Romazières

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Romazières
Romazières
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saint-Jean-d'Angély
Intercommunalité Vals de Saintonge Communauté
Maire
Mandat
André Leclere
2020-2026
Code postal 17510
Code commune 17301
Démographie
Gentilé Romaziens
Population
municipale
77 hab. (2021 en augmentation de 8,45 % par rapport à 2015)
Densité 8,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 59′ 33″ nord, 0° 10′ 28″ ouest
Altitude Min. 104 m
Max. 144 m
Superficie 8,7 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matha
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Romazières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Romazières
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Charente-Maritime
Romazières
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Romazières

Romazières est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Romaziens et les Romaziennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Le cadre géographique[modifier | modifier le code]

La commune de Romazières est située à proximité de la forêt de Chef-Boutonne qui chevauche la limite départementale séparant les Deux-Sèvres au nord-est de la Charente-Maritime au sud-ouest. Elle est également bordée au sud par la forêt de Fontaines qui s'étend sur une grande partie de la commune voisine de Fontaine-Chalendray. Enserrée entre ces deux massifs forestiers composés essentiellement de feuillus, Romazières est enclavée dans une zone de hautes collines calcaires où aucun point de son finage communal n'est situé au-dessous des 100 mètres d'altitude comme les communes voisines de Saleignes, les Éduts et Vinax. Romazières appartient géographiquement à la partie méridionale du Seuil du Poitou où le relief se renforce notablement, près de la forêt d'Aulnay et de celle de Chef-Boutonne, donnant les plus hautes altitudes au département de la Charente-Maritime. Dans la commune, son "sommet" se trouve au Bois-Giffard culminant à 144 mètres, en limite départementale.

Bien que située dans une région de causse où la sécheresse estivale est chronique à cause des calcaires perméables qui ne retiennent pas l'eau, la commune est devenue un riche terroir céréalier. En effet, la nature calcaire de ses terrains en a fait de bonne heure une terre céréalière en raison de la présence des groies qui, bien amendées ou chaulées, donnent des sols fertiles. Les cultures privilégiées sont le blé et l'orge de printemps et le blé dur. Ce qui a eu pour conséquence un changement radical du paysage agricole comme observé dans les communes alentour. L'ancien bocage qui prévalait sur la commune jusqu'au début des années 1970 est devenu un paysage d'openfield après les grandes opérations de remembrement agricole. Aujourd'hui, les champs voués exclusivement aux céréales laissent apparaître de grands espaces nus où seules les hautes collines boisées brisent la ligne d'horizon.

Localisation[modifier | modifier le code]

Romazières en Charente-Maritime.
Romazières
Voir l’image vierge
Romazières en Charente-Maritime.

Romazières se trouve à 16 km à l'est d'Aulnay-de-Saintonge, chef-lieu du canton le plus étendu du département de la Charente-Maritime et à 36 km à l'est de Saint-Jean-d'Angély, chef-lieu d'arrondissement et principale ville de la Saintonge du Nord.

Chef-Boutonne, chef-lieu de canton du département voisin des Deux-Sèvres, est la ville deux-sévrienne la plus proche de Romazières, étant située à 24 kilomètres au nord-est.

La ville la plus proche de Romazières dans le département voisin de la Charente est Ruffec, située à 32 kilomètres à l'est.

Le petit village de Romazières est traversé par la route départementale qui relie Néré à Ruffec via Villiers-Couture, Couture-d'Argenson en Deux-Sèvres et Villefagnan, chef-lieu de canton en Charente.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune de Romazières qui fait partie du canton de Matha dans sa bordure orientale est limitrophe du département voisin des Deux-Sèvres que sépare à l'est la forêt domaniale de Chef-Boutonne.

Au nord de Romazières se trouve le petit village de Saleignes contigu à la forêt domaniale de Chef-Boutonne

Romazières jouxte à l'ouest la petite commune des Éduts caractérisée par son village haut perché. La commune est bordée au sud-ouest par une faible portion de la vaste commune de Néré et au sud par la commune de Seigné.

Enfin, au sud-est et à l'est, elle est en contact avec les communes de Fontaine-Chalendray que sépare la forêt de Fontaine et de Villiers-Couture, cette dernière étant limitrophe des Deux-Sèvres avec la commune la plus méridionale de ce département voisin.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Aucun cours d'eau référencé par le Sandre ne traverse la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Romazières est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59 %), forêts (35 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Romazières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[11],[9].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Romazières.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[12].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 8,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 73 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 31 sont en aléa moyen ou fort, soit 42 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[13],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[14].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].

