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Principauté de l'île d'Elbe

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Principauté de l'île d'Elbe
(it) Principato d'Elba

 – 
(10 mois et 12 jours)

Drapeau
Drapeau de la principauté.
Blason
Armoiries de Napoléon comme prince souverain de l'île d'Elbe.
Hymne Le Chant du Départ
Description de cette image, également commentée ci-après
Localisation de l'île d'Elbe en Europe.
Informations générales
Statut Monarchie
Capitale Portoferraio
Langue(s) Français et italien
Religion Le catholicisme , le protestantisme et le judaïsme
Monnaie Franc[réf. nécessaire]
Fuseau horaire UTC±00:00

Démographie
Population  
• 1814 12 000 hab. (estimation)
Gentilé Elbois

Superficie
Superficie  
• 1814 224 km2
Histoire et événements
Le traité de Fontainebleau accorde à Napoléon la souveraineté sur l'île d'Elbe après son abdication.
Arrivée de Napoléon à Portoferraio.
Napoléon quitte Elbe pour reconquérir la France.
Prince souverain
1814-1815 Napoléon Ier

Entités suivantes :

La principauté de l'île d'Elbe (en italien : Principato d'Elba) est une éphémère monarchie européenne. Elle correspond à l'exil de Napoléon sur l'île d'Elbe, dans l'archipel toscan, au large de l'Italie. Elle existe entre et , à peu près trois cents jours. Elle est placée sous la souveraineté de Napoléon Ier, ancien empereur des Français et roi d'Italie, après la première abdication de ce dernier et avant son retour en France pendant les Cent-Jours, à la suite de sa reconquête du pouvoir. Cette période correspond au premier exil de Napoléon.

Lors de la campagne de France, la ville de Paris est abandonnée par l'armée française. Napoléon souhaite faire une nouvelle contre-attaque, mais ses généraux refusent cette idée et poussent l'empereur à abdiquer.

Lieu d'exil

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Le traité de Fontainebleau impose à Napoléon d'être exilé, mais le lieu n'est pas précisé et différentes options sont envisagées. Comme le tsar Alexandre Ier a promis un établissement hors de France digne de l’empereur Napoléon, il propose la Corse à Caulaincourt, qui refuse, car elle fait partie de l'ancien royaume de France. Ce dernier propose la Sardaigne, mais cette fois, c'est le tsar qui, à son tour rejette la proposition, cette île appartenant à la Maison de Savoie (royaume de Piémont-Sardaigne). Les coalisés laissent finalement le choix à Napoléon, entre l'île de Corfou et l'île d'Elbe, une dépendance de la Toscane[1]. Si l'empereur déchu choisit la seconde, c'est sans doute à cause de sa proximité avec sa Corse natale[1].

Napoléon devient souverain de la principauté de l’île d’Elbe : « Il sera donné en outre en toute propriété, à l'empereur Napoléon[2]. »

Tentative de suicide

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Napoléon ingère, dans la nuit du au , une dose de « poison de Condorcet » afin de se suicider. Ce n'est cependant pas suffisant et les effets du poison se dissipent peu à peu.

Le , le comte Pierre Dupont de l'Étang, ministre de la Guerre de Louis XVIII, informe par courrier le général Jean-Baptiste Dalesme, qui gouverne l’île d’Elbe au nom de la Grande Duchesse de Toscane, Élisa Bonaparte, qu'il doit remettre ce territoire à Napoléon.

Le , l'empereur fait ses adieux à sa vieille garde. Son convoi, de Fontainebleau jusqu'à la Méditerranée, avant son embarquement pour l'île d'Elbe, passe par des villages provençaux royalistes qui le conspuent. Il risque même d'être lynché à Orgon, ce qui l'oblige à se déguiser.

La principauté de l'Île d'Elbe est créée le par le traité de Fontainebleau. Cet État permet à l'ancien empereur des Français Napoléon Ier de conserver ses titres de noblesse. Ainsi, le traité explique que l'Empereur « renonce pour lui, ses successeurs et descendants, ainsi que pour chacun des membres de sa famille, à tout droit de souveraineté et de domination, tant sur l'Empire français et le royaume d'Italie, que sur tout autre pays. L.M. l'empereur Napoléon et l'impératrice Marie-Louise conserveront ces titres et qualités pour en jouir leur vie durant ». L'article 3 indique que « L'île d'Elbe, adoptée par S.M. l'empereur Napoléon pour lieu de son séjour, formera, sa vie durant, une principauté séparée qui sera possédée par lui en toute souveraineté et propriété ».

Le climat, la végétation et les senteurs de ce territoire rappellent la Corse à Napoléon. La population de l'île s'est montrée hostile à l'empereur durant les années précédentes mais, désormais, le peuple de cette île pense que la venue de l'empereur leur donnerait un plus grand prestige[3].

