Rue de Rivoli

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1er, 4e arrts
Rue de Rivoli
Voir la photo.
La rue de Rivoli (à droite, le jardin des Tuileries).
Voir la plaque.
Situation
Arrondissements 1er
4e
Quartiers Saint-Germain-l'Auxerrois
Halles
Palais-Royal
Saint-Merri
Saint-Gervais
Début 45, rue François-Miron et 1, rue de Sévigné
Fin Place de la Concorde et 2, rue Saint-Florentin
Morphologie
Longueur 3 070 m
Largeur Le long du
jardin des Tuileries : 20,78 m
Ailleurs : 22 m
Historique
Création
Dénomination
Géocodification
Ville de Paris 8229
DGI 8249
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue de Rivoli
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La rue de Rivoli est une voie située dans le 1er arrondissement (du no 41, côté impair et du no 98, côté pair à la fin) et le 4e arrondissement (du début au no 39, côté impair et du début au no 96, côté pair) de Paris.

Situation et accès

Elle s’étend sur près de 3 km, de la rue de Sévigné jusqu’à la place de la Concorde. Elle traverse notamment la place des Pyramides (célèbre pour sa statue de Jeanne d'Arc). Elle est bordée d’arcades sur son côté nord sur une grande partie de sa longueur dessinée par Percier et Fontaine.

La partie occidentale de la rue (qui correspond à peu près à la partie aux arcades) a été percée sous le Premier Empire.

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Les parties centrale et orientale a été rajoutées lors des travaux du baron Haussmann afin de la connecter à la rue Saint-Antoine et de créer ainsi un grand axe est-ouest dans le centre de Paris.

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Ce site est desservi par les stations de métro Saint-Paul, Hôtel de Ville, Châtelet, Louvre - Rivoli, Palais Royal - Musée du Louvre, Tuileries et Concorde.

Voies rencontrées

La rue de Rivoli rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :

Origine du nom

Elle porte le nom de la bataille de Rivoli, remportée par Napoléon Bonaparte sur l'Autriche en 1797.

Historique

Le percement du premier tronçon de la rue (années 1800)

Le 17 vendémiaire an X (9 octobre 1801), un arrêté prévoit que « sera percée une rue dans toute la longueur du passage du Manège jusqu'à celle de Saint-Florentin ».

Un deuxième arrêté en date du 1er floréal an X (21 avril 1802) indique :

« Les consuls de la République arrêtent :
  • Article 1 : les terrains appartenant à la République, situés dans le cul-de-sac du Manège, longeant la terrasse des Feuillants, ainsi que l'ensemble des terrains occupés par les Feuillants, les Capucins et l'Assomption seront mis en vente.
  • Article 2 : le plan annexé au présent arrêté sera suivi et exécuté dans toutes ses parties et servira de base pour dresser le cahier des charges.
  • Article 3 : le manège sera établi à Saint-Cloud dans le courant de l'été.
  • Article 4 : l'aile du Nord du palais des Tuileries sera disposée pour le service des caisses d’État et des différentes sections, conformément au plan annexé au présent arrêté.
  • Article 5 : la façade de la place du Carrousel, depuis l'hôtel de Crussol jusqu'à la rue des Orties-du-Louvre, sera exécutée conformément au plan annexé.
  • Article 6 : il sera fait dans le courant de l'été, à l'école militaire, les augmentations nécessaires pour loger deux bataillons complets, indépendamment de la cavalerie.
  • Article 7 : tous les fonds provenant des ventes ordonnées par le présent arrêté, seront versés dans la caisse du trésorier du gouvernement, à la charge de pourvoir à toutes les dépenses que nécessiteront ces travaux.
  • Article 8 : le ministre des Finances et le gouverneur du Palais sont chargés de l'exécution du présent arrêté.
Le premier Consul,
Signé: BONAPARTE. »

Le 2 frimaire an XI (23 novembre 1802), les architectes Percier et Fontaine dressent les plans de la rue dont la largeur est fixée à 20,85 m.

