SNCASE SE.3130 Alouette II

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Alouette II
Image illustrative de l’article SNCASE SE.3130 Alouette II
Aérospatiale AS 313B Alouette II civil français, photographié en 2012 en Italie.

Rôle Hélicoptère léger polyvalent
Constructeur Sud-Aviation/Aérospatiale
Premier vol
Mise en service 1956
Date de retrait Toujours en service dans certains pays
Nombre construit 1 305
Équipage
1 pilote, 4 passagers
Motorisation
Moteur Turboméca Astazou IIA
Nombre 1
Type Turbomoteur
Puissance unitaire 550 ch
Nombre de pales 3
Dimensions
Image illustrative de l’article SNCASE SE.3130 Alouette II
Diamètre du rotor 10,20 m
Longueur 9,75 m
Hauteur 2,75 m
Masses
À vide 895 kg
Maximale 1 650 kg
Performances
Vitesse de croisière 170 km/h
Vitesse maximale 205 km/h
Plafond 3 200 m
Plafond avec effet de sol 1 800 m
Plafond sans effet de sol 1 200 m
Vitesse ascensionnelle 250 m/min
Distance franchissable 720 km

L'Alouette II est un hélicoptère léger polyvalent produit sous diverses versions par le constructeur aéronautique français SNCASE, devenu en 1970 l'Aérospatiale, et dont le département hélicoptère a par la suite été intégré dans le groupe Eurocopter. C’est aussi le premier hélicoptère au monde certifié avec une turbine à gaz.

Origine[modifier | modifier le code]

À sa création, le , la SNCASE (Société nationale des constructions aéronautiques du sud-est) avait absorbé la firme Lioré et Olivier et son personnel. Or Lioré et Olivier avait un département autogyre dirigé par Pierre Renoux. À la Libération de la France, Pierre Renoux reçut le renfort de quelques techniciens allemands pour tester le birotor Focke-Achgelis Fa 223 Drache, rebaptisé SE.3000.

Pour expérimenter la formule d’un projet de gros tonnage, le SE.3100, Renoux fit ensuite construire un monoplace expérimental, le SE.3101, simple structure tubulaire qui a volé en avec un moteur Mathis de 85 ch et donné naissance à un appareil biplace soigneusement caréné, le SE-3110. Mais le SE.3110 fut détruit sur accident en et l’État-actionnaire menaça de fermer le département voilures tournantes. L’ingénieur Charles Marchetti, qui venait d’être embauché pour seconder Pierre Renoux, fut donc affecté à un autre programme, au moment où Renoux décidait de quitter la SNCASE. C’est donc un tout jeune ingénieur, René Mouille, qui se retrouva à la tête d’une équipe réduite à une vingtaine de personnes chargées de mettre au point ce qui était annoncé comme une « version agricole » du SE-3110 bien que disposant d’un aménagement triplace.

Développement[modifier | modifier le code]

SNCASE SE.3120 Alouette[modifier | modifier le code]

Le prototype SE.3120 Alouette [F-WGGD], que le pilote d’essais Henri Stakenburg réussit à faire décoller le 31 juillet 1951, était équipé d'un moteur à piston Salmson 9NH de 200 ch et souffrait de problèmes de vibrations qui furent heureusement vite résolus. Il affichait aussi d’excellentes performances, mises en évidence par Jean Boulet le  : Il s'adjugea à bord du second prototype [F-WGGE] deux records en circuit fermé : celui de vitesse à 103,913 km/h et celui de distance avec 1 252,572 km. Cet appareil fut testé avec succès dans différentes configurations, mais sa construction s’avéra trop complexe pour qu’une production de série puisse être envisagée.

SNCASE SE.3130 Alouette II[modifier | modifier le code]

Début 1950 le bureau d’études hélicoptères de la SNCASE disposait de sept projets d’hélicoptères équipés de turbomoteurs (X-310A/G) établis par Pierre Renoux avant son départ de la société. Celui-ci suivait en effet avec attention les travaux de Joseph Szydlowski chez Turboméca. La turbine à gaz semblait en effet la réponse aux problèmes posés par les moteurs à piston (poids, encombrement, puissance…), mais les constructeurs américains avaient échoué dans ce domaine. Nommé ingénieur en chef du bureau d’études voilures tournantes le , Charles Marchetti et son équipe pensaient y arriver. Profitant du regain d’intérêt des services officiels suscité par les records obtenus avec le SE.3120, officiellement baptisé Alouette, Marchetti obtint l’accord du directeur technique de la SNCASE, André Vautier, de développer le projet X-310G équipé d’une turbine Artouste, sous réserve de faire vite. Il fallait des résultats concrets dans les deux ans. Le nouvel hélicoptère prit la désignation SE.3130.

