Riesling d'Alsace
| Riesling d'Alsace | |
Riesling d'Alsace, millésime 2007. | |
| Désignation(s) | Riesling d'Alsace |
|---|---|
| Appellation(s) principale(s) | alsace[1] |
| Type d'appellation(s) | dénomination au sein d'une AOC / AOP |
| Reconnue depuis | 1971 |
| Pays | |
| Région parente | vignoble d'Alsace |
| Localisation | Bas-Rhin et Haut-Rhin |
| Climat | tempéré continental |
| Ensoleillement (moyenne annuelle) |
1 741 heures[2] |
| Sol | granitiques, schisteux, gréseux, marneux ou calcaires |
| Superficie plantée | 2 288 hectares (en 2022)[3] |
| Cépages dominants | riesling B[4] |
| Vins produits | blancs |
| Production | 137 407 hl (en 2022)[3] |
| Pieds à l'hectare | minimum 4 000 pieds/ha[5] |
| Rendement moyen à l'hectare | 60 hl/ha (en 2022)[3] |
| modifier |
|
Le riesling d'Alsace, ou alsace riesling[1], est un vin blanc français produit dans le vignoble d'Alsace à partir du cépage riesling B[4]. Il s'agit d'une dénomination de cépage au sein de l'appellation alsace[1].
Parmi les vins d'Alsace, c'est un vin blanc aromatique, il est donc classé parmi ceux produits à partir des « cépages nobles » alsaciens, tout comme le pinot gris, le gewurztraminer et le muscat.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le riesling B[4] est un cépage originaire de la vallée du Rhin, dans le Rheingau. Si certains auteurs[Qui ?] font remonter son origine à l'Antiquité romaine, il n'est attesté qu'à la fin du Moyen Âge. Sa culture se développe très timidement en Alsace pendant la seconde moitié du XIXe siècle car ses rendements sont le plus souvent faibles.
L'appellation d'origine « vins d'Alsace » est créée par l'ordonnance du [6], puis devient appellation d'origine contrôlée par le décret du [7], avant que ne soient définis des dénominations de cépage en 1971[8] ainsi que le cahier des charges de la production et de la commercialisation (décrets du et du ) achevé par l'obligation de la mise en bouteille (loi du ) dans des flûtes (décret du ).
Le riesling d'Alsace peut bénéficier des mentions vendanges tardives et sélection de grains nobles, qui sont encadrés par un décret en 1984[9].
Après la Seconde Guerre mondiale, la recherche de meilleurs cépages sur le plan de la qualité a fait baisser la part du sylvaner B et du chasselas B dans l'encépagement du vignoble d'Alsace (le sylvaner B est jusqu'aux années 1970 le cépage alsacien le plus courant), faisant même disparaître le très productif müller-thurgau B, le knipperlé B et le goldriesling B. Ils sont remplacés par des cépages plus qualitatifs : le pinot gris G, le pinot noir N, le pinot blanc B et surtout le riesling B. Ce dernier couvre 1 199 hectares en 1969 (soit 12 % du vignoble d'Alsace[10], toutes appellations confondues), puis 3 382 hectares en 2009 (soit 21 %[11]). Le cahier des charges de la dénomination est celui de l'appellation alsace, dernièrement modifié en mai 2025[5].
Étymologie
[modifier | modifier le code]L'origine du mot « riesling » est germanique, dérivée de l'ancien nom du cépage qui était le Rießlingen au XVe siècle, de riesen, « couler » en allemand, car il est sensible à la coulure suivi du suffixe -ing/-ingen (domaine de / les gens de).
Situation géographique
[modifier | modifier le code]
Le riesling est produit sur l'ensemble du vignoble d'Alsace, de Wissembourg au nord (à la frontière avec l'Allemagne) à Thann au sud, sur 180 kilomètres de façon discontinue.
Géologie et orographie
[modifier | modifier le code]Une petite partie du riesling alsacien est produite sur la plaine mais la majorité des parcelles se trouvent sur les coteaux des collines sous-vosgiennes, y compris parmi les petites aires de production de l'appellation alsace grand cru.
La plaine d'Alsace occupe la partie sud du fossé rhénan, né d'un effondrement durant l'Oligocène et le Miocène (-33 à -5 millions d'années). Elle est composée d'une épaisse couche d'alluvions déposées par le Rhin (limons et graviers), c'est une zone beaucoup plus fertile que les coteaux, avec une importante nappe phréatique à moins de cinq mètres de profondeur[12].