Des conditions drastiques sont insérées dans chaque contrat d'aliénation. Elles prévoient « de bâtir les façades en pierre d'après les plans et dessins des architectes du palais, approuvés par le gouvernement ; de daller en pierre dure le sol de la galerie ; de paver la rue dans la largeur vis-à-vis chaque division de terrain, conformément aux règlements établis à ce sujet ».

D'autres conditions montrent la volonté de faire de la rue un espace exempt des incommodités : « Les maisons ou boutiques qui seront construites sur ce lot ne pourront être occupées par des artisans et ouvriers travaillant du marteau ; elles ne pourront non plus être occupées par des bouchers, charcutiers, pâtissiers, boulangers, ni autres artisans dont l'état nécessite l'usage d'un four ; il ne sera mis aucune peinture, écriteau ou enseigne indicative de la profession de celui qui occupera sur les façades ou portiques des arcades qui décoreront le devant des maisons sur la dite rue projetée. »

Le 30 pluviôse an XII (20 février 1804), le premier consul Napoléon Bonaparte proclame un nouveau décret.

Le percement de cette première partie de la rue de Rivoli fait disparaitre, partiellement ou totalement :

En 1817, la rue de Rivoli était située dans l'ancien 1er arrondissement, quartier des Tuileries et commençait aux 1-2, rue Saint-Nicaise et place du Carrousel et finissait 2, rue Saint-Florentin et place Louis XV. Les numéros de la rue étaient noirs[2]. Il n'y avait pas de numéro impair, celui-ci étant situé le long du jardin des Tuileries et le dernier numéro pair était le no 58.

Le prolongement de la rue (années 1840-1850)

Plusieurs projets de réunion du Louvre et des Tuileries sont présentés au début du XIXe siècle. Il prévoit le prolongement de la rue de Rivoli entre la rue de Rohan et la place de l'Oratoire. Louis Visconti est chargé en 1848 d’établir un nouveau projet. Il prévoit également la construction d'une grande galerie et le prolongement de la rue. Les abords du Louvre et des Tuileries sont dégagés et la première pierre du nouveau Louvre est posée le 25 juillet 1852. Le 23 décembre 1852, le prolongement des arcades entre le galerie Delorme et la rue du Louvre est déclaré d'utilité publique[3],[4]. Les Grands Magasins du Louvre et le premier hôtel du Louvre sont alors construits.

En 1844, la rue de Rivoli, qui était toujours située dans l'ancien 1er arrondissement, quartier des Tuileries, était longue de 950 m et commençait rue de Rohan et finissait 2, rue Saint-Florentin et place de la Concorde[1].

Le 3 mai 1848, le projet de prolongement de la rue de Rivoli entre la place de l'Oratoire et la rue Saint-Antoine est déclaré d'utilité publique[5].

Les expropriations nécessaires sont autorisées par une loi du 4 août 1851 et des décrets des 23 mai 1850[6], 26 mars 1852[7], 23 octobre 1852[8], 19 février 1853[9], 15 novembre 1853[10] et 29 septembre 1854[11].

Ce prolongement s'effectue par d'immenses travaux dans les années 1850 qui comprennent l'arasement de la butte Saint-Jacques de la Boucherie pour établir la continuité d'un profil régulier de la nouvelle rue ce qui entraine la destruction et reconstruction du quartier entre la place du Châtelet et la place de l'Hôtel-de-Ville avec l'ouverture de nouvelles voies notamment l'avenue Victoria et la création du square de la tour Saint-Jacques. Cet arasement explique le surplomb de la tour Saint-Jacques avec des marches du square à la plateforme du niveau d'entrée et les escaliers de la rue Cloche-Perce de part et d'autre de la rue de Rivoli pour accéder aux rues parallèles restées à leur niveau d'origine, rue du Roi-de-Sicile au nord, rue François-Miron (anciennement tronçon de la rue Saint-Antoine) au sud, les marches sur un trottoir de la rue des Mauvais-Garçons et la pente à l'entrée de la rue des Archives vers la rue de la Verrerie également non nivelée[13].