Démographie[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

En 2021, la commune comptait 77 habitants[Note 2], en augmentation de 8,45 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
264295288286296282304300300
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
293289273269265258239220192
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
223218242204178191189162154
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1551381281029980686674
2017 2021 - - - - - - -
7177-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune de Romazières fait partie des communes les moins peuplées du canton d'Aulnay, auxquelles s'ajoutent Les Éduts, Saleignes et Vinax qui ont toutes le trait commun de compter moins de 100 habitants.

Cette petite commune rurale, comme beaucoup dans cette partie du nord-est de la Charente-Maritime, appartient à ces zones rurales en voie de désertification où le problème démographique est particulièrement préoccupant. Lors du recensement de 2007, Romazières comptait 66 habitants. À son apogée vers le milieu du XIXe siècle, pendant la Monarchie de Juillet, elle en comptait presque le quintuple, 304 en 1841. Mais l'accélération de la dépopulation de la commune a été impressionnante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale où Romazières a perdu plus de la moitié de sa population en un demi-siècle seulement, passant de 162 habitants en 1946 à 80 habitants en 1999.

La commune a atteint dès le recensement de 1999 son niveau démographique le plus bas jamais enregistré de toute sa période contemporaine.

Aujourd’hui, la densité est nettement inférieure à 10 hab./km2 (8 hab./km2 en 2007), ce qui en fait une des communes les moins densément peuplées de la Charente-Maritime.

Toponyme[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune apparaît en 963 sous la forme latine de terra de Rubras Macerias, c'est-à-dire des ruines rouges ou rousses au moment de l'occupation de ces lieux au milieu du Moyen Âge. Le substantif macerias a donné le français mazière dont le sens désigne des ruines tandis que le qualificatif rubras (qui est ici un pluriel - singulier rubeus) peut s'expliquer par « l'action du feu, qui rubéfie les pierres »[Quoi ?][20].

Il se peut que le village gallo-romain initial ait subi les incursions dévastatrices des envahisseurs barbares au moment de l'effondrement de l'Empire romain à la fin du IVe siècle et aurait été incendié après leur passage. Le village abandonné aurait été de nouveau découvert au temps des défrichements monastiques de la vaste sylve d'Argenson qui recouvrait toute cette région au milieu du Moyen Âge.

Histoire[modifier | modifier le code]

Une origine gallo-romaine, une prospérité médiévale[modifier | modifier le code]

D'origine gallo-romaine selon une indication sur un ancien cartulaire[21], le village de Romazières se développe au milieu du Moyen Âge grâce à la fondation en 1085 d'un prieuré qui relève de la puissante abbaye des Bénédictins de Saint-Jean-d'Angély[21]. Sous leur influence, les religieux y font bâtir une église romane au XIIe siècle surmontée d'un pignon à deux arcades où étaient logées les deux cloches de l'église[21]

Au XIVe siècle, les terres de la paroisse de Romazières sont concédées à la seigneurie de Chef-Boutonne qui en fait une possession de la province du Poitou[21].

Romazières pendant les Temps Modernes[modifier | modifier le code]

Au début du XVIe siècle, Romazières se voit doter d'un relai de poste grâce à sa situation sur la route de Chef-Boutonne à Néré. Cet ancien relais qui fut un temps le Grand Logis se distingue par son style Renaissance et est pourvu d'« une porte blasonnée qui ouvre sur un escalier de pierre en pas de vis de grande largeur où celui-ci donne accès à quatre grandes salles dotées de belles cheminées à hotte »[22]. Si la hotte d'une des cheminées porte la date de 1602, la construction de l'édifice remonte toutefois au XVe siècle si on se réfère à l'histoire de Jehan tailleboeuf qui vint passer la nuit dans cette auberge de Lucas Rateau le et qui eut maille à partir avec des noceurs de Fontaine Chalandray. Arch. Nat. JJ 196, numéro 1X5, FOL 116 V.

Au XVIIIe siècle, la paroisse de Romazières relève de la Généralité de Poitiers et de l'Élection de Niort[22].

