Adolphe Quetelet

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Adolphe Quetelet
Adolphe Quetelet
par Joseph-Arnold Demannez
Fonction
Professeur d'université (d)
Biographie
Naissance
Décès
(à 78 ans)
Bruxelles
Sépulture
Nom de naissance
Lambert Adolphe Jacques Quetelet
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
Membre de
Directeur de thèse
Jean-Guillaume Garnier (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Partenaire
Aimé Mac Leod (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Distinctions
Abréviation en botanique
QuételetVoir et modifier les données sur Wikidata
Prononciation
Œuvres principales
Sur la statistique morale et les principes qui doivent en former la base (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Statue d'Adolphe Quetelet : gravure de Joseph Smeeton et Auguste Tilly.
Statue d'Adolphe Quetelet, située devant le Palais des Académies.

Adolphe Quetelet (/kœt.lɛ/), de son nom complet Lambert Adolphe Jacques Quetelet, né à Gand le et mort à Bruxelles le , est un mathématicien, astronome, naturaliste et statisticien belge, précurseur de l'étude démographique et fondateur de l'observatoire royal de Belgique.

Poète à ses heures, il fut membre de la Société de littérature de Bruxelles et plus tard membre-fondateur de la Société des douze.

Biographie[modifier | modifier le code]

Adolphe Quetelet, né à Gand le , est le fils de François Quetelet et d'Anne-Françoise Van de Velde. Il est d'origine française par son père né en 1750 à Ham, en Picardie, qui fut d'abord durant dix ans secrétaire de lord Caher, puis franc-mercier à Gand[1] dont il devint bourgeois[2] en 1790 et enfin sous la République française administrateur municipal[3], mort en 1803. Son père avait épousé en 1791 à Saint-Bavon Anne-Françoise Van de Velde, qui était originaire de Wavre, dans le duché de Brabant, où elle était née en 1766. Veuve, elle épousa à Gand[4] le 2 août 1806 en secondes noces le cuisinier puis quincaillier Stanislas Lannuyer, originaire de Creil, dans l'Oise. Elle mourra à Bruxelles[5] en 1848. Mélanie Lannuyer, née à Gand, issue du second mariage d'Anne Françoise Van de Velde, épousera à Bruxelles en 1833 le peintre Jean-Baptiste Madou.

Adolphe Quetelet épouse à Bruxelles[6] le 20 septembre 1824 Cécile Curtet, née le 1er novembre 1801 à Bruxelles et y décédée le 20 mars 1858, fille du médecin français Antoine Curtet et de son épouse Barbe-Marie-Josèphe Van Mons (° Bruxelles 1776 - + Bruxelles 1819), la sœur du savant Jean-Baptiste Van Mons. Du mariage d'Adolphe naîtront Ernest Adolphe François Quetelet, né en 1825 à Bruxelles qui épousera à Schaerbeek en 1869 Cédonie Lecaille, de Marbais, ainsi que Marie Isaure Quetelet, née en 1826 à Bruxelles, qui épousera l'artiste peintre Paul Jean Charles Clays, né en 1817 à Bruges, qui résidait à la rue Royale à Bruxelles.

Il fait ses études secondaires au lycée de Gand. Il débute ensuite une carrière dans l'enseignement. En 1814, il est nommé professeur de mathématiques au Collège de Gand. Il est ensuite reçu docteur en sciences mathématiques à l'université de Gand en 1819 pour une thèse sur la théorie des sections coniques et est nommé la même année professeur de mathématiques à l'Athénée Royal de Bruxelles[7].

Il se spécialise ensuite dans l'astronomie[8]. En 1823, il visite l'Observatoire de Paris où il rencontre François Arago et Alexis Bouvard. Il est influencé par Laplace, Poisson et Fourier avec qui il étudie la statistique qu'il élèvera au rang de science.

En 1828, il réussit à persuader les autorités et à lever des fonds publics et privés pour créer à Bruxelles un observatoire qu'il dirige à partir de 1832. Pendant la révolution belge de 1830, il visite les observatoires italiens. En 1834, il devient secrétaire perpétuel de l'Académie royale de Belgique.

Adolphe Quetelet crée plusieurs sociétés et journaux de statistique, dont les Transactions of the Statistical Society of London en 1837. Il est particulièrement impliqué dans la création d'une coopération internationale entre statisticiens.

Il préside le premier congrès international de statistique qui se tient à Bruxelles en 1853. La même année, il participe à la Première conférence maritime internationale à Bruxelles visant à favoriser les échanges de données météorologiques. Cette coopération débouche sur l’Organisation météorologique internationale en 1873.

Il était correspondant ou membre de nombreuses sociétés scientifiques, littéraires et artistiques.

À la suite de son décès à Bruxelles[9] le à l'Observatoire royal, ses funérailles avec les honneurs militaires sont célébrées à la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule de Bruxelles le . Il est inhumé au cimetière de Bruxelles.

