Rue Sorbier
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 20e arrt Rue Sorbier
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| Situation | |||
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| Arrondissement | 20e | ||
| Quartier | Père-Lachaise | ||
| Début | 68, rue de Ménilmontant | ||
| Fin | Place Martin-Nadaud et 7, rue Gasnier-Guy | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 510 m | ||
| Largeur | 20 m | ||
| Historique | |||
| Création | 1862-1876 | ||
| Dénomination | 1867-1876 | ||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 8646 | ||
| DGI | 9029 | ||
| Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 20e arrondissement de Paris
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 Images sur Wikimedia Commons |
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La rue Sorbier est une voie située dans le quartier du Père-Lachaise du 20e arrondissement de Paris.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
La rue Sorbier est desservie à proximité par les lignes 
à la station Gambetta, ainsi que par les lignes de bus 
RATP 26 60 61 64 69 102 355.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
Elle porte le nom du général de division Jean Barthélemot de Sorbier (1762-1827), défenseur du quartier en 1814.
Historique[modifier | modifier le code]
Cette voie a été ouverte par un décret du entre l'actuelle place Martin-Nadaud et le boulevard Mortier et prend la dénomination de « rue Sorbier » par décret du [1]. Cette partie, qui forme aujourd'hui la place Martin-Nadaud, une partie de l'avenue Gambetta et la rue Belgrand,
Par un décret du elle est prolongée jusqu'à la rue de Ménilmontant en englobant deux tronçons de la rue Juillet qui aboutissaient, au nord à la rue de Ménilmontant, au sud à la rue Villiers-de-L'Isle-Adam. Le tronçon nord de la rue aboutissant rue de Ménilmontant est créé sur la couverture de la tranchée de la ligne de Petite ceinture qui longeait la rue de Juillet.
Dans le même temps la partie qui existait depuis 1862 sous le nom de rue Sorbier en est détachée, pour former la place Martin-Nadaud, une partie de l'avenue Gambetta et la rue Belgrand.
Une partie de la rue délimitait la ZAC des Amandiers.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- La rue aboutit au cimetière du Père-Lachaise.
- Au no 6, le café-restaurant Le Lieu-dit est un endroit réputé pour avoir été une base arrière du mouvement Nuit debout[2].
- Au no 26, à l'angle avec la rue Élisa-Borey, le Central téléphonique Ménilmontant, construit en 1928, par l'architecte Paul Guadet.
- L'allée Chantal-Akerman se situe au nord de la rue, côté rue de Ménilmontant[3].
- La rue dessert le square du Sergent-Aurélie-Salel.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol. [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), p. 526.
- Etienne Girard, « Le Lieu-Dit, think tank de Nuit debout », nouvelobs.com, (consulté le ).
- « Conseil de Paris »