Chargé de dessiner l’appareil, René Mouille fit simple en adoptant des systèmes éprouvés : la SNCASE détenant une licence, on utilisa un boitier de transmission principal dérivé de celui du Sikorsky S-55 et un moyeu de rotor principal extrapolé des moyeux allemands et La Cierva. Les pales étaient une combinaison des technologies Bell et Sikorsky. La principale innovation du SE.3130 était donc sa motorisation, que l’on aurait pu se contenter d’appliquer au SE.3120. Mais l’Artouste était passée de 250 (Artouste 1) à 400 ch (Artouste 2) et il devenait possible d’envisager un appareil pour quatre ou cinq passagers, un créneau sans concurrence. Un nouvel hélicoptère fut donc dessiné, même si les grands principes de construction du SE.3120 furent conservés.

Le SE.3130-01, immatriculé F-WHHE, fit son premier vol sur le terrain du Buc le 12 mars 1955, piloté par Jean Boulet et Henri Petit, avec une Artouste II de 360 ch. Quelques problèmes de vibrations vite résolus, un second prototype fut rapidement mis en chantier à La Courneuve. Il prit l’air le , immatriculé F-WHHF. Les qualités incontestables de l'Alouette II donnèrent l'idée aux ingénieurs d'essayer de battre un record. Ce fut fait le 6 juin 1955, à Buc, avec le SE.3130-02 piloté par Jean Boulet qui emmena l'appareil à 8 209 mètres, battant ainsi le record d'altitude pour hélicoptères (Catégories E1 et E1b), détenu depuis le 17 octobre 1954 par le Sikorsky S-59 (en) (XH-39), également motorisé avec une Artouste 2, avec 7 472 m,

La 1003 à Isafjordur (Islande), 17 juillet 2007

Le l'Alouette II 1003 F-GIJE (la plus vieille encore en service) décolle de Lognes pour une première mondiale : la traversée transatlantique de Paris à Oshkosh. Sans le moindre problème technique l'équipage Pascal Petitgenet et David Dahdi dépose, après 65 heures de vol, la 1003 sur le sol américain après avoir traversé l’Angleterre, l’Écosse, les îles Féroé, l’Islande, le Groenland, le Canada et des États-Unis

Le l'Alouette II 1003 F-GIJE est utilisé pour l'évasion de Rédoine Faïd de la prison de Réau en Seine-et-Marne[1].

Vers une production de série[modifier | modifier le code]

Trois appareils de présérie (SE.3130-04/06) prirent l’air les , et . Destinés à la Marine nationale, premier client de l'Alouette II, ils avaient leurs patins remplacés par un atterrisseur quadricycle Messier, facilitant la manutention des hélicoptères sur les navires. Ces appareils étaient destinés à la formation des premiers pilotes de l’Aéronavale, dont la formation fut assurée par Gérard Henry.

Le une Alouette II de présérie allait récupérer à plus de 4 000 m un alpiniste victime d’un malaise cardiaque, et le c’est encore une Alouette II qui allait au secours de l’équipage d’un Sikorsky S-58 qui s'était écrasé dans le massif du Mont Blanc à la recherche des alpinistes Jean Vincendon et François Henry. Ces opérations, largement couvertes par la presse nationale, facilitèrent l’obtention de la certification civile française, délivrée le 2 mai 1957 par la DGAC. Le l’Alouette II devint le premier hélicoptère à turbine à décrocher la certification américaine. En 1963 une Alouette II fut le premier hélicoptère à turbine utilisé en opérations commerciales aux États-Unis.

Sorti d’usine 13 mois seulement après le premier prototype, le premier appareil de série fut livré à l’Armée de l’Air. En une Alouette II de l'Armée de l’Air (no 9) accompagne l’expédition Paul-Émile Victor au Groenland. Si une Alouette II fut livrée dès le mois de à l’agent Sud-Aviation en Suède, le Portugal fut le premier client militaire étranger avec un appareil livré dès .

Production[modifier | modifier le code]

Après fusion de la SNCASE et de la SNCASO en , Sud-Aviation poursuivit le développement de la famille Alouette. L’Alouette II était initialement fabriquée à l'usine de La Courneuve, les essais en vol s'effectuant au Bourget, où un centre d'essais des pales et ensembles mécaniques, le CEHB, fut installé. Mais le succès de l'hélicoptère commandait un agrandissement des installations. L'usine Sud-Aviation de Marignane manquant de charges de travail, la production y fut transférée en 1961, puis les essais en vol en 1962 et l'ensemble des travaux d'études en 1964, l'usine de La Courneuve ne conservant que la fabrication des pales et la direction commerciale.

Outre les deux prototypes, SNCASE, Sud-Aviation, puis Aérospatiale à partir de 1970, ont produit 1 305 Alouette II, soit 923 SE.3130/SE.313B à turbomoteur Turbomeca Artouste (134 civils et 789 militaires) et 382 SE.3180/SE.318C à turbomoteur Astazou (208 civils et 174 militaires). À ces chiffres, il faudrait ajouter un nombre imprécis d'appareils produits sous licence en Suède (2), aux États-Unis (20 appareils produits par Republic Aviation), en Inde (250+) et au Brésil. À noter que Republic Aviation testa sur deux SE.3130 de série (N527 c/n 1129 et N529, c/n 140) un turbomoteur Garrett AiResearch Lark (Alouette en anglais) de 500 ch. Le dernier SA.318C est sorti d'usine au printemps 1975, date à laquelle l'Alouette II était en service dans plus de 80 pays et 47 forces armées.