Contributions[modifier | modifier le code]

Psychologie[modifier | modifier le code]

Quetelet fonde l’approche différentielle en psychologie. Avec Francis Galton, il montre que les différences entre les individus se répartissent habituellement selon la courbe de Gauss. Le caractère mesuré est expliqué par la rencontre d’un très grand nombre de facteurs simples répartis dans la population selon les lois de la probabilité.

Mathématique[modifier | modifier le code]

Il est l'auteur avec Dandelin des théorèmes qui relient les définitions de coniques (sections planes d'un cône) avec celle d'ellipse (hyperbole), ensemble des points dont la somme (différence) des distances à deux points fixes est constante, ainsi que celle des trois coniques définies comme ensemble des points dont le rapport des distances à un point (foyer) et une droite (directrice) est une constante appelée excentricité. Ces théorèmes sont connus aussi sous l'appellation de « théorèmes belges ».

Quetelet est le premier à utiliser la courbe normale autrement que comme répartition d'erreurs, entre autres dans des méthodes de moindres carrés.

Statistique[modifier | modifier le code]

Dans Sur l'homme et le développement de ses facultés, essai d'une physique sociale, Quetelet présente sa conception de « l'homme moyen » comme valeur centrale autour de laquelle les mesures d'une caractéristique humaine sont groupées suivant une courbe normale. L'homme moyen est une réalité sui generis, différente des individus. Quetelet s'oppose ainsi au nominalisme de Guillaume d'Ockham. Quetelet distingue trois types de moyennes, reprises par Alphonse Bertillon : la moyenne objective, qui correspond à un objet réel, soumis à un certain nombre de mesures ; la moyenne subjective, résultat du calcul d’une tendance centrale, dans le cas où la distribution obéit à la loi binomiale (courbe de Gauss) ; le troisième cas, qui ne mérite pas vraiment le nom de moyenne, s’appelle moyenne arithmétique, afin de marquer le fait que c’est une pure fiction, n’obéissant pas à la loi binomiale (la hauteur des toits d’une rue), ne justifiant pas la création d’un type moyen.

A l'Exposition universelle de 1851 à Londres, il regrette le manque de liaisons entre démographes, et, avec ses amis William Farr (1807-1883) et Charles Babbage (1791-1871), il met sur pied un congrès international de statistique où seront discutées toutes les questions sur la statistique et la population. Le premier congrès se tient à Bruxelles en 1853 avec 250 participants belges et étrangers, et est suivi de huit autres, tous les deux ou trois ans[10],[11].

Ses études sur la consistance numérique des crimes suscitèrent une large discussion entre liberté et déterminisme social. Comme son homologue français André-Michel Guerry, il rassemble et analyse pour son gouvernement les statistiques sur le crime et la mortalité, améliorant ainsi le système de recensement. Il apporte des améliorations dans les prises de sanctions. Son travail suscite d'ailleurs une grande controverse parmi les sociologues du XIXe siècle.

On lui doit le système de mesure internationale de l'obésité, connu sous le nom d'indice de Quetelet, ou encore Indice de masse corporelle, une grandeur qui permet d'estimer la corpulence d’une personne.

Astronomie[modifier | modifier le code]

En 1815, le Congrès de Vienne réunit la Belgique (l'ancienne Principauté de Liège et les Pays-Bas autrichiens) et le royaume de Hollande, et crée le royaume uni des Pays-Bas (1815-1830). Le nouveau roi Guillaume Ier accorde les premiers budgets pour la construction de l'Observatoire à deux pas de la Porte de Schaerbeek, au milieu du Boulevard du Jardin botanique. Mais apprenant que Quetelet est professeur de mathématiques et non astronome, le bâtiment reste inachevé.

Après les combats de la Révolution belge de 1830, l'Observatoire semble irrécupérable. Quetelet a bien cru que son rêve de devenir astronome allait s'achever. À la suite des pillages commis, l'Observatoire semble détruit. Tout est à refaire. Le directeur de l'Observatoire de Paris forme Quetelet à son nouveau métier pendant le temps des travaux.

À l'Observatoire royal de Bruxelles, il travaille sur les données géophysiques et météorologiques. Il étudie les pluies de météores et établit des méthodes de comparaison et d'évaluation des données.

L’observatoire était pourvu notamment d’un cercle mural d' Edward Troughton et William Simms ainsi que de deux horloges de précision. Parmi les observations réalisées grâce à ces instruments, on peut citer la détermination des coordonnées de l’Observatoire, la différence de longitude entre les observatoires de Bruxelles et de Greenwich, l’observation d’occultation d’étoiles par la Lune ainsi que des passages de Mercure devant le Soleil[12].

Hommages et distinctions[modifier | modifier le code]

En 1970, l'Union astronomique internationale a attribué le nom de Quetelet à un cratère lunaire.