Voies et monuments disparus ou raccourcis

Le percement de la rue et ses opérations connexes, comme l'extension de la place de l'Hôtel-de-Ville et le percement de la rue des Halles par exemple, entraînent la disparition, totale ou partielle, d'un grand nombre de rues anciennes[14] :

Autres voies disparues

Place de Birague

La « place de Birague » était située rue Saint-Antoine, en face du Lycée Charlemagne, en partie quartier du Marais, dans l'ancien 8e arrondissement de Paris et en partie quartier de l'Arsenal, dans l'ancien 9e arrondissement de Paris.
Le cardinal de Birague, chancelier de France, né à Milan, et mort à Paris en 1583, ayant fait construire, en 1677, la fontaine qui était au milieu de cette place, la fontaine et la place prirent le nom de Birague. Cette fontaine fut reconstruite en 1627 et en 1707. Anciennement, le cimetière des Anglais était sur cette place[15].

Galerie Delorme

La « galerie Delorme », également appelé « passage Delorme », située quartier des Tuileries, dans l'ancien 1er arrondissement de Paris, débutait, en 1817, au no 14 de la rue de Rivoli et finissait au no 287 rue Saint-Honoré[2].
C'était un passage couvert, couvert d'un vitrage et ornée de boutiques de chaque coté, construit en 1808 par M. Delorme et Nicolas Vestier[16].

Passage de l'Empereur

Le « passage de l'Empereur », situé quartier des Marchés, dans l'ancien 4e arrondissement de Paris, commençait au no 41 rue Saint-Denis et finissait au no 2 rue de la Vieille-Harangerie.
Il est fait mention de ce passage dès l'année 1372, qui doit son nom à une enseigne.

Passage du Manège

Le « passage du Manège » était situé entre la salle du Manège, auquel il conduisait (d'ou son nom), et la rue du Dauphin, qui était le prolongement de la rue Neuve-Saint-Roch, et du passage des Écuries-du-Roi.
C'est dans la salle du Manège, correspondant au no 230 de la rue de Rivoli, que fut jugé Louis XVI et où fut proclamée la 1re République[17].

Rue de Montpensier-Saint-Honoré

La « rue de Montpensier-Saint-Honoré » était située quartier des Tuileries, dans l'ancien 1er arrondissement de Paris. La rue d'une longueur de 24 mètres, commençait aux nos 1-2 rue de Valois-Saint-Honoré et finissait aux nos 10-12 rue de Rohan. Le dernier numéro impair était le no 5 et le dernier numéro pair était le no 4.
Elle a été formée sur l'emplacement de l'ancien hôpital royal des Quinze-Vingts, en vertu des lettres-patentes en date du , registrées au parlement le 31 du même mois. Cette rue prit le nom de « rue de Montpensier » en l'honneur du duc de Montpensier, (Antoine d'Orléans), second fils du duc d'Orléans (Louis-Philippe d'Orléans)[18].

Marché et passage des Quinze-Vingts

Le « marché des Quinze-Vingts» était situé dans le « passage des Quinze-Vingts », dans lequel il était inclus, quartier des Tuileries, dans l'ancien 1er arrondissement de Paris. Le passage commençait aux nos 4-6 rue Saint-Louis-Saint-Honoré et finissait au no 265 rue Saint-Honoré. Le passage et le marché sont visibles à l'Ouest de la rue Saint-Nicaise sur les plans de Jaillot de 1713 (sous le nom de « le Petit Marché de la rue Saint-Honoré »), de Roussel de 1731, de Jaillot de 1775, de Junié de 1786.
Ce passage est ainsi nommé parce qu'il se situe, comme les maisons qui l'entourent, à l'emplacement d'un vaste clos de 45 arpents (env. 15 ha) ayant appartenu à l'hospice des Quinze-Vingts [19].

