Quiévy

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Quiévy
Quiévy
Église de Quiévy.
Blason de Quiévy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Caudrésis - Catésis
Maire
Mandat
Sylvain Halle
2021-
Code postal 59214
Code commune 59485
Démographie
Gentilé Esquiévin
Population
municipale
1 801 hab. (2021 en augmentation de 1,69 % par rapport à 2015)
Densité 263 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ 01″ nord, 3° 25′ 42″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 117 m
Superficie 6,86 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Caudry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Caudry
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Quiévy
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Quiévy
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Quiévy
Liens
Site web http://www.mairie-quievy.fr/

Quiévy est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Esquévins[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Une entrée de la commune.

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village est situé dans le sud du département du Nord, à 5,3 km au sud-ouest de Solesmes à vol d'oiseau, à 5,1 km au nord de Caudry, à 10,4 km au nord-est du Cateau-Cambrésis et à 13,5 km à l'est de Cambrai, le chef-lieu d'arrondissement. Lille, la capitale régionale, est à 58 km[2],[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie, géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le sous-sol est essentiellement calcaire. Il est constitué par des limons quaternaires dont l’épaisseur varie entre 0,30 m et 8 m reposant sur un soubassement calcaire en couches presque horizontales, avec ondulations de faible amplitude. Chaque couche de 2 mètres environ est constituée de craie noduleuse, fissurée ou craie blanche.

Ces caractéristiques du sous-sol conditionnent la valeur culturale des terres qui, bien que compactes en raison de leur nature argileuse, sont pourtant sans excès d’eau.

Topographie[modifier | modifier le code]

Vue aérienne du village
Vue aérienne du village.

Le territoire communal s’étend sur une superficie de 664,75 hectares.

Sur la place du Général de Gaulle, Quiévy se trouve à une altitude de 84,10 m alors qu’un point géodésique nous indique 107 mètres à la sortie du pays vers Béthencourt, à la hauteur du hameau d’Aulicourt.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les communications vers l’extérieur se font par la route C113 vers Solesmes à l’Est et vers Bévillers-Cambrai à l’Ouest. La Départementale 45 permet de gagner à un peu moins de 4 km au Sud, l’entrée de la ville de Caudry ainsi que la Nationale 39 reliant le littoral à l’Est de la France. Au Nord, la route de Saint-Hilaire permet de se diriger vers Denain.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 22 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Quiévy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caudry, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,5 %), zones urbanisées (13,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

On trouve le lieu mentionné au long du XIe au XIVe siècle sous les noms Kievi, Chevi, Kevi, Kievig, Keviacum, Kieuvig ou Kievy[16]. Boniface le fait dériver du latin « cava » (cave, creux, cavité) et « vicus » (village) ou du celte « kavia » (caverne). Quiévy serait donc « Le village du creux ».

Histoire[modifier | modifier le code]

La place Besin au centre du village.

Des indices permettant d'attester la présence de l'homme dès l'an 500 000 avant notre ère ont été décelés sur la commune le compléments du site historique sur la généalogie de Noël Davoine avec les patronymes les plus anciens de Quiévy.

Sous le Premier Empire, il existe trois oratoires du culte protestant dans le département du Nord, un à Lille, un à Quiévy, un à Walincourt; chacun d'eux est dirigé par un pasteur[17], le nombre de protestants dans le département, recensé en l'an 13 (1804) s'élève à 2631[18]. Les chefs de famille protestantes composent les oratoires de Quievy et Walincourt et se réunissent périodiquement en sous-préfecture à Cambrai pour élire les 12 membres du consistoire de chacun des oratoires et leur ministre, qui assure la fonction dans les deux communes[19].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Quiévy se blasonnent ainsi : « Coupé : au 1, d'azur à une croix de calvaire d'or, entrelacée d'une couronne d'épines du même ; au 2, de gueules à trois fleurs de lis d'or. »

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire de 1802 à 1807 : Pierre Jos. Canonne[20],[21].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 mars 1977 Adrien Herlem    
mars 1977 juillet 1988 Robert Abraham PCF  
juillet 1988 septembre 1988 Denise Lorriaux    
septembre 1988 mars 2001 Serge Azambre PCF  
mars 2001 mars 2008 Claude Bricout    
mars 2008 octobre 2020 Daniel Blairon DVG-PS Réélu pour le mandat 2020-2026[22]
Décédé en fonction[23]
février 2021 En cours Sylvain Halle   Responsable qualité

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Les consultations électorales récentes à Quiévy montrent une préférence partisane pour la gauche.

Au premier tour de l'élection présidentielle de 2012, les quatre candidats arrivés en tête à Quiévy sont François Hollande (PS, 28,58 %), Marine Le Pen (FN, 26,23 %), Nicolas Sarkozy (UMP, 20,15 %) et Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche, 14,25 %) avec un taux de participation de 80,61 %. Au deuxième tour François Hollande arrive en tête avec 58,20 % des voix, pour un taux de participation de 80,97 %[24].