Une proclamation est affichée dans toute l'île : « Le plus heureux événement qui pût jamais illustrer l'histoire de l'île d'Elbe s'est réalisé en ce jour ! Notre auguste souverain, l'empereur Napoléon est arrivé parmi nous. Nos vœux sont accomplis : la félicité de l'île d'Elbe est assurée[3]. »

Installation de Napoléon

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Le vers 15 heures, Napoléon quitte la frégate anglaise Undaunted (en) qui mouille dans la rade de Portoferraio depuis la veille après six jours de navigation depuis le port de Fréjus où il avait embarqué. Il se rend à bord d'une chaloupe mue par vingt quatre rameurs vers le port de l'île, où les autorités civiles, militaires et religieuses sont venues l'accueillir. Le pied à peine posé à terre, des cris de Evviva l'imperatore ![4] fusent de la foule venue nombreuse des quatre coins de l'île pour acclamer le nouveau souverain. Les cloches des églises sonnent à toute volée et mêlent leur son à celui des canons des forts Stella et Falcone, auxquels répondent ceux de l'Undaunted, tandis que le 35e régiment d’infanterie légère fait battre les tambours. Pietro Traditi, maire de Portoferraio, lui présente les clefs de la Porta del Mare (« porte de la Mer », en forme d'arc de triomphe, qui existe toujours et est à l'époque le passage obligé pour accéder à la ville)[5],[6].

Après les discours d'usage, Napoléon se rend à l'église paroissiale située sur la place d'Armes, afin d'y entendre un Te Deum ; l'office est célébré par l'abbé Arrighi, vicaire général de l'évêque d'Ajaccio. Après la cérémonie, il se rend à l'hôtel de ville, situé à quelques pas. Il y accorde quelques audiences, il nomme le général Drouot gouverneur militaire et ministre de la Guerre. Puis il prend possession des appartements provisoires qu'on y avait préparé à la hâte à son intention, à l'hôtel de ville[5].

Dans le même temps, Napoléon fait publier un procès-verbal, annonçant aux habitants de l'île sa prise de pouvoir. Ce procès-verbal est le suivant :

« Ce 4 mai 1814. S.M. l'empereur Napoléon ayant pris possession de l'île d'Elbe, le général Drouot, gouverneur de l'île, au nom de l'Empereur, a fait arborer sur les forts, le pavillon de l'île : fond blanc traversé diagonalement d'une bande rouge semée de trois abeilles fond d'or. Ce pavillon a été salué par les batteries des forts de la côte, de la frégate anglaise l'Undaunted et les bâtiments de guerre français qui se trouvaient dans le port. En foi de quoi, nous, commissaires des puissances alliées, avons signé le présent procès-verbal avec le général Drouot, gouverneur de l'île, et le général Dalesme, commandant supérieur de l'île. »

— Fait à Portoferrajo le 4 mai 1814.

Celui-ci est signé par Koller (de), Campbell (en), Drouot et Dalesme.

Logement de l'empereur

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Représentation caricaturale de Napoléon sur l'ile d'Elbe.

Durant son règne, l'empereur loge à la Palazzina dei Mulini, édifice situé à Portoferraio, la capitale de l'île. Napoléon y prend ses quartiers après avoir vécu quelques jours à la mairie de la ville.

Louis Joseph Marchand, serviteur de Napoléon, décrit ainsi le palais : « Cette maison consistait en un rez-de-chaussée peu élevé composé de dix pièces ; quatre avaient vue sur la ville, qu'elles dominaient : une antichambre, un petit salon, une salle à manger, une petite galerie ; les six autres étaient sur le jardin et sur la mer ; un bureau, une bibliothèque, une chambre à coucher, une salle de bains, deux pièces de dégagement pour le service intérieur. Cette maison, située au haut d'une des rues les plus escarpées de la ville, se trouvait à mi-côte, dominée par le fort l'Étoile, où restait le général Cambronne, et le fort Falcone qui s'en trouvait plus éloigné et où étaient casernés les Polonais et les mamelucks. Ces deux forts, unis par un chemin couvert, établissaient le système des défenses de la ville du côté de la mer. »

Par la suite, Napoléon fait totalement réaménager le palais par l'architecte Paolo Bargigli.

Organisation politique elboise

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L'État d'Elbe est une monarchie, dans laquelle l'empereur possède tous les pouvoirs. Napoléon a alors comme ministres certains dignitaires de l'État.

Le grand-maréchal Bertrand est ministre de l'Intérieur et gouverneur des Affaires civiles. Antoine Drouot est gouverneur militaire et ministre de la Guerre. Le général Cambronne est commandant de la garde impériale, responsable de la quarantaine, commandant de la place de Portoferraio et, ce qui est peu connu, de l'îlot de Palmaiola.