Les distinctions suivantes lui ont été décernées[7] :

Principales publications[modifier | modifier le code]

  • Relation d'un voyage fait à la grotte de Han au mois d', par MM. Kickx et Quetelet (1823)
  • Recherches sur la population, les naissances, les décès, les prisons, les dépôts de mendicité, etc., dans le royaume des Pays-Bas (1827) Texte en ligne
  • Positions de physique ou résumé d'un cours de physique générale, 3 vol. in-18, chez H. Tarlier, Bruxelles, 1827-1829
  • Recherches statistiques sur le royaume des Pays-Bas (1829) Texte en ligne
  • Astronomie élémentaire, Paris, à la Librairie scientifique et Industrielle de Malher et Cie, 1826, in-12, 331 p.
  • Sur l'homme et le développement de ses facultés, ou Essai de physique sociale (2 volumes, 1835) Texte en ligne 1 2
  • De l'influence des saisons sur la mortalité aux différens âges dans la Belgique (1838)
  • Catalogue des principales apparitions d'étoiles filantes (1839)
  • Sur l'emploi de la boussole dans les mines (1843) Texte en ligne
  • Sur le climat de la Belgique (2 volumes, 1845-1851) Texte en ligne 1 2
  • Du système social et des lois qui le régissent (1848)
  • Sur la statistique morale et les principes qui doivent en former la base (1848)
  • Mémoire sur les lois des naissances et de la mortalité à Bruxelles (v. 1850)
  • Mémoire sur les variations périodiques et non périodiques de la température, d'après les observations faites, pendant vingt ans, à l'observatoire royal de Bruxelles (1853) Texte en ligne
  • Histoire des sciences mathématiques et physiques chez les Belges (1864)
  • Météorologie de la Belgique comparée à celle du globe (1867) Texte en ligne
  • Sciences mathématiques et physiques au commencement du XIXe siècle (1867) Texte en ligne
  • Sur la physique du globe en Belgique (v. 1869) Texte en ligne
  • Anthropométrie, ou Mesure des différentes facultés de l'homme (1870)
  • Sur les anciens recensements de la population belge (s. d.) Texte en ligne
  • Théorie des probabilités, Bruxelles, A. Jamar, , 104 p. (lire en ligne) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Correspondance mathématique et physique avec Jean Guillaume Garnier, M. Hayez, imprimeur, (1825-1835) Volume 8 Texte en ligne ; d'autres ICI.

Héritage[modifier | modifier le code]

Philatélie[modifier | modifier le code]

La Régie des postes belges émet le un timbre-poste à l'occasion du centenaire de la mort d'Adolphe Quetelet. Le timbre d'une valeur de dix francs est réalisé d'après une œuvre du peintre Joseph-Denis Odevaere.

Sociétés et institutions de recherche[modifier | modifier le code]

Plusieurs sociétés et instituts de recherche ont été nommés en hommage à Adolphe Quetelet, comme en France le Réseau Quetelet[13] créé en 2001[14] (« Centre Quetelet » jusqu'en 2005[15]) ou, en Belgique, la Adolphe Quetelet Society créée en 1952[16].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Fabien Locher, Le Savant et la Tempête : Étudier l’atmosphère et prévoir le temps au XIXe siècle, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Carnot », , 222 p. (ISBN 9782753506961)
    notamment sur l'action de Quetelet au sein de l'Observatoire de Bruxelles
    .
  • André de Meeûs, Recherches historiques et iconographiques sur la porte de Schaerbeek, ce haut-lieu de la Révolution de 1830, épreuve intégrée déposée au Cercle d'histoire de Bruxelles en .
  • Alain Desrosières, « Adolphe Quetelet », Courrier des statistiques, no 104,‎ (lire en ligne sur Gallica).
  • Jean-Jacques Droesbeke, Adolphe Quetelet : Passeur d'idées, Éditions de l'Académie royale de Belgique, , 424 p. (ISBN 978-2-8031-0806-0, lire en ligne).