Description[modifier | modifier le code]

SE 3180 Alouette II de l'ALAT en exposition statique

Le SE.3130 est un appareil de conception simple, dont la structure repose sur un ensemble triangulé en tubes d'acier soudés et gonflés à l’azote, un voyant en bout de queue permettant de détecter les fuites, donc les criques. Cette structure reçoit à l’avant une cabine largement vitrée, équipée de larges portes. On trouve derrière la boite de transmission principale, avec au-dessus un rotor composé de trois pales métalliques à pas variable et en dessous un réservoir de carburant de 596 litres. La turbine est montée au-dessus, juste derrière la boite de transmission. À l’arrière un empennage horizontal, un rotor anti-couple bipale et une béquille de protection. L’ensemble repose en principe sur deux patins, qui peuvent être remplacés par un train quadricycle ou des flotteurs.

L’aménagement standard comprend deux sièges en avant, dont un pour le pilote, et trois sièges à l’arrière, mais les équipements optionnels sont nombreux et permettent une grande variété de missions : transport de charges sous élingue, évacuation sanitaire, pulvérisation agricole, sauvetage avec treuil...

Versions[modifier | modifier le code]

Alouette II 3130 no 01 utilisée par le CEV de Bretigny aujourd'hui au musée du Bourget.
SA-3130 Alouette II de la Heeresfliegertruppe.
  • SE.3130 Alouette II : Modèle de base à turbine Turbomeca Artouste IIC.
    • SA.313 Alouette II : Désignation à partir de 1968 des appareils à turbine Artouste IIC, limités à la masse totale de 1 500 kg.
    • SA.313B Alouette II : Désignation à partir de 1968 des appareils à turbine Artouste IIC6, autorisés à la masse totale de 1 600 kg.
    • HKP 2 Alouette II : Deux SE.3130 produits sous licence en Suède par Saab.
  • SE.3131 Gouverneur : Pour réaliser une version de transport VIP à fuselage entièrement caréné le Président de Sud-Aviation, Georges Héreil, s’adressa au célèbre styliste Raymond Loewy, précurseur du design industriel et promoteur du style dit streamline qu'il appliqua à des voitures ou des locomotives. Le prototype [F-WIEA], réalisé en modifiant un appareil de série (SE.3130 no 1055 F-BIEJ), fut présenté le au Salon du Bourget alors qu’il totalisait à peine une dizaine d’heures de vol. Le suivant, piloté par Jean Boulet, le prototype transporta le Président René Coty du château de Rambouillet à Orly pour y accueillir le Président Eisenhower. Cet appareil ne fut pas commercialisé, les carénages alourdissant l’appareil et perturbant les qualités de vol en lacet, mais participa au programme de développement de l'Alouette III. Le prototype fut par la suite remis au standard et converti en SE.3180.
  • SE.3140 Alouette II : Dans le cadre du programme du futur SE.3200 Frelon, Sud-Aviation a fait voler le un prototype [F-WIEB] avec une turbine libre Turbomeca Turmo II de 400 ch, qui devait permettre de déduire le diamètre du rotor à 8,40 m puisqu’il était possible de faire varier le régime du rotor. Ce modèle ne donna pas les résultats espérés, et après passage au CEV il fut transformé en SE.3130.
  • SE.3150 Alouette Astazou : 2 prototypes construits sur marché d’état dans le cadre du programme Alouette III. Le SE.3150-001 [F-ZWVM] n'était autre que le SE.3130-002 remotorisé avec une turbine Turbomeca Astazou IIA, la boîte de transmission mécanique de l'Alouette III, un rotor principal de 11 m et un rotor anti-couple tripale.
    Pour reprendre le record d’altitude, porté à 9 076 m par le Cessna YH-41, le SE.3150-002 [F-ZWVN] fut allégé au maximum (réservoir plus petit, suppression des instruments de bord non indispensables...) et Jean Boulet soumis à un entraînement spécifique en caisson de décompression. Réimmatriculé [F-ZWVB] il atteignit 9 583 m au-dessus de Brétigny-sur-Orge le piloté par Jean Boulet, record non homologué. Le 13 juin il établit 4 nouveaux records pour hélicoptères (Catégories E1 et E1b) : Temps de montée à 3 000 m (min 31 s), temps de montée à 6 000 m (11 min 1 s), temps de montée à 9 000 m (17 min 44 s) et altitude (10 984 m). C’était la première fois qu’un hélicoptère dépassait l’altitude de 10 000 m. Ce record tiendra 14 ans. Il sera battu par Jean Boulet sur un SA.315B Lama.
  • SA.3180 Alouette II : Évolution du SE.3130, avec turbine Astazou IIA à la consommation spécifique inférieure, mais surtout avec un embrayage centrifuge. Le prototype était la SE-3130 no 1012 de série, devenue SA-3180-01 [F-WHOF], et effectua son premier vol le 31 janvier 1961. Le certificat de navigabilité fut délivré le et les livraisons débutèrent en 1965 avec une série de 15 pour l’ALAT. Le SA-3180-02, qui prit l’air le , était lui un banc d’essais volant pour un nouveau rotor, qui fut développé en association avec l’allemand Bölkow et monté sur le SA.340 Gazelle.
    • SA.318B Alouette II : Désignation à partir de 1968 des appareils à turbine Astazou IIA, limités à la masse totale de 1 600 kg.
    • SA.318C Alouette II : Désignation à partir de 1968 des appareils à turbine Astazou IIA2, autorisés à la masse totale de 1 650 kg.
Alouette II de l'armée belge
  • SA.315B Lama : Évolution du SE.3150 optimisée pour opérations à très haute altitude avec une turbine Turbomeca Astazou IIIB détarée à 550 ch. Destiné à répondre à un besoin indien pour un appareil capable d’opérer dans l’Himalaya, le prototype a volé le 17 mars 1969. Dès 1969 des essais eurent lieu dans l’Himalaya, le prototype effectuant des décollages et atterrissages à l’altitude record de 7 500 m avec deux hommes à bord et 120 kg de carburant. La certification française fut obtenue le et la désignation Lama adoptée en . Cet appareil est détenteur depuis le 21 juin 1972 du record absolu d’altitude pour hélicoptères (Catégorie E1) avec 12 442 m, toujours piloté par Jean Boulet.
    • HAL Cheetah : En 1971 furent finalisés entre Aérospatiale et HAL des accords de licence. Le premier Lama assemblé dans l’usine de Bangalore prit l’air le et les livraisons débutèrent en .
    • HAL Lancer : Modernisation du HAL Cheetah.
    • HB 315B Gaviao : SA.315B produit sous licence au Brésil par Hélibras (en), qui acheta la licence en 1978.