Au deuxième tour des élections régionales de 2010[25], 54,37 % des suffrages exprimés sont allés à la liste conduite par Daniel Percheron (PS), 22,81 % à celle de Valérie Létard (UMP), et 22,81 % à la liste FN de Marine Le Pen, pour un taux de participation de 48,92 %.

Aux élections européennes de 2009[26], les deux meilleurs scores à Quiévy étaient ceux de la liste du Parti socialiste conduite par Gilles Pargneaux, qui a obtenu 129 suffrages soit 28,10 % des suffrages exprimés (département du Nord 19,55 %), et de la liste de la majorité présidentielle conduite par Dominique Riquet, qui a obtenu 106 suffrages soit 23,09 % des suffrages exprimés (département du Nord 24,57 %) pour un taux de participation de 33,83 %.

Au deuxième tour de l'élection présidentielle de 2007[27], 49,06 % des électeurs ont voté pour Nicolas Sarkozy (UMP), et 50,94 % pour Ségolène Royal (PS), avec un taux de participation de 83,07 %.

Au deuxième tour des élections législatives de 2007[28], 47,83 % des électeurs de Quiévy ont voté pour Marie-Sophie Lesne (UMP) (47,22 % dans la 22e circonscription du Nord), 52,17 % pour Christian Bataille (PS) (52,78 % dans la circonscription), avec un taux de participation de 65 % à Quiévy et de 63,90 % dans la circonscription.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune de Quiévy est dans le ressort de la cour d'appel de Douai, du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants et du conseil de prud'hommes de Cambrai, du tribunal de commerce de Douai, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Trompe-l'oeil sur le pignon de l'école: Le Grand Hôtel des Arts.

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 1 801 habitants[Note 3], en augmentation de 1,69 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6501 6821 8052 0832 5162 6112 7692 9172 785
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 0483 3743 5783 6453 5173 2103 3283 3003 317
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 2063 2163 2202 7532 8322 7702 5742 4412 502
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 5342 4692 2972 0821 8481 7311 7001 7631 765
2021 - - - - - - - -
1 801--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Au cours des siècles, la population de la commune a eu tendance à augmenter, mais de nombreuses périodes de stagnation ou de régression ont été enregistrées par suite de calamités diverses (peste, choléra, famines, guerres, invasions multiples, les armées se ravitaillant toujours sur le terrain), des conditions d’hygiène et des conditions générales de vie.

Les premières données démographiques ne remontent guère au-delà du XVIIe siècle. À cette époque, la population totale du village pouvait être évaluée à 500 ou 600 habitants. Cette estimation est basée sur les relevés moyens suivants:

  • Les registres paroissiaux qui stipulent que d’avril 1606 au 31 octobre 1661, 927 enfants furent baptisés dans l’église de Quiévy, ce qui représente une moyenne annuelle de 17 baptêmes.
  • Vers 1730, une moyenne annuelle de six mariages et de 30 naissances a été enregistrée.

Par contre, les données démographiques du début du XIXe siècle, par leur ampleur et leur précision, nous permettent de voir que l’espérance de vie moyenne d’une personne était, les deux sexes confondus, de 43 ans.

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 869 hommes pour 921 femmes, soit un taux de 51,45 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,0 
5,6 
75-89 ans
10,4 
15,4 
60-74 ans
16,2 
23,2 
45-59 ans
16,9 
21,5 
30-44 ans
18,6 
15,1 
15-29 ans
15,9 
18,8 
0-14 ans
21,0 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts[modifier | modifier le code]

Photographie montrant le monument aux morts de la Guerre de 1870
Le monument aux morts de la guerre de 1870.

Il a été dressé en 1913 à la faveur d'une souscription publique. Œuvre d'Aristide Croisy, il représente un soldat français de la guerre franco-allemande de 1870, revêtu de l’uniforme de l’époque, et commémore le seul soldat originaire de Quiévy tué dans cette guerre, le à Villers-Bretonneux[Note 4].

Église[modifier | modifier le code]

Photographie montrant le clocher de l'église
Le clocher de l'église.

De tout temps, le cœur du village s’est trouvé circonscrit dans le périmètre actuel des rues Jean Jaurès et Roger Salengro[réf. nécessaire].

L’emplacement de l’église n’a pas changé au cours des siècles. La date de la construction initiale n'est pas connue, on peut situer la première édification dans le courant de la première partie du Moyen Âge.