Rue des Quinze-Vingts

La « rue des Quinze-Vingts » située quartier des Tuileries, dans l'ancien 1er arrondissement de Paris, commençait aux nos 3 et 5 rue de Valois et finissait aux nos 20 et 22 rue de Rohan, avait les numéros rouges, le dernier numéro impair était le no 3 et le dernier numéro pair était le no 6.
Ainsi nommée parce qu'elle fut percée, vers l'an 1784, sur l'emplacement d'une partie des bâtiments de l'ancien hospice des Quinze-Vingts. Elle disparue lors de de la réunion des palais du Louvre et des Tuileries et de la création de la rue de Rivoli.

Impasse de la Petite-Bastille

L'« impasse de la Petite-Bastille » également appelée « cul-de-sac de la Petite-Bastille » était située quartier du Louvre puis quartier des Tuileries, dans l'ancien 4e arrondissement de Paris et était situé entre les nos 36 et 38 de la rue de l'Arbre-Sec. Les numéros étaient rouges et le seul impair était le no 1 et le seul numéro pair était le no 2.
En 1499, dans les censiers de l’évêché, elle est appelée « ruelle sans bout ». En 1540, on la désignait sous le nom de « ruelle Jean-de-Charonne ». Sa dernière dénomination lui vient de l'enseigne d'un cabaret qui se trouvait encore en 1788 dans le fond de cette impasse. Une décision ministérielle, en date du 13 février 1810, signée Montalivet, fixe sa largeur à 7,60 mètres.

Passage du Petit-Saint-Antoine

Le « passage du Petit-Saint-Antoine » situé quartier du Marché Saint-Jean, dans l'ancien 7e arrondissement de Paris, commençait aux nos 67 et 69 rue Saint-Antoine et finissait au no 25 rue du Roi-de-Sicile.
Le Petit-Saint-Antoine était une maison de chanoines dont l'établissement datait de 1361. Le but primitif de cette institution était de porter secours aux malheureux attaqués d'une maladie nommée le feu infernal, le mal des ardents et le mal Saint-Antoine. Cette maison, rebâtie en 1689, et détruite en 1792, était située rue Saint-Antoine, entre les numéros 67 et 69, où fut ouvert le « passage du Petit-Saint-Antoine ».

Impasse Saint-Benoît

L'« impasse Saint-Benoît » également appelée « cul-de-sac Saint-Benoît » située quartier des Arcis, dans l'ancien 7e arrondissement de Paris, commençait entre les nos 12 et 14 rue de la Tacherie et n'avait pas de numéro.
Anciennement c'était la « ruelle des Bons-Enfans ». Jean de La Caille, sur son plan[20], le nomme de la « Petite-Tacherie », à cause de sa situation dans la rue de ce nom. L'origine du nom de Saint-Benoit est ignoré.

Rue Saint-Louis

La « rue Saint-Louis » ou « rue Saint-Louis-Saint-Honoré », pour la différencier des autres rues du même nom, située quartier des Tuileries, dans l'ancien 1er arrondissement de Paris, commençait aux nos 6-8 rue de l'Échelle et finissait aux nos 271-273 rue Saint-Honoré. Les numéros étaient noirs, le dernier numéro impair était le no 9 et le denier numéro pair était le no 10.
Elle était ainsi nommée à cause de sa proximité de l'hôpital des Quinze-Vingts, fondé par saint Louis.
Sur d'anciens plans et titres, on la trouve sous les noms de « rue de l'Échaudé » et « rue Saint-Louis-des-Tuileries »[2].

Passage Washington

Le « passage Washington », situé quartier Saint-Honoré, dans l'ancien 4e arrondissement de Paris, commençait rue de la Bibliothèque et finissait rue du Chantre.
C'était autrefois le « passage du Tourniquet », en raison d'un tourniquet qu'on y avait placé pour empêcher la circulation des voitures. Il prit, en 1810, le nom de « passage Washington » que portait déjà un hôtel particulier situé dans la rue du Chantre. Ce passage a été supprimé en 1833, pour le prolongement de la rue de Rivoli.

