Royal-Thalasso

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Royal-Thalasso Barrière
L'hôtel Royal
Localisation
Pays
France
Commune
La Baule-Escoublac
Coordonnées
Architecture
Type
Ouverture
1902
Style
néo-roman
Équipements
Étoiles
Chambres
91
Restaurants
Le Fouquet's et le Ponton
Gestion
Propriétaire
Site web
Carte

Le Royal-Thalasso Barrière ou hôtel Royal est un hôtel français situé au bord de l'océan Atlantique, face à la baie du Pouliguen, à La Baule-Escoublac dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire.

Histoire[modifier | modifier le code]

La construction du bâtiment dans le quartier Pavie date de 1895.

En 1896, sous l'impulsion d'un avocat parisien, André Pavie, l'institut Verneuil, un centre de traitement, destiné aux enfants tuberculeux y est d'abord installé. Il est censé y héberger les enfants malades des familles aisées. Joseph André Pavie espère ainsi vendre à ces familles les terrains alentour afin qu'elles y construisent des villas. L'opération n'étant pas un succès, l'institut est transformé en hôtel Royal en 1902[1].

Le premier casino de La Baule sera implanté dans l'hôtel. Vers 1920, deux ailes sont construites pour agrandir l'établissement[2].

L'établissement obtient son classement officiel de cinq étoiles le . Puis le , ce classement fut renouvelé au nom de l'Hôtel Barrière Le Royal La Baule, pour encore cinq ans[3].

Description[modifier | modifier le code]

La bâtisse présente un intérêt architectural : de style néoroman, elle mêle à l'intérieur un style britannique et le souvenir des bains de mer de la Belle Époque.

L'établissement propose deux restaurants, le Fouquet's et le Ponton (restaurant sur la plage) ainsi qu'un bar, le Marie-Louise. Par ailleurs, le centre de thalassothérapie Thalgo La Baule est directement relié à l'hôtel.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Histoire de La Baule-Escoublac sur le site de l'office du tourisme. Consultation : juin 2009.
  2. La Baule en 1900. Les "vestiges" de la Belle Epoque et "La Baule s'est construite par et pour le tourisme". Propos de Gaël Archimbaud recueillis par Nicolas Barriquand. L'Express du 17 octobre 2008.
  3. consulté le site officiel d'Atout France, le 18 juin 2015

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Lien interne[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]