Utilisateurs militaires[modifier | modifier le code]

Anciens utilisateurs[modifier | modifier le code]

Alouette II ouest-allemande armée de 4 Nord SS.11 en 1960.
  • Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud : Huit appareils livrés en à la SAAF et utilisés par la No 17 sqdn pour la formation hélicoptère, toujours en service en 1995.
  • Allemagne de l'Ouest Allemagne de l'Ouest : La république fédérale fut, après la France, le plus gros client de l’Alouette II. Les premiers exemplaires arrivèrent à l’Heeresfliegerwaffenschule (Heer) de Bückeburg en 1959. 226 SE.3130/SA.313B et 54 SA-318C furent livrés. Les Heeresfliegertruppen retirèrent leur dernier appareil de service le , soit après 47 ans de service.
  • Drapeau de l'Angola Angola :
  • Drapeau de l'Autriche Autriche : Seize appareils livrés à la Force aérienne autrichienne, en service de 1958 à 1975.
  • Drapeau de la Belgique Belgique :
    • Aviation Légère de la Force Terrestre (ALFT): Un premier lot de 17 SE.3130 [A01/17] fut acheté en 1959 par l'Armée Belge pour remplacer ses Piper Super Cub de l'Aviation légère de la Force Terrestre (ALFT). En 1967 furent commandés 2 lots de SA.3180 pour un total de 42 appareils [A40/81], dont 31 exemplaires [A47/77] furent assemblés par SABCA. Trois appareils furent envoyés à la Force publique congolaise, les autres répartis entre Light Aviation Flight opérant au Burundi et les escadrilles 15 (Brasschaat), 16 (Butzweilerhof), 17 (Werl) et 18 (Merzbruck), ainsi que l’école d’aviation légère de Brasschaat qui a constitué avec ces appareils une escadrille de présentations aériennes, les Blue Bees. La mise en service en 1992 des Agusta A.109 Hirundo a limité le rôle des Alouette II belges aux missions d'entrainement et de liaison. Après participation aux missions humanitaires de l'ONU en Somalie et au Rwanda en 1993/1994, il ne restait en 1995 qu'une quinzaine d’appareils en état de vol, regroupés dans le 16e Bataillon d’Hélicoptères de Liaison à Butzweilerhof (en), Allemagne. Cette unité a été rapatriée sur Bierset en et l’école d’aviation légère ayant fermé en 2006, les derniers appareils ont été retirés de service et stockés en 2007. Le dernier vol s'est déroulé en [4]. 23 vendu à une société privée le qui en exporte 4 à Madagascar[2].
    • Gendarmerie : En 1968 ont aussi été achetés 6 SA.3180 Alouette II [A90/95] pour la Gendarmerie. Pilotés et entretenus par l'Armée pour le compte de la Gendarmerie, un exemplaire a été perdu en 1968, les autres réformés entre et .
  • Drapeau du Bénin Bénin : Au moins un appareil en service en 1981 et 1986 au sein des Forces armées béninoises.
  • Drapeau du Biafra Biafra : Plusieurs utilisés en 1967 pendant la guerre du Biafra. Achetés en France via une compagnie Luxembourgeoise[5].
  • Drapeau du Brésil Brésil : Force aérienne brésilienne, Alouette II en service en 1971.
  • Drapeau du Cambodge Cambodge : huit Alouette II livrées à l’armée khmère[Quand ?].
  • Drapeau du Cameroun Cameroun: 5 SA.318C livrés en 1968, toujours en service en 1986.
  • Drapeau de la république démocratique du Congo République démocratique du Congo : 3 SA.318C livrés à la force aérienne en 1971.
  • Drapeau de la Corée du Sud Corée du Sud :
  • Drapeau de la Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire : deux achetées par les forces armées en 1963.
  • Drapeau de Djibouti Djibouti : Un SE.3130 des surplus de l’armée française remis à l’aviation de Djibouti en 1979.
  • Drapeau de la Finlande Finlande : L’Ilmavoimat a utilisé deux SE.3130 Alouette II de 1966 à 1975.
Alouette II SE.3130 de la Gendarmerie nationale française en 1968.
  • Drapeau de la France France : 394 exemplaires militaires ont été livrés aux trois armées :