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Son frère Antoine-Montain Quetelet (Ham 1736- Gand 25.2.1787), avait déjà épousé auparavant à Paris le 21.1.1773 la gantoise Jeanne-Thérèse de Keghel née à Gand en 1739 et y décédée le 11.12.1799 (Jean de Launois, « La famille Quetelet, agnats et cognats », dans : Adolphe Quetelet 1796-1874, Bruxelles : Palais des Académies, 1924, p. XXV).
  2. Stadsarchief Gent, Poorters en buitenpoorters van Gent 1477-1492 en 1542-1796, Gand 1986, p. 295, 857, 38 r°, 12 juin 1790, Quetelet Augustijn Jacques Henry, meersenier, ° Ham in Picardie (sic pour François Augustin Jacques Henri).
  3. Jean de Launois, « La famille Quetelet, agnats et cognats », dans : Adolphe Quetelet 1796-1874, Bruxelles : Palais des Académies, 1924, p. XXV.
  4. Gand, registre des mariages de 1806, registre n° 28, mariage n° 119 - 2ème série - pages 241 à 243 du registre. L'acte mentionne que Victor Stanislas Lannuyer, âgé de 38 ans, cuisinier, né à Creil, département de l'Oise, le 22 septembre 1767, domicilié à Gand, à la place d'armes, fils des feus Michel Cyrille et de Marie Geneviève Malice, époux divorcé de Marie Rose Goguet, en date du 27 floréal an VIII, épouse Anne Françoise Vander Velden, âgée de 40 ans, née à Wavre, département de la Dyle, le 5 février 1766, mercière, domiciliée au Marché aux Grains, fille des feus Jean Baptiste et de Catherine Vanesse, et veuve de Jacques Auguste Henri Quetelet.
  5. Bruxelles, acte de décès de l'année 1848, n° 3043, daté du 8 août 1848. La défunte, dont le nom est orthographié Vande Velden, est morte le 5 août 1848 au boulevard de l'Observatoire, alors qu'elle résidait à l'Observatoire même.
  6. Bruxelles, acte de mariage n° 507 du 20 septembre 1824. Adolphe Quetelet, qualifié de professeur de mathématiques à l'athénée royal, habitait alors avec sa mère au n° 1679 de la rue d'Assaut à Bruxelles. Cecile Virginie Curtet habitait à la rue Berlaimont avec son père, le docteur en médecine François Antoine Curtet, et la mère de la future est déjà décédée. Parmi les sept témoins de ce mariage, outre le père de la future, se trouvent Théophile Berlier, qui était alors proscrit et s'était expatrié à Bruxelles, mais est simplement qualifié de propriétaire, ainsi que Louis Dewez, qualifié d'inspecteur des collèges.
  7. a et b Funérailles de Lambert Adolphe Jacques Quettelet, Bruxelles, F. Hayez, (lire en ligne)
  8. « Adolphe Quetelet », sur serge.mehl.free.fr (consulté le )
  9. Acte de décès de la ville de Bruxelles, n° 797 du 18 février 1874. Le dix-huit février mil huit cent septante-quatre, à onze heures du matin, a été dressé, après constatation, par Nous, Félix Vanderstraeten, Officier de l’Etat Civil de la ville de Bruxelles, l’acte de décès de Lambert Adolphe Jacques Quetelet, grand officier de l’ordre de Léopold, directeur de l’observatoire royal, décédé le dix sept de ce mois, à deux heures du matin, Boulevard de l’observatoire, N° 1, 4e d(ivisi)on, âgé de septante sept ans, onze mois et vingt six jours, né à Gand, veuf de Cécile Virginie Curtet, fils de François Augustin Jacques Henri Quetelet et de Anne Françoise Vandevelde, décédés. Sur la déclaration de Charles Hooreman, aide à l’observatoire, âgé de trente sept ans, domicilié à Saint-Gilles et de Léopold Estourgies, aide à l’observatoire, âgé de trente huit ans, domicilié à Schaerbeek. Duquel acte il a été donné lecture. (suivent les signatures Hooreman, LEstourgies, Vanderstraeten)
  10. Henri Bunle et Claude Lévy, « Histoire et chronologie des réunions et congrès internationaux sur la population », Population, vol. 9, no 1,‎ , p. 9–36 (lire en ligne, consulté le )
  11. Adolphe (1796-1874) Auteur du texte Quetelet, Congrès international de statistique : sessions de Bruxelles (1853), Paris (1855), Vienne (1857), Londres (1860), Berlin (1863), Florence (1867), La Haye (1869) et St-Pétersbourg (1872) / par A. Quételet,..., (lire en ligne)
  12. « Histoire de l'Observatoire », sur www.astro.oma.be (consulté le )
  13. Bernard Baudoux, « Adolphe Quetelet, génial touche-à-tout », L'Astronomie, 35, février 2011, p. 27.
  14. Alain Leroux et Pierre Livet, La pauvreté dans les pays riches. Tome IV : Leçons de philosophie économique, Paris, Economica, 2009, p. 163.
  15. Arianna Caporali, Amandine Morisset et Stéphane Legleye, « La mise à disposition des enquêtes quantitatives en sciences sociales : l'exemple de l'Ined », traduction par Camille Richou, Population, 70, mars 2015, p. 576, doi:10.3917/popu.1503.0567.
  16. The Adolphe Quetelet Society – Société Adolphe Quetelet – Adolphe Quetelet Vereniging, « Home », www.quetelet.be, 2016, http://www.quetelet.be/, consulté le vendredi 14 avril 2017.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Quételet est l’abréviation botanique standard de Adolphe Quetelet.

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