Rue Édouard-Pailleron
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 19e arrt Rue Édouard-Pailleron
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| Situation | |||
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| Arrondissement | 19e | ||
| Quartier | Combat | ||
| Début | 114, avenue Simon-Bolivar | ||
| Fin | 59, rue Manin | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 485 m | ||
| Largeur | 15 m | ||
| Historique | |||
| Création | 1899 | ||
| Dénomination | Arrêtés du et | ||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 3176 | ||
| DGI | 3152 | ||
| Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 19e arrondissement de Paris
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La rue Édouard-Pailleron est une rue du 19e arrondissement de Paris
Situation et accès[modifier | modifier le code]
La rue, qui commence avenue Simon-Bolivar et se termine rue Manin, au pied du parc des Buttes-Chaumont, abrite notamment plusieurs établissements scolaires (la cité scolaire du collège Henri-Bergson et du lycée Henri-Bergson, le collège Édouard-Pailleron, le lycée Jacquard) et des établissements sportifs (le complexe sportif Pailleron avec sa piscine classée monument historique et sa patinoire, des terrains de tennis et de handball).
Ce site est desservi par la station de métro Bolivar.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
Elle porte le nom de l'auteur dramatique français Édouard Jules Henri Pailleron (1834-1899).
Historique[modifier | modifier le code]
La partie située entre les avenues Simon-Bolivar et Secrétan a été ouverte en 1899 par la Société immobilière des Buttes-Chaumont. Elle prend sa dénomination actuelle par un arrêté du et est classée dans la voirie parisienne par décret du .
La section entre l'avenue Secrétan et la rue Manin est formée de la réunion de l'« impasse de Montfaucon » et d'une rue, sans nom, ouverte en 1903 dans le prolongement de la rue Manin qui reçut sa dénomination par un arrêté du . Cette impasse de Montfaucon desservait un important dépôt de pavés de la ville de Paris qui était situé en face du lycée Jacquard.
Le 23 mars 1918, durant la Première Guerre mondiale, un obus lancé par la Grosse Bertha explose dans la rue Édouard-Pailleron[1].
Le se déclare un incendie dans le CES Édouard-Pailleron qui fera 20 morts[2].
Références[modifier | modifier le code]
- [bpt6k4605797h/f6.item lire en ligne] sur Gallica
- « Il y a 40 ans, le drame du collège Pailleron », www.leparisien.fr.