    • Marine nationale : 26 appareils utilisés de 1955 à 1997, les premiers appareils entrant en service à l'’escadrille 23S dès 1956. Les escadrilles 10S (1955/56), 20S (1956/1991), 22S et 58S (1956/60), la flottille 35F et la section marine à l’ESALAT de Dax furent ensuite équipés. Basée à Saint-Raphaël, la 10S utilisa des appareils équipés de flotteurs pour observer le lancement de torpilles, et en arrivèrent les premières Alouette II à roues, mieux adaptées aux appontages. Remplacés progressivement par les Alouette III dans les années 1970 puis les AS-365F Dauphin dans les années 1990, elles continuèrent à assurer la formation des pilotes et les missions de soutien au profit du Centre d’essais de Méditerranée. Le dernier vol d’une Alouette II de l’Aéronautique Navale a eu lieu le , à la 23S.
    • Armée de l'Air : 139 appareils, utilisé jusqu’en 1996. Les deux escadres d’hélicoptères de l’Armée de l’Air constituées en 1956 participèrent aux opérations en Algérie, non sans quelques problèmes d’adaptation. Les Alouette II furent principalement utilisées comme postes de commandement volants.
    • Armée de Terre : 229 pour l’ALAT, qui effectua des essais de tir de missiles anti-char AS.10 et AS.11
    • Gendarmerie : Utilise des Alouette II de 1955 à 1989.
  • Drapeau de la Guinée-Bissau Guinée-Bissau : Une SA.313B en service à l’escadron de transport de Bissau-Bissalanca en 1999.
  • Drapeau de l'Indonésie Indonésie : Trois livrées aux forces armées[Quand ?].
  • Drapeau d’Israël Israël : Trois SE.3130 vendues au Heyl Ha’avir (c/n 1222/4) et un SE.313B (c/n 1887) acheté sur le marché civil allemand[Quand ?]. Un appareil immatriculé 4X-HBM/021 est conservé en Israël, mais son identité n'est pas connue, l'hélicoptère portant cette identification étant le (c/n 1887) qui a été revendu en Suisse[Quand ?].
  • Drapeau du Laos Laos : Deux vendues aux Forces armées[Quand ?].
  • Drapeau du Liban Liban : Quatre SE.3130 vendus à l’armée libanaise[Quand ?], dont deux étaient toujours en service en 1999.
  • Drapeau du Maroc Maroc : Sept Alouette II livrées aux Forces armées royales[Quand ?].
  • Drapeau du Mexique Mexique : Deux appareils[Quand ?].
  • Drapeau du Monténégro Monténégro : Trois appareils SE.313[Quand ?].
  • Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas : Huit appareils livrés à l’Forces aériennes royales néerlandaises[Quand ?] et utilisés en Indonésie.
  • Drapeau du Pérou Pérou : Huit SA.318C livrés à l’Armée en . Ils ont été remplacés une dizaine d’années plus tard par un nombre identique de SA.315B Lama.
  • Drapeau du Portugal Portugal : Le ministère de la Défense portugais fut le premier client militaire à l’exportation, une Alouette II (c/n 1082) étant convoyée en vol de Paris à Lisbonne entre les 4 et . Sept appareils livrés à la Force aérienne.
  • Drapeau de la République centrafricaine République centrafricaine : Utilisé par la Force aérienne Centrafricaine[Quand ?].
  • Drapeau de la République dominicaine République dominicaine : Deux SE.3130 pour l’Escuadrón de Helicópteros de San Isidro de la Force aérienne dominicaine, toujours en service en 1998.
  • Drapeau du Salvador Salvador :
  • Drapeau du Sénégal Sénégal : Entre 1965 et 1972 l’Armée de l'air sénégalaise a pris livraison de cinq Alouette II.
  • Drapeau de la Suède Suède : Les trois services des forces armées suédoises ont utilisé au total vingt-cinq Alouette II. Dès une Alouette II (c/n 1062) avait été livrée à l’agent de Sud-Aviation en Suède.
Ancienne Alouette II des Forces aériennes suisses (2010)
  • Drapeau de la Suisse Suisse : Trente SE.3130 (V-41 à V-70), 10 reçus entre 1958 et 1959 puis 20 autres en 1964, ont équipé les Escadrilles légères d'aviation 1, 2, 4 et 5 (Leichte Fliegerstaffel) des Forces aériennes suisses. Une quinzaine d'exemplaires étaient toujours en service en 1986, ce type d'appareil ayant été réformé en 1992. Le , 16 machines et équipements ont été vendus aux enchères à Alpnach.
  • Drapeau du Togo Togo : L'Escadrille de Transport de l'Armée de l'air togolaise a reçu deux Alouette II en 1979 et un ou deux SA.315B Lama en 1980. Ils étaient toujours en service en 1986.
  • Drapeau de la Turquie Turquie : Dix-huit SA.318C livrés à l’armée turque[Quand ?], et transférés ultérieurement à la gendarmerie ou à la police.
  • Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni : Dix-sept Alouette II ont été livrées à l’Army Air Corps[Quand ?].
  • Drapeau de la République du Sud-Viêt Nam République du Viêt Nam :

