifier le code]

Les désignations de Bayer du Sagittaire ne suivent pas du tout l’ordre de brillance des étoiles. Nunki (σ Sgr) est la deuxième étoile de la constellation.

KW Sagittarii et VX Sagittarii sont deux supergéantes rouges, qui font partie des plus grandes étoiles qui soient connues.

Objets célestes[modifier | modifier le code]

Les nébuleuses M8 et M20, respectivement en Bas et en Haut.

La constellation du Sagittaire est particulièrement riche en objets célestes, notamment en amas stellaires (amas ouverts et globulaires) et en nébuleuses. On y trouve entre autres plusieurs objets du catalogue Messier, les plus remarquables étant, du côté des nébuleuses, M8, M17 et M20.

La nébuleuse de la Lagune (M8) peut être repérée à l'œil nu grâce à l'amas ouvert NGC 6530 qu'elle renferme, d'une magnitude apparente de 4,6. Les régions les plus brillantes de la nébuleuse en elle-même sont distinguables dans un petit télescope. Au-dessus d'elle, se trouve la nébuleuse M20, dite la nébuleuse Trifide. Sa magnitude apparente relativement faible (de 6,8 à 9,0) la rend difficile à observer. M17 (la nébuleuse Oméga ou du Cygne) se trouve quant à elle au Nord de la constellation. Sa magnitude apparente de 6 la rend visible dans une paire de jumelles.

La constellation abrite aussi de nombreuses nébuleuses planétaires, la plus notable étant la nébuleuse de l'Araignée rouge (magnitude 11,6).

Plusieurs amas ouverts s'y trouvent également, comme M18, M21 (magnitude 5,9) et M25, pour n'en citer que quelques-uns. Notons aussi M24, le nuage du Sagittaire. Distinguable à l'œil nu, il s'agit en fait d'une accumulation d'étoiles sans liens apparents et non d'un amas.

Du côté des amas globulaires, M22 est le plus brillant (magnitude 5,1), distinguable à l'œil nu dans d'excellentes conditions. Un petit télescope permet de résoudre la plupart de ses étoiles les plus brillantes. Notons également M28, situé près de Kaus Borealis (λ Sgr) et M55, à l'Ouest de la constellation.

On trouve aussi quelques galaxies notables, comme la galaxie de Barnard (NGC 6822) et la galaxie naine du Sagittaire, l'une des plus proches de la Voie lactée. Cette région du ciel abrite aussi Sagittarius A, une source radio complexe et associée au centre de la galaxie[15]. Les astronomes pensent que Sagittarius A pourrait contenir un trou noir supermassif.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Roland Laffitte, « L’héritage mésopotamien des Grecs en matière de noms astraux », sur URANOS, le site astronomique de la Selefa. »
  2. Jean Bottéro & Samuel Noah Kramer, « Le mythe d’Anzû », in Quand les dieux faisaient l’homme, Paris : Ndf/ Gallimard, Paris : 19989, rééd. 1993 / Ndf, pp. 389-418.
  3. Roland Laffitte, « Les étoiles de comput dites 'normales' dans les Journaux astronomiques (652-61 av. J.-C.) », sur URANOS, le site astronomique de la Selefa »
  4. André Le Bœuffle, Les Noms latins d’astres et de constellations, éd. Paris : Les Belles Lettres, 1977, pp. 173-176.
  5. Ératosthène, Le Ciel, mythes et histoires des constellations, Pascal Charvet (dir.), Paris : Nil Éditions, 1998, p. 133.
  6. « Sagittaire : origine et signification de votre signe astrologique », sur Cosmopolitan.fr (consulté le )
  7. André Le Bœuffle, Les Noms latins..., op. cit.., pp. 173-176.
  8. Roland Laffitte, Le ciel des Arabes. Apport de l’uranographie arabe, Paris : Geuthner, 2012, pp. 198-203.
  9. Hans Karl Frederik Christian Schjellerup, Description des étoiles fixes composée au milieu du Xe siècle de notre ère par l'astronome persan Abd Al-Rahman Al-Sûfi. Traduction littérale de deux manuscrits arabes de la Bibliothèque royale de Copenhague et de la Bibliothèque impériale de Saint-Pétersbourg…, Saint-Pétersbourg : Eggers et Cie, 1874, repr. Fuat Sezgin, Islamic mathematics and Astronomy, vol. XXVI, Frankfurt am Main : Institut für Geschichte der arabisch-islamischen Wissenschaft an der Johann Wolfgang Goethe-Universität, 1997, pp. 186-188.
  10. Roland Laffitte, Héritages arabes. Des noms arabes pour les étoiles, Paris : Geuthner, 2005, p. 46.
  11. Gérard de Crémone, Almagestum Cl. Ptolemei Pheludiensis Alexandrini astronomorum principis…, Venise : ex. Officina Petri Liechtenstein, 1515, fol. 84r.
  12. Claudius Ptolemäus, Der Sternkatalog des Almagest. I. Die arabischen Übersetzungen, éd. par Paul Kunitzsch, Wiesbaden : Otto Harrassowitz, 1986, p. 251.
  13. (la)Johann Bayer, Uranometria, omnium asterismorum continens schemata, nova methodo delineata…, Augusta Vindelicorum : C. Mangus, 1603, fol. 30r.
  14. « A.S.C.T Section Astronomie : Le Sagittaire », sur www.astrosurf.com (consulté le )
  15. (en) http://www.ianridpath.com/startales/sagittarius.htm

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Gury 1986] Françoise Gury, « La forge du destin : à propos d'une série de peintures pompéiennes du IVe style », Mélanges de l'École française de Rome. Antiquité, t. 98, no 2,‎ , p. 427-489 (DOI 10.3406/mefr.1986.1512, lire en ligne, consulté le ).
  • [Laffitte 2006] Roland Laffitte, « Précisions sur l'origine des noms des signes du zodiaque », Bulletin de la SELEFA, no 7,‎ , p. 1-10 (lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]