Richard Dallaire
Richard Dallaire est un romancier québécois[1].
Biographie[modifier | modifier le code]
Richard Dallaire travaille en intervention sociale[1].
Son premier roman « que l'on dit savoureux et inventif », Le marais : allégorie d'une existence partielle, parait, en 2009, aux Éditions Sémaphore[1],[2],[3].
En 2013, il publie Les peaux cassées chez Alto, un roman qui témoigne d'une « conscience sociale particulière [d']un regard qui étonne [d']un monde qui se régénère en se tournant vers les valeurs essentielles que sont l'amour et l'entraide »[4],[5],[6].
Finaliste du prix de la découverte littéraire chez Archambault (2009), Dallaire est récipiendaire du prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean (2009). En 2014, il est finaliste au prix littéraire du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean pour Les peaux cassées[7],[8].
Œuvres[modifier | modifier le code]
Romans[modifier | modifier le code]
- Le marais : allégorie d'une existence partielle, Montréal, Éditions Sémaphore, 2009, 151 p. (ISBN 978-2-923107-11-0)
- Les peaux cassées, Québec, Alto, 2013, 163 p. (ISBN 9782896941582)
Prix et honneurs[modifier | modifier le code]
- 2009 - Récipiendaire : Prix littéraires du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean (pour Le marais : allégorie d'une existence partielle)
- 2009 - Finaliste : Prix de la découverte littéraire chez Archambault avec (pour Le marais : allégorie d'une existence partielle)[7]
- 2014 - Finaliste : Prix littéraires du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean (pour Les peaux cassées)[8]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Richard Boisvert, « Tomber sous le sens », Le Soleil •, , p. 34,35 •
- « Nouveautés québécoises », Nuit blanche, no 114, , p. 4–9 (ISSN 0823-2490 et 1923-3191, lire en ligne, consulté le )
- « Nouveautés », Québec français, no 156, , p. 4–24 (ISSN 0316-2052 et 1923-5119, lire en ligne, consulté le )
- Yvon Paré, « Richard Dallaire devra dompter ses démons », Le Progrès-dimanche •, , p. 43.
- « Nouveautés littéraires », Québec français, no 172, , p. 92–107 (ISSN 0316-2052 et 1923-5119, lire en ligne, consulté le )
- Hugues Corriveau, « Nicolas Dickner, Pierre Gobeil, Richard Dallaire », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 135, , p. 22–23 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
- Yvon Paré, « 25 ans: un véritable exploit », Progrès-dimanche •, , p. 46 •
- Daniel Côté, « Onze finalistes dans cinq catégories », Le Quotidien •, , p. 9.