Incidents et accidents[modifier | modifier le code]

Ici ne seront listés que les accidents et incidents mortels ou impliquant plusieurs appareils (liste non exhaustive).

Date Lieu Modèle Numéro de série

Immatriculation

Opérateur Causes Nombre de victimes
Drapeau de la France Mer de Glace SE.3130 Alouette II 1075/C9 Aviation légère de l'Armée de terre Crash pendant le sauvetage d'un alpiniste sur le glacier. 4 morts
Drapeau de la France Vallée Blanche SE.3130 Alouette II ? Mont Blanc Aviation Percute une ligne électrique. 4 morts
Drapeau de la Belgique Astrida SE.3130 Alouette II 1293/127C (A01) Force Aérienne Belge Pilotage à la limite de puissance du moteur, entraînant un arrêt de celui-ci à basse altitude. L'appareil s'écrase dans une pente[6]. 2 survivants
Drapeau de la république du Congo-Léopoldville Lac Tanganyika SA.318C Alouette II ? (A02) Force aérienne belge Mauvaises données de vol lors d'un vol de nuit, s'écrase dans un lac. 2 morts, 3 survivants
Drapeau de la France Aix-les-Bains SE.3130 Alouette II ? Force aérienne belge Percute en vol un Bell 47 français. 6 morts (4 dans l'Alouette)
Drapeau de l'Autriche Götzener Lizum SE.3130 Alouette II 1126 (3D-XT) Force aérienne autrichienne Percute un câble puis s'écrase. 1 mort, 2 blessés graves
Drapeau de l'Allemagne Stetten am kalten Markt SE.3130 Alouette II 1447 (PJ+331) Heeresfliegertruppe Percute une ligne électrique puis s'écrase. 4 morts
Drapeau de l'Allemagne Cassel SE.3130 Alouette II 1574 (PG+133) Heeresfliegertruppe Percute une ligne électrique et s'écrase dans une rivière. 4 morts
Drapeau de la Suède Vidsel SE.3130 Alouette II 1176 (SE-HDB) Svensk Flygtjänst AB (en) Un bouchon de chargement se détache et percute le rotor de queue. 2 morts
Drapeau de la Suède Orust HKP 2 Alouette II ? (Y111) Marine royale suédoise Percute une ligne électrique 3 morts
Drapeau de la Guinée-Bissau Bissalanca Sud Aviation SE 3130 Alouette II 1107 (C20) Force aérienne portugaise ? 2 morts
Drapeau d’Israël Israël SE.3130 Alouette II 1223 (08/4X-BAA) Force aérienne et spatiale israélienne Crash au sol 2 morts et 2 blessés
Drapeau de la France Cannes SE.3130 Alouette II ? Aviation légère de l'Armée de terre Percute un Sikorsky S-55 en vol. 3 morts (2 dans l'Alouette)
Drapeau de l'Allemagne Mariental SE.3130 Alouette II 1835/C469 (PF+145) Heeresfliegertruppe Percute une ligne électrique 2 morts
Drapeau de la France Toulon SE.3130 Alouette II ? Aviation légère de l'Armée de terre S'écrase dans la mer puis coule. 4 morts
Drapeau de l'Allemagne Birkenhördt SE.3130 Alouette II 1567 (XR377) Army Air Corps Percute une ligne électrique 1 mort et 2 survivants
Drapeau des États-Unis Banning SA.318C Alouette II Astazou 1963 (C-FBHL) Llock Helico Perte de contrôle après avoir percuté des arbres. 2 morts, 1 blessé
Drapeau de la Suisse Grossschlierental 2 SE.3130 Alouette II 1904 (V-58) & 1921 (V-67) Forces aériennes suisses Collision en vol, le V-67 s'écrase au sol et le V-58 parvient à réaliser un atterrissage catastrophe à Alpnach. Un troisième appareil sera très légèrement endommagé par des débris. 1 mort
Drapeau de l'Allemagne Krumbach SE.3130 Alouette II 1817/C451 (PY+207) Heeresfliegertruppe S'écrase dans un champ. 3 morts
Drapeau du Nigeria Nigeria SE.3130 Alouette II ? Forces armées nigérianes S'écrase au sol. 3 morts
Drapeau de l'Allemagne Mer du Nord SE.3130 Alouette II 1768/C420 (D-HICA) Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt Devait rejoindre un bateau mais s'écrase dans la mer à cause de fortes chutes de neige. 2 morts
Drapeau de la Belgique Bruxelles SE.3130 Alouette II ? Police belge Percute une ligne électrique. 2 morts
Drapeau de l'Allemagne Todtmoos SE.3130 Alouette II 1658/C344 (76+42) Heeresfliegertruppe S'écrase au sol. 2 morts