Généralement, le haut des pentes des collines sous-vosgiennes est constitué des roches anciennes, plutoniques et métamorphiques tels que du granite, du gneiss ou de l'ardoise. Les parcelles de vignes y sont très pentues. Le bas des coteaux est formé des couches de calcaires ou de marne recouvertes par du lœss, où le relief est moins accentué.
Climatologie
[modifier | modifier le code]Le climat est continental avec des printemps doux, des étés chauds, secs et ensoleillés, de longs automnes et des hivers froids. À l'ouest, le massif des Vosges protège un peu le coteau du vent et de la pluie : les vents d'ouest dominants perdent une partie de leur humidité sur le versant occidental et parviennent en Alsace sous forme de foehn, plus secs et chauds. Les précipitations sont donc moindres et les températures un peu plus hautes (moyenne annuelle plus haute de 1,5 °C) que ce qui serait attendu à cette latitude.
La station météorologique de Strasbourg-Entzheim (sur l'aéroport de Strasbourg, à 150 mètres d'altitude : 48° 32′ 58″ N, 7° 38′ 25″ E)[13] se trouve à l'extrémité nord de l'aire d'appellation, mais au bord du Rhin (alors que le vignoble est plus haut, sur le piedmont vosgien).
| Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Température minimale moyenne (°C) | −0,2 | 0 | 2,6 | 5,7 | 10,1 | 13,4 | 14,9 | 14,5 | 10,7 | 7,2 | 3,3 | 0,8 | 6,9 |
| Température moyenne (°C) | 2,5 | 3,6 | 7,4 | 11,3 | 15,5 | 18,9 | 20,6 | 20,3 | 16,1 | 11,5 | 6,3 | 3,3 | 11,4 |
| Température maximale moyenne (°C) | 5,2 | 7,3 | 12,1 | 17 | 20,9 | 24,4 | 26,4 | 26,1 | 21,6 | 15,8 | 9,4 | 5,9 | 16 |
| Nombre de jours avec gel | 15,3 | 13,7 | 8,4 | 2,1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1,4 | 5,8 | 12,8 | 59,5 |
| Ensoleillement (h) | 55,5 | 85,8 | 146,4 | 186,9 | 209,1 | 226,4 | 239,7 | 224,2 | 173,5 | 100,4 | 55,2 | 44,2 | 1 747,3 |
| Précipitations (mm) | 35,4 | 34,1 | 38,6 | 41,8 | 77,2 | 68,5 | 71,9 | 61,3 | 54,6 | 59,5 | 47,6 | 45,2 | 635,7 |
| Diagramme climatique | |||||||||||
| J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
| Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm | |||||||||||
La station météo de Colmar (sur le site de l'INRA à 202 mètres d'altitude : 48° 03′ 47″ N, 7° 19′ 48″ E)[15] se trouve en bordure de l'aire d'appellation, mais en plaine.
| Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Température minimale moyenne (°C) | −0,6 | −0,4 | 2,3 | 5,5 | 9,8 | 13 | 14,1 | 13,7 | 9,9 | 6,3 | 2,5 | 0,3 | 6,4 |
| Température moyenne (°C) | 2,5 | 3,6 | 7,3 | 11,2 | 15,3 | 18,7 | 20,3 | 20 | 15,9 | 11,3 | 6,1 | 3,3 | 11,3 |
| Température maximale moyenne (°C) | 5,6 | 7,5 | 12,3 | 16,9 | 20,8 | 24,5 | 26,6 | 26,3 | 21,9 | 16,3 | 9,8 | 6,2 | 16,2 |
| Nombre de jours avec gel | 16,8 | 14,7 | 9 | 2,2 | 0,1 | 0 | 0 | 0 | 0,1 | 2,1 | 8 | 14,7 | 67,7 |
| Ensoleillement (h) | 60,2 | 88,2 | 138,6 | 174,9 | 213 | 210,6 | 254 | 239,7 | 161,6 | 102,7 | 52,9 | 45 | 1 741,4 |
| Précipitations (mm) | 33 | 29,3 | 31,6 | 37,2 | 64,5 | 60,6 | 60,1 | 57 | 46,3 | 55 | 41,5 | 41,9 | 558 |
| Diagramme climatique | |||||||||||
| J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
| Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm | |||||||||||
Vignoble
[modifier | modifier le code]Présentation
[modifier | modifier le code]
La dénomination riesling peut être produite sur l'ensemble des communes du vignoble d'Alsace faisant partie de l'aire de production de l'appellation alsace, soit sur 119 communes.