Depuis les années 1860

Lors de la Commune de Paris, la section de la rue comprise entre la rue Saint-Martin et l'Hôtel de Ville est incendiée par les émeutiers.

La rue de Rivoli abritait le ministère de l'Économie et des Finances jusqu'à l'automne 1989[21], le bâtiment dont la construction avait débuté en 1811 pour l'Administration des Postes fut finalement affecté aux Finances en 1822[réf. nécessaire]. Il a notamment été incendié lors de la Commune de Paris[22].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Panneau Histoire de Paris
« Hôtel de Ville »
Panneau Histoire de Paris
« Place de Grève »

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Au cinéma

Notes, sources et références

  1. a et b Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, édition de 1844, p. 591-592 [lire en ligne].
  2. a b et c Jean de La Tynna, Dictionnaire topographique, étymologique et historique des rues de Paris, 1817.
  3. Ibid., « Décret du 23 décembre 1852 », p. 269.
  4. Avril frères, Prolongement des arcades de la rue de Rivoli [le long du Louvre et des Tuileries], Paris, 1853 [lire en ligne].
  5. Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Décret du 3 mai 1848 », p. 237.
  6. Ibid., « Décret du 23 mai 1850 », p. 250.
  7. Ibid., « Décret du 26 mars 1852 », p. 262-263.
  8. Ibid., « Décret du 23 octobre 1852 », p. 268.
  9. Ibid., « Décret du 19 février 1853 », p. 270-271.
  10. Ibid., « Décret du 15 novembre 1853 », p. 277.
  11. Ibid., « Décret du 15 novembre 1853 », p. 287.
  12. a b et c Voie supprimée.
  13. Danielle Chadych, Le Marais, Paris, Parigramme, , 638 p. (ISBN 2 84096 188 1), p. 42
  14. Félix et Louis Lazare : Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments édition de 1855 page 678
  15. Ainsi nommé car il servait de sépulture aux Anglais présents à Paris dans les années ayant suivi le traité de Troyes (Jean de Marlès, Paris ancien et moderne, t. III, Paris, 1837, p. 348, n. 1).
  16. Félix et Louis Lazare : Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, édition de 1855
  17. Jacques Hillairet : Dictionnaire historique des rues de Paris
  18. Félix Lazare, Louis Lazare : Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments à lire en ligne
  19. Voir A. Berty, H. Legrand, Topographie historique du Vieux Paris, Région du Louvre et des Tuileries, Paris, Imprimerie Nationale, 1866, t. 1, p. 285-287(Voir le t. 1, 2ème éd. sur Gallica, alors que Lazare (Dictionnaire des rues de Paris, Ed. 1844, p. 581, col. 2) indique par erreur que ce passage se trouve sur l'emplacement de l'ancien hospice pourtant bien implanté dans son enclos à l'Est de la rue Saint-Nicaise.
  20. Description de la ville et des fauxbourgs de Paris en vingt planches page 40
  21. « Ministère de l'Économie et des Finances », insecula.com.
  22. « Rue de Rivoli, à Paris », cosmovisions.com.
  23. « La caserne Napoléon », canadp-archivesenligne.paris.fr.
  24. Anne Thoraval, Des résistants à Paris, SPE-Barthélemy, 2011, 415 p. (ISBN 978-2912838186), p. 33.
  25. Julie Maraszak, Sociabilités familiales intellectuelles et artistiques, autour d'une femme artiste au XIXe siècle: Eva Gonvzalès (1849-1883), Universités de Bourgogne, 2016, p.129.
  26. « Salons », Cercle suédois de Paris, cercle-suedois.com.
  27. « Nobel », Cercle norvégien de Paris, cerclenorvegien.com.
  28. « Historique », Cercle norvégien de Paris, www.cerclenorvegien.com.
  29. « Paris : François Hollande, l’inconnu du 242, rue de Rivoli », www.leparisien.fr, 11 septembre 2017.
  30. Éric Hacquemand et François de Labarre, « François Hollande et la vie d'après », Paris Match, semaine du 10 au 17 mai 2017, p. 37.

Annexes

Lien externe