Drapeau de l'Allemagne Untermässing SE.3130 Alouette II 1350/C158 (75+41) Heeresfliegertruppe S'écrase à cause du blizzard. 1 mort
Drapeau de l'Allemagne Tauberbischofsheim SE.3130 Alouette II 1659/C345 (76+43) Heeresfliegertruppe Percute une ligne électrique. 1 mort
Drapeau de l'Allemagne Verden SE.3130 Alouette II 1748/C405 (76+73) Heeresfliegertruppe S'écrase dans une rivière après un bruit d'explosion. 2 morts
Drapeau de la Suisse Mittlenberg, Binntal SE.3130 Alouette II 1925 (V-69) Forces aériennes suisses Perte du rotor arrière. 1 mort
Drapeau de l'Allemagne Mechernich SE.3130 Alouette II ? Heeresfliegertruppe ? 1 mort
Drapeau de l'Irlande Wicklow Head SA.318C Alouette II 1971/C599 (G-AWEE) Samuelson Aviation Une réplique de Royal Aircraft Factory S.E.5 percute l'Alouette pendant le tournage du film Zeppelin. 3 + 1 morts
Drapeau de l'Allemagne Antonigraben SA.318C Alouette II 2129/A205 (77+70) Heeresfliegertruppe S'écrase au sol puis prend feu. 2 morts et 1 blessé
Drapeau des États-Unis Glendora Aérospatiale Alouette II 2048 (N2355) Western Helico Surcharge de l'appareil. 5 morts
Drapeau de la Suisse Rüti SE.3130 Alouette II 1898 (V-55) Forces aériennes suisses Panne moteur à cause de la neige. Atterrissage d'urgence dans une forêt. 1 mort et 2 blessés
Drapeau des États-Unis Anaktuvuk Pass SA.318C Alouette II 2060 (N9222) Gay Airways Neige. 2 morts et 2 survivants
Drapeau des États-Unis Lake Minchumina Aérospatiale Alouette II 2227 (N4966) Bureau of Land Management Le pilote n'a pas assez mis les gaz. 1 mort et 4 survivants
Drapeau de la France Montfort-l'Amaury SE.313B Alouette II 1202 (F-BTAP) Héli-Union Percute une ligne électrique. 2 morts
Drapeau de l'Autriche Knittelfeld SE.3130 Alouette II 1156 (3D-XV) Force aérienne autrichienne Percute une ligne électrique. 1 mort, 2 blessés
Drapeau de l'Autriche Admonter Reichenstein SE.3130 Alouette II 1125 (3D-XS) Force aérienne autrichienne Un câble touche le rotor principal. 3 morts
Drapeau de l'Allemagne Base militaire de Bergen SE.3130 Alouette II 1790/C433 (76+88) Heeresfliegertruppe Percute une ligne électrique 1 mort et 1 blessé
Drapeau de l'Allemagne Rheinau SA.318C Alouette II 1948 (D-HIFE) Polizei Baden-Württemberg Panne moteur. 3 morts
Drapeau de l'Allemagne Olpe SE.3130 Alouette II ? Bundesgrenzschutz Percute une ligne électrique. 1 mort et 1 survivant
Drapeau de l'Allemagne Düsseldorf SA.318C Alouette II 1937/C569 (D-HAKA) Luft-Transport-Dienst F. Stetzler Percute une ligne électrique. 2 morts et 1 survivant
Drapeau de l'Allemagne Northeim 2 SE.3130 Alouette II ? Heeresfliegertruppe 2 Alouette II se percutent lors d'un vol en formation. 4 morts (2+2)
Drapeau de l'Allemagne Eschershausen SE.3130 Alouette II ? Heeresfliegertruppe S'écrase dans un bois. 3 morts
Drapeau du Togo Lomé SA.318C Alouette Astazou 2250 (5V-MAJ) Armée de l'air togolaise S'écrase dans la mer. 5 morts
Drapeau de l'Allemagne Ottersberg SE.3130 Alouette II 1625/C321 (76+29) Heeresfliegertruppe S'écrase puis brûle. 2 morts
Drapeau de la France Marigny SE.3130 Alouette II ? Aviation légère de l'Armée de terre ? 4 morts
Drapeau de l'Allemagne Straßberg SE.3130 Alouette II 1311/C138 (75+29) Heeresfliegertruppe Percute un North American OV-10 Bronco de l'United States Air Force lors d'un exercice de l'Otan. 2 + 1 morts
Drapeau des États-Unis Savoonga SA.318C Alouette Astazou 2168 (N9367) Evergreen Helicopters Of Alaska Mauvaise visibilité puis erreur de pilotage. 2 morts et 1 blessé
Drapeau de la République fédérative socialiste de Yougoslavie Aéroport de Rijeka SE.3130 Alouette II 1648 (G-FILM) Alan Mann Helicopters Percute des câbles téléphoniques pendant le tournage des Aventuriers du bout du monde. 3 morts