La dénomination riesling au sein de l'appellation alsace a été revendiquée en 2022 pour une surface totale de 2 288 hectares, dont 2 279 ha de riesling, 8,62 de riesling vendanges tardives et très peu de riesling sélection de grains nobles[3]. L'aire plantée en riesling B dans l'appellation alsace était en 2009 de 3 376 ha, ce qui correspond par rapport à l'ensemble du vignoble alsacien à 28 %[16] : il s'agit du premier cépage du vignoble, devant le gewurztraminer Rs (24 % du vignoble de l'appellation) et le pinot gris G (20 %).
Encépagement
[modifier | modifier le code]
Le riesling d'Alsace doit être obligatoirement fait en mono-cépage à partir du riesling B[4]. Il s'agit d'un cépage au débourrement et à la maturation tardives, nécessitant des coteaux bien exposés au soleil, et dont les vendanges peuvent avoir lieu vers la mi-octobre. Par contre il résiste bien aux gelées d'hiver.
Il donne de meilleurs résultats sur des sols d'arènes granitiques ou schisteux.
À noter que le riesling est admis en cépage accessoire dans l'appellation moselle, en Lorraine.
Rendements
[modifier | modifier le code]Le rendement de cette dénomination de cépage est limité par le cahier des charges de l'appellation à un maximum de 90 hectolitres par hectare. Chaque année, ce rendement maximum peut être modifié à la hausse ou à la baisse par un arrêté du ministère de l'Agriculture, dans la limite des rendements butoirs de l'appellation, fixés à 96 hl/ha[5].
Le rendement moyen de cette dénomination au sein de l'appellation alsace a été en 2022 de 60 hl/ha[3] ; en 2009, il était de 73 hl/ha[17], soit un rendement largement supérieur à la moyenne française (tous vins confondus) pour la même année (qui était de 58 hectolitres par hectare en 2009).
Vins
[modifier | modifier le code]La production déclarée en 2022 a été d'un total de 137 407 hectolitres (un hectolitre = 100 litres = 133 bouteilles de 75 cl), dont 137 105 hl de riesling, 302 de vendanges tardives et très peu de sélection de grains nobles[3]. En 2019, ce volume total a été de 204 581 hl[18], ce qui fait sur un total de 1 028 705 hl de vin en appellation alsace une part de 20 %[19].
Vinification et élevage
[modifier | modifier le code]Le jour de la vendange, à l'arrivée au chai, le raisin est foulé et pressé pour séparer le moût du marc de raisin. Pour ce travail, les pressoirs pneumatiques remplacent progressivement les pressoirs horizontaux à plateau. Puis le moût est mis en cuve pour le débourbage, qui est le soutirage du jus sans les bourbes, soit par filtrage, soit par décantation en attendant qu'elles se déposent au fond de la cuve.
La fermentation alcoolique débute sous l'action de levures indigènes ou de levures sélectionnées introduites lors du levurage : cette opération transforme le sucre du raisin en alcool. La maîtrise de la température de fermentation par un système de réfrigération permet d'exprimer le potentiel aromatique du produit. La fermentation achevée au bout d'un mois, le vin est soutiré afin d'éliminer les lies. La fermentation malolactique n'est généralement pas réalisée, bloquée par un sulfitage pour conserver son acidité au vin. Ce dernier peut être stocké en cuve pour le préparer à l'embouteillage ou élevé en barrique ou foudres de bois de chêne.
Le vin est soutiré, puis généralement de nouveau filtré avant le conditionnement en bouteilles, dès février ou mars[20].
Vendanges tardives et sélection de grains nobles
[modifier | modifier le code]Les vendanges tardives désignent des vins faits à partir de raisins dont la récolte a été retardée pour les obtenir en surmaturité, d'où des vins riches en sucre et en alcool, aux goûts plus puissants et souvent moelleux. Selon la législation, le moût doit avoir au moins 220 grammes de sucre par litre dans le cas d'un riesling (soit 13,1 % vol. d'alcool potentiel) ; aucune chaptalisation n'est permise.
Quant à une sélection de grains nobles, il s'agit d'un vin fait à partir de raisins récoltés par tris sélectifs successifs des grains atteints de pourriture noble (Botrytis cinerea), ce qui donne des vins encore plus concentrés, plus sucrés, liquoreux. Selon la législation, le moût doit avoir au moins 256 grammes de sucre par litre si c'est du riesling (soit 15,2 % vol. d'alcool potentiel). Là aussi aucune chaptalisation n'est permise[21],[22].