La fonction de trésorier général de l'Empereur et receveur général des recettes de l'île d'Elbe est dévolue à Guillaume Peyrusse[7].

Sur place, le « petit caporal » déborde d'énergie. Deux jours seulement après son arrivée, il inspecte les mines de fer de Rio Marina administrées par André Pons de l'Hérault et développe l'industrie minière en exploitant le marbre. Il lance un plan de construction de ponts et de routes reliant les communes à la capitale. Il dresse un bilan des ressources de l'île[4]. L'empereur conseille la culture de pommes de terre et ordonne le reboisement de certaines vallées avec des oliviers, des mûriers et des châtaigniers, afin de favoriser l'élevage de vers à soie[4].

Napoléon prend des mesures de salubrité pour développer les conditions de vie des Elbois ; il établit un plan d'irrigation et demande la construction d'un hôpital. Le souverain organise le ravitaillement de Porto Ferrajo en eau potable[4].

Relations commerciales internationales

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Il conclut un traité de commerce avec Livourne et en négocie un autre avec Gênes[4].

Armée et sécurité

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Un grenadier de la garde à l'île d'Elbe,
Horace Vernet, 1818-1820,
Wallace Collection, Londres.

Bonaparte est accompagné d'une suite d'une cinquantaine de personnes puis d'un bataillon d'infanterie de la Vieille Garde fort de sept cents à huit cents hommes, en grande partie des Corses[8].

L'île d'Elbe bénéficie aussi d'une flotte de six navires, commandés par le lieutenant Taillade.

Cependant, Bonaparte juge que les quelques centaines d'hommes de son ancienne garde ne sont pas suffisants, il souhaite alors s'entourer d'un « escadron de cavaliers polonais, d'un bataillon de la milice elboise et d'un bataillon de chasseurs corse[4]. » Ce sont au total 1 600 soldats qui défendent l'île[7]. Il demande aussi la construction de forteresses[4]. Le budget de l'armée est colossal, il s'élève à un million de francs par an[7]. Ainsi, une grande partie des ressources de l'île y est engloutie[7].

Vers 1820, Horace Vernet réalise un tableau de propagande pour la cause bonapartiste qui a été gravé. Le grenadier qui y est représenté a un pantalon rapiécé et des guêtres en coutil de matelas — détails inclus par Vernet pour suggérer les épreuves endurées par Napoléon et ses hommes en exil. Le navire à l'arrière-plan droit est vraisemblablement L'Inconstant qui a ramené Napoléon en France[9].

Vie de l'empereur et de l'île

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Visites familiales

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L’Impératrice Marie-Louise se propose, dans un premier temps de rejoindre son époux, puis, après avoir rencontré son père, l'empereur François Ier d'Autriche, décide de rester à Vienne avec son fils.

Pauline, la sœur de l'empereur, vient plusieurs fois rendre visite à son frère, avant de s'installer sur l'île. Avec elle, Napoléon va organiser de nombreux bals, réceptions et représentations théâtrales[4].

La mère de Napoléon, Letizia Bonaparte, rend également visite à son fils[4].

Marie Walewska, avec son fils, fait une visite discrète sur l'île la nuit du 1er septembre[7].

Surveillance

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L'île est pendant trois cents jours le centre de tous les intérêts. Y affluent officiers et simples soldats en quête d'un emploi, représentants des armées étrangères, espions de tous bords venus pour le délivrer ou l'assassiner, étrangers curieux d'approcher celui qui régnait sur l'Europe un an auparavant.

Bonaparte est étroitement surveillé par Louis XVIII et les puissances européennes.

En outre, Neil Campbell est chargé de veiller sur lui[3] mais il est régulièrement absent, car il part voir sa maîtresse, la comtesse Mianici, en Italie[3].

Soulèvement des habitants pressurés par le fisc napoléonien

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L'argent pour payer les travaux entrepris ainsi que le train de vie de Napoléon et de sa cour pléthorique doit en principe provenir des revenus fonciers de l'île, notamment des mines de l'État, et des taxes sur le sel et les pêcheries, ainsi que des deux millions de francs devant être versés annuellement par la France.

En l'absence de ces deux millions[4], les impôts et les taxes sont augmentés bien au-delà de ce que les douze mille habitants de l'île sont habitués à payer. Les villageois de Capoliveri font battre en retraite les soldats envoyés pour collecter les impôts impayés, anciens et nouveaux. Une deuxième force de deux cents hommes est dépêchée sur les lieux et les deux prêtres qui avaient incité à la résistance sont arrêtés et traduits devant un tribunal militaire où ils échappent de peu à la peine capitale.

Les habitants de l'île se plaignent à l'agent britannique Campbell, lui demandant protection contre « les exactions de leur souverain ». Le départ de Napoléon met fin à l'insatisfaction grandissante de ses sujets[2].