Drapeau du Royaume-Uni The Wash SA.318C Alouette II 1966 (G-AWAP) Helicopter Hire Ltd Panne du rotor principal, s'écrase sur un Banc de sable. 4 morts
Drapeau de l'Allemagne Kürten SE.3130 Alouette II 1533/C264 (75+97) Heeresfliegertruppe S'écrase après un wire strike. 1 mort, 2 blessés
Drapeau des États-Unis Siletz SA.318C 2227 (N4966) Privé Baisse de puissance alors qu'il était en train d'être chargé de troncs de cèdre. 1 mort
Drapeau de l'Allemagne Bückeburg 2 SE.3130 Alouette II 1840/C474 (76+95) et 1576/C289 (76+12) Heeresfliegertruppe La première attendait au sol pour décoller et est percutée par la seconde en train d'atterrir. 1 mort (dans la 2e Alouette)
Drapeau de l'Italie Monte Viu SE.3130 Alouette II 1546 (I-TRAN) Elilombarda S'écrase dans un ravin à cause du mauvais temps. 3 morts
Drapeau de l'Italie Monte Colmo SA.318C Alouette II 1683 (I-REMA) Elilombarda Panne du rotor principal. 4 morts
Drapeau de l'Allemagne Brunswick SA.318C Alouette II ? Bundesgrenzschutz S'écrase dans un champ lors d'un vol de nuit. 2 morts
Drapeau de la France Col du Lautaret SE.3130 Alouette II 1714 (F-GMJM) Helivalto Percute la montagne. 3 morts
Drapeau de la France Vitrolles SA.318B Alouette Astazou 1979 (F-BJQK) Méditerranée Percute une ligne électrique. 2 morts et 2 blessés
Drapeau de la France Hyères Aérospatiale Alouette II 1113 (1113) Force maritime de l'aéronautique navale Prend feu pendant son vol, atterrissage brutal. 4 morts
Drapeau de la Belgique Brasschaat SA.318B Alouette II 2110 (A76) Force aérienne belge Panne moteur. 2 morts
Drapeau de l'Allemagne Dögen SA.318C Alouette II 2026 (D-HEDI) Bundesgrenzschutz S'écrase puis prend feu dans un forêt pendant un vol de nuit. 3 morts
Drapeau de la France Lognes SE.313B Alouette II ? (F-GLPV) Heli Plaisance S'écrase dans un bois. 2 morts et 2 blessés
Drapeau de la France Conca SE.313B Alouette II ? (F-GIJL) Helidan S'écrase pendant un vol de contrôle des lignes électriques. 4 morts
Drapeau de la Turquie Kemer SA.318C Alouette Astazou ? Emniyet Müdürlüğü Antalya Perd son rotor principal après avoir percuté une ligne électrique. 4 morts
Drapeau de la France Salin-de-Giraud SE.318B Alouette II 1386 (F-GZFS) Privé Retombe au sol alors qu'il décollait. 3 morts au sol
Drapeau de l'Italie Bollate SA.318C Alouette Astazou 1786 (I-GKBM) ASSAS ? 2 morts
Drapeau de Madagascar Anjozorobe SA.318C Alouette Astazou 2187 (5R-MHY) Madagascar Helicopter ? 2 morts
Drapeau de la Turquie Bosphore SA.318C Alouette Astazou 2008/C635 (EM-2008) Emniyet Müdürlüğü Istanbul S'écrase dans la mer. 4 morts et 1 survivant
Drapeau de l'Espagne El Cuervo de Sevilla SE.3130 Alouette II Non-immatriculé Privé S'écrase, la police pense qu'il transportait de la drogue. 3 morts
Drapeau de l'Italie Gaby PD.318C 001 (I-PAAD) Privé ? 2 morts
Drapeau du Royaume-Uni Breighton Airfield (en) SE.3130 Alouette II 1500 (HA-PPC) Privé S'écrase à son atterrissage. 1 mort et 4 blessés

Dans la culture[modifier | modifier le code]

Cinéma et télévision[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « L’incroyable histoire de l’hélicoptère utilisé par Rédoine Faïd pour s’évader », sur Le parisien
  2. a et b Damien Spleeters, « L’armée belge ignore à qui elle revend ses armes », sur La Libre Belgique, (consulté le )
  3. Fabrice Floch, « Madagascar : crash d'un hélicoptère de l'armée à Ivato - Réunion la 1ère », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  4. Derniers tours de pales en Alouette II - La Libre Belgique -
  5. (en) Philip Jowett, Modern African Wars (5) : The Nigerian-Biafran War 1967-70, Oxford, Osprey Publishing Press, , 48 p. (ISBN 978-1-4728-1609-2), p. 18.
  6. Jean-Marie Vander Vorst, Dans le ciel d'Afrique, Forum 6ème année, N°2, p. 21-22

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]