Gastronomie
[modifier | modifier le code]
Le riesling d'Alsace est un vin blanc à la robe très claire, avec un nez et une bouche au fruité marqué, évoquant les agrumes ou parfois la pomme verte. Si c'est une sélection de grains nobles, la pourriture noble va donner un vin beaucoup plus riche en sucre et en alcool, mais sans surcharger le vin grâce à l'acidité habituelle du riesling.
Le critique Robert Parker décrit le riesling ainsi : « Excellent cépage blanc, c'est indéniable, le riesling produit en Alsace des styles de vin très différents de ceux d'Allemagne. Les Alsaciens préfèrent le riesling sec et beaucoup plus corsé que les Allemands. Il semble d'ailleurs que ces derniers apprécient ce type de vin, puisqu'ils sont les plus gros acheteurs de rieslings alsaciens. En Alsace, ces vins sont floraux, offrant parallèlement un goût de pétrole presque impossible à définir : un goût de terre et de silex, presque minéral, très différent du caractère dominé par l'ardoise et l'acier des rieslings allemands de Moselle. Moins floraux que leurs homologues d'outre-Rhin et davantage marqués par l'ananas, le miel et le zeste d'orange, les rieslings d'Alsace sont moyennement corsés et peuvent vieillir en beauté. Potentiel de garde : 3 à 15 ans. Cuvées vendanges tardives : 5 à 25 ans[23]. »
Le riesling alsacien s'accorde classiquement avec la cuisine alsacienne.
Type de bouteilles
[modifier | modifier le code]
Les vins d'Alsace sont mis en bouteille obligatoirement en Alsace et traditionnellement dans des flûtes, c'est-à-dire des bouteilles du type « vin du Rhin » de 75 centilitres, règlementées par des décrets[24].
Depuis juillet 2025, sont autorisées d'autres formats de bouteilles, tous élancés (rappelant la flûte) : de 300 (l'équivalent du jéroboam), 150 (le magnum), 100 (le litre-flûte), 50 (le demi-litre) et 37,5 cl (la demi-bouteille, ou « fillette »)[5].
Liste de producteurs
[modifier | modifier le code]De très nombreux viticulteurs et négociants alsaciens proposent du riesling, le plus souvent parmi leur haut-de-gamme.
Culture
[modifier | modifier le code]Utilisation au cinéma
[modifier | modifier le code]Le riesling d'Alsace peut être vu dans le film La Main au collet, à la vingt-sixième minute, au cours du repas partagé par Georges Robert (Cary Grant) avec son invité H.H. Hughson (John Williams), servi frais sortant d'un seau à glace et accompagnant une quiche lorraine.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Le nom d'un vin est un nom commun, donc ne prend pas une majuscule, cf. les références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine.
- « Fiche 68066001 Colmar » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr.
- « Portail de la Direction Générale des Douanes et Droits Indirects : superficies et volumes en production par produit », sur douane.gouv.fr (consulté le ).
- Le code international d'écriture des cépages mentionne de signaler la couleur du raisin : B = blanc, N = noir, Rs = rose, G = gris.
- « Cahier des charges de l'appellation d'origine contrôlée « Alsace » ou « Vin d’Alsace » », modifié par l'arrêté du publié au JORF du et au BO Agri du .
- ↑ Ordonnance no 45-2675 du 2 novembre 1945 relative à la définition des appellations d'origine des vins d'Alsace, consultable sur le site legifrance.gouv.fr.
- ↑ Décret du 3 octobre 1962 concernant l'appellation contrôlée vins d'Alsace ou alsace : obligation de mentionner appellation contrôlée sur les vins d'Alsace, publié au JORF du 7 octobre 1962, consultable sur le site legifrance.gouv.fr.
- ↑ Décret no 71-554 du 30 juin 1971 qui modifie l'ordonnance no 45-2675 du 2 novembre 1945, publié au JORF du 11 juillet 1971, disponible sur le site legifrance.gouv.fr.
- ↑ Décret du 1er mars 1984 relatif aux appellations d'origine contrôlées alsace et alsace grand cru, publié au JORF du 7 mars 1984, consultable sur le site legifrance.gouv.fr.
- ↑ (1199 / 9441) x 100 = 12,69 %. Source : « tableau d'évolution de l'encépagement alsacien entre 1969 et 2009 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site vinsalsace.com.
- ↑ (3382 / 15570) x 100 = 21,72 %. Source : « tableau d'évolution de l'encépagement alsacien entre 1969 et 2009 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site vinsalsace.com.
- ↑ Présentation de la nappe phréatique de la plaine d'Alsace, sur le site aprona.net, proposant aussi une carte avec indication de la profondeur de la nappe.