En 1790, cette paroisse du Poitou en est détachée pour former le canton de Néré, lequel est annexé au nouveau département de la Charente-Inférieure. En 1800, ce canton fusionne avec celui d'Aulnay où celui-ci devient dès lors le plus étendu de la Charente-Maritime.

Romazières pendant le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Pendant le XIXe siècle, notamment pendant la Monarchie de Juillet, la commune est dotée de quatre moulins à vent qui transforment les céréales locales et dispose d'une tuilerie[23] qui a laissé son nom à un lieu-dit attestant de son ancienne importance.

En 1896, Romazières est desservie par la voie ferrée Saint-Jean-d'Angély-Chef-Boutonne-Saint-Saviol. Ses habitants prennent le train à la petite gare intercommunale de Saleignes-Romazières. Pendant un demi-siècle, cette petite gare rurale désenclavera la commune jusqu'à sa fermeture à la fin de l'année 1950[24].

Romazières pendant le XXe siècle[modifier | modifier le code]

Comme les communes voisines de Saleignes et Les Éduts, Romazières a été durement affectée par le mouvement de l'exode rural au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Elle a perdu plus de la moitié de ses habitants en un demi-siècle et la commune a connu de grandes transformations de ses paysages agricoles. Certes la forêt est encore très présente autour du village de Romazières mais un paysage agricole d'openfield marque désormais le finage communal. Les grands champs de céréales remplacent l'ancien bocage et rappellent les grands terroirs céréaliers des plaines de l'Aunis et des bas plateaux de la Saintonge du Nord qui se prolongent sans discontinuer à l'est vers les terres du Ruffécois dans le département voisin de la Charente.

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2020 Sylvette Geoffroy   Agricultrice
2020 En cours André Leclere   ancien cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Canton[modifier | modifier le code]

La commune de Romazières appartient depuis au canton de Matha, après avoir longtemps dépendu du canton d'Aulnay.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune adhéra de 1994 à 2013 à la communauté de communes du canton d'Aulnay-de-Saintonge dont le siège administratif était situé à Aulnay-de-Saintonge. Depuis le , la commune adhère à la Communauté de communes des Vals de Saintonge qui regroupe les communes du nord-est de la Charente-Maritime et dont le siège se trouve à Saint-Jean-d'Angély.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église de l'Assomption

L'église de l'Assomption date du XIIe siècle. Elle se caractérise par l'absence d'ornementation mais se singularise par sa façade à pignon-clocher avec double arcades, avec une corniche et une fenêtre à colonnettes. Elle est dotée d'une nef unique et son abside est semi-circulaire.

Cette petite église rurale est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis le [25].

L'ancien relais de poste

L'ancien relais de poste est un édifice du début de la Renaissance qui a gardé une architecture de l'époque de sa création dont témoigne la porte blasonnée.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean-Luc Flohic (ouvrage collectif sous la direction de), Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic - Collection Le Patrimoine des communes de France. (Monographie sur la commune de Romazières, Tome 1, p.p. 133/134).
  • M.A. Gautier, Le dictionnaire des communes de la Charente-Maritime - Notices communales (réédition de la Statistique du département de la Charente-Inférieure de 1839), éditions Les Chemins de la Mémoire, Saintes. (Notice communale sur Romazières, p. 138).
  • Michel de la Torre, Charente-Maritime - L'art et la nature de ses 472 communes, éditions Nathan, Paris, 1985. (Notice sur Romazières)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Romazières », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  13. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  14. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Romazières », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Jacques Duguet, Noms de lieux des Charentes, éditions Bonneton, 1995, p.141
  21. a b c et d Jean-Yves Flohic (ouvrage collectif sous la direction de), Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, 2002, tome 1, p.133
  22. a et b Jean-Yves Flohic (ouvrage collectif sous la direction de), Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, 2002, tome 1, p.134
  23. M.A. Gautier, Dictionnaire des communes de la Charente-Maritime (Ré-édition de la Statistique de la Charente-Inférieure publiée en 1839), éditions Les Chemins de la Mémoire, Saintes, p.138
  24. Yves Le Dret, Le train en Poitou-Charentes, les Chemins de la Mémoire éditeur, Saintes, tome 4 : La Compagnie des Chemins de fer départementaux des Charentes et des Deux-Sèvres, p.39
  25. L'église sur la Base Mérimée