Napoléon Ier quittant l'île d'Elbe pour revenir en France, s'embarque dans le port de Portoferraio, , huile sur toile, Joseph Beaume, 1836, château de Versailles. Dans ce tableau, Napoléon salue les habitants de l'île d'Elbe avant son départ ; il est entouré par le trésorier Guillaume Peyrusse et les généraux Antoine Drouot, Henri Gatien Bertrand et Pierre Cambronne[10].

Plan et projets

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Dès son arrivée sur l'île, Napoléon échafaude des plans, parfois hautement romanesques, pour s'en évader, malgré la présence de nombreux espions et du commissaire anglais chargé de la surveillance, le colonel Neil Campbell (en), mais il parvient à endormir leur méfiance[11].

Napoléon active des réseaux civils et militaires et reçoit de France de nombreuses visites. Cette activité lui permet de se rendre compte d'une certaine déception des Français vis-à-vis de la Restauration. Il sait qu'il n'est pas oublié[3].

L'empereur craint un débarquement des coalisés ou un enlèvement ou un assassinat commandité par des royalistes[4]. Il peut éventuellement être influencé par une rumeur indiquant qu'il serait exilé très loin du continent, sur les Açores ou à Sainte-Hélène[12],[13]. Il ne touche pas sa rente de deux millions de francs promise par le traité de Fontainebleau. Il fait alors croire à Campbell qu'il ne souhaite pas retourner en France, notamment en lui disant : « Je n'existe plus pour le monde. Je suis un homme mort. Je ne m'occupe plus que de ma famille, de ma retraite, de ma maison, de mes vaches et de mes mulets[3] ! » Son gardien pense que Napoléon est sincère : « Je commence à croire qu'il est tout à fait résigné à sa retraite et qu'il se trouve passablement heureux[3]. »

En réalité, Napoléon ne souhaite qu'une chose, retourner en France[3].

Profitant de l’absence de Campbell, parti le voir sa maîtresse à Livourne, Napoléon déclare à sa mère, le 23 du même mois, qu'il compte bien retourner sur son trône. Elle répond « Ce qui doit être sera. Que Dieu vous aide… mais s'il est écrit que vous devez mourir, il est préférable que ce soit non par le poison, ni par un repos indigne de vous, mais l'épée à la main[3]. »

Le , Napoléon quitte l'île d'Elbe, non sans avoir dit adieu aux Elbois, venus l'acclamer en grand nombre[3].

Dans les arts

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Durant les Cent-Jours, le poète russe Alexandre Pouchkine compose un poème intitulé Napoléon à Elbe (Napoleon na Elbe)[14].

Références

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  1. a et b « L'île d'Elbe », sur napopedia.fr, (consulté le ).
  2. a et b (en) Peter Hicks, « Napoleon On Elba. An Exile Of Consent », Napoleonica. La Revue, no 19,‎ , p. 53-67 (DOI 10.3917/napo.141.0053).
  3. a b c d e f g h i et j Dmitri Casali, Antoine Auger, Jacques Garnier et Vincent Rollin, Napoléon Bonaparte, Paris, France Loisirs, 407 p. (ISBN 978-2-298-01771-7)
  4. a b c d e f g h i j et k David Chanteranne et Emmanuelle Papot, Napoléon, l'homme et l'empereur, Paris, L'imprévu, , 160 p. (ISBN 979-10-295-0846-2)
  5. a et b « Napoléon, Empereur de l'île d'Elbe 1814-1815 - Le débarquement de l'Empereur », sur napoleon1er.perso.neuf.fr.
  6. « Le bataillon corse de l'île d'Elbe - 1814 - 1815 », sur sites.google.com/site/tirailleurscorses.
  7. a b c d et e Christophe Belser, Napoléon, 132 p.
  8. Napoléon, Correspondance de Napoléon Ier, Volume 31, Imprimerie Impériale, 1869, p. 19.
  9. « Grenadier à l'île d'Elbe », sur Wallace Collection (consulté le )
  10. André Pons de l'Hérault (préf. Christophe Bourachot), Napoléon, empereur de l'île d'Elbe : souvenirs & anecdotes, Les Éditeurs Libres, , p. 7-8.
  11. Pierre Branda, La guerre secrète de Napoléon : île d'Elbe 1814-1815, Perrin, , 450 p..
  12. « « Napoléon a tenté un incroyable coup de poker », Jean Tulard, historien », sur Le Parisien,
  13. Christian Dutot, « Napoléon à l’île d’Elbe », sur Histoire magazine,
  14. André Monnier, « Puškin et Napoléon », Cahiers du monde russe et soviétique, vol. 32, no 2,‎ , p. 210 (lire en ligne).

Articles connexes

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Bibliographie

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