- ↑ « 67124001 – STRASBOURG-ENTZHEIM – AEROPORT » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr.
- ↑ « Fiche 67124001 Strasbourg-Entzheim » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr.
- ↑ « 68066001 – COLMAR-INRAE – INRA » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr.
- ↑ (3376 / 11703) x 100 = 28,84 %.
- ↑ Le rendement est calculé en divisant la production par la surface cultivée : 247952/3376 = 73,44 hectolitres par hectare. Source : Le Guide Hachette des vins 2011, éditions Hachette, Paris, 2010, (ISBN 978-2-01-237681-6).
- ↑ CIVA, « Production toutes AOC du vignoble alsacien - 2019 », sur comité interprofessionnel du vin d'Alsace, (consulté le ).
- ↑ (204581 / 1028705) x 100 = 20 %.
- ↑ « La vinification en blanc »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Site vinsalsace.com (consulté le ).
- ↑ « Décret du 1er mars 1984 modifié relatif aux appellations d'origine contrôlées alsace et alsace grand cru »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site inao.gouv.fr.
- ↑ [PDF]Fiche sur les vendanges tardives et les sélections de grains nobles, sur le site vinsalsace.com.
- ↑ Robert Parker, Guide Parker des vins de France, éditions Solar, 2007.
- ↑ « Décret no 55-673 du 20 mai 1955 relatif à l'emploi de la bouteille type « Vin du Rhin » », publié au JORF du ; « arrêté du 13 mai 1959 concernant l'emploi de la bouteille du type à « vin du Rhin » », publié au JORF du ; « décret no 63-295 du 19 mars 1963 relatif aux caractéristiques des bouteilles susceptibles de servir de récipients mesures dans le commerce de certains liquides », publié au JORF du .
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jacques Fanet, Les terroirs du vin, éditions Hachette, Paris, 2008, 240 pages (ISBN 978-2-01-237501-7).
- Alsace : riesling, gewurztraminer, sylvaner, La Revue du vin de France et Le Figaro, Paris, 2008, 96 pages (ISBN 978-2-8105-0062-8).
- Vignoble d'Alsace, éditions Benoît France et CIVA, Paris, 2007, carte 88 x 55 cm au 1/120000 (ISBN 978-2-84354-158-2).
- Vins d'Alsace : carte touristique, Institut géographique nationale, Paris, 2006, carte 96 x 66 cm au 1/125000 (ISBN 978-2-7585-0182-4).
- Robert Oz Clarke et Margaret Rand, Guide des cépages, éditions Gallimard, Paris, 2005, 320 pages (ISBN 2-74-241643-9).
- Jacques-Louis Delpal, Les vins d'Alsace, une promenade viticole et les meilleures adresses, éditions Artémis, Chamalières, 2004, 159 pages (ISBN 978-2844162502).
- Claude Muller, Les vins d'Alsace, histoire d'un vignoble, éditions Coprur, Strasbourg, 1999, 192 pages (ISBN 978-2842080082).
- Le vignoble d'Alsace : la route des vins, Mitra productions, Illkirch, 1995, carte 90 x 34 cm au 1/180000 (BNF 40658287).
- Jean-Louis Stolz, L'ampélographie des vins d'Alsace, édition Coprur, Strasbourg, 1994, 199 pages (ISBN 2-903297-82-7).
- Bernadette Burn et Gilles Schmidt, Alsace, clos et grands crus, collection Le Grand Bernard des vins de France, éditions Jacques Legrand, Paris, 1989, 190 pages (ISBN 2-905969-24-5).
- Jean-Louis Stolz, Einleitung zum Elementar-Handbuch des elsässischen Ackerbauers, Strassburg, 1863, 8 pages in-octavo (BNF 31410323).
- Jean-Louis Stolz, Ampélographie rhénane, ou Description caractéristique, historique, synonymique, agronomique et économique des cépages les plus estimés et les plus cultivés dans la vallée du Rhin, depuis Bâle jusqu'à Coblence et dans plusieurs contrées viticoles de l'Allemagne méridionale, Paris, 1852, 264 pages in-quarto (BNF 31410321).
- Jean-Louis Stolz, Manuel élémentaire du cultivateur alsacien, Strasbourg, 1842, 479 pages in-12 (BNF 31410325).
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Page dédiée au riesling d'Alsace avec une vidéo, sur le site vinsalsace.com.
- Carte du vignoble d'Alsace, sur le site vinsalsace.com.
- Annuaire des producteurs, sur le site vinsalsace.com.