En effet, une charte de l’abbaye de Saint-Aubert nous révèle qu’à la fin de l’année 1173, Gilles, seigneur de Saint-Aubert, avec l’assentiment de sa femme Mathilde et de ses fils Gérard et Gilles, donna à l’église de Quiévy, où il avait élu sa sépulture, tout ce qu’il possédait dans la dîme de Naves et de Cagnoncles.

Son fils Gérard, parti en croisade, contesta à son retour de Jérusalem la donation faite par son père. Comme il avait d’abord donné son accord, il fut absous de la peine encourue par son opposition, à charge pour lui de se rendre chaque année à Quiévy, le jour anniversaire de la mort de son père[Note 5].

Un acte dressé par Évrard, évêque de Tournai, en 1174, notifie la consécration faite en l’église de Quiévy, dédiée à Notre-Dame, et confirme le don fait à la dite église par Gilles de Saint-Aubert. En 1176, l’abbé de Saint-Sépulcre de Cambrai s’engagea à établir trois chapelains dans cette église.

Temple[modifier | modifier le code]

Photographie montrant le temple
Le temple de Quiévy.

Il a été construit en briques, en 1858. C’est le temple le plus spacieux au nord de Paris[36],[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Auguste Herbin, peintre.
  • Geneviève Claisse, peintre.
  • Le sergent Lucien-Pierre-Alfred Besin, né le 15 juin 1894 à Quiévy, mécanicien de valeur et ayant un goût prononcé pour l’aventure, suit la construction du moteur et du Breguet de A à Z. Il embarque notamment une hélice de rechange, des pompes à essence, des magnétos, des pneus. Il voyage jusqu’à Shanghai dans un petit « local » derrière le pilote Georges Pelletier-Doisy, local verrouillé de l’extérieur. Passager passif pendant le vol — il tue souvent le temps en dormant — Besin s’active aux escales en réglant et réparant l’appareil.
  • Yves Diény (1911-1944), médecin et résistant.
  • Victor Senez (1910-1978), natif de Quiévy, il entra au séminaire, fut ordonné diacre en 1936 (cf. Semaine religieuse du diocèse de Cambrai, en date du 14/03). On le retrouve ensuite à Maubeuge comme doyen de Saint-Pierre - Saint-Paul, dont il assure le suivi de construction de l'église d'André Lurçat. En 1965, il est doyen de l'église Saint-Géry de Valenciennes, rendu au culte. Une rue de cette ville porte son nom.
  • Bernard Davoine (1941-2023), homme politique français.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Il s’agit de Léon Machu qui était le grand-père de Norbert Machu, exploitant agricole rue de Saint-Quentin. Il s'agit, en fait de Léon Machu, célibataire, né en 1849, fils de Jean-Baptiste et Joétalie Vilette, comme le prouvent le Registre matricule n°3 de Cambrai 1869 :http://www.archivesdepartementales.lenord.fr/?id=viewer&doc=accounts%2Fmnesys_ad59%2Fdatas%2Fir%2FRegistres%20militaires%2FFiches%2Ffiches_matricules%2Exml&page_ref=2907&lot_num=1&img_num=55 et l'acte de décès à Villers-bretonneux (voir n° matricule) : Archives départementales de la Somme - Villers Bretonneux 1869-1870 vue 267 :http://recherche.archives.somme.fr/ark:/58483/a011261413218n563hm/1/1
  5. Source: « Les sires de Saint-Aubert » par Alain Baudry. Document communiqué par M. Philippe Barbet, professeur, habitant présentement Saint-Aubert

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nom des habitants des communes françaises, », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  2. Calcul de l'orthodromie pour Lille, Cambrai, Le Cateau-Cambrésis, Caudry, Solesmes.
  3. « Voir la carte de l'IGN » sur Géoportail (consulté le 6 mai 2012)..
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Quiévy et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caudry », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Boniface 1866, p. 256.
  17. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ).
  18. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ).
  19. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ).
  20. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
  21. « Annuaire statistique département du Nord Année 1807 », p. 146-147..
  22. « Quiévy : Daniel Blairon a été réélu maire », sur lavoixdunord.fr, (consulté le ).
  23. J. C. et H. H., « Daniel Blairon, le maire de Quiévy, est décédé », sur lavoixdunord.fr, (consulté le ).
  24. « Les résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur le site du ministère de l'intérieur (consulté le ).
  25. « Résultats de l’élection régionale 2010 », sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
  26. « Résultats de l’élection européenne de 2009 », sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
  27. « Les résultats de l'élection présidentielle 2007 », sur le site du ministère de l'intérieur (consulté le ).
  28. « Les résultats des élections législatives 2007 », sur le site du ministère de l'intérieur (consulté le ).
  29. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Quiévy (59485) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  36. Les édifices religieux, cimetières et monuments
  37. « Temple de Quiévy », sur le site de Tourisme en Cambrésis (consulté le ).